- ENTREE de SECOURS -



mardi 12 décembre 2017

L'école Ducon çà existe ! La preuve:


Petit résumé de l'histoire du monde: "Vive l'escroquerie !!"

De tous temps et en tous lieux, l'humain n'a pas été infériorisé par l'intelligence d'autrui mais par une arme 'blanche' puis 'arme à feu'. Et c'est ainsi que face à l"union fait la force" l'homme attendit sagement que son prochain lui vienne à l'aide ! (Hahaha !). D'où, la constatabilité que l'intelligence même 'artificielle' ne pourra avoir raison face aux 'canons de Navarone'.

C'est pourquoi, tandis que la Démocratie court à grands pas de disparaître (en Suisse !), la seule issue possible est encore de mieux s'armer contre l'agresseur. Réfléchissez bien, vous avez le choix des armes. Soit vous EXIGEZ la Démocratie dans votre pays prostitué, soit vous demeurerez éternellement à tailler des pipes !

Il y a une (autre) chose intéressante relevée est que, les robots (entendez par là 'IA',ordi, machine-outils, etc) n'ont: pas de pays ! C'est-à-dire qu'ils n'ont pas d'épreuve d'adaptabilité (à part celle du '110' ou '220 volts' ?) et qu'ils sont - contrairement aux humains - en disponibilité immédiate pour l'éternité sans pause ni salaire ! (Qui dit mieux ?)

A savoir que l'on ne change pas la nature. Des cons (chinois) ont expérimenté l'envie de planter des cépages bordelais en Asie !! Et, le vin arrivé ne ressemblait en rien à celui de Bordeaux ! Çà alors ! L'explication vient du LIEU DE NAISSANCE. les poissons remontent les rivières pour frayer, les oiseaux migrent des milliers de kms pour pondre et, les trous de cul essaient de vivre ailleurs en... emportant toute leurs merdes (qu'ils ont fuient !) à l'étranger !! HAHAHA ! TOUT vient du micro-climat. TOUT ! Plantez un bananier à Paris: IL POUSSE ! Whoâah ! mais ne donne aucune banane ! Hahahaha !

C'est d'ailleurs la cause majeure du divorce aujourd'hui. Pourquoi précis-je 'aujourd'hui' parce que de nos jours les femmes et les hommes qui se rencontrent et s'assemblent ne viennent pas toujours du 'même coin'. D'où les conflits qui s'accumulent jusqu'à...

D'où, l'agressivité sans frontière face aux 'contemplateurs du nouveau monde'.
Les 'hommes de l'ombre' sont aujourd'hui confrontés à plus de 4 % (rapport 2010) de surdoués dans le monde soit plus de 280 millions de têtes bien pleines.

"Quand on veut tuer quelqu'un on ne raconte pas sa vie !" Lee Van Cleef dans 'Le bon, la brute et le truand'.

31 commentaires:

  1. L'OMC: inutile pour le commerce, utile pour l'État


    par Tyler Durden
    12 décembre 2017 05:00
    Écrit par Carmen Elena Dorob ?? via l'Institut Mises,


    Cette semaine, les responsables de l'OMC se réuniront à Buenos Aires pour leur 11ème conférence ministérielle. Il y a très peu d'espoir que l'un quelconque des accords à l'ordre du jour sera atteint, car les négociations de l'OMC et son système de règlement des différends ont longtemps été paralysés par des querelles politiques et une inefficacité profonde de l'organisation elle-même. Les ministres anxieux de l'OMC (tels que le commissaire au commerce de l'UE) s'attaquent maintenant à la paille et accusent Trump et son manque de soutien pour les problèmes de l'OMC.

    Pourtant, vingt-deux ans après sa création, l'organisation n'a pratiquement rien à montrer en matière de libéralisation des échanges. Jongler avec 164 pays membres, chacun avec son propre programme protectionniste, n'aboutirait jamais à «un commerce plus ouvert», à «des marchés plus compétitifs» ou à «la stabilité et la prévisibilité du marché». Surtout pas après que les règles commerciales, les services, la propriété intellectuelle et la protection de l'environnement ont été portés à la table des négociations, parallèlement aux barrières tarifaires et non tarifaires. Les pays ont commencé par tenir des accords en otage à leurs demandes, ont continué à ignorer complètement les accords, et ont fini par ergoter sur le langage utilisé dans les déclarations conjointes.

    Une représentation facile, quoique grossière, de l'échec de l'OMC est illustrée ci-dessous, où les tarifs mondiaux effectivement appliqués (qui incluent la libéralisation unilatérale et les accords commerciaux préférentiels) ont été systématiquement inférieurs à ceux obtenus par négociations multilatérales (nation la plus favorisée). les douze premières années après la création de l'OMC - quand elle aurait eu le plus de succès.

    - voir graphique sur site -

    D'autres études proposent la même histoire, et nous avons vu en détail la raison pour laquelle la libéralisation commerciale unilatérale ascendante a tendance à fonctionner, et les accords commerciaux multilatéraux descendants ne le font jamais.

    La fin de l'OMC semble plus proche maintenant, et pas un instant trop tôt.

    Cela a toutefois été le cas il y a quelques années, et pourtant, cela traîne parce que les gouvernements ont quelques raisons de le maintenir en vie.

    Tout d'abord, une fois que les machines à dépenser bureaucratiques sont mises en marche, il n'y a pas grand chose à faire pour les freiner. Moins elles sont efficaces et moins elles le font, plus leurs budgets sont augmentés pour les réunions, les sommets et les conférences. pour s'attaquer précisément à leurs inefficacités. Si une entreprise privée avait été si improductive dans son activité principale, elle aurait fait faillite depuis longtemps. Mais l'OMC, à l'instar du FMI, de la Banque mondiale et de tous les autres organes directeurs nationaux et internationaux, ne fonctionne pas sur la base des profits et des pertes, mais sur la base de la politique partisane. En tant que tel, l'OMC peut facilement se réinventer au cours de déjeuners coûteux dans des endroits exotiques, et gaspiller près de 200 millions de dollars de l'argent des contribuables chaque année.

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  2. Deuxièmement, et plus important encore, l'OMC est réellement utile aux gouvernements, même si elle est préjudiciable au libre-échange et aux consommateurs. Il offre un forum où il est possible de satisfaire les groupes d'intérêts nationaux en faisant obstacle à la concurrence internationale, en créant des alliances politiques avec les pays favorisés ou en utilisant le commerce comme un atout stratégique dans un jeu de tactique politique.

    Verrons-nous jamais l'OMC démantelée ? Je ne retiens pas mon souffle. Il continuera, sous d'autres formes, à gaspiller de l'argent et à faciliter le commerce: pas le commerce de marchandises, mais l'échange de faveurs politiques.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-11/wto-useless-trade-useful-state

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  3. Prescrire des statines : 50 % de diagnostics erronés !!!

    le 12 décembre 2017


    Il y a quelques jours j’ai disserté sur ce blog du danger qui guette l’humanité au sujet de la surconsommation d’antibiotiques. J’avais aussi abordé sur ce blog le problème de la prescription inconsidérée des statines et des directives des organismes de santé publique qui abaissent le seuil d’alerte du cholestérol dans le sang pour le plus grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques en dépit des effets secondaires de ces produits. J’ai écrit 6 billets relatifs aux statines et mes lecteurs peuvent les retrouver en utilisant l’onglet recherche sur le site de ce blog.

    Les statines sont des inhibiteurs d’un enzyme impliqué dans la synthèse du cholestérol essentiellement au niveau du foie, l’HMG-CoA-réductase (HMGCR). Et le cholestérol, le « mauvais », celui qui est véhiculé dans le sang par les lipoprotéines de faible densité (LDL), est considéré comme un facteur à risque pour le développement des plaques d’athéromes dans les artères pouvant conduire à de graves problèmes cardiaques. Quand un médecin requiert une analyse sanguine celle-ci précise maintenant le cholestérol lié à des lipoprotéines de haute densité (HDL) et celui lié à des LDLs. Les LDLs sont constituées d’une protéine monstrueuse comprenant une chaine polypeptidique de 4563 acides aminés qui se recouvre littéralement de molécules de cholestérol (illustration) et d’autres lipides pour que ces derniers parviennent aux cellules qui en ont besoin pour toutes sortes de fonctions. Cette protéine est l’apolipoprotéine B (ApoB) et elle est synthétisée également dans le foie et dans une moindre mesure au niveau des intestins.

    Le corps médical et les biologistes ne se sont pas vraiment intéressé à la quantité d’ApoB dans le sang comme éventuel facteur de risque de maladies cardiovasculaires mais la situation est en train de changer et elle réserve des surprises. C’est une étude dirigée par le Docteur Brian Ference paru dans le numéro du mois de septembre du JAMA (JAMA (2017), 318(10), 947-956) qui vient de semer le trouble dans les certitudes acquises au sujet des LDLs, du cholestérol et des statines.

    Au niveau du foie et du sang le cholestérol est transféré depuis les HDLs sur les ApoBs des LDLs par une autre protéine appelée CETP, acronyme de cholesteryl ester transfer protein. L’étude parue dans le JAMA s’est penchée sur les dossiers médicaux de 189539 personnes entre les années 2011 et 2015, période durant laquelle 62240 cas de problèmes de coronaires ont été identifiés. Elle a fait ressortir qu’en réalité le problème du cholestérol sanguin ne résidait pas seulement au niveau des LDLs mais aussi et surtout au niveau de la quantité d’ApoB retrouvée dans le sang car il s’agit d’une mesure directe du nombre de LDLs dans le sang et non plus seulement de la quantité de cholestérol liée à ces LDLs.

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  4. L’étude a montré que des variants du gène codant pour la CETP avaient pour résultat un nombre inférieur de LDLs dans le sang et donc un taux inférieur de « mauvais » cholestérol. De ce fait ces sujets étaient moins enclins à développer des problèmes cardiovasculaires. Par contre ils ont aussi repéré des sujets dont l’HMG-CoA-réductase (HMGCR) était sous-exprimée et bien que ces patients présentent un taux affaibli de LDLs ils n’étaient pas pour autant à l’abri d’un accident cardiaque bien qu’ayant par ailleurs un taux d’ApoB normal.

    C’est un peu compliqué mais il apparaît donc que pronostiquer un risque de maladie cardiovasculaire en se basant uniquement sur la teneur en cholestérol lié aux LDLs s’avère être erroné. Le corps médical prescrit des statines alors que cette prescription n’a pas lieu d’être pour près de 50 % des patients selon cette étude et a contrario des patients présentant un taux normal de LDLs mais un taux élevé d’ApoB – qui n’est pas recherchée dans les échantillons sanguins – présentent de ce fait des risques élevés de problèmes cardiovasculaires ! Il n’existe pas de produits pour moduler la production d’ApoB. Certaines molécules chimiques sont en cours de développement pour contrecarrer l’activité de la CETP mais pour certaines d’entre elles les essais cliniques en phase III ont dû être abandonnés en raison d’effets indésirables sur la tension artérielle. Les laboratoires pharmaceutiques uniquement motivés par l’appât du gain se sont à l’évidence fourvoyés avec les statines – 50 % de mauvais diagnostics c’est beaucoup – et maintenant ils tentent de rattraper leur dérapage en se focalisant sur les ApoBs, où est l’honnêteté éthique et déontologique dans cette affaire de statines ?

    Sources : JAMA et Science magasine (www.sciencemag.org). Illustration LDL avec sa monstrueuse protéine en jaune recouverte de lipides (violet) et de cholestérol (bleu).

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/12/12/prescrire-des-statines-50-de-diagnostics-errones/

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  5. Mangeons local plutôt que bio

    CHANTAL MATHEZ DE SENGER
    5 Décembre 2017

    Agriculture - Qui n’a jamais été devant un choix cornélien face à l’étal de légumes au supermarché ? Faut-il privilégier les produits étrangers labellisés bio ou les produits conventionnels locaux ? Certes, personne ne souhaite ingurgiter des pesticides dans son assiette de légumes verts, mais le plus important n’est-il pas d’éviter l’aberration écologique de faire venir du monde entier des produits que l’on peut cultiver chez soi ?

    Avant le label bio, il faut surtout regarder la provenance de ce que nous mangeons. Des produits locaux et de saison ne peuvent pas nous faire de mal, sans compter que les normes en Suisse sont beaucoup plus strictes que dans l’Union européenne. Ainsi, de nombreux produits bios étrangers sont peut-être bien moins naturels que des produits conventionnels suisses. Dans notre pays, les exigences sont telles que des producteurs préfèrent aujourd’hui abandonner le label bio plutôt que de perdre des récoltes entières en cas de mauvaise conjoncture. Toutefois, ils sont les premiers à travailler en agriculture raisonnée, utilisant des produits de synthèse uniquement en cas de nécessité absolue. Leurs produits ne sont donc pas forcément infectés d’engrais chimiques à outrance.

    L’idée ici n’est pas de minimiser la pollution de la nature avec des pesticides et ses conséquences sur notre santé, mais plutôt d’essayer d’être rationnels. Il faut certes privilégier les produits locaux bios, puis les produits régionaux réalisés en agriculture raisonnée et ensuite ceux qui sont produits de manière conventionnelle chez les artisans et agriculteurs locaux. C’est une manière également de soutenir les producteurs, et au final l’économie de notre pays.

    http://www.bilan.ch/chantal-mathez-de-senger/mangeons-local-plutot-bio

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    1. 'Un peu con sur les bords, non ?'

      (...) Faut-il privilégier les produits étrangers labellisés bio ou les produits conventionnels locaux ? Certes, personne ne souhaite ingurgiter des pesticides dans son assiette de légumes verts, mais le plus important n’est-il pas d’éviter l’aberration écologique de faire venir du monde entier des produits que l’on peut cultiver chez soi ? (...)

      HAHAHAHAHA ! D'abord, un 'produit bio' est un produit MALADE, INFECTÉ et qui n'a reçu aucun remède contre les maladies qui attaquent TOUTES les plantes et les bestioles.

      D'où l'idiotie après avoir vu les 'vaches folles', 'diarrhées porcine', 'tremblante du mouton', 'mildiou de la tomate' ou oïdium de la vigne' qui n'ont PAS été traités, de bouffer des merdes de fruits & légumes parce qu'ils n'ont pas la diarrhée, la tremblante ou la myxomatose qui les défigurent !!! HAHAHAHA !

      Le label trop con

      (...) Toutefois, ils sont les premiers à travailler en agriculture raisonnée, utilisant des produits de synthèse uniquement en cas de nécessité absolue. Leurs produits ne sont donc pas forcément infectés d’engrais chimiques à outrance. (...)

      'produits de synthèse' ? de la tisane pour les vaches, cataplasme pour les porcs et ventouses pour les lapins ! HAHAHAHA ! (ou le 'bicarbonate pour traiter les tomates' !!! Hahaha ! ou le 'savon noir' pour les salades ou oignons ! HAHAHAHA !).

      'infectés d’engrais chimiques' !! HAHAHAHA ! A savoir que TOUTES les pharmacies (de Suisse et d'ailleurs) ne vendent QUE des produits chimiques ! Et que le terme de 'chimique' convient parfaitement à tous produits exemptés de substances nocives (des fumiers peuvent tuer des plantes) et sont le résultat de recherches sur les composants bénéfiques à chaque plante (Eh oui, toutes les plantes du monde ne consomment pas les mêmes choses ! comme les bestioles chacune choisit sa nourriture).

      (...) Il faut certes privilégier les produits locaux bios (...) !!!

      Hahahaha ! Pour tuer sa famille ou des invités arriérés mentaux ? Hahahaha !

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  6. WWF Suisse lance son pull de Noël sur le climat


    11 Décembre 2017

    La branche suisse du WWF surfe sur la vague des pullovers de Noël pour dénoncer le changement climatique en lançant pour les fêtes un modèle dont les motifs illustrent les conséquences du réchauffement de la planète.

    De prime abord, le pullover ressemble en tout point à un traditionnel modèle de Noël, entre ses flocons, chalets sous la neige ou dessins d'animaux.

    Mais en regardant de plus près, ses détails décrivent aussi bien la fonte des glaces que les cyclones ou l'extinction des espèces, explique la branche suisse de l'ONG dans un communiqué.

    Au centre est notamment tricotée une rangée de motifs présentant des ours blancs perchés sur des reliquats de banquise, à la dérive sur les flots face à la montée des eaux.

    Pendant l'Avent, de nombreuses vedettes se font photographier avec des pulls de Noël kitsch et postent leurs clichés sur les réseaux sociaux, a pointé l'ONG qui a voulu rebondir sur la tendance.

    "L'idée était d'aborder le thème du changement climatique sur un autre ton, avec un projet décalé pour les fêtes, pour cette question qui nous touche tous au-delà de la période de Noël", a indiqué Pierrette Rey, la porte-parole du WWF Suisse, lors d'un entretien téléphonique avec l'AFP.

    Fabriqué en Suisse à base de laine mérinos bio, le pullover est vendu en ligne sur le site suisse du WWF au prix de 195 francs suisses (166,85 euros).

    Les recettes seront reversées directement à des projets destinés à lutter contre le changement climatique, précise l'ONG.

    http://www.bilan.ch/economie/wwf-suisse-lance-pull-de-noel-climat

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    1. Depuis longtemps est connue l'escroquerie du 'wwf' et de son panda en 'tête de mort' pour illustrer ce qui peut attendre le pigeon s'il ne crache pas au bassinet ! Hahahaha !

      (...) ses détails décrivent aussi bien la fonte des glaces que les cyclones ou l'extinction des espèces, explique la branche suisse de l'ONG dans un communiqué. (...)
      HAHAHAHAHAHAHAHA ! (ils ont hésité entre Auschwitz ou le symbole juif de la croix gammée !) Hahahaha !

      J'ai vu hier qu'il existait du pq en... papier recyclé !!! Hahahaha ! Ils 'nettoient' les pq et les remettent sur le marché !! Hahaha !

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  7. Deux hologrammes sur une surface

    12 décembre 2017

    Une équipe de Caltech a trouvé un moyen de coder plus d'une image holographique sur une seule surface sans aucune perte de résolution. L'exploit d'ingénierie renverse une hypothèse de longue date qu'une seule surface ne pouvait projeter qu'une seule image quel que soit l'angle d'illumination.

    La technologie dépend de la capacité d'une surface soigneusement conçue à réfléchir la lumière différemment en fonction de l'angle auquel la lumière entrante frappe cette surface.

    Les hologrammes sont des images tridimensionnelles codées dans des surfaces bidimensionnelles. Lorsque la surface est éclairée avec un laser, l'image semble sortir de la surface et devient visible. Traditionnellement, l'angle auquel la lumière laser frappe la surface n'a pas d'importance - la même image sera visible malgré tout. Cela signifie que peu importe comment vous illuminez la surface, vous ne créerez qu'un seul hologramme.

    Dirigée par Andrei Faraon, professeur adjoint de physique appliquée et de science des matériaux à la Division de génie et sciences appliquées, l'équipe a développé des surfaces d'oxyde de silicium et d'aluminium parsemées de dizaines de millions de minuscules poteaux en silicium de seulement quelques centaines de nanomètres. (Pour l'échelle, un brin de cheveux humains est de 100 000 nanomètres de large.) Chaque nanopost reflète la lumière différemment en raison des variations de sa forme et de sa taille, et en fonction de l'angle de la lumière entrante.

    Cette dernière propriété permet à chaque poste d'agir comme un pixel dans plus d'une image: par exemple, agir comme un pixel noir si la lumière entrante frappe la surface à 0 degré et un pixel blanc si la lumière entrante frappe la surface à 30 degrés.

    «Chaque message peut remplir une double fonction, c'est pourquoi nous pouvons encoder plus d'une image sur la même surface sans perte de résolution», explique Faraon (BS '04), auteur principal d'un article sur le nouveau matériel. publié par Physical Review X le 7 décembre.

    «Les tentatives précédentes de coder deux images sur une même surface impliquaient d'agencer côte à côte les pixels d'une image avec ceux d'une autre image.C'est la première fois que nous sommes conscients que tous les pixels d'une surface sont disponibles pour chaque image. image », dit-il.

    Comme preuve de concept, Seyedeh Mahsa Kamali (MS '17), étudiante diplômée de Faraon et Caltech, a conçu et construit une surface qui, lorsqu'elle est illuminée avec un laser droit (donc à 0 degré), projette un hologramme du logo Caltech mais éclairé un angle de 30 degrés projette un hologramme du logo du Centre de recherche Frontier sur l'énergie, financé par le Département de l'énergie, dont Faraon est un chercheur principal.

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  8. Le processus était laborieux. «Nous avons créé une bibliothèque de nanopostes avec des informations sur la façon dont chaque forme reflète la lumière sous différents angles et nous avons assemblé les deux images simultanément, pixel par pixel», explique Kamali, le premier auteur de l'article Physical Review X.

    Théoriquement, il serait même possible de coder trois images ou plus sur une seule surface, bien qu'il y ait des limites fondamentales et pratiques à un certain point. Par exemple, Kamali dit qu'un seul degré de différence dans l'angle de la lumière incidente ne peut probablement pas suffire à créer une nouvelle image de haute qualité. "Nous explorons toujours jusqu'où cette technologie peut aller", dit-elle.

    Les applications pratiques de la technologie comprennent des améliorations aux casques de réalité virtuelle et de réalité augmentée. "Nous sommes encore loin de voir cela sur le marché, mais c'est une démonstration importante de ce qui est possible", dit Faraon.

    https://phys.org/news/2017-12-holograms-surface.html#jCp

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  9. L'heure de la journée affecte la gravité de la maladie auto-immune

    12 décembre 2017


    Un aperçu de la façon dont l'horloge corporelle et l'heure du jour influencent les réponses immunitaires est révélé aujourd'hui dans une étude publiée dans la revue internationale de premier plan Nature Communications. Comprendre l'effet de l'interaction entre les cycles jour-nuit de 24 heures et le système immunitaire peut aider à éclairer les stratégies de ciblage des médicaments pour soulager les maladies auto-immunes.

    Les rythmes circadiens ou les rythmes de 24 heures sont générés par l'horloge corporelle, ce qui nous permet d'anticiper et de répondre au cycle de 24 heures de notre planète. On croit généralement que le maintien d'une bonne horloge corporelle mène à une bonne santé pour les humains, et perturber le rythme circadien (par exemple, les quarts de travail de nuit) a été associé à des maladies immunitaires comme la sclérose en plaques; Cependant, les liens moléculaires sous-jacents ont été peu clairs.

    Dans la nouvelle étude, le professeur Kingston Mills et le Dr Caroline Sutton du Trinity College de Dublin et le Dr Annie Curtis du RCSI (Collège royal des chirurgiens d'Irlande) et ses collègues montrent que les réponses immunitaires et la régulation de l'auto-immunité sont affectées la réponse immunitaire est activée.

    En utilisant des souris en tant qu'organisme modèle, elles montrent qu'un gène circadien maître, BMAL1, est responsable de la détection et de l'action des signaux du temps du jour pour supprimer l'inflammation. La perte de BMAL1, ou l'induction de l'auto-immunité à midi au lieu de minuit, provoque une encéphalomyélite auto-immune expérimentale plus sévère, qui est essentiellement un analogue de la sclérose en plaques chez la souris.

    «L'année où le prix Nobel de médecine a été décerné pour les découvertes sur les mécanismes moléculaires contrôlant le rythme circadien, nos découvertes passionnantes suggèrent que notre système immunitaire est programmé pour mieux répondre à l'infection», a déclaré le professeur d'immunologie expérimentale à Trinity. et les insultes rencontrées à différents moments dans l'horloge de 24 heures, ce qui a des implications significatives pour le traitement des maladies à médiation immunitaire et suggère des différences importantes dans la réponse aux médicaments utilisés pour traiter les maladies auto-immunes telles que la sclérose en plaques.

    Bien que d'autres études soient nécessaires pour comprendre comment moduler avec précision le rythme circadien ou les signaux du jour pour une immunité bénéfique, les résultats de cet article nous rappellent bien l'importance de «garder le temps» en ce qui concerne le système immunitaire.

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  10. Dr Annie Curtis, chargée de recherche au Département de thérapeutique moléculaire et cellulaire du RCSI, a déclaré: «Notre étude montre également comment la perturbation de nos horloges corporelles, qui est assez fréquente aujourd'hui compte tenu de notre mode de vie 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, avoir un impact sur les maladies auto-immunes. "

    "Nous commençons vraiment à découvrir exactement l'importance de nos horloges corporelles pour la santé et le bien-être."

    https://medicalxpress.com/news/2017-12-day-affects-severity-autoimmune-disease.html

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    1. J'avais publié cette info (depuis un journal du Venezuela) il y a qq semaines.
      Par exemple, des plaies soignées le jours mettraient 3 semaines à disparaître et 5 semaines si soignées la nuit.

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  11. Des incendies plus fréquents réduisent le carbone et la fertilité du sol, ralentissant la repousse des plantes

    12 décembre 2017
    par Sarah Derouin


    La combustion fréquente pendant des décennies réduit la quantité de carbone et d'azote stockée dans les sols des prairies de savane et des forêts à feuilles larges, en partie parce que la croissance réduite des plantes signifie moins de carbone extrait de l'atmosphère et stocké dans la matière végétale. Ces conclusions d'une équipe dirigée par Stanford sont importantes pour la compréhension mondiale des impacts du feu sur le cycle du carbone et pour la modélisation de l'avenir du carbone et du changement climatique dans le monde.

    Les résultats, publiés le 11 décembre dans la revue Nature, offrent une nouvelle perspective sur l'impact du feu sur la fertilité du sol.

    "Presque toutes les études de synthèse réalisées à ce jour concluent que le feu a relativement peu d'effet sur les sols, mais en grande partie, les chercheurs se concentrent sur un seul feu", a déclaré Adam Pellegrini, chercheur postdoctoral à l'Université de Stanford. Sciences de l'environnement et auteur principal de l'étude.

    Au lieu de cela, cette étude a examiné le carbone et la fertilité du sol dans différents écosystèmes sur 65 ans.

    «Nous nous intéressons aux changements que subissent les écosystèmes au cours de nombreuses décennies», a déclaré Rob Jackson, professeur de sciences du système terrestre et auteur principal de l'étude. "Alors que le climat de la Terre se réchauffe, nous devons comprendre comment les changements de fréquence des feux modifient les sols et la croissance des plantes."

    En collaboration avec une équipe interdisciplinaire de chercheurs de huit institutions à travers le monde, Pellegrini et Jackson ont découvert que les estimations de l'impact du feu sur la capacité de stockage de carbone de l'écosystème peuvent être considérablement réduites. Les nouveaux résultats pourraient aider les gestionnaires des terres à mieux évaluer la fréquence à laquelle ils utilisent les brûlages dirigés pour gérer les prairies et les forêts.

    Des incendies plus fréquents réduisent le carbone et la fertilité du sol, ralentissant la repousse des plantes

    Feu et écosystèmes

    En se concentrant sur trois types de paysages différents - prairies de savane, forêts de feuillus et forêts de troncs - à partir de 48 sites couvrant plusieurs continents, les chercheurs ont compilé des données sur la fertilité des sols après des incendies jusqu'à 65 ans. En comparant les changements dans les nutriments du sol au fil du temps, ils ont constaté que dans les zones brûlées dans les savanes et les feuillus, le carbone du sol était réduit de 36 % et l'azote de 38%. Les forêts de conifères n'ont pas montré cette réduction du carbone et de l'azote du sol après les incendies.

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  12. "Vous pouvez imaginer qu'après seulement un an, le feu ne ferait pas beaucoup de différence, mais sur plusieurs années et des brûlis répétés, le manque d'apport de plantes dans les sols diminue le carbone et les nutriments", a déclaré Pellegrini. «La productivité végétale est ce qui fait sortir le carbone de l'atmosphère - c'est ce qui séquestre le carbone - ce que nous voyons au fil du temps n'est pas seulement une augmentation nette des émissions de carbone dans l'atmosphère, mais une nette diminution de la séquestration du carbone.

    Après que l'équipe a constaté que les incendies répétés causaient la perte continue de carbone et d'azote dans les savanes et les forêts à feuilles larges, ils voulaient voir comment la récupération des plantes pourrait être affectée. Ils ont utilisé un modèle de végétation pour prédire la croissance globale des plantes dans les zones fréquemment brûlées et ont constaté que la perte d'azote dans les sols supprimait la repousse des plantes.

    Stockage réduit de carbone

    La croissance plus lente des plantes a des implications pour le stockage du carbone, et Jackson a averti qu'il y avait une rétroaction à long terme qui devrait être considérée. «Il y a des pertes et des changements de carbone supplémentaires qui peuvent se produire des décennies plus tard parce que les plantes sont incapables de repousser aussi rapidement qu'elles l'auraient fait», a déclaré Jackson, qui est également un membre senior du Woods Institute for the Environment.

    Étonnamment, les forêts à feuilles caduques n'ont pas montré la même perte de nutriments. Au lieu de cela, les sols forestiers dominés par les conifères contenaient en réalité plus de carbone et d'azote avec des brûlages fréquents. Pellegrini a expliqué que le brûlage de la couche dense d'aiguilles de pin partiellement décomposées sur le sol de la forêt pourrait fournir de la cendre aux sols, et a ajouté que les travaux futurs examineront davantage les effets du feu dans ce type de forêt.

    Les chercheurs ont souligné qu'ils ne préconisent pas la suppression des incendies. «Les incendies augmentent souvent la diversité des plantes et réduisent le risque qu'un feu de haute intensité se produise dans un paysage», a déclaré M. Pellegrini.

    Au lieu de cela, à une époque où les changements climatiques créent des conditions plus sèches et plus chaudes qui favorisent les incendies, les gestionnaires des incendies

    Les chercheurs ont souligné qu'ils ne préconisent pas la suppression des incendies. «Les incendies augmentent souvent la diversité des plantes et réduisent le risque qu'un feu de haute intensité se produise dans un paysage», a déclaré M. Pellegrini.

    Au lieu de cela, à une époque où les changements climatiques créent des conditions plus sèches et plus chaudes qui favorisent le feu, les gestionnaires des incendies et les défenseurs de l'environnement peuvent devoir modifier leurs stratégies de gestion.

    "Les gestionnaires peuvent avoir besoin de prendre une vision à plus long terme de combien et à quelle fréquence ils choisissent de brûler les systèmes", a déclaré Jackson.

    https://phys.org/news/2017-12-frequent-soil-carbon-fertility-regrowth.html#jCp

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    1. Hahaha ! Quelle découverte ! Effectivement, tout charbon brûlé n'est plus là ! Çà alors ! Mais il en demeure que le charbon s'est transformé en gaz carbonique qui (plus lourd de tous les gaz) se dilue dans la moindre flaque d'eau, ruisseau ou océan. Là, il est transformé par le phytoplancton en nano-particules de carbone (charbon) qui sont absorbé par les poissons ou se déposent en fonds marins.

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  13. Risques de manipulation du thermostat global

    12 décembre 2017
    par Allie Nicodemo

    Si quelqu'un vous offrait une pilule magique qui prétendait guérir tous les problèmes de santé, le prendriez-vous? Disons que vous l'avez fait. Peut-être que vous commenceriez à manger de la pizza et de la crème glacée pour chaque repas, puisqu'une bonne nutrition ne serait plus un problème. Peut-être que ce régime d'exercice tomberait aussi au bord du chemin. Vous pourriez renoncer à tous les médicaments prescrits. Le risque, bien sûr, est que la pilule échouerait ou aurait des conséquences imprévues.

    Le concept d'ingénierie climatique - des efforts à grande échelle pour manipuler le «thermostat global» - est comme une pilule magique pour le changement climatique. Plutôt que de faire passer la société et l'économie de la dépendance aux combustibles fossiles à l'énergie renouvelable, ou de se concentrer sur le changement social pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, certains cherchent à résoudre le changement climatique en utilisant une technologie climatique.

    Cette approche présente plusieurs problèmes, explique Jennie Stephens de Northeastern, professeure de sciences et de politiques de développement durable à Dean, et directrice adjointe des collaborations de recherche stratégique au Global Resilience Institute. Stephens a récemment co-écrit un article sur le sujet avec Peter Frumhoff, scientifique en chef du climat et directeur des sciences et des politiques à l'Union of Concerned Scientists.

    Le projet d'ingénierie climatique qui a reçu le plus d'attention consiste à injecter des aérosols - ou de petites particules - dans l'atmosphère pour imiter les effets d'un éruption volcanique importante. Certains scientifiques sont impatients de commencer des expériences pour l'essayer. Mais comme Stephens le fait remarquer, il y a plusieurs risques à faire cette recherche. «L'avancement de la recherche crée un élan vers le déploiement, et il n'y a pas de système de gouvernance international pour gérer cela», a-t-elle déclaré.

    Pluie pluie vas-t'en

    Il y a une raison pour laquelle la météo est notre fidèle alliée de la conversation universelle, elle a un impact sur tout le monde. Mais seul un petit nombre de scientifiques étudie les moyens de le contrôler.

    Risques de manipulation du thermostat global

    "Il y a un potentiel pour un énorme différentiel de pouvoir en ce qui concerne qui prend des décisions pour qui", a déclaré Stephens. Et il est «presque inévitable» que l'optimisation du climat dans une région du monde ait des conséquences imprévues dans une autre. Par exemple, «il est facile d'imaginer que les États-Unis pourraient vouloir obtenir des résultats qui maintiennent des régimes de précipitations favorables pour les agriculteurs du Midwest», a déclaré Stephens, «mais cela pourrait même exacerber les conditions au Sahel». Cela pourrait encore creuser davantage le fossé des inégalités au niveau mondial.

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  14. Si la compétition pour contrôler le climat fait boule de neige dans une lutte de pouvoir géopolitique à part entière, les résultats pourraient être désordonnés, a déclaré Stephens. Et si la technologie du génie climatique est avancée, elle pourrait aussi être militarisée.

    "Une personne, une entité ou un pays puissant pourrait décider de le faire seul, presque unilatéralement, et cela aurait un impact sur le monde entier", a déclaré M. Stephens.

    Risques de recherche

    À mesure que les risques du changement climatique augmentent, l'intérêt pour l'ingénierie climatique augmente. Le mois dernier, le Comité de la Chambre des États-Unis sur la science, l'espace et la technologie a tenu un sous-comité conjoint pour discuter de l'avenir de la recherche, de la technologie et de l'innovation en géoingénierie. Lors de la réunion, certains politiciens ont exprimé leur intérêt et leur soutien pour l'exploration des options d'ingénierie climatique.

    "Les scientifiques ont besoin de s'engager dans des conversations internationales plus larges sur les risques du changement climatique et les risques de l'ingénierie climatique", a déclaré Stephens.

    https://phys.org/news/2017-12-global-thermostat.html#jCp

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    1. Heureusement, cette projection est totalement fausse car les océans (70 % de notre planète) régulent toutes les différences suivant les éruptions volcanique. Ainsi, de faire pleuvoir en un lieu ne privera nullement un autre pays lointain d'eau de pluie car, le climat mondial est avant tout une affaire de milliards de micro-climats qui ne dépendent que des saisons, l'heure du jour et les cycles de la Terre qui tantôt se réchauffent et tantôt (comme actuellement) se refroidissent.

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  15. Taxes sur la viande et le lait sous prétexte de changement climatique : les capitaux mondialisés veulent nous rendre végétariens

    Matthieu Lenoir
    12 décembre 2017


    Bel exemple d’écologie punitive, à supposer qu’il s’agisse d’écologie. Selon Farm Animal Investment Risk and Return (FAIRR), organisme patronné par l’investisseur « philanthrope » Jeremy Coller, de nouvelles taxes devraient bientôt être imposées à la viande et aux sous-produits animaux, sous prétexte de combattre le changement climatique et l’obésité. La consommation de protéines animales augmente sur la planète : prétexte à un nouveau resserrement du carcan fiscal, du fait que les élevages entraîneraient une hausse des émissions de gaz carbonique « en raison du transport », selon FAIRR, des taux croissants d’obésité et de diabète de type 2, une résistance aux antibiotiques, des menaces sur l’approvisionnement en eau et une dégradation des sols et la déforestation pour cultiver les céréales destinés aux animaux. Rien de moins.

    « Des taxes sur les viandes sont envisagées au Danemark, en Suède et en Allemagne, et bien qu’aucun projet de loi ne soit rédigé, les investisseurs devraient prendre en compte les arguments avancés », écrit le FAIRR. Ce type de taxation serait proche de celles imposées aux émissions de carbone – dans 60 pays -, au tabac – 180 pays – et au sucre, 25 pays.

    Maria Lettini, directrice de FAIRR, interrogée par le quotidien gauchiste The Guardian, estime qu’avec l’application progressive des Accords de Paris, il est très probable que les gouvernements voudront réduire l’impact environnemental global du secteur de l’élevage. Elle anticipe avec gourmandise l’adoption de ces taxes dans la décennie à venir.

    L’université d’Oxford prône une taxe sur la viande de… 40 %, Jeremy Coller se frotte les mains

    En novembre, une étude menée à l’université d’Oxford avait conclu qu’une taxe additionnelle de 40 % sur la viande et de 20 % sur le lait compenserait les « dommages » environnementaux et sanitaires causés par le secteur. Où le prétexte écologiste justifie une véritable démence fiscale poussée par ces investisseurs. Supposément responsables et « sociaux », ils entendent promouvoir en sous-main la production des protéines végétales, moins exigeantes en capitaux et plus immédiatement rentables. La disruption technologique cache toujours de purs intérêts financiers et Jeremy Coller, qui possède son institut à la très gauchiste London School of Economics et à l’Université de Tel-Aviv, semble être un spécialiste du genre. Notons qu’un tel projet de taxes sur les protéines animales est envisagé en Chine.

    L’idée est appuyée par les rapports de la FAO, l’organisme onusien pour l’agriculture. Selon elle, 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre ont les élevages pour origine et la consommation de viande devrait augmenter de 73 % d’ici la moitié du siècle en raison de l’explosion de la demande en Chine et en Inde. FAIRR, l’organisme de Jeremy Coller, en déduit sans trop détailler son mode de calcul que le coût environnemental et sanitaire de la consommation de protéines animales atteindrait 1.600 milliards de dollars en 2050.

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  16. Rosie Wardle, qui dirige le secteur « engagements » chez FAIRR, affirme que « les investisseurs commencent à considérer la question de l’élevage de la même façon qu’ils chiffrent le risque climatique ». « Il est presque admis que nous devons nous en prendre à la production et à la consommation du cheptel pour atteindre la limite de deux degrés d’augmentation de la température », assène-t-elle. Rien de tel pour précipiter le mouvement que de convaincre les gouvernements d’imposer des taxes démesurées. Où l’arme politique sert à assassiner une activité pour en promouvoir une autre.

    Si l’argument sanitaire peut être recevable – la surconsommation de viande peut endommager le système cardiovasculaire ou favoriser l’obésité – sans justifier l’usage punitif de la fiscalité, l’argument climatique se heurte à au moins trois objections : le réchauffement, effectif à la fin du XXe siècle, est désormais contestable ; son origine est plus cosmique qu’humaine ; le rôle du gazcarbonique dans l’évolution climatique est plus que contesté. Dernier paradoxe : l’augmentation du taux de gazcarbonique dans l’atmosphère entraîne un accroissement net de la production de végétaux, secteur dont FAIRR et M. Coller semblent s’être fait une spécialité.

    Danone a racheté WhitWave Foods, spécialiste mondial du soja, ou comment profiter du changement climatique

    L’imposition de taxes sur la viande a pour l’instant été reportée par crainte des réactions politiques, déplore FAIRR. Pour autant, Nielsen relève que la consommation de protéines végétales, dont les qualités nutritionnelles sont inférieures à celles des protéines animales, augmente : 40 % des Américains et Canadiens tentent d’inclure plus d’aliments d’origine végétale dans leur régime. Signe de l’appétit des investisseurs pour ce « nouveau » secteur – au demeurant bimillénaire en Asie avec le soja -, le Français Danone a acquis en juillet 2016 pour 12,5 milliards de dollars l’Américaine WhiteWave Foods, spécialiste mondial des graines et laits de soja. Tyson Foods Inc., spécialiste des viandes, investit dans Beyond Meat (« au-delà de la viande »), qui lance un burger végétarien, co-financée par Bill Gates et Leonardo DiCaprio. General Mills, Campbell Soup, Kraft Heinz, Kellogg (Etats-Unis), Unilever (Pays-Bas et Royaume-Uni), lancent de plus en plus de produits à base de végétaux.

    La disruption technologique s’applique aussi à l’alimentation globalisée. On verra jusqu’à quand les gouvernements résisteront aux pressions des « investisseurs philanthropes » pour tordre le bras des consommateurs en les accablant de taxes. Et étrangler les éleveurs.

    http://reinformation.tv/taxes-viande-changement-climatique-lenoir-78171-2/

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  17. Des images « déchirantes » d’un ours polaire affamé font le tour du monde : fake ou hoax, au choix !

    Anne Dolhein
    11 décembre 2017


    Vous n’avez pas pu les manquer : des images ont circulé partout sur les sites d’information, montrant un ours polaire affamé, sur fond de commentaires sur le « changement climatique » qui va inéluctablement multiplier ce genre de tragédies insoutenables. Malheur à vous si vous mettez en doute l’exactitude de l’annonce. Et pourtant – tout semble indiquer qu’il s’agit d’un fake ou d’un hoax, au choix…

    On a vu la bête puissante se traîner lamentablement sur une île sans glace, sur l’île de Baffin, sur fond de violons pleureurs, façon indienne. Les commentaires des images qui ont tourné partout sur Internet indiquaient que tous les membres de l’équipe vidéo de Sea Legacy avaient les larmes aux yeux, le cœur brisé : « C’est à cela que ressemble la mort de faim. Les muscles sont atrophiés. Il n’y a pas d’énergie. C’est une mort lente et douloureuse… »

    L’ours polaire affamé qui a fait pleurer la planète

    Alors que la population des ours polaires se porte plutôt bien, voire trop bien, la responsable de l’équipe de tournage a avoué qu’il était impossible de connaître la cause de l’état de l’ours. Cristina Mittermeier, co-fondatrice de Sea Legacy, a reconnu au micro de CBC Radio que son état pouvait s’expliquer par une blessure ou une maladie. Peu importe, à son avis : « Ce qui compte, c’est qu’il mourait d’inanition et… à mesure que nous perdrons de la glace maritime dans l’Arctique, les ours polaires vont mourir de faim. »

    Hoax avoué, à moitié pardonné ? Les internautes qui auront vu le film n’auront en général pas eu cette précision. Révélatrice, puisqu’elle montre une volonté de manipuler l’opinion.

    L’ours a été filmé en août, période où les ours polaires affichent généralement le poids plus important : s’il était jeune comme l’affirme Mittermeier il a peut-être été vaincu dans la compétition pour la nourriture par des ours plus vieux et plus expérimentés. Ce qui est sûr, c’est que si la perte de glace maritime était la cause de sa mort, il n’aurait pas été le seul.

    Par ailleurs, les études réalisées par les spécialistes des ours polaires montrent que la cause de mort naturelle la plus fréquente au sein de ces population est la mort de faim qui frappe les ours jeunes, les trop vieux, les blessés et les malades, les jeunes de deux à cinq ans étant notamment plus vulnérables que les individus plus âgés.

    Selon Susan Crockford, si l’absence de glace au printemps a un effet démontré sur le poids et la survie des ours polaires, il n’y a pas d’études convaincantes sur le fait que l’absence de glace en plein été soit liée à des phénomènes massifs de faim chez les ours.

    http://reinformation.tv/images-ours-polaire-affame-fake-hoax-dolhein-78145-2/

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    1. (...) à mesure que nous perdrons de la glace maritime dans l’Arctique, les ours polaires vont mourir de faim. »(...)

      HAHAHAHA ! Faut dire que les ours se nourrissent de glaces, exclusivement de glaces (glace à la glace) !! HAHAHAHA !

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  18. Eric Schmidt de Google admet qu'il y a une censure politique des résultats du moteur de recherche

    Niles Niemuth
    WSWS.org
    jeu., 23 nov. 2017 20:42 UTC


    Eric Schmidt, Google Éric Schmidt, président exécutif de la société mère de Google, Alphabet, a confirmé ce week-end que la plus grande société Internet du monde, en étroite coordination avec l'État, manipule les résultats de la recherche pour censurer les sites critiques du gouvernement américain.

    Répondant à une question sur la « manipulation de l'information » sur Internet lors d'une participation au « Forum sur la sécurité internationale de Halifax », Schmidt a annoncé que Google travaillait sur des algorithmes qui « déclassent » les sites d'information russes RT (Russia Today) et Sputnik du service de nouvelles Google, bloquant effectivement l'accès des usagers aux deux sites.

    Les remarques de Schmidt lors du rassemblement des responsables de la sécurité militaire et nationale confirment les accusations du World Socialist Web Site selon lesquelles Google aurait délibérément modifié ses algorithmes de recherche et pris d'autres mesures pour empêcher les gens d'accéder à certaines informations par ses moteurs de recherche. Le WSWS a lui-même été la cible principale de ces efforts.

    Ces déclarations révèlent le mensonge de l'affirmation précédente de l'entreprise selon laquelle les changements apportés à son moteur de recherche visaient à « améliorer les résultats de recherche », et que ces changements étaient politiquement impartiaux.

    Les efforts de Google ne sont qu'une partie d'un effort partagé entre le gouvernement et des entreprises privées beaucoup plus larges pour contrôler le flux d'informations sur Internet, impliquant Amazon, Twitter et Facebook, ainsi que les fournisseurs de services Internet tels que Comcast, Time Warner Cable, Verizon et AT&T. La FCC a annoncé cette semaine qu'elle éliminerait les règlements de « neutralité du net », permettant aux fournisseurs de services de limiter les sites auxquels les clients peuvent accéder, soit en limitant la vitesse de téléchargement sur Internet, soit en facturant des frais supplémentaires.

    Plus tôt ce mois-ci, le département de la Justice des États-Unis a obligé RT à s'inscrire comme « agent étranger » dans le but de ternir la réputation de source d'information fiables de la chaîne et d'intimider ses journalistes et ses invités. Google a supprimé RT de ses chaînes « préférées » sur YouTube le mois dernier, et Twitter a bloqué la possibilité pour ce service de nouvelles de se financer par la publicité.

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  19. Les déclarations de Schmidt sont toutefois les plus directes à ce jour. Il a affirmé que Google « essayait de concevoir les systèmes pour empêcher » les usagers de voir le contenu de RT et de Sputnik.

    Schmidt a nié que cela équivaudrait à de la censure tout en prétendant que l'algorithme anti-RT de Google bloquerait des informations « répétitives, exploiteuses, fausses [ou] susceptibles d'avoir été utilisées comme armes ».

    Une campagne contre les « fausses nouvelles » est maintenant devenue une campagne contre les « informations utilisées comme des armes », c'est-à-dire une véritable information critique ou préjudiciable à l'establishment politique. L'ancienne secrétaire d'État Hillary Clinton a prétendu que lorsque ses emails et les discours à Wall Street ont été divulgués par WikiLeaks, ils avaient été « utilisés comme des armes ». Sous la nouvelle rubrique de censure de Google, tout article écrit sur la base des révélations tout à fait vraies concernant Clinton serait censuré.

    En ce qui concerne les informations « répétitives, exploiteuses, fausses et utilisées comme des armes », en toute objectivité, cela s'applique avant tout à la campagne sur les affirmations selon lesquelles la Russie « sème des divisions » aux États-Unis. Les articles sans fin dans les médias, et qui ne se donnent pas la peine de démontrer leurs affirmations, reprenant mot pour mot le discours des agences de renseignement, servent à une véritable guerre contre les droits démocratiques.

    La campagne anti-russe lancée par le Parti démocrate pour s'assurer que l'Administration Trump maintient une position hostile envers le Kremlin s'est transformée en une répression générale de la liberté d'expression et de la libre circulation de l'information.

    Si RT et Sputnik sont les cibles immédiates de cette campagne, le véritable sujet de préoccupation est tout site web qui révèle les mensonges du gouvernement américain et met en avant les articles critiques du récit officiel présenté par la classe dirigeante américaine.

    Le WSWS a signalé pour la première fois en juillet que le nouvel algorithme de Google lancé en avril sous prétexte de combattre la propagation de « fausses nouvelles » bloquait l'accès à un large éventail d'organisations de gauche, progressistes, anti-guerre et démocratiques. Depuis avril, les références au WSWS dans le moteur de recherche de Google ont chuté de 75 pour cent. Le mois dernier, le WSWS et d'autres journalistes de gauche ont été retirés de Google News.

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  20. Dans une lettre ouverte à Schmidt et à d'autres dirigeants de Google, publiée en août, demandant la fin de la censure, David North, le président du Comité de rédaction international du WSWS a déclaré :

    « Les faits prouvent que Google truque des résultats de recherche avec une liste noire et censure le WSWS et d'autres publications de gauche. » North a continué : « Cela soulève une question très sérieuse, avec de profondes implications constitutionnelles. Google coordonne-t-il son programme de censure avec le gouvernement américain ou des sections de son appareil militaire et de renseignement ? »

    Alors que Google a refusé de répondre, jusque-là aux demandes directes du WSWS, nous avons maintenant une réponse claire : Oui.

    Que Schmidt fasse une telle déclaration si ouvertement est un avertissement que la campagne pour censurer l'Internet entre dans une nouvelle étape. Une attaque de plus en plus ouverte et incontrôlée contre la liberté d'expression et l'expression politique est en préparation.

    La répression sur Internet intervient alors que l'on enregistre des niveaux historiques et toujours croissants d'inégalité sociale. La classe dirigeante américaine craint la croissance de l'opposition sociale et des sentiments anticapitalistes et favorables au socialisme qui se développent sous la surface de la vie officielle. Ils craignent surtout le développement d'un mouvement conscient de la classe ouvrière qui lutte pour le renversement du système capitaliste pourri.

    Nous exhortons nos lecteurs et sympathisants à se battre pour défendre un Internet libre et ouvert. Rejoignez les milliers de personnes qui ont déjà signé la pétition demandant que Google cesse de censurer le WSWS et d'autres sites Web de gauche. Contribuer à la lutte contre la censure d'Internet auprès de toutes les catégories de travailleurs et de jeunes, aux États-Unis et à l'international, en faisant le lien entre la lutte contre les atteintes aux droits démocratiques et la lutte contre la guerre, contre la dictature et contre les inégalités sociales.

    (Article paru d'abord en anglais le 22 novembre 2017)

    https://fr.sott.net/article/31528-Eric-Schmidt-de-Google-admet-qu-il-y-a-une-censure-politique-des-resultats-du-moteur-de-recherche

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    1. Il suffit de regarder les commentaires sous les vidéos publiées sur Youtube, ils ne sont pas affichés par ordre chronologique mais uniquement par un classement des commentaires qui vont de la ''vert-marq de la nazional-socialiste" en premier et en derniers les rejetés par Google !

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  21. Sauver le monde avec des moteurs à combustion interne

    December 13th, 2017

    Qui se soucie d'environ 50 % de plus d'émissions ?
    Chine, énergie, production d'électricité, 2016, graphique.
    La Chine est alimentée par 65% de charbon.

    - voir graphique sur site -

    Une nouvelle étude en Chine compare les voitures avec des moteurs à combustion interne aux voitures électriques. Qiao et al estiment que les voitures électriques du berceau à l'autre utilisent environ 50% d'énergie en plus et produisent environ 50 % d'émissions en plus. (Merci à Kenneth Richards à NoTricksZone.)

    Tous les Verts devraient par la présente recycler leur véhicule électrique et acheter une essence énergivore.

    Ce ne sont même pas des «coûts à vie» qui comprennent l'élimination.

    Ces résultats ne surprendront pas ceux qui se souviennent de l'étude détaillée réalisée en Norvège en 2012, selon laquelle "... dans les régions où les combustibles fossiles sont les principales sources d'énergie, les voitures électriques n'offrent aucun bénéfice et peuvent même causer plus de dommages". "

    En Chine, ces voitures électriques sont alimentées par 65 % de charbon. Appelez-les "voitures au charbon".

    La plus grande différence était avec la batterie.

    Ci-dessous, émerveillez-vous des résultats de l'étude chinoise. (ICE signifie moteur à combustion interne, BEV signifie véhicule électrique à batterie.)

    Ne pas. Même. Fermer.

    Si vous pensez que le gazcarbonique est important, les voitures fonctionnant au pétrole battent celles au charbon.

    - voir graphiques sur site -
    Voitures électriques, graphique, moteur à combustion interne, émissions, consommation d'énergie. 2017

    ICE = Moteur à Combustion Interne: BEV = Véhicule Électrique à Batterie. Par toutes les mesures Les voitures électriques consomment plus d'énergie et émettent plus de gazcarbonique.
    Même si les véhicules électriques sont alimentés par le vent, il y a d'autres coûts. Pour que le Royaume-Uni puisse alimenter une flotte électrique nationale, il faudrait que l'Écosse devienne un parc éolien. (Nous avons besoin de batteries stationnaires pour alimenter les batteries mobiles.) En Australie, on estime que chaque voiture électrique supplémentaire pourrait coûter 2 000 dollars de plus par an en frais de réseau et de production. (Ajoutons que pour les coûts d'inscription pour un véhicule électrique nous devons ?)

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  22. Messages clé

    Les émissions de gaz à effet de serre des véhicules électriques à batterie sont supérieures de 50% à celles des véhicules à moteur à combustion interne.
    La production de batteries de traction entraîne une augmentation d'environ 20 % des émissions de gaz à effet de serre.
    10 % de variation du poids à vide, de l'électricité et de la production de batteries Li-ion affectent les résultats de 7 %, 4 % et 2 %.

    Les véhicules à propulsion électrique sont équipés de systèmes de propulsion totalement différents par rapport aux véhicules conventionnels, pour lesquels la consommation d'énergie et les émissions de gaz à effet de serre de bout en bout associées à la production de véhicules pourraient considérablement changer. Dans cette étude, la consommation énergétique du cycle de vie et les émissions de gaz à effet de serre de la production automobile sont comparées entre les véhicules électriques à batterie et les moteurs à combustion interne dans le contexte chinois. Les résultats révèlent que la consommation énergétique et les émissions de gaz à effet de serre d'une production de véhicules électriques à batterie varient de 92,4 à 94,3 GJ et de 15,0 à 15,2 t gazcarbonique eq, soit environ 50 % de plus que celles d'un moteur à combustion interne de 63,5 GJ et 10,0 t gazcarbonique eq. Ce changement substantiel peut être principalement attribué à la production de batteries de traction, composants essentiels pour les véhicules électriques à batterie. De plus, le poids plus important et la répartition différente du poids des matériaux utilisés dans les véhicules électriques à batterie contribuent également à l'impact environnemental plus important. Cette situation peut être améliorée par le développement de nouvelles techniques de production de batteries de traction, le recyclage des véhicules et une structure énergétique à faible émission de carbone.

    LES RÉFÉRENCES
    Qiao et al (2017) Emissions de gaz à effet de serre de bout en bout des véhicules électriques à batterie et à moteur à combustion interne en Chine Volume 204, 15 octobre 2017, Pages 1399-1411 https://doi.org/10.1016/j.apenergy.2017.05 .041

    Graphique de la production d'électricité en Chine: derniers chiffres du China Electricity Council, via NRDC.

    http://joannenova.com.au/2017/12/save-the-world-with-internal-combustion-engines/#more-56398

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    1. Pollution et pollution

      jeudi 13 novembre 2014

      - voir graphique sur site -
      http://globaleconomicanalysis.blogspot.fr/2014/11/historic-hype-over-global-warming.html

      Pareillement qu'il est facile d'accuser une famille nombreuse de plus consommer qu'un célibataire et donc de taxer le grand nombre de tous les maux de la Terre, dernièrement un économiste a publié un graphique sur les pays les plus gros consommateurs de pétrole (donc: pollueurs). Graphique qui montrait la Chine, les USA, l'Inde et la Russie les quatre premiers d'une liste de 19 pays sélectionnés comme étant les plus pollueurs.

      Oui mais, de la même façon que l'on peut citer Monaco et Macao comme étant les pays les plus peuplés de la Terre (au km²), je répondrais pour les pollueurs que c'est en fait le contraire !

      Compte tenu du nombre d'habitants et de la quantité de pétrole consommée, l'Arabie Saoudite arrive largement en tête des pays les plus pollueurs de la Terre ! Cela vous étonne ? C'est bien d'ailleurs la première fois que vous lisez un tel article face au bassinage médiatique quotidien que c'est La Chine qui est le plus gros pollueur monstrueux de la Terre !

      1 -- Arabie Saoudite
      2 -- Australie
      3 -- Canada
      4 -- USA
      5 -- Corée du Sud
      6 -- Russie
      7 -- Allemagne
      8 -- Afrique du Sud
      9 -- Japon
      10 - Italie
      11 - Royaume-Uni
      12 - Chine
      13 - Turquie
      14 - Argentine
      15 - Mexique
      16 - Inde
      17 - Indonésie
      18 - France
      19 - Brésil

      C'est bien en divisant la quantité de pollution émise par le nombre d'habitants que l'on peut mieux se rendre compte de la vérité cachée !

      Car, c'est bien au nombre d'habitants qu'il faut regarder (et non à la superficie d'un pays). L'Alaska avec ses 731.000 hab. et 1.717.854 km² consomme plus d'énergie par le fait qu'il y fait froid et que la lumière est manquante dans l'hiver long. Pareillement que le sont d'autres en Europe du Nord (Norvège, Suède, Danemark, Finlande, Islande, etc) mais qui ne sont listés dans les 19 choisis, la consommation de pétrole par habitant doit être plus élevée qu'en Afrique, car je ne pense pas qu'ils aient choisi de brûler du bois des forêts où les arbres poussent lentement, ni qu'ils se contentent de se chauffer avec des arètes de poissons !

      Et c'est bien pourquoi la Chine et le Brésil (entr'autres) ont toujours refusé de s'acquitter de la taxe aéroportuaire pour les avions en ce qui concerne le gazcarbonique décrit comme étant La pollution !!

      Ce qui est malheureusement désigné comme pollution est le gazcarbonique que nous rejetons continuellement en respirant, d'où chaque habitant de la Terre (animaux y compris) montré comme pollueur !! Pareillement que le fumier est une pollution, c'est bien cette pollution qui fait pousser les plantes !! et NOUS NOURRIT TOUS LES JOURS !

      D'où le merci à la pollution d'être là sans quoi nous n'y serions pas !

      https://huemaurice5.blogspot.fr/2014/11/pollution-et-pollution.html

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  23. EDF veut couvrir 30 000 ha de panneaux

    EDF communique depuis ce lundi 11 décembre 2017, sur sa volonté d’installer 30 gigawatts de panneaux solaires entre 2020 et 2035. Ce plan faramineux, devant multiplier par 4 le parc déjà installé dans le pays, serait principalement exécuté au sol.

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