- ENTREE de SECOURS -



vendredi 28 juillet 2017

Vladimir Poutine répond aux questions d'élèves brillants à Sotchi (Direct du 21.07)

https://www.youtube.com/watch?v=CDvtDsRF3Bo

34 commentaires:

  1. Mauvaise nouvelle : la pollution des cours d'eau par les pesticides baisse !


    28 Juillet 2017 ,
    Rédigé par Seppi


    Avec ce titre, nous nous plaçons évidemment sous l'angle des médias – des placiers de mauvaises nouvelles – et des marchands de peur.

    Sans surprise, la nouvelle n'a pas réussi à percer dans les médias (ni sur les réseaux sociaux).

    Le 18 juillet 2017, Eaufrance, le service public d'information sur l'eau, a publié « Pesticides : une baisse de la pollution des cours d’eau en métropole ». En résumé :

    « L’observatoire national de la biodiversité (ONB), qui s’intéresse de près aux indicateurs de biodiversité, a mis à jour sa fiche concernant l’évolution de la pollution des cours d’eau par les pesticides en métropole. Le taux d’évolution a subi une baisse de - 10 % sur la période 2008-2014. La diminution de cet indicateur aura probablement des conséquences positives sur la biodiversité... »

    Le 13 avril 2017, Eaufrance avait déjà publié une annonce, « Pesticides dans les cours d’eau : des teneurs en baisse entre 2009-2014 ». Avec deux propos curieux (c'est nous qui graissons) :

    « Entre 2009 et 2014, la publication montre que les teneurs en pesticides sur le territoire français baissent sensiblement. »

    Et :

    « Pondérées des risques environnementaux qu’elles représentent pour la faune et la flore aquatique, les teneurs en pesticides dans les cours d’eau baissent légèrement sur la période 2009-2014. La synthèse indique que cette tendance est principalement portée par l’évolution des teneurs en herbicides, dont plusieurs substances, parmi les plus écotoxiques, ont été récemment interdites. En France métropolitaine, l’indice d’évolution de la présence des pesticides dans les cours d’eau (IPCE), prenant en compte l’écotoxicité de chacune de ces substances, baisse d’environ 10 % sur cette période. »

    Alors, « sensiblement » ou « légèrement » ? Les deux phrases incriminées se suivent !

    Soyons mesquins – ou peut-être pas : ce service public lié à l'environnement estime-t-il que, pour assurer sa légitimité, il doit diffuser des nouvelles préoccupantes – donc minimiser les bonnes nouvelles ? Peut-être devrions-nous être optimiste : il a viré sa cuti.

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  2. Le graphique ci-dessous, tiré d'un quatre-pages, « Pesticides : évolution des ventes, des usages et de la présence dans les cours d’eau depuis 2009 », nous semble instructif : l'indice tous usages de présence dans les cours d'eau a baissé en 2013 et 2014. Malgré l'augmentation de la pluviométrie – laquelle, en toute hypothèse, devrait entraîner une augmentation des traitements phytosanitaires ainsi que des écoulements et transferts. Et malgré des ventes de pesticides plutôt élevées par rapport à la moyenne de la période pendant ces deux années.
    - voir graphique sur site -

    L'évolution de la situation est présentée en trois graphiques et deux cartes sur ce site de l'Observatoire National de la Biodiversité. Nous commencerons par la dernière figure (!), la teneur moyenne en pesticides dans les (sic) cours d'eau en 2014 par sous-secteur hydrographique.

    - voir carte sur site -

    L'évolution moyenne – en pourcentage – est représentée sur la carte suivante :

    - voir carte sur site -

    Cette carte est un peu trompeuse. Le jaune clair, par exemple, s'applique à tous les cours d'eau qui sont restés stables, qu'ils soient non pollués ou très pollués. Une hausse de plus de 50 % (en vert foncé) n'a pas la même signification selon qu'on se trouve dans un sous-secteur peu pollué ou très pollué. Néanmoins, la carte montre une prédominance de vert (amélioration).

    Le graphique suivant donne les évolutions au sein de chaque catégorie. Ainsi, dans les sous-secteurs très pollués, 10 ont vu une baisse de leur charge entre 10 et 50 % et 4, une hausse de plus de 50 %. Là encore, répétons-le : une hausse de 50 %, par exemple, n'a pas la même signification selon que le sous-secteur est dans la catégorie « moins de 0,1 µg/L » ou « plus de 2 µg/L ».

    - voir graphique sur site -

    Rappelons que les « normes de qualité » sont :

    pour les eaux brutes pour la production d'eau potable : 2 µg/L par pesticide et 5 µg/L pour l’ensemble des pesticides ;
    pour l'eau distribuée : 0,1µg/L par pesticide et 0,5 µg/L pour l’ensemble des pesticides

    Il y a donc, selon la légende de la carte, 22 sous-secteurs hydrographiques qui dépassent la limite de 2µg/L (en moyenne).

    On peut aussi écrire : « il n'y a que... ».

    Nous étions peut-être mesquins ci-dessus. Mais il faut relever – et apprécier – cette nouvelle approche qui change des sempiternels annonces du style « En 2014, toute analyse confondue (sic), des pesticides sont quantifiés au moins une fois pour 87 % des 3052 points de mesure des cours d’eau, et pour 73 % des 2121 points de mesure des eaux souterraines », sans aucune mise en perspective.

    La phrase ci-dessus est du Commissariat Général au Développement Durable qui relève du Ministère qui s'appelle maintenant « de la Transition Écologique et Solidaire ». Le biais idéologique et – disons-le tout net – incivique s'exprime aussi, par exemple, dans cette phrase :

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  3. « La surveillance des pesticides couvre en superficie les trois quarts des unités hydrographiques et hydrogéologiques. Les cours d’eau, plus vulnérables car directement exposés, sont plus marqués par cette pollution avec 53 % de la superficie nationale en dépassement de la concentration de 0,1 µg/l, norme « eau potable » pour une substance. »

    Pourquoi, s'agissant de cours d'eau, une référence à la norme « eau potable » et, de plus, pour un seul pesticide.

    Ce même biais s'exprime aussi dans le graphique suivant, tiré du même document :

    - voir graphique sur site -

    Pourquoi mettre les plages de teneurs dans l'ordre décroissant ?

    Nous venons de changer de gouvernement et – en principe du moins – de logiciel politique. Il y a aussi, à notre sens, urgence à changer les logiciels de certaines institutions et administrations.

    Nous nous sommes servis pour cet article de trois sources, elles-mêmes alimentées par les mêmes séries statistiques, ce qui témoigne du reste d'un fâcheux gaspillage des ressources : Eaufrance et le nouveau Observatoire National de la Biodiversité, d'une part, et le Commissariat Général au Développement Durable. Celui-ci ferait bien de réviser son approche et produire des informations qui ont vraiment un sens et une utilité.

    L'objectif de rivières propres n'est nullement servi par un discours irrationnel – centré sur des statistiques de quantifications dont le facteur principal est la sensibilité de l'appareillage, au-delà de la présence de résidus – servant de base à un discours de la peur et du rejet de pesticides indispensables à la production agricole... et à la gestion raisonnée de l'environnement.

    La pollution des cours d'eau par les pesticides baisse ? Malgré... ? Peut-être faut-il y voir une amélioration des pratiques. Bravo les agriculteurs... Continuez... Et expliquez...

    http://seppi.over-blog.com/2017/07/mauvaise-nouvelle-la-pollution-des-cours-d-eau-par-les-pesticides-baisse.html

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    1. Faut précisez que par pollution sont entendus: les poissons qui chient dans l'eau et qu'il n'y a AUCUNE NOCIVITÉ relevée dans les cours d'eau !! Çà alors !

      De plus, ces eaux (de toutes les rivières et fleuves du monde) se déversent continuellement dans la mer (qui refuse de monter !! Mais que fait la police ? !!) où elles s'infiltrent dans les planchers océanique jusqu'au magma pour y être chauffées/brûlées et... ressortent toutes propres dans les nappes phréatique qu'elles approvisionnent et aux sources. Et ceci... depuis des MILLIARDS D'ANNÉES et... GRATUITEMENT ! (voir l'escroquerie des 'stations d'épuration').

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  4. Honolulu interdit aux piétons d’envoyer des SMS lorsqu’ils traversent


    Arnaud Lefebvre
    28 juillet 2017


    Le conseil municipal d’Honolulu, la capitale de l’Etat américain d’Hawaï, vient d’approuver un projet de loi qui interdit aux piétons d’envoyer des textos lorsqu’ils traversent la rue.

    Si le maire signe cette mesure, la loi entrera en vigueur dans les 90 jours à venir et les piétons de la ville pourront être condamnés à une amende allant de 15 à 99 dollars lorsqu’ils traversent la rue tout en regardant leur smartphone.

    Toutefois, les personnes qui utilisent leur téléphone en marchant pour appeler les services d’urgences ou pour répondre à un appel d’urgence seront exemptés d’amende.

    Selon Brandon Elefante, le membre du conseil municipal a l’origine de la loi, l’objectif principal de la mesure est la protection et la sécurité des élèves.

    Aux Etats-Unis, les accidents de piétons qui utilisent leur téléphone se sont élevés à 11.000 entre 2000 et 2011, selon le Conseil national de sécurité.

    https://fr.express.live/2017/07/28/honolulu-interdit-aux-pietons-denvoyer-sms-lorsquils-traversent/

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  5. Alain Soral annonce vouloir demander l'asile politique en Corée du Nord


    28 juil. 2017, 13:06


    A l'issue d'un voyage officiel en Corée du Nord, l'essayiste controversé Alain Soral a déclaré dans une de ses vidéos qu'il allait demander l'asile politique à l'Etat nord-coréen dans lequel il estime risquer «beaucoup moins de persécutions».

    Habitué aux prises de position polémiques, certaines lui ayant valu des condamnations, l'écrivain Alain Soral a déclaré dans une vidéo publiée sur son site internet et sur YouTube le 27 juillet qu'il allait demander l'asile politique en Corée du Nord. Il revient d'un voyage dans ce pays où il affirme avoir été invité par les autorités.

    Dans son style habituel, l'essayiste a décrit avec enthousiasme un régime politique ayant selon lui «beaucoup à voir avec la pensée de Charles Maurras», en référence à l'écrivain royaliste et nationaliste, fondateur de l'Action française condamné en 1945 pour collaboration.

    «N'ayant plus aucune confiance dans ce qu'on appelle la démocratie de marché et d'opinion [...] la dictature occidentalo-compatible, effectivement je n'ai aucun problème à aller demander demain l'asile politique, car je vais demander l'asile politique [...] à ce qu'on appelle une [...] une démocratie populaire [la Corée du Nord]», a-t-il expliqué.

    Alain Soral estime en outre qu'il «risque beaucoup moins de persécutions dans ce pays» que dans son «propre pays, la France». D'après son site internet, le polémiste devrait payer actuellement 244 000 euros en condamnations pécuniaires diverses, et serait condamné à neuf mois de prison avec sursis et trois mois de prison ferme. Ces condamnations sont la conséquence de dizaines de procédures judiciaires lancées à son encontre pour des injures et diffamations en tous genres lancées envers des personnalités publiques. Alain Soral a par ailleurs été condamné de nombreuses fois pour incitation à la haine, principalement antisémite, après des poursuites émanant d'organisations antiracistes et communautaires, à la suite de propos ou de gestes.

    La demande n’ayant pour l’heure pas été effectuée officiellement, Pyongyang n’a pas réagi.

    Lire aussi : Alain Soral condamné à trois mois de prison ferme pour avoir publié un dessin jugé négationniste

    https://francais.rt.com/france/41462-alain-soral-annonce-quil-va-demander-asile-politique-coree-nord

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    1. Je ne sais pas quel âge il a ce con mais rien qu'à voir ses objectifs... HAHAHAHA ! Une tapette de première !

      (...) «N'ayant plus aucune confiance dans ce qu'on appelle la démocratie (...)

      ???!!! HAHAHAHA ! La démocratie !!! QUELLE 'démocratie' QUELLE ??! Il ne sait même pas ce qu'est une Démocratie ! Hahahaha ! (Je vous rassure il n'habite pas en Suisse !).

      (...) démocratie populaire [la Corée du Nord] (...)

      !!! La Corée du Nord une 'Démocratie populaire' !!! Cà alors, essayons d'y voir plus près:
      Que pourrait-il entendre par 'Démocratie populaire' ? Aux vues de ce qui se passe en Corée du Nord où PERSONNE ne peut ni s'échapper (pour aller voir ailleurs) ni capter Internet pour les mêmes causes, qu'est-ce qu'une Démocratie populaire ???!

      Serait-ce un endroit où des malades enfermés implorent leurs médecins de les abattre pour raccourcir leurs souffrances ? ou des monstres maso qui crieraient 'Whaôh Fais mois mal Johnny-Johnny-Johnny' ! ?

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  6. Le club exclusif des “500 milliards” est composé de 5 membres : toutes des entreprises de la “tech”, et toutes américaines


    Audrey Duperron
    27 juillet 2017


    Le supermarché de l’Internet, Amazon, a rejoint mercredi le prestigieux club des entreprises qui se targuent d’avoir une capitalisation boursière de plus de 500 milliards $. La cote de l’action AMZ enregistrée à la clôture des marchés a atteint son record absolu de 1068 $. Depuis le début de cette année, la valeur des actions a augmenté de plus de 40 %. Jeudi, c’était au tour de Facebook dont la cote a gagné plus de 5 % à l’ouverture du Nasdaq à la suite de l’annonce de ses excellents résultats trimestriels.

    Amazon et Facebook ont ainsi rejoint le club exclusif des entreprises qui pèsent au moins 500 milliards de dollars. Toutes sont des sociétés américaines du secteur de la technologie : Apple (805 milliards de dollars), Google (641 milliards de dollars), Microsoft (577 milliards de dollars) et désormais Amazon (503 milliards de dollars) et Facebook (500 milliards de dollars).

    Ces 5 entreprises américaines ont une capitalisation boursière cumulée approchant les 3000 milliards $, ce qui est plus que le PIB du Royaume-Uni, ou de la France.

    De même, le patron d’Amazon, Jeff Bezos, a ravi dans la foulée le titre « d’homme le plus riche du monde » au fondateur de Microsoft et philanthrope Bill Gates, qui le tenait depuis des années. Mark Zuckerberg, quant à lui, vaut désormais plus de 69 milliards de dollars.

    Pourquoi est-ce important ?

    Il semble que chaque jour apporte l’un de ces records, et ils pourraient voués à devenir anecdotiques, mais il ne faut pas oublier que ces entreprises américaines dominent le monde de la technologie et que le monde de la technologie domine l’économie et notre vie privée. En d’autres mots, elles dominent le monde.

    Où est l’Europe dans tout cela ? Nulle part. L’Europe a commis l’erreur de laisser ce groupe s’emparer du continent sans lui imposer aucun contrôle.

    Maintenant que l’Europe est confrontée à un président américain isolationniste, on entend de plus en plus d’appels pour une Europe plus autonome et indépendante. Une Europe indépendante qui serait complètement dominée par la technologie américaine. Voilà pourquoi l’hégémonie américaine est si écrasante sur ce plan.

    https://fr.express.live/2017/07/27/amazon-facebook-valorisation-500-milliards/

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    1. Bien sûr qu'il faut se méfier du 'avec qui on travaille' et que la liberté de penser appartient encore à chacun.

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  7. Un nouveau scandale coûterait cher à l'industrie automobile allemande


    24 Juillet 2017
    PAR AFP


    L'industrie automobile allemande, soupçonnée d'avoir tenu depuis des décennies des réunions secrètes, pourrait se trouver face à un nouveau scandale extrêmement coûteux.

    Soupçonnée d'avoir colludé pendant des décennies, l'industrie automobile allemande pourrait se trouver face à un nouveau scandale extrêmement coûteux pour ses finances et son image, alors que celui du diesel a déjà fait tomber le secteur de son piédestal.

    Si les informations du magazine Der Spiegel se confirmaient, le vaste trucage de onze millions de véhicules diesel par le groupe Volkswagen, révélé en 2015, pourrait presque passer pour peu de choses: les plus gros constructeurs du pays (Volkswagen, Audi, Porsche, BMW et Daimler) auraient tenu depuis les années 1990 des réunions secrètes pour s'accorder sur nombre d'aspects techniques de leurs voitures, lésant ainsi les consommateurs.

    C'est Volkswagen qui aurait fait "une sorte d'auto-dénonciation" aux autorités anticartel en juillet 2016, de même que Daimler, certainement dans l'espoir d'obtenir un peu de clémence de la part des gendarmes de la concurrence car la facture des amendes pour entente peut être extrêmement douloureuse.

    Daimler en a fait l'amère expérience l'été dernier, quand la Commission européenne lui a infligé un milliard d'euros d'amende pour s'être mis d'accord sur les prix de vente de ses camions avec trois autres fabricants européens.

    En théorie, l'amende de Bruxelles ou de l'Office anticartel allemand peut aller jusqu'à 10% du chiffre d'affaires de l'entreprise. Pour les constructeurs automobiles allemands, cela pourrait atteindre presque 50 milliards d'euros, en se basant sur leurs revenus de 2016. Cela sans compter le coût des plaintes de clients qui risqueraient de ne pas se faire attendre.

    Le responsable de la fédération allemande des associations de consommateurs, Klaus Müller, évoque déjà dans le quotidien Süddeutsche Zeitung la possibilité de dizaines de milliers de plaintes d'automobilistes, qui auraient "possiblement payé un prix trop élevé" pour leur voiture.

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  8. Pas encore d'enquête

    L'élucidation de cette éventuelle entente risque de prendre du temps. Pour l'heure, aucune enquête n'est officiellement ouverte. Bruxelles et l'Office allemand anticartel ont chacun indiqué avoir "reçu des informations" et celles-ci "sont en train d'être examinées par la Commission", a indiqué samedi l'exécutif européen, ne voulant pas "spéculer davantage".

    Volkswagen, dont le conseil de surveillance va tenir une réunion exceptionnelle mercredi, n'a pour le moment rien dit. Daimler s'est contenté d'indiquer qu'il appliquait son programme interne de respect du droit de la concurrence.

    BMW a lui nié dimanche toute entente avec ses concurrents concernant les émissions de ses voitures diesel et affirmé qu'aucun de ses modèles n'avaient été manipulé. Selon le Spiegel, le cartel des constructeurs allemands est en effet en partie lié à la manipulation des émissions polluantes.

    Les marques se seraient rencontrées de nombreuses fois pour déterminer la taille des réservoirs d'Adblue, un additif qui permet de réduire les émissions polluantes d'oxyde d'azote, d'après l'hebdomadaire. De gros réservoirs se révélant plus chers, les groupes auraient opté de concert pour de petits réservoirs, ne contenant pas assez de liquide pour réduire de manière suffisante les gaz polluants émis.

    "Gigantesque escroquerie"

    "Si cela s'avère vrai, cela coûtera des dizaines de milliards d'euros à l'ensemble des constructeurs concernés, et au moins quelques milliards d'euros à chacun d'entre eux", a indiqué Frank Schwope, expert de la banque allemande Nord/LB, interrogé par l'AFP.

    Une crainte partagée par les investisseurs de la Bourse de Francfort, où les actions des constructeurs étaient délaissées depuis les révélations du Spiegel vendredi. Vers 09H55 GMT, l'action Volkswagen perdait 2,90% à 133,75 euros, celle de Daimler 3,58% à 60,34 euros et celle de BMW 2,59% à 79,09 euros.

    Au-delà du coût potentiel, "la tenue de transactions secrètes, avec le scandale du diesel en arrière-plan, est aussi une catastrophe absolue pour la crédibilité de l'industrie automobile allemande", met en garde Stefan Bratzel, directeur du Center of Automotive Management (CAM).

    A l'approche des élections législatives en Allemagne en septembre, il fait peu de doute que le gouvernement va vouloir hausser le ton.

    Proche d'Angela Merkel, le député conservateur Volker Kauder a lundi matin appelé "à faire table rase" dans cette histoire. "On doit dire les choses clairement: le droit et la justice valent aussi pour l'industrie automobile", a-t-il insisté.

    Si l'histoire se révélait exacte, "ce serait une gigantesque escroquerie sur le dos des clients et des fournisseurs, souvent des entreprises de taille moyenne", a prévenu le rival social-démocrate de la chancelière, Martin Schulz.

    http://www.bilan.ch/economie/un-nouveau-scandale-couterait-cher-a-lindustrie-automobile-allemande

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  9. Berlin perd patience face aux scandales de l'industrie automobile


    27 Juillet 2017
    PAR AWP


    A deux mois des législatives, Berlin a haussé le ton contre l'industrie automobile, une posture tranche avec la traditionnelle harmonie entre le gouvernement allemand et ce secteur clé.

    A deux mois des législatives, Berlin a haussé le ton jeudi contre l'un des fleurons de l'économie allemande, l'automobile, décrédibilisée par les soupçons de cartel et de tricherie sur les émissions polluantes des véhicules diesel.

    "Une part du lien de confiance non seulement entre l'industrie automobile et les consommateurs mais également entre l'industrie automobile et les responsables politiques a été détruit", a estimé en des termes inhabituellement durs la ministre allemande de l'Environnement, Barbara Hendricks, à l'issue d'une entrevue avec le patron de Volkswagen.

    Cette posture tranche avec la traditionnelle harmonie entre le gouvernement allemand et ce secteur clé, l'un des plus grands employeurs et exportateurs du pays.

    'Trop confiants'

    "L'industrie automobile est sans conteste un pilier important de l'économie allemande dont dépendent plusieurs centaines de milliers d'emplois et c'est pourquoi les responsables politiques avaient toujours une oreille attentive à ses intérêts", a rappelé la ministre devant la presse.

    Mais "la proximité entre responsables politiques et industrie a été trop grande dans le passé et a conduit à ce que l'industrie automobile se sente, d'une certaine façon, trop confiante", a jugé Mme Hendricks, membre SPD du gouvernement de coalition entre les sociaux-démocrates et les conservateurs de la chancelière Angela Merkel.

    Cette mise au point intervient près de deux ans après la révélation, en septembre 2015, que le groupe Volkswagen (marques Porsche, Seat, Audi, etc.) a installé sur 11 millions de ses véhicules diesel dans le monde un logiciel lui permettant de faire passer ses engins pour moins polluants qu'ils n'étaient vraiment.

    Un scandale qui a coûté cher à Volkswagen, à la fois financièrement et en terme d'images. Il fait boule de neige dans l'ensemble du secteur.

    Dans plusieurs pays, des constructeurs font l'objet d'enquêtes ou de poursuites judiciaires et sont sommés par investisseurs et clients de rendre des comptes.

    Toujours prompt à batailler pour défendre les intérêts de ses constructeurs en Chine ou dans l'UE - Angela Merkel l'a fait pendant des années pour limiter les contraintes environnementales - Berlin a dernièrement semblé prendre ses distances, dans le sillage du scandale du diesel.

    "Une voiture Made in Germany avait jadis une bonne réputation, mondialement", regrette l'hebdomadaire Die Zeit, qui craint la perte de vitesse des constructeurs allemands si rien n'est fait.

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  10. La pression sur le gouvernement Merkel s'est encore accentuée avec les informations du Spiegel de vendredi. Le magazine affirme que les constructeurs allemands auraient tenu pendant plus de 20 ans des réunions secrètes pour s'accorder sur nombre d'aspects techniques de leurs voitures. Ils auraient ainsi lésé possiblement consommateurs et sous-traitants, posant les bases de la tricherie sur les émissions polluantes.

    Dans la foulée, les Verts ont exigé, sans succès, le départ du ministre des Transports (CSU), Alexander Dobrindt, l'accusant d'avoir fermé les yeux.

    A moins de deux mois des élections législatives allemandes du 24 septembre, le dossier est à la fois prioritaire et extrêmement sensible.

    Sommet sur le diesel

    Pris en tenaille entre le souci de ne pas léser l'industrie automobile, vitale pour le pays, et leurs obligations en matière de santé publique, Mme Hendricks et M. Dobrindt ont invité constructeurs et pouvoirs publics à un "forum national sur le diesel" le 2 août.

    Les participants espèrent en ressortir avec des solutions concrètes et uniformes pour réduire les émissions d'oxydes d'azote en Allemagne, alors que plusieurs villes du pays réfléchissent à interdire à la circulation, les jours de forte pollution, les véhicules roulant au gazole, et que les consommateurs se détournent du diesel.

    Le bras de fer a commencé. La ministre de l'Environnement a affirmé que les interdictions de circulation, redoutées par les constructeurs, pouvaient être nécessaires malgré les signes de bonne volonté de l'industrie automobile.

    Volkswagen s'est dit prêt jeudi à améliorer près d'un million de voitures diesel supplémentaires en Allemagne, dont des Porsche, afin d'en réduire les émissions polluantes.

    Sa marque Audi veut rappeler jusqu'à 850.000 véhicules diesel en Europe. Daimler va étendre une mesure de rappel à plus de trois millions de véhicules diesel Mercedes-Benz sur le Vieux continent, tandis que BMW est prêt à corriger 50% de sa flotte diesel Euro-5 dans le pays, soit environ 350.000 véhicules.

    http://www.bilan.ch/economie/berlin-perd-patience-face-aux-scandales-de-lindustrie-automobile

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  11. Rappel des commandes de Berlin de 22 000 Porsches sur la triche des émissions (Mise à jour)


    27 juillet 2017


    L'Allemagne a annoncé mardi que la marque de voitures de luxe Porsche rappellerait 22 000 véhicules en Europe au sujet de la triche de test d'émissions au cours d'un scandale élargi de l'année électorale.

    Le ministre des Transports, Alexander Dobrindt, a déclaré aux journalistes qu'un logiciel "illégal" déguisant le véritable niveau des émissions polluantes avait été découvert dans les modèles Cayenne et Macan de Porsche, qui doit maintenant être corrigé.

    "Nous allons commander un rappel juridiquement contraignant pour ces véhicules, tout comme nous l'avons dans d'autres cas", a-t-il déclaré.

    Dobrindt a déclaré que, parce que les modèles concernés sont encore fabriqués, Berlin refuserait également tout permis pour les véhicules «jusqu'à ce qu'un nouveau logiciel soit disponible».

    Porsche est une filiale de Volkswagen, qui a admis en 2015 de tricher des essais réglementaires d'émissions dans 11 millions de véhicules diesel à travers le monde.

    Les procureurs de la ville sud-ouest de Stuttgart, un bastion de l'industrie automobile d'envergure d'Allemagne, avaient déclaré plus tôt ce mois-ci qu'ils avaient ouvert une sonde contre des personnes inconnues qui travaillaient pour Porsche.

    L'enquête sur le «soupçon de fraude et de fausse publicité» découle de «la manipulation possible du traitement des gaz d'échappement dans les véhicules diesel de Porsche AG».

    Le porte-parole de Porsche, Christian Weiss, a déclaré à l'AFP à l'époque que l'entreprise "prend très au sérieux l'enquête des procureurs" et "fera le maximum pour résoudre le problème de façon exhaustive et aussi rapidement que possible".

    Volkswagen, le plus grand constructeur automobile au monde, a admis utiliser le logiciel dite «défaite» pour tromper les tests réglementaires d'émission d'oxydes d'azote.

    Les appareils ont permis aux voitures de vomir jusqu'à 40 fois les limites autorisées d'oxyde d'azote pendant la conduite normale, mais cela a été caché lors des essais d'émissions.

    La question a pris de nouvelles urgences moins de deux mois avant que l'Allemagne ne tienne une élection générale dans laquelle la chancelière Angela Merkel, un champion de l'industrie automobile, devrait largement gagner un quatrième mandat.

    https://phys.org/news/2017-07-germans-illegal-emissions-device-porsche.html#jCp

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  12. Un homme qui brandit la machette crie "Allahu Akbar" et en il tue un, lésions plusieurs au supermarché de Hambourg


    Par Tyler Durden
    28 juillet 2017 10:42


    Un homme qui brandissait des machettes criant Allahu Akbar en a tué un et a blessé plusieurs autres après avoir survolé le rampage dans un supermarché allemand cet après-midi, selon l'agence de presse allemande Dpa et la police de Hambourg. L'attaque s'est produite au coin des rues Fuhlsbüttler et Hermann-Kauffmann au nord de la ville, a indiqué la police. Les gens ont été prévenus de rester loin de la région. Des témoins ont déclaré que l'attaque s'est produite dans une branche d'Edeka, la plus grande chaîne de supermarchés en Allemagne.

    Comme l'ajoute Focus, un attaquant inconnu a attaqué sans discernement des clients dans une branche de supermarchés dans le district de Hambourg de Barmbek avec un couteau et a tué un homme. Après l'attaque, l'auteur a échappé. Des témoins l'ont suivi et ont informé la police. Les officiers pouvaient alors arrêter l'homme à proximité de la scène du crime.

    Le journal de Bild a publié une photo d'un homme prétendant être l'attaquant couvert de sang. Il a dit que la police cherchait un second homme. Le journal a déclaré que l'attaquant commençait à frapper les acheteurs avant d'être arrêté par la police.

    Selon Bild, l'homme a crié 'Allahu Akbar' en lançant l'attaque. Un témoin a déclaré au journal: "L'homme a soudainement frappé les clients, il y a eu un mort et plusieurs blessés".

    La police de Hambourg a confirmé l'attaque sur Twitter. Il n'y avait aucun détail derrière le motif de l'attaque.

    Les médias locaux signalent également qu'une alarme terroriste a été déclenchée. La police a également ajouté que «les rapports initiaux sur le vol qualifié en tant que motif possible jusqu'à présent n'ont pas été confirmés».

    L'Allemagne reste en alerte après une série d'attaques terroristes dans le pays l'année dernière.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-07-28/one-killed-several-injured-after-stabbing-attack-hamburg-supermarket

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    1. Le pays de la honte et de la lâcheté est un pays qui n'est PAS DÉFENDU contre les immigrants assassins que le chef de l'État attire et paie pour qu'ils tuent.

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  13. Un véhicule fonce dans la foule à Helsinki, un mort, plusieurs blessés


    INTERNATIONAL
    18:25 28.07.2017


    Un véhicule a foncé dans la foule en plein centre de la capitale finlandaise, Helsinki, faisant au moins un mort, ainsi que plusieurs blessés, a annoncé la police.

    Le conducteur du véhicule a été arrêté. Selon la police, l'homme, âgé d'une cinquantaine d'années, semble être en état d'ébriété ou sous l'emprise de drogues.

    «Le conducteur pourrait être ivre. Selon les premières informations, plusieurs personnes ont été blessées et une est décédée», a fait savoir la police d'Helsinki sur son compte Twitter sans donner plus de précisions.

    Les carrefours à proximité des lieux ont été fermés à la circulation suite à l'accident.

    https://fr.sputniknews.com/international/201707281032431999-helsinki-/

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    1. En plus, grâce aux véhicules électrique silencieux, on ne les entend même pas venir !

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  14. Le gouvernement français a construit un refuge pour les migrants dans cette petite ville - Les résidents ont répondu en construisant un mur autour de lui


    Par Tyler Durden
    28 juillet 2017 5:00 AM
    Auteur de Mac Slavo via SHTFplan.com,


    Lorsque la plupart des gens considèrent combien de migrants sont entrés en Europe ces dernières années, ils supposent probablement que tout le continent est un phare de tolérance et d'amour pour les étrangers qui recherchent un meilleur mode de vie. Mais une image plus précise de l'Europe suggère que la seule chose dont la plupart des Européens tolèrent, c'est leurs gouvernements corrompus qui ne veulent pas fermer les frontières. Cette tolérance est rapidement mince, car la plupart des Occidentaux rejettent les migrants qui font face au tissu social de leurs communautés.

    Ce qui expliquerait un incident récent dans la ville française de Séméac, où le gouvernement a récemment acheté un hôtel dans l'espoir de le transformer en un refuge pour les migrants.

    Les manifestants dans une ville du sud-est de la France ont construit un mur de près de deux mètres de haut autour de l'entrée d'un hôtel désaffecté pour essayer de l'empêcher de devenir un refuge pour les migrants.

    Travaillant sous le couvert de l'obscurité, quelques douzaines de résidents de Semeac dans les Pyrénées ont érigé un mur de 18 mètres de long et 1,8 m de hauteur interdisant l'accès à l'hôtel Formule 1, a déclaré un porte-parole du groupe.

    "Nous ne sommes pas contre les migrants", a déclaré à l'AFP Laurent Teixeira. "Mais vous devez tenir compte des citoyens".

    Les habitants sont frustrés par le gouvernement pour ne pas être transparent avec le public et ne disposant pas vraiment d'un plan pour les migrants. Le gouvernement français est actuellement sous la pression d'établir autant d'abris que possible, en prévision d'un autre pic de migration plus tard cet été.

    Teixeira a accusé les autorités de ne pas consulter les résidents sur le projet de transformer l'ancien hôtel économique en un refuge pour 85 migrants.

    "Rien n'est prévu pour la vie quotidienne des migrants", a t-il déclaré, arguant que les écoles et autres services publics dans la ville de 5 000 personnes seraient incapables de faire face aux nouveaux arrivants.

    Le manifestant Hugo Lacoue, un tabac, a déclaré qu'il s'opposait à ce que les migrants soient hébergés dans un quartier de banlieue.

    Mais il est sûr de dire que ce ne sont pas les seules raisons pour lesquelles ces villageois français s'inquiètent du refuge des migrants. Les médias politiquement corrects dans ce pays ne publiera probablement pas les craintes qui sont vraiment dans l'esprit de ces personnes.

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  15. Comme le fait que les viols et autres crimes violents sont en flèche dans les pays qui ont accepté les migrants à bras ouverts.

    Ou que les pays qui n'ont pas apporté tant de migrants n'ont pas d'attentats terroristes.

    Ou bien, les refuges migrants se transmettent souvent à des émeutes ivres où les réfugiés brûlent leurs propres abris et assurent des policiers et leurs collègues réfugiés. Certes, ce n'est pas quelque chose que cette petite ville est équipée pour faire face.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-07-28/french-government-built-migrant-shelter-small-town-–-residents-responded-building-wa

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    1. L'invasion de criminels en attente d'ordre de tuer panique l'Europe entière !

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  16. Paul Craig Roberts voit "Un rayon de lumière" d'Europe


    Par Tyler Durden
    28 juillet 2017 3h30
    Édité par Paul Craig Roberts,


    L'Amérique a été un paysage décourageant depuis que les néoconservateurs ont repris la politique étrangère des États-Unis pendant le régime de Clinton et ont commencé les deux décennies de crimes de guerre qui définissent l'Amérique du 21ème siècle et depuis que les sociétés américaines ont trahi la main-d'œuvre américaine en déplaçant des emplois américains en Asie.

    La perspective est devenue plus sombre lorsque le régime d'Obama a ressuscité la menace russe et a élevé la perspective d'un conflit militaire entre les puissances nucléaires.

    Comme l'Europe est prise au milieu, dans des circonstances normales, les pays européens auraient insisté pour que Washington cesse les provocations gratuites de la Russie. Mais les circonstances normales n'ont pas existé.

    Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les pays européens ont été des vassaux sans politique économique et étrangère indépendante.

    L'Europe accueille des bases militaires américaines qui menacent la Russie. L'Europe a soutenu les guerres d'agression de Washington contre la Serbie, l'Afghanistan, l'Irak, la Libye, la Syrie, les attentats aériens de Washington contre les provinces du Pakistan et l'utilisation par Washington de l'Arabie saoudite pour combattre sa guerre de procuration contre le Yémen.

    L'Europe a soutenu les sanctions économiques gratuites de Washington contre l'Iran et la Russie, des sanctions qui ont coûté beaucoup à l'Europe et à Washington.

    Habituée à avoir son chemin avec l'Europe, Washington engage l'Europe sans même consulter les gouvernements vassaux.

    Maintenant, il semble que l'extraordinaire arrogance et l'arrogance de Washington ont abouti à un dépassement. Confronté à une nouvelle série de sanctions contre la Russie, Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, a déclaré à Washington que le moment était venu lorsque Washington pourrait mettre ses intérêts d'abord et le dernier d'Europe.

    Les nouvelles sanctions ont des conséquences économiques et politiques dévastatrices pour l'Europe.

    Juncker a déclaré que si les préoccupations de l'Europe ne sont pas suffisamment prises en compte, nous sommes prêts à agir de manière appropriée en quelques jours. "
    Les ministères des Affaires étrangères allemands et français ont ajouté leur soutien à Juncker. Le ministère allemand des Affaires étrangères a déclaré:

    "Ce n'est pas dans le droit des Américains de juger ou de préciser de quelle manière les entreprises européennes peuvent s'engager en coopération avec des tiers, en particulier avec les entreprises énergétiques russes".
    Le ministère français des Affaires étrangères a déclaré: les sanctions «contredisent le droit international» en raison de leur «portée extraterritoriale».

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  17. L'Europe considère les sanctions comme un outil de la politique industrielle américaine qui élimine les intérêts commerciaux des États-Unis sur les intérêts commerciaux de l'Europe.

    Espérons que l'arrogance de Washington ne permettra pas à Washington de reculer et que l'Europe donnera à Washington le doigt et se désengagera de l'Empire américain.

    Sans que l'Europe soit l'hôte de ses bases militaires et de la propagande, la capacité de Washington à menacer la Russie diminuerait considérablement. En effet, une continuation de l'attitude hostile menaçant envers la Russie laisserait Washington isolée dans le monde.

    Aucun pays ne veut le risque d'avoir connu une guerre nucléaire uniquement pour le bien-être de l'unilatéralisme de Washington.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-07-27/paul-craig-roberts-sees-ray-light-europe

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    1. On sait que le programme hégémonique est établi. La multiplication des bases militaires entourant la Russie seront les déclencheurs de la guerre mondiale où les organisateurs ont pris soin de faire venir et même d'aller chercher !!!! des centaines de millions d'étrangers (uniquement islamistes) en les payant au prix fort pour qu'ils restent et finissent le travail.

      Les bases militaires attaqueront la Russie en prétextant le mensonge que c'est la Russie qui les a attaqué. La Russie se défendra donc en bombardant les bases c'est-à-dire en éliminant la totalité de la population européenne rassemblée pour la fin.

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  18. Amazon attire le concours de la robotique pour découvrir comment remplacer 230 000 travailleurs de l'entrepôt


    Par Tyler Durden
    28 juillet 2017 2:45


    Il ne fait aucun doute que Amazon exploite certains des entrepôts les plus avancés technologiquement au monde. À la fin de 2016, le Seattle Times a noté que la société «employait» environ 45 000 robots répartis dans 20 centres d'exécution à travers le pays.

    Comme on peut le voir dans la vidéo ci-dessous, les robots KIVA, une entreprise que Amazon a acheté pour 775 millions de dollars en 2012, déplacent les magasins de produits dans les entrepôts massifs de la société avec une relative facilité. Les bacs sont livrés par les robots KIVA sur une base juste à temps pour les «sélecteurs» humains qui saisissent tous les produits nécessaires et terminent le processus d'emballage avant que les boîtes ne soient expédiées aux clients.

    Mais, bien qu'ils aient apparemment maîtrisé l'art de déplacer des poubelles autour d'un sous-sol d'entrepôt, pour tous les objets essentiels, les chariots élévateurs robotisés en miniature, une solution à l'automatisation de la tâche simple de choisir des objets individuels hors de ces bacs est restée insaisissable. Et, avec des milliers d'êtres humains très coûteux, malades et généralement nécessiteux qui remplissent actuellement cette tâche, vous pouvez parier qu'Amaz cherche fermement cette solution avec un certain niveau d'urgence.

    En fait, ce week-end, Amazon va organiser une compétition de robotique avec 16 équipes du monde entier qui auront la chance de montrer leur technologie robotique "picking" pour avoir la chance de gagner une somme de 250 000 $ en prix. Per Bloomberg:

    Seize équipes de chercheurs en robotique se rendent au Japon cette semaine pour aider Amazon.com Inc. à résoudre son problème d'entrepôt. La société dispose d'une flotte de robots qui conduisent autour de ses installations à rassembler des éléments pour les commandes. Mais il a besoin des humains pour la dernière étape - ramasser des objets de différentes formes, puis emballer les bons dans les cases correctes pour l'expédition. C'est un exemple classique d'une activité simple, presque insensée, pour les humains, mais toujours inaccessible pour les robots. À partir de jeudi, la société exécute Amazon Robotics Challenge, le troisième concours annuel pour les robots qui poussent ces limites.

    Les roboticiens universitaires et commerciaux ont mis beaucoup d'énergie dans la résolution de ce qu'on appelle parfois le défi de «cueillette», et Amazon essaie de diriger cette énergie vers ses besoins spécifiques. Dans une partie du concours, les équipes remplissent une étagère avec un assortiment aléatoire d'articles que Amazon fournit: un verre à champagne, un rouleau de ruban adhésif, des ciseaux, un livre pour enfants intitulé «Robots, Robots partout» - et leurs robots retirent des spécificités , Les emballant dans des boîtes qui représentent des commandes Amazon semblables. Dans un autre cas, les robots font face à un mélange d'objets et les emballent sur des étagères qui ressemblent à celles des entrepôts Amazon, en se rappelant où chacun est allé. Il y a environ 250 000 $ de prix en argent, y compris 80 000 $ pour le premier prix.

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  19. Bien sûr, pour une entreprise qui a dépensé 775 millions de dollars sur KIVA, un montant de 250 000 $ en argent est juste une goutte dans le seau si cela les aide à identifier un étudiant diplômé qui pourrait éventuellement résoudre son problème de «cueillette».

    Startups en privé grogne qu'Amazon utilise le concours pour externaliser le développement à bon marché. Dans un marché où Google a payé un ingénieur unique de 120 millions de dollars pour aider à développer des véhicules automatisés, 250 000 $ pour toute information utilisable sur les robots automatiques d'entrepôt se basent à zéro. Le travail - même indirectement - inférieur au taux du marché pour l'une des entreprises les plus précieuses au monde, disent-ils, est fou.

    Démarre comme Right Hand Robotics et Universal Logic affirment que leurs systèmes sont beaucoup plus sophistiqués que ce qui est sorti du défi d'Amazon à ce jour. Yaro Tenzer, co-fondateur de Right Hand Robotics, est au Japon pour RoboCup 2017, la conférence où se déroule le concours d'Amazon. Il dit qu'il peut recruter des participants, mais ne voit guère de raisons de montrer publiquement les techniques de son entreprise. "La valeur pour nous est de rester en avance sur tous les autres", a-t-il déclaré.

    Alors, pourquoi ? Certains participants au concours d'Amazon, qui sont pour la plupart des étudiants diplômés et des universitaires, recherchent des emplois. Et bien qu'il y ait eu des plaintes concernant la faiblesse d'Amazon, les récompenses cette année sont environ trois fois supérieures aux prix précédents. Ashley Robinson, porte-parole d'Amazon, affirme que la société a augmenté le prix, car le concours est plus difficile qu'il ne l'était.

    Juste encore 230 000 personnes qui sont sur le point de subir les conséquences réelles du monde de "Combattre pour 15 $" de Bernie.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-07-27/amazon-hosts-robotics-competition-figure-out-how-replace-230000-warehouse-workers

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    1. Quand il y aura quelques milliards de morts, seuls les robots resteront pour travailler. Ce n'est qu'un exercice d'essais.

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  20. Censure de Silicon Valley


    Par Tyler Durden
    27 juillet 2017 11:05 PM
    Auteur de Samuel Westrop via The Gatestone Institute,


    S'il est toujours «toxique» pour considérer ISIS comme une organisation terroriste, alors - indépendamment du fait que cela soit le résultat d'un biais humain ou d'un algorithme sous-développé - le risque d'abus et la censure répandue existeront toujours. Le problème réside dans le concept même de l'idée. Pourquoi Silicon Valley croit-il qu'il devrait décider quel discours valable et ce qui ne l'est pas ?

    Les nouvelles conservatrices, semble-t-il, sont considérées comme des fausses nouvelles. Les libéraux devraient s'opposer à ce dogme avant que leurs propres nouvelles ne soient attaquées. Encore une fois, le problème le plus grave de tenter d'éliminer les discours de haine, les fausses nouvelles ou le contenu terroriste par la censure ne concerne pas l'efficacité de la censure; C'est la prémisse qui est dangereuse.

    Sous la direction d'algorithmes défectueux ou de programmeurs préjugés de la Silicon Valley, lorsque le New York Times commence à supprimer ou à cacher automatiquement des commentaires qui critiquent les clercs extrémistes, ou Facebook désigne des articles d'activistes anti-islamistes comme des «fausses nouvelles», les islamistes prospéreront et modéreront les musulmans va souffrir.

    Le dernier projet de Google est une application intitulée Perspective, qui, en tant que rapports Wired, amène la société de technologie à «se rapprocher de son objectif d'aider à favoriser une discussion sans troll en ligne et à filtrer les commentaires abusifs qui calment les voix vulnérables». En d'autres termes, Google est en train d'enseigner aux ordinateurs comment censurer.

    Si les plans de Google ne sont pas assez orwelliens pour vous, les résultats pratiques sont plutôt effrayants. Sorti en février, les partenaires de Perspective comprennent New York Times, The Guardian, Wikipedia et The Economist. Google, dont le slogan est "Do the Right Thing", vise son bowdlerism dans les sections de commentaires publics sur les sites Web des journaux, mais le potentiel est beaucoup plus large.

    Perspective fonctionne en identifiant le «niveau de toxicité» des commentaires publiés en ligne. Google indique que Perspective permettra aux entreprises de "trier les commentaires plus efficacement ou de permettre aux lecteurs de trouver plus facilement des informations pertinentes". Le site Web de démonstration de Perspective permet actuellement à quiconque de mesurer la «toxicité» d'un mot ou d'une phrase, selon son algorithme. Qu'est-ce donc un commentaire «toxique» ?

    L'organisation avec laquelle je travaille, le Forum du Moyen-Orient, étudie l'islamisme. Nous travaillons à faire face à la menace posée par l'islamisme violent et non violent, assisté par nos alliés musulmans. Nous croyons que l'islam radical est le problème et l'islam modéré est la solution

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  21. Perspective ne regarde pas affectueusement notre travail:

    L'application Google Perspective, qui est utilisée par les principaux médias pour identifier le «niveau de toxicité» des commentaires publiés en ligne, a beaucoup de possibilités d'abus et de censure répandue.
    Aucune personne raisonnable ne pourrait prétendre que ce soit un discours haineux.

    Mais le problème ne s'étend pas seulement aux opinions. Même les déclarations factuelles sont réputées avoir un taux élevé de «toxicité». Google considère que la déclaration «ISIS est un groupe terroriste» pour avoir 87% de chances d'être «perçue comme toxique».

    Ou 92% de «toxicité» pour déclarer l'objectif public-déclaré du groupe terroriste, le Hamas:

    Google nous rappelle rapidement que nous ne sommes pas en désaccord avec le résultat. Cela explique que "il est encore tôt et nous aurons beaucoup de mal". Le site Perspective offre même un "Seem Wrong?" Bouton pour fournir des commentaires.

    Ces renonciations, cependant, sont très semblables. S'il est toujours «toxique» de considérer ISIS comme une organisation terroriste, alors, indépendamment du fait que ce chiffre soit le résultat d'un biais humain ou d'un algorithme sous-développé, le risque d'abus et de censure répandue existera toujours.

    Le problème réside dans le concept même de l'idée. Pourquoi Silicon Valley croit-il qu'il devrait décider quel discours valable et ce qui ne l'est pas ?

    Google n'est pas la seule entreprise technologique amoureuse de la censure. En juin, Facebook a annoncé son propre projet d'utilisation de l'intelligence artificielle pour identifier et supprimer le «contenu terroriste». Ces mesures peuvent être facilement contournées par des terroristes réels, et combien de temps cela sera-t-il avant que cette même intelligence artificielle ne soit utilisée pour supprimer le contenu que le personnel de Facebook considère politiquement répréhensible ?

    En fait, en mai 2016, les «commissaires aux nouvelles» de Facebook ont révélé qu'ils avaient l'ordre de «supprimer les nouvelles d'intérêt pour les lecteurs conservateurs de la section influente des tendances du réseau social». Et en décembre 2016, Facebook a annoncé qu'elle travaillait à "aborder la question des fausses nouvelles et des faux" publiés par ses utilisateurs. Le Washington Free Beacon a révélé plus tard que Facebook travaillait avec un groupe appelé Media Matters sur cette question. Dans un de ses propres lancements aux donateurs, Media Matters déclare son dévouement à la lutte contre les «malformateurs en série et les propagandistes de droite». Le document divulgué de Media Matters affirme qu'il s'efforce de veiller à ce que «les plateformes d'Internet et de réseaux sociaux, comme Google et Facebook, ne soient plus sans critique et sans conséquence héberger et enrichir de faux sites de nouvelles et propagandistes». Media Matters prétend également travailler avec Google.

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  22. Les nouvelles conservatrices, semble-t-il, sont considérées comme des fausses nouvelles. Les libéraux devraient s'opposer à ce dogme avant que leurs propres nouvelles ne soient attaquées. Encore une fois, le problème le plus grave de tenter d'éliminer les discours de haine, les fausses nouvelles ou le contenu terroriste par la censure ne concerne pas l'efficacité de la censure; C'est la prémisse qui est dangereuse.

    Sous la direction d'algorithmes défectueux ou de programmeurs préjugés de la Silicon Valley, lorsque le New York Times commence à supprimer ou à cacher automatiquement des commentaires qui critiquent les clercs extrémistes, ou Facebook désigne des articles d'activistes anti-islamistes comme des «fausses nouvelles», les islamistes prospéreront et modéreront les musulmans va souffrir.

    En fait, la Silicon Valley s'est déjà révélée incapable de soutenir l'islam modéré. Depuis 2008, la Silicon Valley Community Foundation (SVCF) a accordé 330 524 $ à deux organisations islamistes, le Conseil des relations américano-islamiques (CAIR) et Islamic Relief. Ces deux groupes sont désignés comme des organisations terroristes dans les Émirats arabes unis. SVCF est la plus grande fondation communautaire d'Amérique, avec des actifs de plus de 8 milliards de dollars. Ses partenaires corporatifs comprennent certaines des plus grandes sociétés de technologie du pays - son don le plus important a été de 1,5 milliard de dollars par le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg. Le SVCF est Silicon Valley.

    Dans des pays comme la Chine, Silicon Valley a précédemment collaboré avec les censeurs. À tout le moins, il l'a fait parce que les lois de la Chine l'ont obligé à se conformer. Dans l'Union européenne, où la liberté d'expression est remplacée par «la réputation et les droits d'autrui» et la criminalisation du «discours haineux» (même s'il n'y a pas d'incitation à la violence), Google a ordonné de supprimer certaines données des résultats de recherche lorsque Un membre du public le demande, en vertu du droit européen d'être oublié. À juste titre, Google s'est opposé à la décision, bien que sans succès.

    Mais aux États-Unis, où la liberté d'expression bénéficie de protections trouvées nulle part ailleurs dans le monde, Google et Facebook n'ont pas été obligés d'introduire des outils de censure. Ils ne sont pas au gré des despotes paranoïaques ou des bureaucrates impensables. Au lieu de cela, Silicon Valley s'est porté volontaire pour censurer, et il a demandé l'aide d'organisations politiquement partisanes pour le faire.

    Ce type de comportement envoie un message. Plus tôt cette année, Facebook a accepté d'envoyer une équipe de personnel au Pakistan, après que le gouvernement a demandé Facebook et Twitter pour aider à mettre fin au "contenu blasphématoire" publié sur les sites de réseaux sociaux. Au Pakistan, le blasphème est punissable de la mort.

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  23. Google, Facebook et le reste de Silicon Valley sont des entreprises privées. Ils peuvent faire avec leurs données principalement ce qu'ils veulent. La dépendance mondiale de leur quasi-monopole sur l'échange d'informations et la prestation de services sur Internet signifie que la censure en masse est le corollaire inévitable des efforts des entreprises technologiques pour réglementer les nouvelles et les opinions.

    À un moment où les Américains ont peu de foi dans les médias, Silicon Valley se dirige maintenant dans une direction qui évoquera une ire similaire. Si les Américains ne faisaient pas confiance aux médias avant, qu'est-ce qu'ils pensent qu'une fois que les mêmes médias travaillent avec des entreprises technologiques, pas seulement pour signaler les informations que préfère Silicon Valley, mais pour censurer les informations qui les déteste ?

    http://www.zerohedge.com/news/2017-07-27/silicon-valley-censorship

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  24. Le président Trump et son ministère de la Justice: un affrontement qui ne devrait pas être


    Judge Andrew P. Napolitano.
    le 27 juillet 2017


    Au cours des deux dernières semaines, le président Donald Trump n'a pas caché son infidélité à la direction du ministère de la Justice sous le procureur général Jeff Sessions. En fait, Trump semble être le plus agité dans les parties croissantes du ministère de la Justice qui ne sont pas sous la direction de Sessions.

    Il est également en colère que la trace de la preuve bien connue des crimes de son ancien adversaire, Hillary Clinton, semble avoir été annulée par le DOJ.

    Comment est-ce que certaines parties du ministère de la Justice ne peuvent pas être contrôlées par le procureur général, que Trump a nommé pour diriger le MJ? Et avec une montagne de preuves de l'espionnage de Clinton - son échec à protéger les secrets d'État, des crimes beaucoup plus traîtres que ceux prétendus contre la campagne de Trump - pourquoi n'a-t-elle pas été poursuivie?

    Voici l'histoire du dos.

    Peu de temps avant sa sortie du bureau, le président Barack Obama a changé silencieusement un règlement du ministère de la Justice afin de permettre à toute agence de renseignement fédérale - il y en a 16 que le gouvernement fédéral reconnaît - qui possède légalement des données de renseignements cruciales pour le partager avec un ou plusieurs D'autres agences de renseignement. Pendant des générations, cela avait été interdit.

    Les données de renseignements bruts sont le fruit intact de la surveillance gouvernementale, telles que des copies de courriels, des messages texte et des données de fibre optique, ainsi que des copies numériques de conversations téléphoniques. Nous savons aujourd'hui que, malgré la Constitution, les lois fédérales et les décisions judiciaires fédérales, l'Agence nationale de sécurité capture toutes les communications, en dehors et à l'intérieur des États-Unis, de toute personne et entité aux États-Unis, en temps réel, 24/7/365 .

    Parmi les données brutes capturées et partagées avec les politiciens et la presse (ce partage peut souvent être un crime), des transcriptions d'une série de conversations téléphoniques entre le premier conseiller de sécurité nationale de Trump, l'ancien lieutenant-général Michael Flynn et l'ambassadeur russe L'US Sergey Kislyak.

    Lorsque des parties de ces transcriptions ont été révélées à la presse, il semblait que le directeur du FBI, James Comey, pensait qu'il pouvait y avoir une relation entre la campagne présidentielle de Trump et le gouvernement russe qui méritait d'être étudiée. Le FBI était également conscient de la surveillance britannique et de la NSA de la campagne Trump remontant à l'été 2015, dont certaines parties avaient été mises à disposition.

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  25. Lorsque Sessions est devenue procureur général et a appris tout ce que le FBI a appris sur les Russes, il a conclu qu'il pourrait devenir un témoin réticent dans l'enquête du FBI sur les Russes parce qu'il avait participé à la gestion de la campagne Trump. Craignant ce conflit et rejetant la dureté requise de son bureau, Sessions s'est retiré de la gestion de toutes les affaires du ministère de la Justice impliquant les Russes. Puis, Rod Rosenstein, le procureur général adjoint, a réagi en exagération et a nommé l'ancien directeur du FBI, Robert Mueller, en tant qu'avocat indépendant pour enquêter sur les Russes et toutes les questions connexes.

    Ainsi, est née une partie croissante du DOJ, qui est légalement indépendante du président et qui l'a contesté. Le même jour, le président a averti Mueller de ne pas avoir étudié les affaires de Trump, Mueller a cité plusieurs des documents de ses banques.

    Peu avant que tout cela ait eu lieu, Trump a licencié Comey parce qu'en juillet 2016, il avait laissé tomber la balle en refusant de recommander la poursuite de Clinton pour avoir détruit 30 000 courriels du gouvernement et pour ne pas sauvegarder les secrets contenus dans les milliers d'emails qu'elle a échoué détruire. Trump était très critique de Comey pour avoir usurpé le rôle du DOJ lui-même et annonçant publiquement que Clinton ne serait pas poursuivie - une décision et une annonce qui n'étaient pas Comey à faire.

    À cette rédaction, Sessions est toujours l'avocat général des États-Unis. Lorsqu'il a été remplacé par un procureur général qui ne s'est pas retiré de l'enquête la plus importante du ministère de la Justice depuis Watergate, il n'y aurait pas besoin d'un avocat indépendant.

    Si les séances restent ou vont, le procureur général ne devrait pas se sentir lié par la décision de Comey de laisser Clinton partir. Il devrait mettre la preuve de ses crimes devant une nouvelle équipe de procureurs et les instruire pour le présenter à un grand jury pour l'accusation.

    Et il devrait également identifier et inculper ceux de l'administration Obama qui ont commencé ce désordre avec leurs fuites de données de renseignements brutes. J'ai condamné la surveillance universelle depuis que nous l'avons appris en 2005. Nous savons maintenant combien l'utilisation politique illégale peut être horrible.

    Le président est frustré parce qu'il veut faire ce qu'il a été élu pour faire. Au lieu de cela, la léthargie du DOJ et le zèle de l'avocat indépendant l'ont à distance.

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  26. J'ai discuté dans cette colonne et ailleurs qu'une lecture juste de la Constitution et une compréhension raisonnable de la séparation des pouvoirs militent en faveur de la doctrine de l'exécutif unitaire. Cette doctrine, bien acceptée par les Framers, affirme succinctement que, en ce qui concerne le pouvoir exécutif du gouvernement fédéral, seul le président est responsable devant les électeurs, seul il peut diriger le pouvoir exécutif. La doctrine énonce en outre que, étant donné que le consentement des gouvernés est la ligne de base de la légitimité morale du gouvernement, nous ne devrions pas avoir d'agents dans le gouvernement auquel les électeurs n'ont jamais donné leur consentement.

    Cherchez bientôt une pause dans les nuages sombres.

    http://www.judgenap.com/post/president-trump-and-his-department-of-justice-a-clash-that-should-not-be

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