Julian Assange, «boulet» pour l’Equateur, «boulet» pour Londres
Olivier Perrin lundi 22 janvier 2018 à 09:15.
Le fondateur de WikiLeaks, réfugié dans l’ambassade du petit pays sud-américain, commence à poser un sérieux problème aux uns et aux autres. A force de durer, l’affaire est devenue embarrassante pour Quito et la situation intenable pour le Royaume-Uni
Le président socialiste équatorien, Lenin Moreno, a déclaré dimanche que l’asile accordé au fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, à l’ambassade d’Equateur à Londres depuis 2012 était un «problème hérité» qui constitue «plus qu’un tracas»: «Nous espérons parvenir à court terme à un résultat positif sur ce point», a déclaré le chef de l’Etat lors d’une interview à trois chaînes de télévision locales, dont Ecuador TV. Il a aussi répété que l’Equateur souhaitait obtenir une médiation «de quelqu’un d’important» pour résoudre la question, mais n’a pas précisé qui pourrait à son avis s’y impliquer.
Lire aussi: Les articles du Temps.ch sur Julian Assange
Craignant une extradition vers la Suède pour un viol présumé qu’il niait, Julian Assange, l’Australien de 46 ans, a trouvé asile à l’ambassade alors que l'Equateur était présidé par Rafael Correa, figure de la gauche sud-américaine qui a nargué Washington en «offrant ses services» au fondateur de WikiLeaks. Le parquet suédois a depuis classé l’affaire d’accusation de viol. Mais Assange craint d’être arrêté s’il sort de l’ambassade, puis d’être extradé et jugé aux Etats-Unis pour la publication en 2010 de nombreux secrets militaires et documents diplomatiques américains.
Tentant un petit coup de force, l’Equateur a donc annoncé le 11 janvier qu’il lui avait accordé en décembre la nationalité équatorienne et demandé à Londres de lui reconnaître un statut diplomatique. Ce statut lui aurait permis de quitter l’ambassade sans être arrêté par la police britannique. Mais le Royaume-Uni a refusé d'entrer en matière, tout en précisant qu’une telle arrestation aurait forcément lieu.
Le président Moreno a ainsi regretté dimanche que Londres n’ait pas accepté sa «solution»: «Cela aurait été un bon résultat. Malheureusement, les choses ne se passent pas comme le Ministère des affaires étrangères l’a planifié, et actuellement le problème demeure.» Maria Fernanda Espinosa, la diplomate en cheffe équatorienne, a cependant confirmé que son pays maintiendrait l’asile accordé à Julian Assange par Rafael Correa. Lequel est actuellement devenu – il faut bien le comprendre – un ennemi politique de son ancien allié Lenin Moreno, aujourd'hui président.
D’homme instrumentalisé par un des contre-pouvoirs latinos hostiles aux Etats-Unis, le fondateur de WikiLeaks serait-il ainsi devenu un «boulet» pour Quito ? La question se pose: pourquoi le «cas Assange» est-il «digne de tant de complications»? «C’est le manque d’information qui alimente les rumeurs. Nous avons besoin que cette affaire, comme tout ce qui concerne le pays et son nom, soit traitée avec transparence», prônait récemment une tribune publiée dans El Universo et citée par Courrier international. Un quotidien équatorien qui parle aussi – non sans quelque sarcasme – de «petit hacker informatique devenu héros libertaire» ou de «méchant au service de Moscou, selon les points de vue».
Ses quelques apparitions – dans une attitude quelque peu arrogante – sur le balcon de l’ambassade à Londres (voir ci-dessus) ont le don d’énerver les autorités équatoriennes, alors que joint par Le Figaro, Juan Branco, un des conseillers juridiques de Julian Assange, juge que la situation devient tout aussi «intenable pour le Royaume-Uni»: «Scotland Yard a annoncé dépenser 65000 euros par jour pour surveiller le pâté de maisons» où se trouve l’ambassade équatorienne. «Cinquante hommes et deux camionnettes en gardent les sorties 24h/24. Un chiffre que dénoncent de plus en plus de citoyens.»
Entre une saisie de la Cour de justice de La Haye et divers tours de passe-passe juridiques qui pourraient permettre à Assange de «s’en sortir», l’Equateur, dit encore le Foreign Office, «sait que la manière de résoudre ce problème» (pour lui) est qu'il «quitte l’ambassade pour se soumettre à la justice». Selon son conseiller, il serait alors «certainement libéré par les cours anglaises, mais la procédure d’extradition vers les Etats-Unis prendrait immédiatement le relais afin de le maintenir en détention.»
De plus, l’Equateur est un tout petit pays, sans grands alliés qui puissent l’aider. Pour Quito, l'affaire constitue un casse-tête juridique et diplomatique. Rafael Correa, l’ex-président, est d’ailleurs sorti de son silence en donnant un entretien à l’AFP où il a dit avoir «très peur pour la sécurité de Julian Assange»: «Je pense que ce n’est qu’une question de temps pour que ce gouvernement, qui a trahi tous les idéaux […], lui retire son soutien», a-t-il déclaré la semaine dernière. La situation s’avère décidément de plus en plus délicate pour le pays andin, où l’Australien se trouve désormais au centre d’un bras de fer politique.
Comme pour moi qui ai osé dire la vérité sur l'escroquerie du 'Global Warming' et ai laissé des commentaires scientifiques sous les vidéos de Youtube, MON COMPTE A ÉTÉ SUPPRIMÉ ! La totalité des vérités a été effacée et ne sont plus accessibles à quiconque !!!
-------------------- J'avais posté:
Ne pas oublier que: Depuis des millions d'années, ce sont des milliards de km³ d'eaux (venues des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les océans (et continuent à le faire !) SANS QUE 'LA MER MONTE' !!! Çà alors !!
L'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océanique vers le magma où elle est chauffée/brûlée et ressort toute propre (et GRATUITEMENT !) aux nappes phréatique, sources terrestres et sous-marines (chaude, froide et/ou gazeuse). Les stations dites 'd'épuration' ne sont que des gouffres inutiles qui ne rendent pas l'eau comme à la source !
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(...) qui interdisent les spams, les escroqueries ou les contenus commercialement trompeurs (...) Je n'ai posté AUCUN 'spam', ni escroquerie !! ni des 'contenus commercialement trompeurs' ! (je ne vend RIEN !)
Je regrette simplement qu'ils n'aient donné AUCUNE explication sur les faits reprochés.
Assange garde l'avertissement de A.I. Censure, et il est temps que nous commencions à écouter
par Tyler Durden Lundi, 22/01/2018 - 05:00 Auteur de Caitlin Johnstone via Medium.com,
Tout au long de la quasi-totalité de l'histoire de l'humanité, la compréhension d'une population de ce qui se passe dans le monde a été contrôlée par ceux qui sont au pouvoir. Les hommes contrôlaient ce qu'on leur disait des populations rivales, de l'histoire de leur tribu et de ses dirigeants, etc. Quand le mot écrit était inventé, les hommes dictaient quels livres pouvaient être écrits et distribués, quelles idées étaient autorisées , quels récits le public aurait accès à.
Cela a continué tout droit dans les temps modernes. Là où le pouvoir n'est pas ouvertement totalitaire, les élites aisées ont acheté tous les médias, d'abord imprimés, puis la radio, puis la télévision, et l'ont utilisé pour faire avancer des récits favorables à leurs intérêts. Ce n'est que lorsque l'humanité a acquis un accès généralisé à Internet que notre espèce a pu librement et facilement partager des idées et des informations à grande échelle sans régulation par l'emprise du pouvoir. Cette nouvelle capacité a sans aucun doute eu un impact direct sur l'élection du bureau le plus puissant du gouvernement le plus puissant du monde en 2016, car un centre d'édition de fuites combiné à des médias alternatifs et sociaux permettait aux Américains ordinaires de se raconter leurs propres histoires. ce qu'ils pensaient se passait dans leur pays.
Ce pouvoir narratif des masses, récemment démocratisé, donna une immense frayeur aux puissants, et ils ont travaillé à restaurer l'ancien ordre de pouvoir qui contrôle l'information depuis. Et WikiLeaks, le rédacteur en chef de WikiLeaks, l'agence d'édition des fuites susmentionnée, a essayé à plusieurs reprises de nous avertir de ce futur développement.
Dans une déclaration récemment lue lors du webinaire "Organiser la Résistance à la Censure de l'Internet", parrainé par le World Socialist Web Site, Assange a mis en garde sur la façon dont les "super-états numériques" comme Facebook et Google travaillent à "rétablir le contrôle du discours", donnant autorité sur la façon dont les idées et l'information sont partagées avec ceux qui sont au pouvoir.
Assange a poursuivi en disant que les tentatives de manipulation des structures du pouvoir mondial pour reprendre le contrôle du discours à l'ère de l'information «opèrent à une échelle, vitesse, et de plus en plus subtilement, qui semble éclipser les contre-mesures humaines».
Ce que cela signifie, c'est qu'en utilisant des formes d'intelligence artificielle de plus en plus avancées, les structures de pouvoir deviennent de plus en plus capables de contrôler les idées et les informations que les gens peuvent accéder et partager entre eux. Structures et élever des récits qui soutiennent ces intérêts, tout en maintenant l'illusion de la liberté et le débat animé.
Ce n'est pas la première fois qu'Assange met en garde contre ces développements. Lors d'une apparition par lien vidéo au Meltdown Festival du musicien et militant MIA en juin dernier, le rédacteur en chef de WikiLeaks a exposé plus en détail ses réflexions sur le potentiel de l'intelligence artificielle pour contrôler l'information et le discours en ligne dans un manière que l'intelligence humaine ne peut espérer suivre.
Soulignant comment l'IA peut déjouer les plus grands joueurs d'échecs du monde, il décrit comment des programmes capables de fonctionner avec une intelligence plus tactique que l'intellect humain peuvent manipuler le champ de l'information disponible si efficacement et subtilement que les gens ne le savent même pas. ils sont manipulés. Les gens vivront dans un monde qu'ils pensent comprendre et qu'ils connaissent, mais ils ne verront que des informations approuvées par l'établissement.
"Lorsque vous avez des programmes d'IA collectant toutes les requêtes de recherche et les vidéos YouTube que quelqu'un télécharge, il commence à mettre en place des campagnes d'influence perceptuelle, vingt à trente coups devant", a déclaré Assange.
"Cela commence à devenir totalement sous le niveau de la perception humaine."
Pour être clair, cela se produit déjà. En raison d'un récent changement dans les "méthodes d'évaluation" de Google, le trafic vers les sites Web gauches et anti-establishment a chuté, avec des sites comme WikiLeaks, Alternet, Counterpunch, Global Research, Consortium News, Truthout et WSWS perdant jusqu'à 70% les points de vue qu'ils recevaient avant les changements. Les puissants oligarques milliardaires Pierre Omidyar et George Soros financent ouvertement le développement d'un «système automatisé de vérification des faits» (AI) pour cacher les «fausses nouvelles» au public.
Chaque fois qu'ils sont accusés de censurer les récits anti-establishment, ces «super-états numériques» refusent systématiquement de participer eux-mêmes à la censure et blâment plutôt l'algorithme pour la disparition de l'information de la vue du public. Mais qu'est-ce que cela signifie exactement ?
Cela signifie "Ce n'était pas moi qui vous censurais ! C'était l'IA ! »Quelle est la menace exacte qu'Assange pointe ici ?
Pour aggraver les choses, il n'y a aucun moyen de savoir exactement dans quelle mesure cela se passe, car nous savons que nous pouvons absolument compter sur les super-états numériques en question pour mentir à ce sujet. Dans la période précédant l'élection de 2016, Jack Dorsey, le PDG de Twitter, a été sommairement bloqué si Twitter faisait obstruction aux #DNCLeaks, un hashtag que les gens utilisaient pour attirer l'attention sur les courriels de DNC qui venaient d'être publiés par WikiLeaks. Dorsey l'a carrément nié.
Plus d'un an plus tard, nous avons appris d'un témoignage préparé devant le Sous-comité sénatorial sur le crime et le terrorisme par l'avocat général par intérim de Twitter, Sean J. Edgett, que c'était complètement faux et que Twitter avait fait exactement cela pour protéger les structures politiques américaines. en mettant le public à l'abri des informations prétendument recueillies par des pirates russes.
«En ce qui concerne #DNCLeak, environ 23 000 utilisateurs ont publié environ 140 000 Tweets uniques avec ce hashtag au cours de la période pertinente», a déclaré Edgett. "Parmi ces tweets, environ 2% provenaient de comptes liés à la Russie. Comme indiqué ci-dessus, nos systèmes automatisés à l'époque ont détecté, étiqueté et caché un peu moins de la moitié (48%) de tous les Tweets d'origine avec #DNCLeak. "
Donc, cela se produit déjà. Il n'y a aucun moyen de savoir exactement jusqu'à quel point, à ce stade, ces puissantes entreprises se cachent derrière tant de malhonnêteté et d'opacité, mais cela se passe sans aucun doute.
Imaginez que vous retourniez dans un monde comme le Moyen Age où vous ne saviez que ce que votre roi voulait que vous sachiez, sauf que vous pouviez encore regarder des vidéos de chatons inoffensifs sur Youtube.
Cela semble être là où nous pourrions nous diriger, et si cela se produisait, la possibilité que tout mouvement populiste apparaisse pour que le pouvoir rende des comptes puisse être définitivement exclue du domaine des possibilités pour toujours.
Prétendre que ces puissantes entreprises des nouveaux médias ne sont que des entreprises privées qui exercent leur liberté de déterminer ce qui se passe sur leur propriété, c'est enterrer la tête dans l'eau et ignorer à quel point ces super-états numériques sont inextricablement liés aux structures de pouvoir existantes.
Dans un système de gouvernement corporatiste, dont l'Amérique est incontestable, la censure des entreprises est la censure du gouvernement, d'une tension encore plus pernicieuse que si Jeff Sessions visitait le pays en train de brûler des livres. Plus l'intelligence artificielle est avancée, plus ces structures de pouvoir deviendront habiles à nous manipuler. Il est temps de commencer à y prêter une attention particulière.
C'est exactement ce qui m'est arrivé aujourd'hui où mon compte Google/Youtube a été fermé SANS EXPLICATION !! justifiant que Google se réserve le droit de fermer un compte sans devoir expliquer pourquoi !!! Ainsi, c'est la vérité que j'avais exposé qui a été censurée.
Voici un des 2 textes publié (le premier étant ci-dessus):
- Notre planète est froide. Seule la partie ensoleillée reçoit suffisamment de chaleur et, l'été dans l'hémisphère le plus près. Mais la chaleur ne se conserve pas. Même dans une maison très bien isolée, si l'on arrête le chauffage intérieur la température tombe jusqu'à devenir comparable à celle de l'extérieur.
La chaleur monte. Monte au plafond dans une pièce et dans le ciel à l'extérieur. Mais, cette chaleur perd des degrès en s'élevant. Le chaud devient froid. Froid comme l'immensité inter-galactique qui nous entoure.
Seule, la chaleur volcanique sous-marine et sous-océanique entretient 24/24 h une température emportée par les courants. Cette chaleur remonte donc aux côtes/plages et s'élève dans l'atmosphère. C'est pour cette raison qu'il fait 'toujours' meilleur en bords de mers. Les vents contribuent également à réchauffer parfois des terres lointaines.
Qu'adviendrait-il de notre monde si le soleil venait à s'éteindre ?! (question bête souvent posée).
Aujourd'hui, notre planète continuerait à vivre. D'une part, l'énergie abondante (nucléaire ou hydraulique) permettrait d'éclairer de vastes serres ou bâtiments construits en dur avec des ampoules au krypton. Les millions (milliards ?) de sources chaudes sous-marines et sous-océaniques continueraient de chauffer les courants marins et venteux 24/24h. Le gaz carbonique continueraient d'être absorbé par les plantes qui nous fournissent notre oxygène ou, il continuerait d'être absorbé/transformé par le phytoplancton présent sur tous les océans, les rivières, les flaques d'eaux, la pluie et le brouillard, en nano-particules de carbone. Ces nano deviennent très vite des micro qui constituent le charbon. Charbon qui se transforme en gaz carbonique lors de sa combustion.
Tous se transforme, tout se recycle continuellement et éternellement (et gratuitement sans l'aide de quiconque !).
La mentalité de la guerre froide craint l'ordre mondial démocratique
par Tyler Durden Lundi, 22/01/2018 - 02:00 Via la Fondation pour la culture stratégique,
La semaine dernière a vu une vague d'alarmes de sécurité internationale qui souligne le danger que le monde trébuche dans une guerre catastrophique. Ces alarmes, fausses ou exagérées, découlent d'une mentalité de guerre froide.
Une telle mentalité n'est pas seulement dangereuse, elle est aussi inacceptable dans le monde d'aujourd'hui.
D'abord, nous avons vu le territoire américain d'Hawaii être mis en alerte à grande échelle sur un supposé missile balistique entrant. L'alarme s'est révélée être fausse. Il n'y avait pas de missile, mais toute la population de l'île du Pacifique a été soumise à 38 minutes de torture.
Un jour après cet incident, le système de raid aérien du Japon a également mis une fausse alerte similaire.
Dans les deux cas, il a été supposé que les missiles inexistants avaient été tirés depuis la Corée du Nord.
Pendant ce temps, en Europe, des chasseurs à réaction de la Belgique, des Pays-Bas et de la Grande-Bretagne - tous membres de l'alliance de l'OTAN dirigée par les États-Unis - ont été dépêchés pour intercepter deux avions de combat russes. Le ministère russe de la Défense a rejeté les allégations selon lesquelles ses avions agissaient de manière "provocante", affirmant que la paire de bombardiers russes Tu-160 avait toujours volé dans l'espace aérien international lors d'un exercice de routine.
Ce dernier type d'incident semble être de plus en plus fréquent. Au cours des deux derniers mois, les frégates de la marine britannique ont tenu à "escorter" les navires de guerre russes naviguant "près des eaux territoriales britanniques". Encore une fois, comme pour l'incident d'interception aérienne cette semaine, le ministère russe a déclaré que ses navires de guerre ont toujours adhéré aux eaux internationales.
Ce ne sont pas les avions russes ou les navires qui sont provocateurs. Ce sont les États britanniques et d'autres pays de l'OTAN qui tentent en réalité d'interdire le droit légal de la Russie d'utiliser l'espace aérien et le territoire maritime internationaux.
La Grande-Bretagne, en particulier, semble bloquer les revendications de «défense» de son territoire contre la menace russe inexistante. L'ironie est que la Russie a dû affronter ces dernières années un nombre croissant de navires et de navires de l'OTAN qui pénètrent dans les régions de la mer Baltique et de la mer Noire. Mais les médias occidentaux en disent peu à ce sujet, tout en faisant des gros titres sur les prétendues «provocations» russes.
Cette situation alarmiste que ce soit à l'égard de l'Asie-Pacifique ou de l'Europe est déplorable. L'atmosphère instable mène à la peur et fait courir le risque de fausses alarmes. Cela, à son tour, risque d'engendrer des malentendus et le danger très grave d'une intervention militaire dégénérant en conflit, voire pire.
Il incombe à tous de tenir compte de la préoccupation exprimée par l'ancien secrétaire américain à la Défense, William Perry, qui a servi dans l'administration du président Clinton. Perry a déclaré récemment que le monde est maintenant plus à risque d'une catastrophe nucléaire qu'à n'importe quel moment au cours de l'ancienne guerre froide.
Cette situation diabolique découle d'une mentalité de guerre froide maintenue par Washington et ses alliés de l'OTAN. Cette mentalité perçoit et décrit le monde en termes idéologiques de «nous et eux», «nations libres et nations libres», «alliés et ennemis». Cette vision du monde antagoniste est essentielle pour que Washington défende les ambitions d'un «monde unipolaire» sous son «leadership» ou, plus franchement, sa domination et son hégémonie.
Une telle vision du monde repose essentiellement sur une puissance et ses acolytes de l'OTAN qui essaient d'exercer un contrôle géopolitique sur les autres, plutôt que d'adopter la réalité et un arrangement plus viable du multilatéralisme. Pour l'ambition unipolaire, il est nécessaire de présenter le monde comme un scénario contradictoire. La Russie, la Chine, l'Iran, la Corée du Nord et d'autres pays «non-conformes» doivent être considérés comme des «rivaux», des «opposants», des «nations voyous».
Cela, à son tour, conduit à des relations internationales devenues chargées d'agendas adverses et de belligérance. L'impitoyable russophobie dans le discours officiel occidental basé sur des affirmations sans fondement de l'ingérence russe dans la politique occidentale est typique de l'hostilité inévitable.
En bref, les États-Unis et leurs subordonnés de l'OTAN persistent dans un état d'esprit de la guerre froide afin de réaliser leurs ambitions de contrôle unipolaire.
Mais comme l'a souligné le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov cette semaine, la réalité d'un ordre international multipolaire nie la notion d'un monde unipolaire. La montée du pouvoir économique de la Chine est peut-être le témoignage le plus clair.
Tant que Washington poursuivra cette ambition inacceptable de domination, alors le monde continuera d'être frustré par des tensions antagonistes.
Les relations internationales doivent plutôt être menées sur la base de l'égalité sous la protection universelle du droit et des droits souverains. Et la diplomatie doit être la monnaie des relations.
Il ne peut y avoir de place pour les menaces, les ultimatums et l'utilisation unilatérale de la puissance militaire. Le sommet États-Unis-OTAN à Vancouver cette semaine où un petit groupe de nations assume la prérogative d'émettre des ultimatums à la Corée du Nord pour désarmer unilatéralement, plutôt que ces nations embrassant la diplomatie pour résoudre cette crise est typique d'une mentalité anachronique de la guerre froide. C'est contre-productif, futile et totalement inacceptable.
Cette mentalité met le monde sur un seuil dangereux où les tensions et les alarmes risquent imprudemment une catastrophe.
L'état d'esprit anachronique de la Guerre froide doit être déclassé pour un nouveau paradigme politique de l'internationalisme démocratique.
Je sais que c'est tout bête mais un jour, alors que j'expliquai pourquoi il n'y avait qu'UN SEUL PAYS en Démocratie dans le monde (et que le contraire c'est la dictature), le monde s'affola ! Certaines gens peu éduquées pensaient que leur 'parti démocrate' représentait donc chez eux la démocratie !!! HAHAHA !
La Démocratie c'est le Peuple qui dirige. Le citoyen propose SES propres lois et vote SES propres lois. Ce pays c'est la Suisse. Le chef d'Etat (Alain Berset 2018 remplace Doris Lieutard 2017) est élu pour 1 an (1/1/18 au 31/12/18). Il ou elle n'a qu'un rôle symbolique et sont bien les SEULS chefs d'État au monde à pouvoir sortir de chez eux SANS garde du corps !! C'est aussi le pays où n'existe pas de manifestation ni de grève car, c'est le Peuple qui est l'État. (Le privé est seulement représenté par les entreprises étrangères implantées en Suisse et qui n'ont donc pas le droit de vote).
Violence en Suède : Le Premier ministre envisage de déployer l’armée
Audrey Duperron 22 janvier 2018
La Suède, auparavant l’un des pays les plus sûrs du monde, est maintenant aux prises avec une forte hausse de la violence et des agressions sexuelles dans certaines de ses banlieues. En 2017, outre 110 meurtres et 7226 viols, on y a recensé 320 fusillades et des dizaines d’attaques à la bombe. Le Premier ministre social-démocrate suédois, Stefan Lofven, a déclaré la semaine dernière qu’il était prêt à déployer l’armée pour lutter contre le crime organisé.
Une grande partie de ces faits de violence émane des « zones d’exclusion sociale », des banlieues à majorité peuplées par des immigrés. Le Times précise qu’étant donné la qualité des infrastructures et des services qui sont offerts dans ces banlieues, on ne peut pas vraiment les qualifier de ghettos. Pour autant, elles sont confrontées à une forte criminalité est à des taux de chômage élevés.
Dans la ville de Malmö, l’âge moyen des membres de gangs est de 22 ans. Mais on voit aussi des jeunes de 14 ans armés de Kalashnikov et de gilets pare-balles dans les rues.
Politiquement incorrect Pendant des années, la Suède était un pays ouvert à l’immigration, mais elle a durcit sa politique après la crise de la migration en 2015, lorsque 160 000 personnes ont demandé l’asile au pays. Désormais, 12 % de la population suédoise proviennent de pays non occidentaux.
La question de l’intégration de ces personnes a été peu évoquée dans le débat national, et pendant longtemps, la dégradation de la situation dans certaines banlieues a été minimisée dans le débat public. Ce silence était rendu possible par la relative tranquillité du reste du pays, et son essor économique.
Selon l’économiste suédois Tino Sanandaji, il est devenu politiquement incorrect d’établir un lien entre la délinquance et les immigrés. De ce fait, Paulina Neuding, une auteure juive renommée au plan international, a été accusée de xénophobie parce qu’elle avait établi un lien entre la hausse des faits de violences antisémites et des agressions sexuelles et la migration de masse.
Une crise d’agressions sexuelles D’après elle, le pays vit une « crise d’agressions sexuelles ». De fait, le nombre de viols est en hausse de 10 % par rapport à 2016, et 36 % des jeunes femmes suédoises disent maintenant qu’elles ne se sentent pas en sécurité la nuit. Le nombre de femmes qui ont rapporté avoir été victimes d’agressions sexuelles est passé de 1,4 % en 2012 à 4,1 % en 2016.
En 2014, une étude réalisée sur les cas de viol est Stockholm a conclu que les 2/3 des auteurs étaient des citoyens non suédois.
La Chine est discrètement devenue une superpuissance scientifique
Audrey Duperron 22 janvier 2018
« La Chine est devenue – ou elle est sur le point de devenir –une superpuissance scientifique et technique », écrit Robert J Samuelson dans le Washington Post. « Souvenez-vous qu’il y a 1/4 de siècle, l’économie de la Chine était minuscule et que son secteur de haute technologie existait à peine », ajoute-t-il.
Mais dans « Science & Engineering Indicators », un rapport publié par la National Science Foundation et le National Science Board, on découvre que le géant asiatique rattrape son retard à grands pas, et qu’il talonne désormais les Etats-Unis dans certains domaines.
Ce rapport énumère les faits suivants :
La Chine est devenue le second pays le plus dépensier en termes de recherche et développement, elle compte pour 21 % des dépenses totales mondiales qui se sont montées à près de 2000 milliards de dollars en 2015. Seuls, les États-Unis, font mieux, avec 26 %. Mais si le taux de croissance de la Chine se maintient, cette dernière les détrônera prochainement. Entre 2000 et 2015, les dépenses de R&D ont augmenté à un rythme moyen de 18 % par an, 4 fois plus rapidement que le rythme américain de 4 %.
On observe également une forte augmentation du nombre de travaux de recherche. L’Union Européenne et les États-Unis devancent toujours la Chine dans le secteur biomédical, mais la Chine domine en matière d’ingénierie. Les travaux américains ont tendance à être plus cités que les travaux de recherche chinois, ce qui pourrait être lié au fait qu’ils portent plus souvent sur des questions de recherche fondamentale. Mais la Chine commence là aussi à rattraper son retard.
L’empire du milieu a aussi également fortement augmenté sa main-d’œuvre technique. Entre 2000 et 2014, le nombre actuel de diplômés des sciences ou de l’ingénierie est passé de 359 000 à 1,65 million. Aux États-Unis, sur la même période, le nombre de diplômés dans ces disciplines est passé de 483 000 à 742 000.
Le rapport note également que les productions des usines chinoises se sont complexifiées. Par le passé, une grande partie de des usines chinoises de haute technologie assemblaient des composants sophistiqués fabriqués ailleurs. Mais de nos jours, leur production requiert bien plus de compétences, et elles fabriquent désormais des supers ordinateurs et des petits avions de ligne.
Les hôpitaux chinois à la pointe du génie génétique
Par ailleurs, des hôpitaux chinois testent actuellement un outil de manipulation du code génétique, appelé CRISPR-Cas9 pour soigner des patients atteints de cancer. Cette technique est connue depuis 2012, mais son utilisation n’a pas encore été permise sur l’homme aux États-Unis. En Chine, les comités d’éthique des hôpitaux ont la possibilité d’autoriser ce type d’essais. En conséquence, cette technique très novatrice y est testée depuis 2015 et les médecins ont déjà manipulé les gènes de 86 personnes.
Les dépôts de brevets, le talon d’Achille chinois Toutefois, la Chine est toujours en retard dans le domaine des dépôts de brevets. Au cours de la dernière décennie, les entreprises américaines et les inventeurs ont contribué pour la moitié du nombre des dépôts de brevet effectués aux États-Unis. La majeure partie de la seconde moitié émanait d’inventeurs européens et japonais.
The Mainstream Media ne veut pas parler de #ReleaseTheMemo, mais cela pourrait être le plus grand scandale de D.C. Depuis Watergate
Par Michael Snyder, le 21 janvier 2018
Les membres républicains du Congrès demandent la publication d'une note qui montrerait que les pouvoirs de surveillance du gouvernement ont été illégalement utilisés contre Donald Trump pendant la campagne présidentielle, et que l'administration Obama, le FBI et Hillary Clinton ont collégialement collégé dans un effort concerté pour essayer de détruire les chances de Trump de gagner la présidence. Si ces allégations s'avèrent vraies, ce sera le plus grand scandale de l'histoire politique américaine, mais jusqu'ici les médias traditionnels ne veulent pas en parler. Autre que Fox News, il est difficile de trouver une couverture de cette note sur l'un des principaux réseaux d'information. Mais comme vous le verrez ci-dessous, les membres républicains du Congrès font énormément de bruit à ce sujet.
Seuls certains membres du Congrès ont pu lire cette note jusqu'à présent. Pour y jeter un coup d'œil, ces membres du Congrès ont dû se rendre dans une pièce sécurisée au fond du Capitole, et ils ne sont pas autorisés à révéler les détails de ce qu'ils ont lu.
Mais certains membres républicains du Congrès qui l'ont vu se font entendre, et ce qu'ils ont révélé jusqu'à présent est extrêmement alarmant ...
"C'est troublant. C'est choquant ", a déclaré Mark Meadows (R-NC) à Fox News. "Une partie de moi souhaite que je ne le lise pas parce que je ne veux pas croire que ce genre de choses pourrait se produire dans ce pays que j'appelle chez moi et que j'aime tant."
"Les faits contenus dans cette note sont à couper le souffle et exigent une transparence totale. Il n'y a pas de priorité plus élevée que la publication de cette information pour préserver notre démocratie ", a déclaré le représentant Matt Gaetz (R-FL), un membre du Comité judiciaire, qui supervise le DOJ et le FBI.
Un autre membre du comité judiciaire, le représentant Steve King (R-IA), a qualifié ce qu'il a vu dans le mémo de "dégoûtant" et a déclaré que c'était "pire que Watergate".
En fait, le représentant King avait beaucoup plus à dire sur le mémo que cela. Voici la citation complète qu'il a posté sur Twitter ...
J'ai lu le mémo. La réalité écoeurante s'est installée. Je ne retiens plus l'espoir qu'il y a une explication innocente à l'information que le public a vue. J'ai longtemps dit que c'est pire que Watergate. C'était #neverTrump & #alwaysHillary. #releasethememo
Un membre du Congrès dit que c'est "pire que Watergate" et que les médias traditionnels ne veulent pas en parler ?
Il était une fois les médias traditionnels au moins essayés d'être juste, mais à ce stade, ils sont extrêmement hésitants à publier quelque chose qui ne correspond pas à la narration que les démocrates sont bons et les républicains sont mauvais.
Ce mémo pourrait être la cause de tout l'enfer qui se déchaînerait à Washington. Selon le représentant Matt Gaetz, "les gens pourraient perdre leur emploi" une fois que ce mémo sera sorti ...
Représentant de la Floride Matt Gaetz a dit qu'il croyait que les gens pourraient perdre leur emploi après la publication de la note.
"Je crois que la conséquence de sa libération sera des changements majeurs dans les personnes travaillant actuellement au FBI et au ministère de la Justice", a-t-il dit, faisant référence aux fonctionnaires du MJ Rod Rosenstein et Bruce Ohr.
"Vous pensez," est-ce que cela se passe en Amérique ou est-ce le KGB ? "C'est alarmant," a déclaré le représentant de la Pennsylvanie, Scott Perry.
Et il n'y a pas si longtemps, le représentant des États-Unis Jody Hice a ajouté sa voix à ceux qui appelaient à la publication de ce mémo ...
Plus tôt ce matin, j'ai examiné le mémo classifié de quatre pages de @HouseIntelComm concernant le FBI, le DOJ et la soi-disant #RussianCollusion. Pour le dire simplement, "WOW". J'ai rejoint l'appel à #ReleaseTheMemo. Les Américains méritent la vérité et la transparence.
Je sais que la plupart des gens ont une telle attention ces jours-ci, mais c'est un scandale que nous ne pouvons pas laisser tomber. Même si les membres du Congrès ne sont pas censés révéler le contenu de cette note, le Représentant Gaetz dit qu'elle révèle des "abus horribles" qui ont été commis sous l'administration Obama et qui "choqueront la conscience de ce pays" ...
Interrogé sur le contenu du mémo, le représentant Gaetz a répondu: "Il y a 4 pages d'un mémorandum préparé par le Comité du Renseignement qui va choquer la conscience de ce pays quand il s'agit des abus horribles qui ont eu lieu lors du dernier admin. et que je crois continuer à représenter une menace pour la présidence de Donald Trump. "
Plus tard dans l'interview, Rep. Gaetz a laissé entendre que la note décrivait comment le gouvernement américain avait commis une fraude en présentant aux tribunaux des «fausses informations» pour obtenir des mandats de la FISA.
Nous devons faire le plus de bruit possible jusqu'à ce que le peuple américain soit autorisé à voir ce mémo.
Et si c'est aussi mauvais que beaucoup de gens le croient, beaucoup de gens de l'administration Obama et de la campagne de Clinton doivent aller en prison.
Heureusement, il y a déjà des indications que nous allons bientôt voir ce mémo. Selon le représentant Dave Joyce, le processus de diffusion de cette note au public a déjà commencé ...
Bonne nouvelle! Nos efforts pour #ReleaseTheMemo ont été efficaces et le HPSIC prévoit d'entamer le processus de publication de la note du FBI / FISA / Russie. Cela peut prendre jusqu'à 19 jours de travail au Congrès, mais les Américains méritent de connaître la vérité.
Comme je l'ai souligné à maintes reprises au cours des dernières semaines, nous devons rétablir la primauté du droit dans notre pays si nous voulons que le peuple américain ait confiance dans le système.
Le président Trump se bat sans relâche pour faire ce qu'il faut, mais il y a des forces obscures à l'intérieur du gouvernement qui veulent désespérément empêcher que la vérité soit révélée. J'aime vraiment comment Tom Luongo a décrit cette lutte dans l'une de ses pièces récentes ...
Trump a continué à aiguillonner l'établissement; jouer le jeu long et diaboliser les médias qui est la pointe de la lance du gouvernement de l'ombre tout en renforçant le soutien des deux militaires (à travers son soutien à chaque tour) et sa base en les aidant à détruire les faux récits de globalisme a été rien d'incroyable.
En tant que politicien blasé, je peux vous dire que je n'ai jamais pensé une seconde qu'il avait la capacité de ce qu'il avait déjà fait. Mais, comme l'ont souligné les derniers mois, le véritable pouvoir dans le monde ne repose pas sur les quelques milliers de personnes qui manipulent les leviers du pouvoir, mais sur les milliards qui, pendant des années, sont restés là et les ont laissés faire.
Et ces jours de repos sont partis.
Si Hillary Clinton avait remporté les élections, nous n'aurions jamais eu connaissance de cette corruption qui se passe dans les coulisses.
La présidence Trump est notre occasion en or de reprendre notre gouvernement, et je prévois d'être une grande partie de la solution une fois que je serai au Congrès. Personne n'est au-dessus des lois, et je crois que cette note pourrait être un point de basculement.
Il est temps pour Hillary Clinton, John Podesta et le reste de cette foule d'aller en prison, et le peuple américain devrait accepter rien de moins.
Je dirai que si les merdias continuent à faire chier le chef de l'État, il se pourrait bien qu'il déclare les États-Unis en Démocratie ! Le Peuple serait donc convié à aller voter SES propres lois et non en application de celles de la dictature !
Alors que le Forum de Davos s’ouvre ce mardi, l’ONG Oxfam publie son traditionnel rapport sur les inégalités. Ecœurés, plusieurs internautes se demandent quand la richesse va enfin «ruisseler»
L’ONG Oxfam a dévoilé lundi son rapport sur les inégalités de richesse dans le monde, la veille de l’ouverture du Forum économique de Davos. La rencontre annuelle de l’élite mondiale est une formidable caisse de résonance. Chaque année, la publication du document est largement relayée par la presse internationale. Une méthode éprouvée donc. Mais, cette fois, «on vous prévient: ça va secouer», assurait Manon Aubry, porte-parole de l’organisation de solidarité internationale. Publié sur Twitter, son message est accompagné d’un Bob l’éponge visiblement assommé. Une manière d’illustrer «l’ambiance au bureau quand toute l’équipe vient de finaliser et envoyer aux rédactions le prochain rapport d’Oxfam», écrit-elle.
L'ambiance au bureau quand toute l'équipe vient de finaliser & envoyer aux rédactions le prochain rapport @oxfamfrance sur les #inégalités pour le sommet de #Davos #WEF18
On vous prévient: ça va secouer ! Une opération réussie, et pour cause: les chiffres donnent le vertige. Entre 2000 et 2017, la fortune totale des milliardaires est passée de 1000 milliards à 8000 milliards de dollars. Une fortune concentrée dans un cercle toujours plus restreint. Au total, 42 personnes détiennent autant que les 3,7 milliards de personnes les plus pauvres. Les inégalités de richesse progressent, un constat qui fait écho au thème du Forum de Davos: «Créer un futur partagé dans un monde fracturé».
Héritage, monopole et connivence Cette fracture suscite justement l’indignation des internautes. Nombreux sont ceux qui relaient les conclusions du rapport d’Oxfam sur les réseaux sociaux. Avec un sentiment dominant: l’écœurement. «Va-t-on continuer à nous faire croire qu’il existe une volonté de réduire la pauvreté dans le monde ?» s’agace @bonavion sur Twitter. Le journal La Croix a choisi l’ironie pour commenter ces nouvelles données: «Oui, mais après tout, ne serait-ce pas là le signe d’une économie florissante ? Finalement, la richesse, c’est la récompense du talent créatif et du travail !»
Le talent, le travail et la prise de risque ne sont pas les moteurs principaux de la création de richesses, regrette l’ONG. «Les grandes fortunes sont bien plus souvent le produit d’un héritage, d’un monopole ou de relations de connivence avec les gouvernements», peut-on lire dans le rapport, qui met également l’accent sur l’évasion fiscale, cheval de bataille d’Oxfam. Le montant de l’évasion fiscale des 1% des plus riches atteint 200 milliards de dollars, selon les calculs de l’économiste français Gabriel Zucman, qui a participé à l’étude. Cette dernière ne fait toutefois pas l’unanimité sur le Web. «Quand on connaît les méthodes de calcul d’Oxfam, à la fin on ne fait plus vraiment attention…», lâche @_shadykun, un «insoumis devenu libéral» selon sa biographie Twitter.
«Ça ne ruisselle toujours pas» Face à cette ribambelle de chiffres, de nombreux internautes pointent du doigt la fameuse «théorie du ruissellement», qui veut qu’enrichir les riches profite à tout le monde. «Ça ne ruisselle toujours pas», constate sur Twitter le journaliste Hubert Guillaud. En France, l’opposition s’empare également de cette idée. «Si le ruissellement s’opère, il semble subir une forme de gravité inversée!» observe le député insoumis Adrien Quatennens sur le même réseau social. Une manière d’attaquer la politique fiscale d’Emmanuel Macron qui, en octobre dernier, souhaitait «que l’on célèbre» ceux qui réussissent, car «si on commence à tirer des cailloux sur les premiers de cordée, c’est toute la cordée qui dégringole». Une déclaration qui avait fait grincer des dents. Donald Trump est également accusé par ses adversaires d’être le «président des riches».
Rapport @oxfamfrance : En 2017, les 1% les plus riches ont capté 82% de la richesse créée. À l’inverse, les 50% les plus pauvres n’en ont rien vu. Si le ruissellement s’opère, il semble subir une forme de gravité inversée ! https://www.francetvinfo.fr/economie/en-2017-le-monde-a-connu-un-boom-des-milliardaires-revele-l-ong-oxfam_2573933.html …
Deux dirigeants qui seront présents à Davos cette semaine. Leurs discours seront écoutés attentivement par les représentants d’Oxfam. «Je vais à Davos chaque année pour dire et redire aux gouvernements et aux chefs d’entreprise qu’ils doivent agir contre les inégalités extrêmes, raconte au Monde l’Ougandaise Winnie Byanyima, directrice exécutive de l’ONG. Désormais, tous les dirigeants s’avouent préoccupés par ce problème. Mais cela se limite trop souvent à de bonnes paroles. Nous voulons des actions.»
Folie et désinformation dans les énergies renouvelables-terre: l'Australie du Sud se vante qu'ils n'ont pas eu à "décharger"
January 22nd, 2018
Espérons que les lecteurs étrangers profitent du spectacle d'une première nation mondiale qui détruit son avantage concurrentiel avec les énergies renouvelables. J'espère que cela vous aide à éviter le même sort.
Louez le seigneur, les Etats sans charbon n'ont pas à charger-hangar-industrie (parce qu'ils n'en ont plus beaucoup): Le Trésorier de l'Australie-Méridionale se vante que l'Afrique du Sud n'a pas eu à se débarrasser de la charge de l'industrie vendredi, mais l'Etat charbonnier de Victoria l'a fait. Tirez l'autre:
"En termes d'approvisionnement, nous devrions être d'accord", a-t-il dit.
"Victoria je comprends est sur le point de charger l'industrie. Donc, ils ne font pas face à l'alimentation électrique.
"Ils sont dépendants du charbon et ils doivent mettre hors service l'industrie pour soutenir leurs ménages. En Australie du Sud, nous ne sommes pas obligés de le faire aujourd'hui. »- h / t A H
Le trésorier n'a pas mentionné que SA avait déjà perdu du poids au cours des deux dernières années en obligeant les fabricants de poids lourds à fermer leurs portes et à quitter l'État. Nommez un peu:
Autonomie de la SA: Mitsubishi, GMH, Recycleurs de matières plastiques (Recycleurs), Caroma (76 emplois) après 79 ans d'activité, Penrice, Biscuits Arnotts (120 emplois), Aldinga Dindes (79), ACI Glass (60 après 50 emplois), Arrium (600), BHP (90), SANTOS (~ 200), Alinta Energy (centrales Pt. Augusta et mines Leigh Creek) (438), Unibooks (100), United Dairies (> 100). Plus beaucoup plus ...
- La liste grâce à Yarpos et Graeme No.3
Il n'a pas non plus mentionné que lorsque les heures de pointe atteignaient, SA ne pouvait pas produire suffisamment d'électricité, même à 14 200 $ / MWh, et tirait environ 350 MW de Victoria (qui était principalement alimentée au charbon).
Les chercheurs de rentes d'ABC font des PR libres pour les énergies renouvelables du travail:
Le journaliste politique d'ABC, Nick Harmsen, a avalé ce fantasme unilatéral du parti travailliste et n'a pas pris la peine d'interviewer quiconque (sceptique ou industrie) qui sait pour quelle raison le trésorier parlait. Harmsen vote probablement Labor (ou Green), a été formé pour ne pas «chercher l'équilibre», de peur que le public rejette les innombrables vanity-signataires (qui font aussi grimper le budget ABC) lors des prochaines élections.
Je suis sûr que personne ne lui a ordonné de jeter ses normes journalistiques, mais s'il a jamais montré de talent pour poser de vraies questions, il aurait été annulé dans les salons de thé, ou, a été pré-cassé à l'université, où tout le monde est entrain de penser exactement la même manière.
Dans une forme magistrale, Harmsen a décrit l'avis de manque de réserve de niveau 2 (LOR2) comme signifiant «il y a un petit tampon de surplus restant». Nice spin-gagnant-façon de mettre un avis d'urgence qui est là pour laisser le marché connaître le tampon est effroyablement petit, et loin en dessous recommandé.
Au niveau du LOR2, les choses sont si mauvaises que l'AEMO injecte de l'argent dans le réseau électrique pour l'empêcher de s'écraser.
Si seulement il avait l'Internet ou un téléphone, il aurait pu utiliser les termes réels AEMO. Au moins, il ne ressemblerait pas à un hack de relations publiques au lieu d'un journaliste.
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 22 janvier 2018
La fonction principale de l'Administration de la Sécurité Nationale est de rassembler les saletés sur les membres de la Chambre et du Sénat, les états-majors, les principaux contributeurs et les juges fédéraux. La saleté est utilisée pour imposer le silence sur les crimes des agences de sécurité.
Le mécanisme de chantage a été mis en place la minute où les nouvelles ont rapporté que le Comité du renseignement de la Chambre avait rassemblé des preuves que le FBI, le DOJ et DNC ont créé Russiagate comme une conspiration pour renverser le président Trump. Les membres du Congrès n'ayant rien à cacher ont exigé que les preuves soient rendues publiques. Bien sûr, il fallait s'attendre à ce que la démission des faits soit dénoncée par les démocrates, mais les républicains, tels que le député Mike Conaway (R, Texas), lui-même membre du comité, se sont joints aux efforts pour protéger les démocrates et le FBI corrompu et le DOJ de l'exposition. Se cachant derrière des préoccupations de sécurité nationale, Conaway s'oppose à la révélation des informations classifiées. "Ce serait vraiment dangereux", a-t-il dit.
Comme le savent les gens, 95% des informations classifiées sont à des fins qui n'ont rien à voir avec la sécurité nationale. La note de service du House Intelligence Committee ne contient aucune information concernant une quelconque sécurité sauf celle de Comey, Brennan, Clapper, Hillary, Obama, Mueller, Rosenstein, Peter Strzok, Lisa Page, la DNC et les médias de la presse. L'hypothèse logique est que tous les membres du Congrès opposés à informer le public américain de la conspiration de Russiagate pour renverser le président des États-Unis sont soumis au chantage par les agences de sécurité qui ont planifié, organisé et mis en place la conspiration contre le président des États-Unis. et la démocratie américaine.
L'insouciance américaine est un grand facilitateur de la capacité des agences de sécurité et de leurs prostituées à contrôler les explications.
Par Peter Hasson L'appelant quotidien 22 janvier 2018
Plus d'une centaine d'organisations non gouvernementales (ONG) et d'agences gouvernementales à travers le monde aident la police YouTube à diffuser des contenus extrémistes, allant des soi-disant discours haineux aux vidéos de recrutement de terroristes.
Tous ont des accords de confidentialité interdisant à Google, la société mère de YouTube, de révéler leur participation au public, a déclaré jeudi un représentant de Google au Daily Caller.
Une poignée de groupes, dont l'Anti-Defamation League et No Hate Speech, une organisation européenne axée sur la lutte contre l'intolérance, ont choisi de rendre publique leur participation au programme, mais la grande majorité reste cachée derrière les accords de confidentialité. La plupart des groupes du programme ne veulent pas être associés publiquement, selon le porte-parole de Google, qui ne parle que d'arrière-plan.
Le programme "Trusted Flaggers" de YouTube remonte à 2012, mais le programme a explosé ces dernières années dans le cadre d'un effort de Google pour augmenter la réglementation du contenu sur ses plates-formes, qui a suivi la pression des annonceurs. Cinquante des 113 membres du programme se sont joints à YouTube en 2017, alors que YouTube intensifiait son contrôle de contenu, a déclaré Juniper Downs, directeur des politiques publiques de YouTube, à un comité sénatorial mercredi.
Les groupes tiers travaillent en étroite collaboration avec les employés de YouTube pour réprimer le contenu extrémiste de deux façons, a déclaré Downs et un porte-parole de Google a confirmé. Premièrement, ils sont équipés d'outils numériques leur permettant de signaler en masse le contenu à l'examen du personnel de YouTube. Deuxièmement, les groupes de partenaires agissent comme des guides pour les moniteurs de contenu de YouTube et les ingénieurs qui conçoivent les algorithmes de police YouTube, mais peuvent manquer de l'expertise nécessaire pour aborder un sujet donné.
Ce ne sont pas seulement les vidéos terroristes que Google censure. Jordan B. Peterson, un professeur connu pour s'opposer à la rectitude politique, a fait bloquer l'une de ses vidéos dans 28 pays plus tôt ce mois-ci. Une note envoyée au compte de Peterson indiquait que YouTube avait "reçu une plainte légale" à propos de la vidéo et avait décidé de la bloquer.
5 changements immédiats à faire pour survivre au futur économique long terme
Charles Dereeper jeudi, 18 janvier 2018 09:29
Je voudrais partager avec vous mon optimisme sur le futur à horizon 40 ans.
Certes, certes, au cours des 40 ans, nous allons devoir passer le cap des 2030 / 2035, zone de tensions sionistes à mort, donc pessimisme à horizon 10/15 ans. Ces gens, maîtres du monde, adhèrent à une drôle de rhétorique qui pourrait s'exprimer par un retour de l'anté Christ ou un grand "RESET" global.
C'est tellement absurde et irréel et en même temps, si les maîtres du monde y croit, tellement inquiétant... ce n'est pas pour rien que tous les milliardaires s'achètent des maisons en Nouvelle Zélande, seul pays qui peut espérer passer au travers d'une guerre nucléaire ou bactériologique (2000% de hausse depuis 1980 au niveau des prix du m², très largement devant tous les autres pays du G20...).
Regardez le graphique ci dessous. La Nouvelle Zélande est jolie mais enfin quand même... de là à surpayer massivement les m², la beauté finit par s'essouffler contrairement à la peur de mourir...
- voir sur site -
guerre atomique Passons. Revenons aux fondamentaux.
Il y a 200 ans, les français crapahutaient contre les anglais dans les bois américains, s'éclatant la tête, leur sport favori historique, tout en butant un maximum d'indiens dits sauvages au passage, concrétisant un vrai génocide.
200 ans plus tard, l'américain le plus standard dispose d'un confort de vie matériel qui dépasse très largement les hommes les plus riches d'il y a 200 ans ou même seulement 100 ans.
Comment cela s'est il passé ?
Grosso modo, l'agriculture qui occupait 80% des jobs est tombée selon les pays à entre 2 et 5% de la population active.
L'explication du miracle s'appelle l'innovation et la productivité.
Toute la population active s'est libérée du travail dans les champs (tracto, engrais, semences, industrialisation et automatisation, volume, standardisation...) et s'est consacrée à créer de zéro un nouveau monde industriel puis plus tard, des services.
Pourquoi je suis ultra optimiste à horizon 40 ans au delà du fanatisme religieux sioniste ?
Tout simplement parce que nous sommes à la veille d'une nouvelle révolution. On prend les mêmes et on recommence le même parcours ! Si si !
La robotisation, l'impression 3D et l'intelligence artificielle vont permettre de s'affranchir du travail dans les usines et en majeure partie des activités de service. Tout va être automatisé !
Conséquence, la population active va devoir une nouvelle fois se redéployer et créer un nouveau monde, qui enrichira notre confort de vie une énième fois.
Evidemment à ce stade au début 2018, on n'a aucune idée de ce nouveau monde, comment il va fonctionner, sa forme. De même que les agriculteurs de 1825 ne soupçonnaient même pas notre mode de vie d'aujourd'hui.
Cela fait un an maintenant que j'ai chargé sur Objectifeco Guillaume de Rouville de traquer ces tendances. C'est ce qui va modeler le monde de demain pendant des décennies. Il y a intérêt à ne pas se faire larguer.
Bien sûr, à chaque fois, c'est le même enjeu. La majorité des humains, à un stade d'esclavagisme moderne masqué, doit s'adapter, ce qu'il leur est impossible de faire.
Donc les tensions sociales vont être monstrueuses. Des larmes et du sang sont au menu.
Les gains de productivité vont être gigantesques. On en voit déjà les débuts.
Qui aujourd'hui embauche un graphiste pour faire une image alors que CANVA.COM permet de le faire en 2 clics de souris. Pensez aux multiples calques Photoshop qu'il fallait maîtriser ne serait ce qu'il y a 5 ans ?
J'ai lu hier une startup australienne opérant en UK qui a généré en quelques trimestres plus de 1 milliards de deals immobiliers en divisant par 3 les fees...
La liste des exemples est déjà infinie. Chaque jour, les médias anglo saxons produisent des signes sur le début de cette révolution qui va tout péter les grands équilibres actuel agriculture, industrie et service.
Que faire à titre perso ? Comment gérer la longue transition ?
1 - la part de notre emploi du temps consacrée à la formation continue doit être méchamment augmentée
2 - impérativement, lire l'anglais et se documenter dans la langue des innovateurs
3 - tout ce qui peut être automatisé, robotisé, transformé en application est signe d'abondance potentielle et d'absence de valeur, donc à fuir. Si vous êtes dans ce cas, surveillez la robotisation de votre fonction ou de votre secteur et évaluez combien de temps vous avez devant vous pour vous reconvertir.
4 - créer et produire au lieu d'exécuter des tâches est la clef du futur. La rémunération de l'intermédiation touche à sa fin car totalement robotisable. La rémunération des exécutants en masse touche également à sa fin. Il ne reste vraiment que la création (et encore en 2035, google annonce l'émergence d'une nouvelle forme d'intelligence compétitive avec l'homme... ce qui annoncerait tout simplement la fin du secteur marchand potentiellement et peut être l'émergence d'une société centrée sur l'être humain et non sur son confort matériel ?... on peut toujours le rêver hahahahaha ! )
5 - la seule question d'un agent économique devient : quelle valeur je veux apporter aux autres qu'ils soient prêts à me payer pour l'obtenir (et c'est valable pour les Etats qui vendent à prix exorbitants une présence géographique des humains sur leur sol moyennant une pauvre identité à peine crédible)
Devenez un entrepreneur, un créateur, un opérateur économique qui survit à la grande transition qui vient de débuter ou souffrez la descente aux enfers inévitable, comme l'a connu les indiens d'Amérique ou les agriculteurs dans le monde entier !
Julian Assange, «boulet» pour l’Equateur, «boulet» pour Londres
RépondreSupprimerOlivier Perrin
lundi 22 janvier 2018 à 09:15.
Le fondateur de WikiLeaks, réfugié dans l’ambassade du petit pays sud-américain, commence à poser un sérieux problème aux uns et aux autres. A force de durer, l’affaire est devenue embarrassante pour Quito et la situation intenable pour le Royaume-Uni
Le président socialiste équatorien, Lenin Moreno, a déclaré dimanche que l’asile accordé au fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, à l’ambassade d’Equateur à Londres depuis 2012 était un «problème hérité» qui constitue «plus qu’un tracas»: «Nous espérons parvenir à court terme à un résultat positif sur ce point», a déclaré le chef de l’Etat lors d’une interview à trois chaînes de télévision locales, dont Ecuador TV. Il a aussi répété que l’Equateur souhaitait obtenir une médiation «de quelqu’un d’important» pour résoudre la question, mais n’a pas précisé qui pourrait à son avis s’y impliquer.
Lire aussi: Les articles du Temps.ch sur Julian Assange
Craignant une extradition vers la Suède pour un viol présumé qu’il niait, Julian Assange, l’Australien de 46 ans, a trouvé asile à l’ambassade alors que l'Equateur était présidé par Rafael Correa, figure de la gauche sud-américaine qui a nargué Washington en «offrant ses services» au fondateur de WikiLeaks. Le parquet suédois a depuis classé l’affaire d’accusation de viol. Mais Assange craint d’être arrêté s’il sort de l’ambassade, puis d’être extradé et jugé aux Etats-Unis pour la publication en 2010 de nombreux secrets militaires et documents diplomatiques américains.
Tentant un petit coup de force, l’Equateur a donc annoncé le 11 janvier qu’il lui avait accordé en décembre la nationalité équatorienne et demandé à Londres de lui reconnaître un statut diplomatique. Ce statut lui aurait permis de quitter l’ambassade sans être arrêté par la police britannique. Mais le Royaume-Uni a refusé d'entrer en matière, tout en précisant qu’une telle arrestation aurait forcément lieu.
Le président Moreno a ainsi regretté dimanche que Londres n’ait pas accepté sa «solution»: «Cela aurait été un bon résultat. Malheureusement, les choses ne se passent pas comme le Ministère des affaires étrangères l’a planifié, et actuellement le problème demeure.» Maria Fernanda Espinosa, la diplomate en cheffe équatorienne, a cependant confirmé que son pays maintiendrait l’asile accordé à Julian Assange par Rafael Correa. Lequel est actuellement devenu – il faut bien le comprendre – un ennemi politique de son ancien allié Lenin Moreno, aujourd'hui président.
RépondreSupprimerD’homme instrumentalisé par un des contre-pouvoirs latinos hostiles aux Etats-Unis, le fondateur de WikiLeaks serait-il ainsi devenu un «boulet» pour Quito ? La question se pose: pourquoi le «cas Assange» est-il «digne de tant de complications»? «C’est le manque d’information qui alimente les rumeurs. Nous avons besoin que cette affaire, comme tout ce qui concerne le pays et son nom, soit traitée avec transparence», prônait récemment une tribune publiée dans El Universo et citée par Courrier international. Un quotidien équatorien qui parle aussi – non sans quelque sarcasme – de «petit hacker informatique devenu héros libertaire» ou de «méchant au service de Moscou, selon les points de vue».
Ses quelques apparitions – dans une attitude quelque peu arrogante – sur le balcon de l’ambassade à Londres (voir ci-dessus) ont le don d’énerver les autorités équatoriennes, alors que joint par Le Figaro, Juan Branco, un des conseillers juridiques de Julian Assange, juge que la situation devient tout aussi «intenable pour le Royaume-Uni»: «Scotland Yard a annoncé dépenser 65000 euros par jour pour surveiller le pâté de maisons» où se trouve l’ambassade équatorienne. «Cinquante hommes et deux camionnettes en gardent les sorties 24h/24. Un chiffre que dénoncent de plus en plus de citoyens.»
Entre une saisie de la Cour de justice de La Haye et divers tours de passe-passe juridiques qui pourraient permettre à Assange de «s’en sortir», l’Equateur, dit encore le Foreign Office, «sait que la manière de résoudre ce problème» (pour lui) est qu'il «quitte l’ambassade pour se soumettre à la justice». Selon son conseiller, il serait alors «certainement libéré par les cours anglaises, mais la procédure d’extradition vers les Etats-Unis prendrait immédiatement le relais afin de le maintenir en détention.»
De plus, l’Equateur est un tout petit pays, sans grands alliés qui puissent l’aider. Pour Quito, l'affaire constitue un casse-tête juridique et diplomatique. Rafael Correa, l’ex-président, est d’ailleurs sorti de son silence en donnant un entretien à l’AFP où il a dit avoir «très peur pour la sécurité de Julian Assange»: «Je pense que ce n’est qu’une question de temps pour que ce gouvernement, qui a trahi tous les idéaux […], lui retire son soutien», a-t-il déclaré la semaine dernière. La situation s’avère décidément de plus en plus délicate pour le pays andin, où l’Australien se trouve désormais au centre d’un bras de fer politique.
https://www.letemps.ch/opinions/2018/01/22/julian-assange-boulet-lequateur-boulet-londres
Comme pour moi qui ai osé dire la vérité sur l'escroquerie du 'Global Warming' et ai laissé des commentaires scientifiques sous les vidéos de Youtube, MON COMPTE A ÉTÉ SUPPRIMÉ !
SupprimerLa totalité des vérités a été effacée et ne sont plus accessibles à quiconque !!!
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J'avais posté:
Ne pas oublier que: Depuis des millions d'années, ce sont des milliards de km³ d'eaux (venues des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les océans (et continuent à le faire !) SANS QUE 'LA MER MONTE' !!! Çà alors !!
L'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océanique vers le magma où elle est chauffée/brûlée et ressort toute propre (et GRATUITEMENT !) aux nappes phréatique, sources terrestres et sous-marines (chaude, froide et/ou gazeuse).
Les stations dites 'd'épuration' ne sont que des gouffres inutiles qui ne rendent pas l'eau comme à la source !
Nous souhaitons vous informer qu'en raison de violations répétées ou graves de notre règlement de la communauté (https://www.youtube.com/t/community_guidelines), votre compte YouTube Maurice Hue a été suspendu.
SupprimerAprès examen, nous avons déterminé que les activités de votre compte ne respectaient pas nos Règles de la communauté, qui interdisent les spams, les escroqueries ou les contenus commercialement trompeurs (https://support.google.com/youtube/answer/2801973?hl=fr).
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(...) qui interdisent les spams, les escroqueries ou les contenus commercialement trompeurs (...)
SupprimerJe n'ai posté AUCUN 'spam', ni escroquerie !! ni des 'contenus commercialement trompeurs' ! (je ne vend RIEN !)
Je regrette simplement qu'ils n'aient donné AUCUNE explication sur les faits reprochés.
Assange garde l'avertissement de A.I. Censure, et il est temps que nous commencions à écouter
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 22/01/2018 - 05:00
Auteur de Caitlin Johnstone via Medium.com,
Tout au long de la quasi-totalité de l'histoire de l'humanité, la compréhension d'une population de ce qui se passe dans le monde a été contrôlée par ceux qui sont au pouvoir. Les hommes contrôlaient ce qu'on leur disait des populations rivales, de l'histoire de leur tribu et de ses dirigeants, etc. Quand le mot écrit était inventé, les hommes dictaient quels livres pouvaient être écrits et distribués, quelles idées étaient autorisées , quels récits le public aurait accès à.
Cela a continué tout droit dans les temps modernes. Là où le pouvoir n'est pas ouvertement totalitaire, les élites aisées ont acheté tous les médias, d'abord imprimés, puis la radio, puis la télévision, et l'ont utilisé pour faire avancer des récits favorables à leurs intérêts. Ce n'est que lorsque l'humanité a acquis un accès généralisé à Internet que notre espèce a pu librement et facilement partager des idées et des informations à grande échelle sans régulation par l'emprise du pouvoir. Cette nouvelle capacité a sans aucun doute eu un impact direct sur l'élection du bureau le plus puissant du gouvernement le plus puissant du monde en 2016, car un centre d'édition de fuites combiné à des médias alternatifs et sociaux permettait aux Américains ordinaires de se raconter leurs propres histoires. ce qu'ils pensaient se passait dans leur pays.
Ce pouvoir narratif des masses, récemment démocratisé, donna une immense frayeur aux puissants, et ils ont travaillé à restaurer l'ancien ordre de pouvoir qui contrôle l'information depuis. Et WikiLeaks, le rédacteur en chef de WikiLeaks, l'agence d'édition des fuites susmentionnée, a essayé à plusieurs reprises de nous avertir de ce futur développement.
Dans une déclaration récemment lue lors du webinaire "Organiser la Résistance à la Censure de l'Internet", parrainé par le World Socialist Web Site, Assange a mis en garde sur la façon dont les "super-états numériques" comme Facebook et Google travaillent à "rétablir le contrôle du discours", donnant autorité sur la façon dont les idées et l'information sont partagées avec ceux qui sont au pouvoir.
Assange a poursuivi en disant que les tentatives de manipulation des structures du pouvoir mondial pour reprendre le contrôle du discours à l'ère de l'information «opèrent à une échelle, vitesse, et de plus en plus subtilement, qui semble éclipser les contre-mesures humaines».
Ce que cela signifie, c'est qu'en utilisant des formes d'intelligence artificielle de plus en plus avancées, les structures de pouvoir deviennent de plus en plus capables de contrôler les idées et les informations que les gens peuvent accéder et partager entre eux. Structures et élever des récits qui soutiennent ces intérêts, tout en maintenant l'illusion de la liberté et le débat animé.
RépondreSupprimerCe n'est pas la première fois qu'Assange met en garde contre ces développements. Lors d'une apparition par lien vidéo au Meltdown Festival du musicien et militant MIA en juin dernier, le rédacteur en chef de WikiLeaks a exposé plus en détail ses réflexions sur le potentiel de l'intelligence artificielle pour contrôler l'information et le discours en ligne dans un manière que l'intelligence humaine ne peut espérer suivre.
Soulignant comment l'IA peut déjouer les plus grands joueurs d'échecs du monde, il décrit comment des programmes capables de fonctionner avec une intelligence plus tactique que l'intellect humain peuvent manipuler le champ de l'information disponible si efficacement et subtilement que les gens ne le savent même pas. ils sont manipulés. Les gens vivront dans un monde qu'ils pensent comprendre et qu'ils connaissent, mais ils ne verront que des informations approuvées par l'établissement.
"Lorsque vous avez des programmes d'IA collectant toutes les requêtes de recherche et les vidéos YouTube que quelqu'un télécharge, il commence à mettre en place des campagnes d'influence perceptuelle, vingt à trente coups devant", a déclaré Assange.
"Cela commence à devenir totalement sous le niveau de la perception humaine."
Pour être clair, cela se produit déjà. En raison d'un récent changement dans les "méthodes d'évaluation" de Google, le trafic vers les sites Web gauches et anti-establishment a chuté, avec des sites comme WikiLeaks, Alternet, Counterpunch, Global Research, Consortium News, Truthout et WSWS perdant jusqu'à 70% les points de vue qu'ils recevaient avant les changements. Les puissants oligarques milliardaires Pierre Omidyar et George Soros financent ouvertement le développement d'un «système automatisé de vérification des faits» (AI) pour cacher les «fausses nouvelles» au public.
Chaque fois qu'ils sont accusés de censurer les récits anti-establishment, ces «super-états numériques» refusent systématiquement de participer eux-mêmes à la censure et blâment plutôt l'algorithme pour la disparition de l'information de la vue du public. Mais qu'est-ce que cela signifie exactement ?
Cela signifie "Ce n'était pas moi qui vous censurais ! C'était l'IA ! »Quelle est la menace exacte qu'Assange pointe ici ?
Pour aggraver les choses, il n'y a aucun moyen de savoir exactement dans quelle mesure cela se passe, car nous savons que nous pouvons absolument compter sur les super-états numériques en question pour mentir à ce sujet. Dans la période précédant l'élection de 2016, Jack Dorsey, le PDG de Twitter, a été sommairement bloqué si Twitter faisait obstruction aux #DNCLeaks, un hashtag que les gens utilisaient pour attirer l'attention sur les courriels de DNC qui venaient d'être publiés par WikiLeaks. Dorsey l'a carrément nié.
RépondreSupprimerPlus d'un an plus tard, nous avons appris d'un témoignage préparé devant le Sous-comité sénatorial sur le crime et le terrorisme par l'avocat général par intérim de Twitter, Sean J. Edgett, que c'était complètement faux et que Twitter avait fait exactement cela pour protéger les structures politiques américaines. en mettant le public à l'abri des informations prétendument recueillies par des pirates russes.
«En ce qui concerne #DNCLeak, environ 23 000 utilisateurs ont publié environ 140 000 Tweets uniques avec ce hashtag au cours de la période pertinente», a déclaré Edgett. "Parmi ces tweets, environ 2% provenaient de comptes liés à la Russie. Comme indiqué ci-dessus, nos systèmes automatisés à l'époque ont détecté, étiqueté et caché un peu moins de la moitié (48%) de tous les Tweets d'origine avec #DNCLeak. "
Donc, cela se produit déjà. Il n'y a aucun moyen de savoir exactement jusqu'à quel point, à ce stade, ces puissantes entreprises se cachent derrière tant de malhonnêteté et d'opacité, mais cela se passe sans aucun doute.
Imaginez que vous retourniez dans un monde comme le Moyen Age où vous ne saviez que ce que votre roi voulait que vous sachiez, sauf que vous pouviez encore regarder des vidéos de chatons inoffensifs sur Youtube.
Cela semble être là où nous pourrions nous diriger, et si cela se produisait, la possibilité que tout mouvement populiste apparaisse pour que le pouvoir rende des comptes puisse être définitivement exclue du domaine des possibilités pour toujours.
Prétendre que ces puissantes entreprises des nouveaux médias ne sont que des entreprises privées qui exercent leur liberté de déterminer ce qui se passe sur leur propriété, c'est enterrer la tête dans l'eau et ignorer à quel point ces super-états numériques sont inextricablement liés aux structures de pouvoir existantes.
Dans un système de gouvernement corporatiste, dont l'Amérique est incontestable, la censure des entreprises est la censure du gouvernement, d'une tension encore plus pernicieuse que si Jeff Sessions visitait le pays en train de brûler des livres. Plus l'intelligence artificielle est avancée, plus ces structures de pouvoir deviendront habiles à nous manipuler. Il est temps de commencer à y prêter une attention particulière.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-21/assange-keeps-warning-ai-censorship-and-its-time-we-started-listening
C'est exactement ce qui m'est arrivé aujourd'hui où mon compte Google/Youtube a été fermé SANS EXPLICATION !! justifiant que Google se réserve le droit de fermer un compte sans devoir expliquer pourquoi !!!
SupprimerAinsi, c'est la vérité que j'avais exposé qui a été censurée.
Voici un des 2 textes publié (le premier étant ci-dessus):
- Notre planète est froide. Seule la partie ensoleillée reçoit suffisamment de chaleur et, l'été dans l'hémisphère le plus près. Mais la chaleur ne se conserve pas. Même dans une maison très bien isolée, si l'on arrête le chauffage intérieur la température tombe jusqu'à devenir comparable à celle de l'extérieur.
La chaleur monte. Monte au plafond dans une pièce et dans le ciel à l'extérieur. Mais, cette chaleur perd des degrès en s'élevant. Le chaud devient froid. Froid comme l'immensité inter-galactique qui nous entoure.
Seule, la chaleur volcanique sous-marine et sous-océanique entretient 24/24 h une température emportée par les courants. Cette chaleur remonte donc aux côtes/plages et s'élève dans l'atmosphère. C'est pour cette raison qu'il fait 'toujours' meilleur en bords de mers. Les vents contribuent également à réchauffer parfois des terres lointaines.
Qu'adviendrait-il de notre monde si le soleil venait à s'éteindre ?! (question bête souvent posée).
Aujourd'hui, notre planète continuerait à vivre. D'une part, l'énergie abondante (nucléaire ou hydraulique) permettrait d'éclairer de vastes serres ou bâtiments construits en dur avec des ampoules au krypton. Les millions (milliards ?) de sources chaudes sous-marines et sous-océaniques continueraient de chauffer les courants marins et venteux 24/24h. Le gaz carbonique continueraient d'être absorbé par les plantes qui nous fournissent notre oxygène ou, il continuerait d'être absorbé/transformé par le phytoplancton présent sur tous les océans, les rivières, les flaques d'eaux, la pluie et le brouillard, en nano-particules de carbone. Ces nano deviennent très vite des micro qui constituent le charbon. Charbon qui se transforme en gaz carbonique lors de sa combustion.
Tous se transforme, tout se recycle continuellement et éternellement (et gratuitement sans l'aide de quiconque !).
https://huemaurice5.blogspot.fr/2017/12/est-ce-que-40-000-volcans-sont.html
La mentalité de la guerre froide craint l'ordre mondial démocratique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 22/01/2018 - 02:00
Via la Fondation pour la culture stratégique,
La semaine dernière a vu une vague d'alarmes de sécurité internationale qui souligne le danger que le monde trébuche dans une guerre catastrophique. Ces alarmes, fausses ou exagérées, découlent d'une mentalité de guerre froide.
Une telle mentalité n'est pas seulement dangereuse, elle est aussi inacceptable dans le monde d'aujourd'hui.
D'abord, nous avons vu le territoire américain d'Hawaii être mis en alerte à grande échelle sur un supposé missile balistique entrant. L'alarme s'est révélée être fausse. Il n'y avait pas de missile, mais toute la population de l'île du Pacifique a été soumise à 38 minutes de torture.
Un jour après cet incident, le système de raid aérien du Japon a également mis une fausse alerte similaire.
Dans les deux cas, il a été supposé que les missiles inexistants avaient été tirés depuis la Corée du Nord.
Pendant ce temps, en Europe, des chasseurs à réaction de la Belgique, des Pays-Bas et de la Grande-Bretagne - tous membres de l'alliance de l'OTAN dirigée par les États-Unis - ont été dépêchés pour intercepter deux avions de combat russes. Le ministère russe de la Défense a rejeté les allégations selon lesquelles ses avions agissaient de manière "provocante", affirmant que la paire de bombardiers russes Tu-160 avait toujours volé dans l'espace aérien international lors d'un exercice de routine.
Ce dernier type d'incident semble être de plus en plus fréquent. Au cours des deux derniers mois, les frégates de la marine britannique ont tenu à "escorter" les navires de guerre russes naviguant "près des eaux territoriales britanniques". Encore une fois, comme pour l'incident d'interception aérienne cette semaine, le ministère russe a déclaré que ses navires de guerre ont toujours adhéré aux eaux internationales.
Ce ne sont pas les avions russes ou les navires qui sont provocateurs. Ce sont les États britanniques et d'autres pays de l'OTAN qui tentent en réalité d'interdire le droit légal de la Russie d'utiliser l'espace aérien et le territoire maritime internationaux.
La Grande-Bretagne, en particulier, semble bloquer les revendications de «défense» de son territoire contre la menace russe inexistante. L'ironie est que la Russie a dû affronter ces dernières années un nombre croissant de navires et de navires de l'OTAN qui pénètrent dans les régions de la mer Baltique et de la mer Noire. Mais les médias occidentaux en disent peu à ce sujet, tout en faisant des gros titres sur les prétendues «provocations» russes.
Cette situation alarmiste que ce soit à l'égard de l'Asie-Pacifique ou de l'Europe est déplorable. L'atmosphère instable mène à la peur et fait courir le risque de fausses alarmes. Cela, à son tour, risque d'engendrer des malentendus et le danger très grave d'une intervention militaire dégénérant en conflit, voire pire.
RépondreSupprimerIl incombe à tous de tenir compte de la préoccupation exprimée par l'ancien secrétaire américain à la Défense, William Perry, qui a servi dans l'administration du président Clinton. Perry a déclaré récemment que le monde est maintenant plus à risque d'une catastrophe nucléaire qu'à n'importe quel moment au cours de l'ancienne guerre froide.
Cette situation diabolique découle d'une mentalité de guerre froide maintenue par Washington et ses alliés de l'OTAN. Cette mentalité perçoit et décrit le monde en termes idéologiques de «nous et eux», «nations libres et nations libres», «alliés et ennemis». Cette vision du monde antagoniste est essentielle pour que Washington défende les ambitions d'un «monde unipolaire» sous son «leadership» ou, plus franchement, sa domination et son hégémonie.
Une telle vision du monde repose essentiellement sur une puissance et ses acolytes de l'OTAN qui essaient d'exercer un contrôle géopolitique sur les autres, plutôt que d'adopter la réalité et un arrangement plus viable du multilatéralisme. Pour l'ambition unipolaire, il est nécessaire de présenter le monde comme un scénario contradictoire. La Russie, la Chine, l'Iran, la Corée du Nord et d'autres pays «non-conformes» doivent être considérés comme des «rivaux», des «opposants», des «nations voyous».
Cela, à son tour, conduit à des relations internationales devenues chargées d'agendas adverses et de belligérance. L'impitoyable russophobie dans le discours officiel occidental basé sur des affirmations sans fondement de l'ingérence russe dans la politique occidentale est typique de l'hostilité inévitable.
En bref, les États-Unis et leurs subordonnés de l'OTAN persistent dans un état d'esprit de la guerre froide afin de réaliser leurs ambitions de contrôle unipolaire.
Mais comme l'a souligné le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov cette semaine, la réalité d'un ordre international multipolaire nie la notion d'un monde unipolaire. La montée du pouvoir économique de la Chine est peut-être le témoignage le plus clair.
Tant que Washington poursuivra cette ambition inacceptable de domination, alors le monde continuera d'être frustré par des tensions antagonistes.
Les relations internationales doivent plutôt être menées sur la base de l'égalité sous la protection universelle du droit et des droits souverains. Et la diplomatie doit être la monnaie des relations.
Il ne peut y avoir de place pour les menaces, les ultimatums et l'utilisation unilatérale de la puissance militaire. Le sommet États-Unis-OTAN à Vancouver cette semaine où un petit groupe de nations assume la prérogative d'émettre des ultimatums à la Corée du Nord pour désarmer unilatéralement, plutôt que ces nations embrassant la diplomatie pour résoudre cette crise est typique d'une mentalité anachronique de la guerre froide. C'est contre-productif, futile et totalement inacceptable.
RépondreSupprimerCette mentalité met le monde sur un seuil dangereux où les tensions et les alarmes risquent imprudemment une catastrophe.
L'état d'esprit anachronique de la Guerre froide doit être déclassé pour un nouveau paradigme politique de l'internationalisme démocratique.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-21/cold-war-mentality-belies-fear-democratic-world-order
Je sais que c'est tout bête mais un jour, alors que j'expliquai pourquoi il n'y avait qu'UN SEUL PAYS en Démocratie dans le monde (et que le contraire c'est la dictature), le monde s'affola ! Certaines gens peu éduquées pensaient que leur 'parti démocrate' représentait donc chez eux la démocratie !!! HAHAHA !
SupprimerLa Démocratie c'est le Peuple qui dirige. Le citoyen propose SES propres lois et vote SES propres lois. Ce pays c'est la Suisse. Le chef d'Etat (Alain Berset 2018 remplace Doris Lieutard 2017) est élu pour 1 an (1/1/18 au 31/12/18). Il ou elle n'a qu'un rôle symbolique et sont bien les SEULS chefs d'État au monde à pouvoir sortir de chez eux SANS garde du corps !!
C'est aussi le pays où n'existe pas de manifestation ni de grève car, c'est le Peuple qui est l'État. (Le privé est seulement représenté par les entreprises étrangères implantées en Suisse et qui n'ont donc pas le droit de vote).
Violence en Suède : Le Premier ministre envisage de déployer l’armée
RépondreSupprimerAudrey Duperron
22 janvier 2018
La Suède, auparavant l’un des pays les plus sûrs du monde, est maintenant aux prises avec une forte hausse de la violence et des agressions sexuelles dans certaines de ses banlieues. En 2017, outre 110 meurtres et 7226 viols, on y a recensé 320 fusillades et des dizaines d’attaques à la bombe. Le Premier ministre social-démocrate suédois, Stefan Lofven, a déclaré la semaine dernière qu’il était prêt à déployer l’armée pour lutter contre le crime organisé.
Une grande partie de ces faits de violence émane des « zones d’exclusion sociale », des banlieues à majorité peuplées par des immigrés. Le Times précise qu’étant donné la qualité des infrastructures et des services qui sont offerts dans ces banlieues, on ne peut pas vraiment les qualifier de ghettos. Pour autant, elles sont confrontées à une forte criminalité est à des taux de chômage élevés.
Dans la ville de Malmö, l’âge moyen des membres de gangs est de 22 ans. Mais on voit aussi des jeunes de 14 ans armés de Kalashnikov et de gilets pare-balles dans les rues.
Politiquement incorrect
Pendant des années, la Suède était un pays ouvert à l’immigration, mais elle a durcit sa politique après la crise de la migration en 2015, lorsque 160 000 personnes ont demandé l’asile au pays. Désormais, 12 % de la population suédoise proviennent de pays non occidentaux.
La question de l’intégration de ces personnes a été peu évoquée dans le débat national, et pendant longtemps, la dégradation de la situation dans certaines banlieues a été minimisée dans le débat public. Ce silence était rendu possible par la relative tranquillité du reste du pays, et son essor économique.
Selon l’économiste suédois Tino Sanandaji, il est devenu politiquement incorrect d’établir un lien entre la délinquance et les immigrés. De ce fait, Paulina Neuding, une auteure juive renommée au plan international, a été accusée de xénophobie parce qu’elle avait établi un lien entre la hausse des faits de violences antisémites et des agressions sexuelles et la migration de masse.
Une crise d’agressions sexuelles
D’après elle, le pays vit une « crise d’agressions sexuelles ». De fait, le nombre de viols est en hausse de 10 % par rapport à 2016, et 36 % des jeunes femmes suédoises disent maintenant qu’elles ne se sentent pas en sécurité la nuit. Le nombre de femmes qui ont rapporté avoir été victimes d’agressions sexuelles est passé de 1,4 % en 2012 à 4,1 % en 2016.
En 2014, une étude réalisée sur les cas de viol est Stockholm a conclu que les 2/3 des auteurs étaient des citoyens non suédois.
https://fr.express.live/2018/01/22/suede-violence-immigration/
La Chine est discrètement devenue une superpuissance scientifique
RépondreSupprimerAudrey Duperron
22 janvier 2018
« La Chine est devenue – ou elle est sur le point de devenir –une superpuissance scientifique et technique », écrit Robert J Samuelson dans le Washington Post. « Souvenez-vous qu’il y a 1/4 de siècle, l’économie de la Chine était minuscule et que son secteur de haute technologie existait à peine », ajoute-t-il.
Mais dans « Science & Engineering Indicators », un rapport publié par la National Science Foundation et le National Science Board, on découvre que le géant asiatique rattrape son retard à grands pas, et qu’il talonne désormais les Etats-Unis dans certains domaines.
Ce rapport énumère les faits suivants :
La Chine est devenue le second pays le plus dépensier en termes de recherche et développement, elle compte pour 21 % des dépenses totales mondiales qui se sont montées à près de 2000 milliards de dollars en 2015. Seuls, les États-Unis, font mieux, avec 26 %. Mais si le taux de croissance de la Chine se maintient, cette dernière les détrônera prochainement. Entre 2000 et 2015, les dépenses de R&D ont augmenté à un rythme moyen de 18 % par an, 4 fois plus rapidement que le rythme américain de 4 %.
On observe également une forte augmentation du nombre de travaux de recherche. L’Union Européenne et les États-Unis devancent toujours la Chine dans le secteur biomédical, mais la Chine domine en matière d’ingénierie. Les travaux américains ont tendance à être plus cités que les travaux de recherche chinois, ce qui pourrait être lié au fait qu’ils portent plus souvent sur des questions de recherche fondamentale. Mais la Chine commence là aussi à rattraper son retard.
L’empire du milieu a aussi également fortement augmenté sa main-d’œuvre technique. Entre 2000 et 2014, le nombre actuel de diplômés des sciences ou de l’ingénierie est passé de 359 000 à 1,65 million. Aux États-Unis, sur la même période, le nombre de diplômés dans ces disciplines est passé de 483 000 à 742 000.
Le rapport note également que les productions des usines chinoises se sont complexifiées. Par le passé, une grande partie de des usines chinoises de haute technologie assemblaient des composants sophistiqués fabriqués ailleurs. Mais de nos jours, leur production requiert bien plus de compétences, et elles fabriquent désormais des supers ordinateurs et des petits avions de ligne.
Les hôpitaux chinois à la pointe du génie génétique
Par ailleurs, des hôpitaux chinois testent actuellement un outil de manipulation du code génétique, appelé CRISPR-Cas9 pour soigner des patients atteints de cancer. Cette technique est connue depuis 2012, mais son utilisation n’a pas encore été permise sur l’homme aux États-Unis. En Chine, les comités d’éthique des hôpitaux ont la possibilité d’autoriser ce type d’essais. En conséquence, cette technique très novatrice y est testée depuis 2015 et les médecins ont déjà manipulé les gènes de 86 personnes.
Les dépôts de brevets, le talon d’Achille chinois
Toutefois, la Chine est toujours en retard dans le domaine des dépôts de brevets. Au cours de la dernière décennie, les entreprises américaines et les inventeurs ont contribué pour la moitié du nombre des dépôts de brevet effectués aux États-Unis. La majeure partie de la seconde moitié émanait d’inventeurs européens et japonais.
https://fr.express.live/2018/01/22/chine-superpuissance-scientifique-technique/
The Mainstream Media ne veut pas parler de #ReleaseTheMemo, mais cela pourrait être le plus grand scandale de D.C. Depuis Watergate
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 21 janvier 2018
Les membres républicains du Congrès demandent la publication d'une note qui montrerait que les pouvoirs de surveillance du gouvernement ont été illégalement utilisés contre Donald Trump pendant la campagne présidentielle, et que l'administration Obama, le FBI et Hillary Clinton ont collégialement collégé dans un effort concerté pour essayer de détruire les chances de Trump de gagner la présidence. Si ces allégations s'avèrent vraies, ce sera le plus grand scandale de l'histoire politique américaine, mais jusqu'ici les médias traditionnels ne veulent pas en parler. Autre que Fox News, il est difficile de trouver une couverture de cette note sur l'un des principaux réseaux d'information. Mais comme vous le verrez ci-dessous, les membres républicains du Congrès font énormément de bruit à ce sujet.
Seuls certains membres du Congrès ont pu lire cette note jusqu'à présent. Pour y jeter un coup d'œil, ces membres du Congrès ont dû se rendre dans une pièce sécurisée au fond du Capitole, et ils ne sont pas autorisés à révéler les détails de ce qu'ils ont lu.
Mais certains membres républicains du Congrès qui l'ont vu se font entendre, et ce qu'ils ont révélé jusqu'à présent est extrêmement alarmant ...
"C'est troublant. C'est choquant ", a déclaré Mark Meadows (R-NC) à Fox News. "Une partie de moi souhaite que je ne le lise pas parce que je ne veux pas croire que ce genre de choses pourrait se produire dans ce pays que j'appelle chez moi et que j'aime tant."
"Les faits contenus dans cette note sont à couper le souffle et exigent une transparence totale. Il n'y a pas de priorité plus élevée que la publication de cette information pour préserver notre démocratie ", a déclaré le représentant Matt Gaetz (R-FL), un membre du Comité judiciaire, qui supervise le DOJ et le FBI.
Un autre membre du comité judiciaire, le représentant Steve King (R-IA), a qualifié ce qu'il a vu dans le mémo de "dégoûtant" et a déclaré que c'était "pire que Watergate".
En fait, le représentant King avait beaucoup plus à dire sur le mémo que cela. Voici la citation complète qu'il a posté sur Twitter ...
J'ai lu le mémo. La réalité écoeurante s'est installée. Je ne retiens plus l'espoir qu'il y a une explication innocente à l'information que le public a vue. J'ai longtemps dit que c'est pire que Watergate. C'était #neverTrump & #alwaysHillary. #releasethememo
Un membre du Congrès dit que c'est "pire que Watergate" et que les médias traditionnels ne veulent pas en parler ?
Il était une fois les médias traditionnels au moins essayés d'être juste, mais à ce stade, ils sont extrêmement hésitants à publier quelque chose qui ne correspond pas à la narration que les démocrates sont bons et les républicains sont mauvais.
Ce mémo pourrait être la cause de tout l'enfer qui se déchaînerait à Washington. Selon le représentant Matt Gaetz, "les gens pourraient perdre leur emploi" une fois que ce mémo sera sorti ...
RépondreSupprimerReprésentant de la Floride Matt Gaetz a dit qu'il croyait que les gens pourraient perdre leur emploi après la publication de la note.
"Je crois que la conséquence de sa libération sera des changements majeurs dans les personnes travaillant actuellement au FBI et au ministère de la Justice", a-t-il dit, faisant référence aux fonctionnaires du MJ Rod Rosenstein et Bruce Ohr.
"Vous pensez," est-ce que cela se passe en Amérique ou est-ce le KGB ? "C'est alarmant," a déclaré le représentant de la Pennsylvanie, Scott Perry.
Et il n'y a pas si longtemps, le représentant des États-Unis Jody Hice a ajouté sa voix à ceux qui appelaient à la publication de ce mémo ...
Plus tôt ce matin, j'ai examiné le mémo classifié de quatre pages de @HouseIntelComm concernant le FBI, le DOJ et la soi-disant #RussianCollusion. Pour le dire simplement, "WOW". J'ai rejoint l'appel à #ReleaseTheMemo. Les Américains méritent la vérité et la transparence.
Je sais que la plupart des gens ont une telle attention ces jours-ci, mais c'est un scandale que nous ne pouvons pas laisser tomber. Même si les membres du Congrès ne sont pas censés révéler le contenu de cette note, le Représentant Gaetz dit qu'elle révèle des "abus horribles" qui ont été commis sous l'administration Obama et qui "choqueront la conscience de ce pays" ...
Interrogé sur le contenu du mémo, le représentant Gaetz a répondu: "Il y a 4 pages d'un mémorandum préparé par le Comité du Renseignement qui va choquer la conscience de ce pays quand il s'agit des abus horribles qui ont eu lieu lors du dernier admin. et que je crois continuer à représenter une menace pour la présidence de Donald Trump. "
Plus tard dans l'interview, Rep. Gaetz a laissé entendre que la note décrivait comment le gouvernement américain avait commis une fraude en présentant aux tribunaux des «fausses informations» pour obtenir des mandats de la FISA.
Nous devons faire le plus de bruit possible jusqu'à ce que le peuple américain soit autorisé à voir ce mémo.
Et si c'est aussi mauvais que beaucoup de gens le croient, beaucoup de gens de l'administration Obama et de la campagne de Clinton doivent aller en prison.
Heureusement, il y a déjà des indications que nous allons bientôt voir ce mémo. Selon le représentant Dave Joyce, le processus de diffusion de cette note au public a déjà commencé ...
Bonne nouvelle! Nos efforts pour #ReleaseTheMemo ont été efficaces et le HPSIC prévoit d'entamer le processus de publication de la note du FBI / FISA / Russie. Cela peut prendre jusqu'à 19 jours de travail au Congrès, mais les Américains méritent de connaître la vérité.
Comme je l'ai souligné à maintes reprises au cours des dernières semaines, nous devons rétablir la primauté du droit dans notre pays si nous voulons que le peuple américain ait confiance dans le système.
RépondreSupprimerLe président Trump se bat sans relâche pour faire ce qu'il faut, mais il y a des forces obscures à l'intérieur du gouvernement qui veulent désespérément empêcher que la vérité soit révélée. J'aime vraiment comment Tom Luongo a décrit cette lutte dans l'une de ses pièces récentes ...
Trump a continué à aiguillonner l'établissement; jouer le jeu long et diaboliser les médias qui est la pointe de la lance du gouvernement de l'ombre tout en renforçant le soutien des deux militaires (à travers son soutien à chaque tour) et sa base en les aidant à détruire les faux récits de globalisme a été rien d'incroyable.
En tant que politicien blasé, je peux vous dire que je n'ai jamais pensé une seconde qu'il avait la capacité de ce qu'il avait déjà fait. Mais, comme l'ont souligné les derniers mois, le véritable pouvoir dans le monde ne repose pas sur les quelques milliers de personnes qui manipulent les leviers du pouvoir, mais sur les milliards qui, pendant des années, sont restés là et les ont laissés faire.
Et ces jours de repos sont partis.
Si Hillary Clinton avait remporté les élections, nous n'aurions jamais eu connaissance de cette corruption qui se passe dans les coulisses.
La présidence Trump est notre occasion en or de reprendre notre gouvernement, et je prévois d'être une grande partie de la solution une fois que je serai au Congrès. Personne n'est au-dessus des lois, et je crois que cette note pourrait être un point de basculement.
Il est temps pour Hillary Clinton, John Podesta et le reste de cette foule d'aller en prison, et le peuple américain devrait accepter rien de moins.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-mainstream-media-doesnt-want-to-talk-about-releasethememo-but-this-could-be-the-biggest-scandal-in-d-c-since-watergate
Je dirai que si les merdias continuent à faire chier le chef de l'État, il se pourrait bien qu'il déclare les États-Unis en Démocratie ! Le Peuple serait donc convié à aller voter SES propres lois et non en application de celles de la dictature !
SupprimerLe «boom des milliardaires» agace les internautes
RépondreSupprimerFlorian Delafoi
lundi 22 janvier 2018 à 19:28.
Alors que le Forum de Davos s’ouvre ce mardi, l’ONG Oxfam publie son traditionnel rapport sur les inégalités. Ecœurés, plusieurs internautes se demandent quand la richesse va enfin «ruisseler»
L’ONG Oxfam a dévoilé lundi son rapport sur les inégalités de richesse dans le monde, la veille de l’ouverture du Forum économique de Davos. La rencontre annuelle de l’élite mondiale est une formidable caisse de résonance. Chaque année, la publication du document est largement relayée par la presse internationale. Une méthode éprouvée donc. Mais, cette fois, «on vous prévient: ça va secouer», assurait Manon Aubry, porte-parole de l’organisation de solidarité internationale. Publié sur Twitter, son message est accompagné d’un Bob l’éponge visiblement assommé. Une manière d’illustrer «l’ambiance au bureau quand toute l’équipe vient de finaliser et envoyer aux rédactions le prochain rapport d’Oxfam», écrit-elle.
L'ambiance au bureau quand toute l'équipe vient de finaliser & envoyer aux rédactions le prochain rapport @oxfamfrance sur les #inégalités pour le sommet de #Davos #WEF18
On vous prévient: ça va secouer !
Une opération réussie, et pour cause: les chiffres donnent le vertige. Entre 2000 et 2017, la fortune totale des milliardaires est passée de 1000 milliards à 8000 milliards de dollars. Une fortune concentrée dans un cercle toujours plus restreint. Au total, 42 personnes détiennent autant que les 3,7 milliards de personnes les plus pauvres. Les inégalités de richesse progressent, un constat qui fait écho au thème du Forum de Davos: «Créer un futur partagé dans un monde fracturé».
Héritage, monopole et connivence
Cette fracture suscite justement l’indignation des internautes. Nombreux sont ceux qui relaient les conclusions du rapport d’Oxfam sur les réseaux sociaux. Avec un sentiment dominant: l’écœurement. «Va-t-on continuer à nous faire croire qu’il existe une volonté de réduire la pauvreté dans le monde ?» s’agace @bonavion sur Twitter. Le journal La Croix a choisi l’ironie pour commenter ces nouvelles données: «Oui, mais après tout, ne serait-ce pas là le signe d’une économie florissante ? Finalement, la richesse, c’est la récompense du talent créatif et du travail !»
Le talent, le travail et la prise de risque ne sont pas les moteurs principaux de la création de richesses, regrette l’ONG. «Les grandes fortunes sont bien plus souvent le produit d’un héritage, d’un monopole ou de relations de connivence avec les gouvernements», peut-on lire dans le rapport, qui met également l’accent sur l’évasion fiscale, cheval de bataille d’Oxfam. Le montant de l’évasion fiscale des 1% des plus riches atteint 200 milliards de dollars, selon les calculs de l’économiste français Gabriel Zucman, qui a participé à l’étude. Cette dernière ne fait toutefois pas l’unanimité sur le Web. «Quand on connaît les méthodes de calcul d’Oxfam, à la fin on ne fait plus vraiment attention…», lâche @_shadykun, un «insoumis devenu libéral» selon sa biographie Twitter.
«Ça ne ruisselle toujours pas»
RépondreSupprimerFace à cette ribambelle de chiffres, de nombreux internautes pointent du doigt la fameuse «théorie du ruissellement», qui veut qu’enrichir les riches profite à tout le monde. «Ça ne ruisselle toujours pas», constate sur Twitter le journaliste Hubert Guillaud. En France, l’opposition s’empare également de cette idée. «Si le ruissellement s’opère, il semble subir une forme de gravité inversée!» observe le député insoumis Adrien Quatennens sur le même réseau social. Une manière d’attaquer la politique fiscale d’Emmanuel Macron qui, en octobre dernier, souhaitait «que l’on célèbre» ceux qui réussissent, car «si on commence à tirer des cailloux sur les premiers de cordée, c’est toute la cordée qui dégringole». Une déclaration qui avait fait grincer des dents. Donald Trump est également accusé par ses adversaires d’être le «président des riches».
Rapport @oxfamfrance : En 2017, les 1% les plus riches ont capté 82% de la richesse créée. À l’inverse, les 50% les plus pauvres n’en ont rien vu. Si le ruissellement s’opère, il semble subir une forme de gravité inversée !
https://www.francetvinfo.fr/economie/en-2017-le-monde-a-connu-un-boom-des-milliardaires-revele-l-ong-oxfam_2573933.html …
Deux dirigeants qui seront présents à Davos cette semaine. Leurs discours seront écoutés attentivement par les représentants d’Oxfam. «Je vais à Davos chaque année pour dire et redire aux gouvernements et aux chefs d’entreprise qu’ils doivent agir contre les inégalités extrêmes, raconte au Monde l’Ougandaise Winnie Byanyima, directrice exécutive de l’ONG. Désormais, tous les dirigeants s’avouent préoccupés par ce problème. Mais cela se limite trop souvent à de bonnes paroles. Nous voulons des actions.»
https://www.letemps.ch/opinions/2018/01/22/boom-milliardaires-agace-internautes
Folie et désinformation dans les énergies renouvelables-terre: l'Australie du Sud se vante qu'ils n'ont pas eu à "décharger"
RépondreSupprimerJanuary 22nd, 2018
Espérons que les lecteurs étrangers profitent du spectacle d'une première nation mondiale qui détruit son avantage concurrentiel avec les énergies renouvelables. J'espère que cela vous aide à éviter le même sort.
Louez le seigneur, les Etats sans charbon n'ont pas à charger-hangar-industrie (parce qu'ils n'en ont plus beaucoup):
Le Trésorier de l'Australie-Méridionale se vante que l'Afrique du Sud n'a pas eu à se débarrasser de la charge de l'industrie vendredi, mais l'Etat charbonnier de Victoria l'a fait. Tirez l'autre:
"En termes d'approvisionnement, nous devrions être d'accord", a-t-il dit.
"Victoria je comprends est sur le point de charger l'industrie. Donc, ils ne font pas face à l'alimentation électrique.
"Ils sont dépendants du charbon et ils doivent mettre hors service l'industrie pour soutenir leurs ménages. En Australie du Sud, nous ne sommes pas obligés de le faire aujourd'hui. »- h / t A H
Le trésorier n'a pas mentionné que SA avait déjà perdu du poids au cours des deux dernières années en obligeant les fabricants de poids lourds à fermer leurs portes et à quitter l'État. Nommez un peu:
Autonomie de la SA: Mitsubishi, GMH, Recycleurs de matières plastiques (Recycleurs), Caroma (76 emplois) après 79 ans d'activité, Penrice, Biscuits Arnotts (120 emplois), Aldinga Dindes (79), ACI Glass (60 après 50 emplois), Arrium (600), BHP (90), SANTOS (~ 200), Alinta Energy (centrales Pt. Augusta et mines Leigh Creek) (438), Unibooks (100), United Dairies (> 100). Plus beaucoup plus ...
- La liste grâce à Yarpos et Graeme No.3
Il n'a pas non plus mentionné que lorsque les heures de pointe atteignaient, SA ne pouvait pas produire suffisamment d'électricité, même à 14 200 $ / MWh, et tirait environ 350 MW de Victoria (qui était principalement alimentée au charbon).
Les chercheurs de rentes d'ABC font des PR libres pour les énergies renouvelables du travail:
RépondreSupprimerLe journaliste politique d'ABC, Nick Harmsen, a avalé ce fantasme unilatéral du parti travailliste et n'a pas pris la peine d'interviewer quiconque (sceptique ou industrie) qui sait pour quelle raison le trésorier parlait. Harmsen vote probablement Labor (ou Green), a été formé pour ne pas «chercher l'équilibre», de peur que le public rejette les innombrables vanity-signataires (qui font aussi grimper le budget ABC) lors des prochaines élections.
Je suis sûr que personne ne lui a ordonné de jeter ses normes journalistiques, mais s'il a jamais montré de talent pour poser de vraies questions, il aurait été annulé dans les salons de thé, ou, a été pré-cassé à l'université, où tout le monde est entrain de penser exactement la même manière.
Dans une forme magistrale, Harmsen a décrit l'avis de manque de réserve de niveau 2 (LOR2) comme signifiant «il y a un petit tampon de surplus restant». Nice spin-gagnant-façon de mettre un avis d'urgence qui est là pour laisser le marché connaître le tampon est effroyablement petit, et loin en dessous recommandé.
Au niveau du LOR2, les choses sont si mauvaises que l'AEMO injecte de l'argent dans le réseau électrique pour l'empêcher de s'écraser.
Si seulement il avait l'Internet ou un téléphone, il aurait pu utiliser les termes réels AEMO. Au moins, il ne ressemblerait pas à un hack de relations publiques au lieu d'un journaliste.
http://joannenova.com.au/2018/01/madness-and-misinformation-in-renewables-land-south-australia-brags-they-didnt-have-to-load-shed/
La NSA est une agence de chantage
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
22 janvier 2018
La fonction principale de l'Administration de la Sécurité Nationale est de rassembler les saletés sur les membres de la Chambre et du Sénat, les états-majors, les principaux contributeurs et les juges fédéraux. La saleté est utilisée pour imposer le silence sur les crimes des agences de sécurité.
Le mécanisme de chantage a été mis en place la minute où les nouvelles ont rapporté que le Comité du renseignement de la Chambre avait rassemblé des preuves que le FBI, le DOJ et DNC ont créé Russiagate comme une conspiration pour renverser le président Trump. Les membres du Congrès n'ayant rien à cacher ont exigé que les preuves soient rendues publiques. Bien sûr, il fallait s'attendre à ce que la démission des faits soit dénoncée par les démocrates, mais les républicains, tels que le député Mike Conaway (R, Texas), lui-même membre du comité, se sont joints aux efforts pour protéger les démocrates et le FBI corrompu et le DOJ de l'exposition. Se cachant derrière des préoccupations de sécurité nationale, Conaway s'oppose à la révélation des informations classifiées. "Ce serait vraiment dangereux", a-t-il dit.
Comme le savent les gens, 95% des informations classifiées sont à des fins qui n'ont rien à voir avec la sécurité nationale. La note de service du House Intelligence Committee ne contient aucune information concernant une quelconque sécurité sauf celle de Comey, Brennan, Clapper, Hillary, Obama, Mueller, Rosenstein, Peter Strzok, Lisa Page, la DNC et les médias de la presse. L'hypothèse logique est que tous les membres du Congrès opposés à informer le public américain de la conspiration de Russiagate pour renverser le président des États-Unis sont soumis au chantage par les agences de sécurité qui ont planifié, organisé et mis en place la conspiration contre le président des États-Unis. et la démocratie américaine.
L'insouciance américaine est un grand facilitateur de la capacité des agences de sécurité et de leurs prostituées à contrôler les explications.
https://www.lewrockwell.com/2018/01/paul-craig-roberts/the-nsa-is-a-blackmail-agency/
Google a une police de discours secret réel
RépondreSupprimerPar Peter Hasson
L'appelant quotidien
22 janvier 2018
Plus d'une centaine d'organisations non gouvernementales (ONG) et d'agences gouvernementales à travers le monde aident la police YouTube à diffuser des contenus extrémistes, allant des soi-disant discours haineux aux vidéos de recrutement de terroristes.
Tous ont des accords de confidentialité interdisant à Google, la société mère de YouTube, de révéler leur participation au public, a déclaré jeudi un représentant de Google au Daily Caller.
Une poignée de groupes, dont l'Anti-Defamation League et No Hate Speech, une organisation européenne axée sur la lutte contre l'intolérance, ont choisi de rendre publique leur participation au programme, mais la grande majorité reste cachée derrière les accords de confidentialité. La plupart des groupes du programme ne veulent pas être associés publiquement, selon le porte-parole de Google, qui ne parle que d'arrière-plan.
Le programme "Trusted Flaggers" de YouTube remonte à 2012, mais le programme a explosé ces dernières années dans le cadre d'un effort de Google pour augmenter la réglementation du contenu sur ses plates-formes, qui a suivi la pression des annonceurs. Cinquante des 113 membres du programme se sont joints à YouTube en 2017, alors que YouTube intensifiait son contrôle de contenu, a déclaré Juniper Downs, directeur des politiques publiques de YouTube, à un comité sénatorial mercredi.
Les groupes tiers travaillent en étroite collaboration avec les employés de YouTube pour réprimer le contenu extrémiste de deux façons, a déclaré Downs et un porte-parole de Google a confirmé. Premièrement, ils sont équipés d'outils numériques leur permettant de signaler en masse le contenu à l'examen du personnel de YouTube. Deuxièmement, les groupes de partenaires agissent comme des guides pour les moniteurs de contenu de YouTube et les ingénieurs qui conçoivent les algorithmes de police YouTube, mais peuvent manquer de l'expertise nécessaire pour aborder un sujet donné.
Ce ne sont pas seulement les vidéos terroristes que Google censure. Jordan B. Peterson, un professeur connu pour s'opposer à la rectitude politique, a fait bloquer l'une de ses vidéos dans 28 pays plus tôt ce mois-ci. Une note envoyée au compte de Peterson indiquait que YouTube avait "reçu une plainte légale" à propos de la vidéo et avait décidé de la bloquer.
https://www.lewrockwell.com/2018/01/no_author/google-has-an-actual-secret-speech-police/
5 changements immédiats à faire pour survivre au futur économique long terme
RépondreSupprimerCharles Dereeper
jeudi, 18 janvier 2018 09:29
Je voudrais partager avec vous mon optimisme sur le futur à horizon 40 ans.
Certes, certes, au cours des 40 ans, nous allons devoir passer le cap des 2030 / 2035, zone de tensions sionistes à mort, donc pessimisme à horizon 10/15 ans. Ces gens, maîtres du monde, adhèrent à une drôle de rhétorique qui pourrait s'exprimer par un retour de l'anté Christ ou un grand "RESET" global.
C'est tellement absurde et irréel et en même temps, si les maîtres du monde y croit, tellement inquiétant... ce n'est pas pour rien que tous les milliardaires s'achètent des maisons en Nouvelle Zélande, seul pays qui peut espérer passer au travers d'une guerre nucléaire ou bactériologique (2000% de hausse depuis 1980 au niveau des prix du m², très largement devant tous les autres pays du G20...).
Regardez le graphique ci dessous. La Nouvelle Zélande est jolie mais enfin quand même... de là à surpayer massivement les m², la beauté finit par s'essouffler contrairement à la peur de mourir...
- voir sur site -
guerre atomique
Passons.
Revenons aux fondamentaux.
Il y a 200 ans, les français crapahutaient contre les anglais dans les bois américains, s'éclatant la tête, leur sport favori historique, tout en butant un maximum d'indiens dits sauvages au passage, concrétisant un vrai génocide.
200 ans plus tard, l'américain le plus standard dispose d'un confort de vie matériel qui dépasse très largement les hommes les plus riches d'il y a 200 ans ou même seulement 100 ans.
Comment cela s'est il passé ?
Grosso modo, l'agriculture qui occupait 80% des jobs est tombée selon les pays à entre 2 et 5% de la population active.
L'explication du miracle s'appelle l'innovation et la productivité.
Toute la population active s'est libérée du travail dans les champs (tracto, engrais, semences, industrialisation et automatisation, volume, standardisation...) et s'est consacrée à créer de zéro un nouveau monde industriel puis plus tard, des services.
Pourquoi je suis ultra optimiste à horizon 40 ans au delà du fanatisme religieux sioniste ?
Tout simplement parce que nous sommes à la veille d'une nouvelle révolution. On prend les mêmes et on recommence le même parcours ! Si si !
La robotisation, l'impression 3D et l'intelligence artificielle vont permettre de s'affranchir du travail dans les usines et en majeure partie des activités de service. Tout va être automatisé !
RépondreSupprimerConséquence, la population active va devoir une nouvelle fois se redéployer et créer un nouveau monde, qui enrichira notre confort de vie une énième fois.
Evidemment à ce stade au début 2018, on n'a aucune idée de ce nouveau monde, comment il va fonctionner, sa forme. De même que les agriculteurs de 1825 ne soupçonnaient même pas notre mode de vie d'aujourd'hui.
Cela fait un an maintenant que j'ai chargé sur Objectifeco Guillaume de Rouville de traquer ces tendances. C'est ce qui va modeler le monde de demain pendant des décennies. Il y a intérêt à ne pas se faire larguer.
Bien sûr, à chaque fois, c'est le même enjeu. La majorité des humains, à un stade d'esclavagisme moderne masqué, doit s'adapter, ce qu'il leur est impossible de faire.
Donc les tensions sociales vont être monstrueuses. Des larmes et du sang sont au menu.
Les gains de productivité vont être gigantesques. On en voit déjà les débuts.
Qui aujourd'hui embauche un graphiste pour faire une image alors que CANVA.COM permet de le faire en 2 clics de souris. Pensez aux multiples calques Photoshop qu'il fallait maîtriser ne serait ce qu'il y a 5 ans ?
J'ai lu hier une startup australienne opérant en UK qui a généré en quelques trimestres plus de 1 milliards de deals immobiliers en divisant par 3 les fees...
La liste des exemples est déjà infinie. Chaque jour, les médias anglo saxons produisent des signes sur le début de cette révolution qui va tout péter les grands équilibres actuel agriculture, industrie et service.
Que faire à titre perso ? Comment gérer la longue transition ?
1 - la part de notre emploi du temps consacrée à la formation continue doit être méchamment augmentée
2 - impérativement, lire l'anglais et se documenter dans la langue des innovateurs
3 - tout ce qui peut être automatisé, robotisé, transformé en application est signe d'abondance potentielle et d'absence de valeur, donc à fuir. Si vous êtes dans ce cas, surveillez la robotisation de votre fonction ou de votre secteur et évaluez combien de temps vous avez devant vous pour vous reconvertir.
4 - créer et produire au lieu d'exécuter des tâches est la clef du futur. La rémunération de l'intermédiation touche à sa fin car totalement robotisable. La rémunération des exécutants en masse touche également à sa fin. Il ne reste vraiment que la création (et encore en 2035, google annonce l'émergence d'une nouvelle forme d'intelligence compétitive avec l'homme... ce qui annoncerait tout simplement la fin du secteur marchand potentiellement et peut être l'émergence d'une société centrée sur l'être humain et non sur son confort matériel ?... on peut toujours le rêver hahahahaha ! )
5 - la seule question d'un agent économique devient : quelle valeur je veux apporter aux autres qu'ils soient prêts à me payer pour l'obtenir (et c'est valable pour les Etats qui vendent à prix exorbitants une présence géographique des humains sur leur sol moyennant une pauvre identité à peine crédible)
RépondreSupprimerDevenez un entrepreneur, un créateur, un opérateur économique qui survit à la grande transition qui vient de débuter ou souffrez la descente aux enfers inévitable, comme l'a connu les indiens d'Amérique ou les agriculteurs dans le monde entier !
http://www.objectifeco.com/economie/croissance-recession/croissance/5-changements-immediats-a-faire-pour-survivre-au-futur-economique-long-terme.html