- ENTREE de SECOURS -



mercredi 10 mai 2017

Anonymous: “Préparez-vous pour ce qui arrive”

Audrey Duperron 
10 mai 2017



Le collectif d’hacktivistes Anonymous a lancé un avertissement sous la forme d’une vidéo annonçant l’imminence d’une troisième guerre mondiale. Celle-ci serait initiée dans la péninsule coréenne.

« Préparez -vous pour ce qui arrive », avertit le groupe dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube  (voir sur site). Anonymous évoque un « conflit dévastateur mondialement, tant pour l’environnement qu’au plan économique. »

« Tous les signes d’un conflit latent sont visibles sur la péninsule coréenne. Maintenant, tous les pays déplacent leurs pions stratégiques, mais à la différence des conflits mondiaux précédents, et en dépit du fait que les troupes au sol seront déployées – la bataille sera féroce, brutale et rapide ».

« Ceci est une vraie guerre avec des implications mondiales, où trois puissances mondiales sont impliqués. D’autres pays seront obligés de prendre parti ».

L’imprévisible Donald Trump

Le collectif de pirates base ses assertions sur les rapports indiquant que les autorités chinoises ont demandé aux citoyens chinois en Corée du Nord de rentrer au pays, sur les récents essais des missiles balistiques intercontinentaux Minuteman III menés par les Etats-Unis en Californie, sur la récente présence américaine en Australie, l’activité militaire au Japon, et les appel du gouvernement japonais à la population de se préparer pour une possible attaque nucléaire.

Selon Anonymous, La Chine veut à tout prix éviter une guerre. Sur le plan économique, cela serait une catastrophe pour le pays, car il serait confronté à un afflux massif de réfugiés nord-coréens.

Le groupe conclut en déclarant que « Lorsque le président Trump commence à tendre la main à des gens tels que le président Rodrigo Duterte des Philippines pour lui assurer qu’il est sur la même longueur d’ondes, on devrait commencer à poser des questions. Cependant, même Duterte a conseillé aux Etats-Unis de s’écarter de Kim Jong-un ».

- voir clip sur site :

29 commentaires:

  1. Les villes intelligentes pourraient être un cauchemar


    Sarah Liénart
    10 mai 2017


    Alors que le pourcentage de la population urbaine dans le monde est toujours en augmentation, l’idée de « smart city », ou ville intelligente, est en plein essor.

    Concept aux définitions mouvantes, la ville intelligente « [repose] sur des appareils interconnectés pour fluidifier et améliorer les services municipaux en se basant sur des données détaillées en temps réel », selon une définition du Harvard Business Review.

    On estime que le nombre d’appareils connectés dans les villes intelligentes atteindra les 2,3 milliards cette année. Ces appareils peuvent être utilisés pour réduire l’énergie utilisée dans les lampadaires, réguler la distribution de l’eau…

    Mais leur omniprésence fait de ces villes connectées le paradis des hackers, et elles pourraient vite devenir un cauchemar pour la sécurité.

    Si un hacker prend contrôle du réseau d’une ville intelligente, toute la programmation peut être déstabilisée, comme à Dallas, au Texas où des hackers ont fait résonner les 158 sirènes d’urgence de la ville le 8 avril dernier.

    50 milliards d’appareils connectés dans 3 ans

    Les villes qui utilisent des systèmes de contrôle et d’acquisition de données (SCADA) sont particulièrement vulnérables au piratage informatique dû à des protocoles de sécurité insuffisants : les hackers peuvent menacer la santé publique et la sécurité, et perturber de multiples services municipaux à partir d’un point d’accès unique. Le nombre d’appareils connectés devraient atteindre 50 milliards d’ici 2020 – les villes intelligentes vont devoir investir dans la sécurité de leur infrastructure numérique, et vite, afin de se protéger des cyber-attaques éventuelles.

    https://fr.express.live/2017/05/10/ville-intelligente-connectee-risques/

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  2. Fausse alerte : la technologie n’a jamais détruit moins d’emplois qu’aujourd’hui


    Audrey Duperron
    9 mai 2017


    Contrairement à ce qui est souvent dit, le marché du travail est loin de se trouver au cœur d’une perturbation technologique (ce que l’on appelle aussi “disruption”) sans précédent. C’est la conclusion d’une étude menée par une institution américaine, l’Information Technology and Innovation Foundation.

    Cette étude a démontré que les pertes d’emplois induites par les nouvelles technologies étaient à leur plus bas niveau historique aux États-Unis. « Il est grand temps que nous nous cessions de nous inquiéter et que nous commencions à améliorer la productivité grâce à une plus grande innovation technologique », écrivent les chercheurs.

    Ils concluent leurs études avec ces trois recommandations pour les décideurs:

    Prenez une grande respiration et calmez-vous

    La perturbation sur le marché du travail n’est pas anormalement élevée, elle est exceptionnellement basse. Les prévisions qu’une startup remplacera prochainement définitivement le travail humain sont exagérées, comme elles l’ont toujours été.

    S’il existe un risque, c’est celui que le changement technologique et la croissance de la productivité résultante soient trop lents, plutôt que trop rapides

    Par conséquent, les décideurs ne devraient pas essayer de retarder les changements, au contraire, ils devraient tout simplement accélérer le processus de destruction créatrice. Dans le cas contraire, il sera impossible d’améliorer les conditions de vie à un rythme plus rapide que celui, très lent, du progrès. Cela signifie qu’il faut éviter de céder aux intérêts des leaders du marché (que ce soit des entreprises ou des salariés) en essayant de contrecarrer la perturbation technologique.

    Les décideurs politiques devraient en faire davantage pour faciliter la reconversion des travailleurs qui ont perdu leur emploi
    Cela vaut indépendamment du rythme des pertes d’emplois et de la capacité des politiques à accélérer ou ralentir ce processus. De même, que ces pertes soient dues à une récession de nature conjoncturelle ou à une tendance qui entraîne naturellement des pertes d’emplois n’a aucune importance.

    https://fr.express.live/2017/05/09/perturbation-technologique-destruction-emplois/

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  3. La nouvelle proie des hackers : les propriétaires de super-yachts


    Arnaud Lefebvre
    9 mai 2017


    Les pirates informatiques s’attaquent maintenant aux systèmes informatiques sophistiqués des super-yachts, rapporte The Times. Ces yachts sont en effet une proie facile pour un ransomware ou logiciel de rançon, un type de virus qui paralyse le système informatique jusqu’à ce que la victime paie une rançon.

    Darren Mayhead, directeur Great Circle Systems, entreprise de systèmes IT pour yacht, a mis en garde contre le fait que, bien qu’équipés de pare-feu ou de logiciels antivirus, les super-yachts avec leur changement d’équipages et leur rotation d’invités, constituent une cible vulnérable pour la mise en œuvre d’une cyber-attaque.

    Ordinateur portable

    Campbell Murray, expert en cyber-sécurité de Blackberry, a expliqué qu’il était possible avec un simple ordinateur portable de totalement contrôler un super-yacht en seulement quelques heures.

    « Nous avons pu contrôler les communications par satellite, les communications téléphoniques, le Wi-Fi ainsi que le système de navigation. Et nous pouvons même effacer toutes les données afin de supprimer toute preuve de nos actes ».

    Il est également possible de contrôler le système de caméras de surveillance en circuit fermé, ce qui permettrait d’assister des pirates qui souhaitent s’emparer du bateau, a encore expliqué Murray.

    Les propriétaires de super-yachts sont particulièrement vulnérables face à l’extorsion de fonds, estiment les experts. Les pirates informatiques sont en mesure de dérober des informations via le traçage des réseaux sociaux de l’équipage pour déterminer l’emplacement du navire et la composition des invités VIP et pouvoir ainsi prendre des photos compromettantes.

    https://fr.express.live/2017/05/09/nouvelle-proie-hackers-proprietaires-de-super-yachts/

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  4. Montre-moi le gratte-ciel de ton pays et je te dirai si c’est une dictature


    Arnaud Lefebvre
    9 mai 2017


    Les autocraties ont un faible pour la construction de gratte-ciel, indique une étude réalisée par des scientifiques de l’Université d’Oslo.

    Les chercheurs norvégiens sont arrivés à la conclusion que les pays les moins libres construisaient en moyenne par an 1,6 gratte-ciel en plus que ceux dont les élections sont régulières et équitables. Selon cette étude, sur un an, les dictatures ont représenté 150 millions de mètres carrés de gratte-ciel.

    Les dictateurs semblent penser que la réalisation de structures gigantesques impressionnera leur peuple et que ces immeubles ont la capacité de mettre leur pays sur le devant de la scène internationale, expliquent les chercheurs Haakon Gjerløw et Carl Henrik Knutsen, professeurs de sciences politiques à l’Université d’Oslo.

    « En outre, ils peuvent ainsi offrir d’importants contrats de construction à leurs alliés. »

    Vanité
    Les chercheurs ont établi une autre distinction entre les gratte-ciel des pays libres et ceux des autocraties : la quantité d’espace de vanité ou distance entre l’étage occupé le plus élevé et le sommet de la structure. Sur les dix bâtiments avec le plus grand espace de vanité, deux se trouvent aux Etats-Unis, trois en Chine et cinq a Dubaï.

    « Les plus hauts gratte-ciel se trouvent dans les monarchies arabes », soulignent les chercheurs. Le plus haut bâtiment du monde est le Burj Khalifa à Dubaï (828 mètres), immeuble qui sera bientôt dépassé par la Tour Jeddah en Arabie saoudite (1008 mètres).

    L’année dernière, 128 gratte-ciel ont été achevés dans le monde dont 84 en Chine. Aux Etats-Unis, seuls sept nouveaux gratte-ciel ont été construits. Moscou a maintenant trois bâtiments plus hauts que le gratte-ciel de bureaux « The Shard » de Londres. Enfin, Dubaï s’apprête à terminer cette année la construction de 4 gratte-ciel dont la hauteur dépassera les 300 mètres.

    https://fr.express.live/2017/05/09/montre-moi-gratte-ciel-de-pays-te-dirai-cest-dictature/

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  5. La controverse du gluten terminée ?


    le 10 mai 2017


    C’est une étude parue dans le British Medical Journal qui l’affirme la mode des aliments sans gluten est néfaste pour la santé ! Les aliments sans gluten ne sont préconisés que pour les personnes diagnostiquées sans équivoque comme souffrant de maladie coeliaque, une « allergie » au gluten se traduisant par une inflammation de l’intestin, c’est-à-dire environ 1 à 2 % de la population. Tous les consommateurs qui se sont, par précaution, soumis à une alimentation sans gluten augmentent significativement leur exposition à des maladies cardiovasculaires. L’étude en question (voir le lien) a duré 26 ans et comportait un examen minutieux de l’alimentation de 64714 femmes et 45303 hommes ainsi que l’évolution de leur état de santé durant cette période. Il est apparu que l’alimentation contenant du gluten dans divers aliments – 131 aliments différents furent examinés – conduisait à une réduction des risques cardiovasculaires. Toutes les études antérieures de ce type s’étaient focalisées sur les personnes souffrant de maladies coeliaques et ne consommant ni de céréales entières (non raffinées pour ne plus contenir de gluten), ni d’autres aliments préparés à partir de blé, de seigle ou d’orge. Or la corrélation entre fréquence des maladies cardiovasculaires et absence de gluten dans l’alimentation n’a pas pu être établie.

    Il ressort donc que les céréales (orge, seigle et blé) raffinées afin de ne plus contenir de gluten sont plutôt mauvaises pour la santé des personnes ne souffrant pas de maladie coeliaque : encore une rumeur infondée que cette étude a parfaitement bien mise en doute.

    Source BMJ, doi : 10.1136/bmj.j1892

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/05/10/la-controverse-du-gluten-terminee/

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    1. Erreur volontaire de non-scientifiques en tant que journalistes (à la botte du parti politique pro-dictature) ou politiques* (parlant de la science SANS avoir fait la moindre étude scientifique de leur vie !) qui a bien valu quelques milliers de morts dont les rapports autopsiques prévaudront bien sûr une autre cause.

      *voir 'COP21' à Paris où la présence-même de scientifiques était proscrite à l'intérieur de la salle de réunion ainsi qu'en extérieurs où ils étaient interdits de manifester !!!

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  6. La vengeance des gentlemen en vert


    Par Dmitry Orlov
    Le 2 mai 2017 – Source Club Orlov


    Les États-Unis semblent se préparer à une première frappe nucléaire contre la Russie. Ils ont installé des systèmes de défense antimissiles balistiques en Pologne et en Roumanie, avec l’affirmation absurde qu’ils sont là pour protéger l’Europe contre les soi-disant ICBM iraniens inexistants. Ces installations supposément défensives peuvent également être utilisées pour lancer des missiles nucléaires sur la Russie. Et récemment, les États-Unis ont placé leurs avions de combat F-35 en Estonie, à seulement quelques minutes de vol de Saint-Pétersbourg, la deuxième plus grande ville de Russie. Ces jets sont capables de transporter des charges utiles nucléaires. Sans aucun doute, ces étapes ont rendu la guerre nucléaire plus probable, même si c’est par hasard.

    Il existe deux façons possibles de voir cette posture agressive : défensive ou offensive. Considérées comme des mesures défensives, sont-elles nécessaires et sont-elles efficaces ? Considérées comme des mesures offensives, sont-elles efficaces et quelles en seront les retombées (sans jeu de mots) ? Et si les États-Unis devaient se livrer à l’extrême folie de tenter une première attaque nucléaire sur la Russie, quel serait l’effet de cette folie, personnellement, sur les aspirants criminels de guerre américains qui seraient derrière un tel plan ? Devraient-ils avoir peur, très peur, et de quoi devraient-ils avoir très peur ? Nous allons y jeter un coup d’œil.

    Ces dernières années, la Russie a fait des progrès très importants autour des technologies militaires et de la formation. En voici une liste partielle :

    1. Des systèmes de défense aérienne (S-300, S-400, S-500) qui fermeront efficacement l’espace aérien russe jusqu’à l’orbite terrestre proche. Les Américains n’ont pas la technologie pour pénétrer ces nouvelles défenses aériennes. De nombreux composants de ces systèmes sont mobiles, et lorsqu’ils se déplacent, ils deviennent très difficiles à cibler.

    2. Les systèmes de guerre électronique (Khibiny, Krasukha) qui peuvent neutraliser les navires américains, les avions et les missiles de croisière, ont récemment été mis en action en Syrie, où environ 60% des Tomahawks n’ont pas atteint la zone cible. Les forces américaines et de l’OTAN se sont révélées à plusieurs reprises incapables d’opérer dans les zones où ces systèmes sont déployés.

    3. Un nouvel ICBM (Sarmat) qui n’est pas exactement un missile balistique car il peut exécuter des vols suborbitaux à volonté tout autour de la planète. Il peut délivrer de multiples vecteurs à charges nucléaires capables de manœuvres supersoniques de re-rentrée. Il n’y a aucune technologie qui puisse l’intercepter.

    4. Des missiles de croisière à longue portée (Kalibr) qui peuvent être lancés à partir de petits navires ou de sous-marins près de la côte américaine et pénétrer à l’intérieur des terres. Ils sont comme les Tomahawks Américain, mais plus grands, plus rapides, plus modernes, plus difficiles à intercepter, beaucoup moins chers et, comme les événements récents en Syrie l’ont montré, beaucoup plus fiables.

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  7. 5. Des forces spéciales hautement qualifiées et professionnelles dotées d’équipements ultramodernes qui peuvent se présenter à peu près n’importe où (pas de « choc et d’effroi » nécessaires), neutraliser les forces ennemies sans blesser les civils, sécuriser tranquillement la paix sans causer de pertes parmi les civils et se transformer à volonté pour fournir de l’aide humanitaire et démêler les politiques locales.

    Dans l’intervalle, l’armée américaine s’est transformée en un tas de déchets indésirables, des entreprises de défense privées alimentant la frénésie et une expérience ridicule d’ingénierie sociale. Son aspect poubelle est assez clair lorsque vous considérez comment l’armée américaine est équipée : avec la technologie des années 1970, comme les chars Abrams et les véhicules blindés Bradley. La frénésie pour financer les entreprises de défense privées a rendu les militaires américains de loin les plus chers de la planète, mais, comme pour les autres rackets américains, les soins de santé et l’éducation publique, il est clair que coûter cher n’a rien à voir avec le fait d’être bon. En ce qui concerne l’ingénierie sociale, voici une description concise de ce qui s’est passé dans l’armée américaine depuis la première guerre du Golfe :

    Depuis 1991, l’armée américaine s’est lentement désagrégée comme une couture. La reconnaissance du stress, l’homosexualité ouverte, les transgenres en service actif, la formation à la sensibilité, les simulateurs de grossesse pour les hommes, les stations de lactation sur le terrain, les bébés nés sur les navires de guerre américains, les femmes diplômées chez les Rangers, y compris une mère de 37 ans (c’est drôle comment les femmes y ont l’air si à l’aise), les femmes dans les NAVY SEALS, les femmes dans les unités d’infanterie de marine et les femmes dans l’artillerie (même si la plupart ne peuvent pas porter un obus de 155 mm) ne sont qu’une partie de la folie qui a eu lieu au cours des 26 dernières années, et qui a provoqué un effet boule de neige vers l’enfer sous l’administration Obama.

    Gardez à l’esprit que, dans l’ensemble, les États-Unis coulent de plus en plus dans un océan de dettes et, à ce stade, un accident financier amènerait directement à la banqueroute. Ce pays ne se développe plus économiquement mais se contracte, bien que, pour le moment, cela soit masqué par une grande variété de rackets financiers. Plus de la moitié de sa population est à un seul accident de la vie d’être totalement liquidé. La plupart des gens sont victimes de maladies mentales, sont obèses et drogués, criblés de déviances sexuelles et de vices, et atteignent des profondeurs d’ignorance en raison de l’échec du système scolaire, qui enseigne à peine plus que l’obéissance et les compétences pour passer un test.

    En réponse à tous ces défis, les États-Unis pourraient simplement renoncer, réduire considérablement la taille et la portée de leur gouvernement fédéral, démanteler les bases militaires à l’étranger, ramener les troupes à la maison et chercher des moyens de renforcer leur infrastructure effondrée et leur réseau de sécurité sociale en lambeaux. Au lieu de cela, ce pays a choisi de doubler la mise. Les Américains pensent qu’ils pourraient être en mesure de préserver leur capacité de dissuasion nucléaire en menaçant la Russie à bout portant : les armes nucléaires en Pologne et en Roumanie masquant des systèmes ABM, les F-35 avec des munitions nucléaires en Estonie, à quelques minutes de Saint-Pétersbourg, etc.

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  8. Comme n’importe qui avec une bonne compréhension de la Russie moderne vous le dira, la Russie n’est absolument pas l’URSS. Elle n’a pas d’idéologie messianique au-delà de la défense de sa souveraineté nationale, du soutien des normes et des valeurs sociales et culturelles traditionnelles et de l’adhésion au droit, tant au niveau national qu’international. Non seulement ce n’est plus un empire, mais elle est allergique au concept même, après avoir été asséchée par les républiques soviétiques et les pays satellites pendant l’ère soviétique. Ses opérations militaires à l’étranger visent à empêcher la propagation d’États défaillants qui menaceraient sa sécurité. Elle n’a absolument aucun intérêt à s’engager dans une guerre à grande échelle, en particulier nucléaire. La Russie n’a aucune doctrine de première frappe nucléaire.

    D’autre part, les États-Unis se réservent quant à eux le droit de frapper en premier, et c’est précisément pour cette raison que la Russie choisit de dépenser une bonne partie de son trésor national (environ 1% à 2% du PIB) pour l’étanchéité de son espace aérien, d’une part, et le développement de véhicules de frappe avec des charges nucléaires qui ne peuvent pas être interceptés d’autre part. Le but de ces préparatifs n’est pas de se préparer à attaquer les États-Unis, mais de s’assurer que ceux-ci ne songent même pas à attaquer la Russie.

    Dans le meilleur des cas, tout se terminera par un appel téléphonique du Kremlin à la Maison Blanche : « Écoutez, renoncez, OK ? Il suffit de rentrer à la maison et de vous occuper de vos propres affaires. Nous ne voulons pas vous détruire avec toutes vos affaires parce que nous les voulons pour nous-mêmes. Nous n’allons pas vous tuer. Nous allons simplement vous voler et vous humilier, tout comme vous nous avez volés et humiliés dans les années 1990. Vous avez eu quelques bons siècles sous les feux de la rampe, mais maintenant, c’est fini. » Et à ce moment-là, les Américains se contenteront de conclure ce pacte, parce que c’est la meilleure de toutes les alternatives.

    Ce serait le résultat rationnel : les États-Unis plient, simplement. Mais il y a deux forces irrationnelles en jeu. L’une est que les Américains sont très bons pour projeter l’ombre : l’Amérique est bonne par définition, la Russie est mauvaise parce que ce n’est pas l’Amérique, et donc les tendances perverses de l’Amérique (comme la propension à bombarder d’autres pays avec des armes nucléaires) sont projetées sur la Russie. Les Américains ne peuvent pas se faire confiance à eux-mêmes pour faire le bon choix et, par conséquent, ils ne peuvent pas faire confiance à la Russie pour faire le bon choix non plus. L’autre force irrationnelle fonctionne dans la direction opposée : les Américains sont incapables d’imaginer qu’ils ne sont pas la nation la plus puissante de la terre et, en regardant la Russie le démontrer avec ses nouvelles armes, leur seul choix, psychologiquement, est de penser que leurs propres armes doivent être encore plus géniales, malgré toutes les preuves du contraire. Il est possible que les déficients mentaux qui présentent ces tendances trouvent un moyen de déclencher une première frappe nucléaire sur la Russie. Comment, alors, cela finirait-il ?

    Tout d’abord, il est absurde de penser que les Russes n’auraient aucun avertissement préalable de l’attaque. Washington fuite déjà de partout comme un tamis. Tout le linge sale est déjà suspendu pour sécher sur Wikileaks. Dans une situation où un crime de guerre de proportions étonnantes serait planifié, un certain nombre de personnes qui connaissent le plan le feraient sûrement fuiter. Ils le feraient pour au moins deux bonnes raisons : tenter de sauver leurs âmes immortelles d’une éternité en enfer ; et faire la meilleure chose moralement en essayant de sauver autant de vies que possible en faisant échec à cette attaque.

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  9. Comment cela finirait mal ? Les ordres seraient d’attaquer à un moment prédéterminé, en utilisant des bombardiers, des missiles de croisière lancés à partir de navires et des missiles balistiques lancés depuis des sous-marins – tout en maintenant le silence radio afin que les Russes ne sachent pas comment lancer des représailles. Les ICBM terrestres ne seraient pas utilisés, pour empêcher les Russes de déterminer où riposter.

    Mais quelques minutes avant ce moment prédéterminé, la plupart des navires et des sous-marins seraient coulés par les torpilles à supercavitation de la Russie et les missiles balistiques anti-navires, alors qu’ils maintiendront le silence radio. De même, la plupart des bombardiers seront abattus en utilisant les systèmes de défense aérienne de la Russie, tout en maintenant le silence radio. Quelques-uns pourraient passer au travers de ce filtre initial et poursuivre aveuglément une mission déjà condamnée à l’échec.

    La prochaine étape sera plus d’activité de défense aérienne combinée avec de la guerre électronique. En volant dans un très grand four à micro-ondes réglé au « maximum », presque tout ce qui parviendrait à traverser le premier filtre finirait hors-course et n’atteindrait pas la cible. Une partie des missiles ne parviendra pas à détonner et alors que d’autres iraient exploser quelque part dans la toundra à des centaines de kilomètres de la colonie la plus proche.

    Maintenant, supposons qu’une seule frappe nucléaire atteigne une cible – la mauvaise cible, mais une cible néanmoins. La ville de Yopta, une population de plusieurs centaines de milliers d’habitants, serait détruite, tandis que Ust-Yopta, plus petite, située à peine à 300 km de l’épicentre, survivrait à l’explosion mais serait contaminée par des retombées radioactives.

    Les Princes parfumés du Pentagone qui auraient déchaîné ce feu nucléaire écoutant attentivement ce silence radio qui dure beaucoup plus longtemps que prévu, choisiraient judicieusement de rester dans leurs bunkers en rongeant leurs ongles.

    En voyant que les dégâts sont limités, les Russes devraient choisir de prendre des mesures de riposte asymétrique. Ils utiliseraient des armes conventionnelles de haute précision pour attaquer les États-Unis. Ils supprimeraient le réseau électrique, l’internet, les approvisionnements en eau, les oléoducs et les gazoducs, les ponts ferroviaires et routiers, les réservoirs de carburéacteur dans les aéroports et les réservoirs de carburant de soute dans les ports maritimes. Ensuite, ils attendraient un peu, peut-être une semaine, jusqu’à ce que les États-Unis deviennent une cible suffisamment souple pour une invasion limitée du sol.

    Et c’est alors que les gentlemen en vert [Surnom des soldats russes, donné après leur opérations sans provoquer de morts en Crimée, NdT] apparaitraient. Ils auraient les listes de ceux qui ont lancé l’attaque et les coordonnées de leurs bunkers et de leurs caches. Leurs ordres seraient de les emmener tous, de préférence en vie et pas trop physiquement endommagés, et de se retirer immédiatement. Ils le feront.

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  10. Ensuite, nous aurons un Tribunal de Nuremberg fois cent. Les Princes parfumés du Pentagone seront accusés de génocide par utilisation d’armes nucléaires, le crime ultime contre l’humanité. Aucun d’entre eux ne verra plus jamais sa famille, ainsi que beaucoup d’autres choses, parce qu’ils vont passer le reste de leur vie à fouiller à la main les débris radioactifs dans et autour de la ville de Yopta, où il fait parfaitement sombre quatre mois par an. Leur travail sera de chercher des restes humains, puis de les enterrer dans des tombes creusées dans la toundra à l’aide de piquets et de pelles. Ils devraient tous mourir de cancer par exposition au rayonnement.

    Les Princes parfumés seraient bien avisés de prendre préalablement des conseils psychologiques pour cesser de projeter cette ombre et dégonfler leurs égos. Ensuite, ils pourront se limiter à des activités utiles, comme le rapatriement des troupes et la fermeture des bases militaires à l’étranger.

    Dmitry Orlov

    Traduit par Hervé, vérifié par Wayan, relu par M pour le Saker Francophone

    http://lesakerfrancophone.fr/la-vengeance-des-gentlemen-en-vert

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    1. Après 'le dimanche de la honte' qui donna la victoire aux déçus de la nazional socialiste et malgré que la grande majorité des français n'ait soutenu aucune des personnes candidates, se concrétise de plus en plus la silhouette de ceux que l'on appelle la 5è colonne ou 'les hommes de l'ombre'. A ce 'défendu par personne' le Peuple des insoumis n'en a pas moins cessé de combattre en apportant la vérité contre le mensonge. D'où la crainte de ces gens derrière le rideaux qui tirent les ficelles depuis des lustres de se saborder eux-mêmes en voulant rayer les humains de la carte terrestre !

      Après avoir renversé des pays exemplaires dans leur économie comme modèles dans leur politique, finissent-ils par se rapprocher du Venezuela (et pourquoi pas de la Suisse qui est la seule démocratie au monde !) où tout est mis en place pour une guerre totale sur 'le roi du pétrole' !

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  11. Abus de pouvoir, naïveté : pourquoi le limogeage du patron du FBI par Trump choque-t-il Washington ?

    10 mai 2017


    Donald Trump se retrouve sous le feu des critiques après avoir limogeage James Comey. Comment expliquer ce tollé ? Le président américain vient-il de générer une nouvelle crise ? Décryptage avec le spécialiste des Etats-Unis, Jean-Eric Branaa.

    Jean-Eric Branaa est historien spécialisé dans la politique, la société et le droit américains. Il est maître de conférences à l’université de Paris II Assas. Il est également l’auteur de Hillary, une présidente des Etats-Unis (Eyrolles), de Qui veut la peau du Parti républicain ? L'incroyable Donald Trump (Passy) et de Make America Great Again : l'Amérique de Donald Trump (Privat).

    RT France :Le limogeage du directeur du FBI, James Comey, a entraîné de nombreuses réactions négatives. Donald Trump s'en est justifié en disant que James Comey avait perdu la confiance de tous. Comment expliquer le tollé suscité par cette décision ?

    Jean-Eric Branaa (J.-E. B.) : Il est vrai que James Comey est critiqué par beaucoup de monde. Il est également vrai que les démocrates lui en veulent énormément. La semaine dernière Hillary Clinton a estimé qu'il représentait un des facteurs importants expliquant sa chute et sa défaite à l'élection présidentielle. Elle a même ajouté que sans James Comey, elle serait présidente des Etats-Unis. Ce qui explique que les démocrates l'apprécient peu. Un certain nombre de républicains lui en voulaient également car il avait arrêté l'enquête sur Hillary Clinton au début du mois de juillet 2016, à un moment où tous pensaient en faire un argument de déstabilisation. James Comey avait donc de nombreux détracteurs.

    Pourquoi n'a-t-il pas été limogé avant ? Donald Trump a été élu il y six mois, il est investi président depuis trois mois

    En revanche, cela n'explique pas qu'on puisse le limoger de cette façon. Les démocrates, qui ont immédiatement bondi à cette annonce, se sont dressés parce que l'état de droit n'a pas été respecté. C'est là tout le problème qui se pose aujourd'hui. Pourquoi ? Parce que James Comey a été nommé pour dix ans – c'est le cas pour les postes à haute responsabilité aux Etats-Unis. Ces postes de très haut-fonctionnaires ont une durée et offrent une protection. On ne peut quasiment pas les limoger sauf faute très grave. Cela avait été le cas avec William Sessions, qui avait été renvoyé par Bill Clinton pour des raisons d'enrichissement illicite. Il confondait les caisses du FBI avec la sienne. C'était donc une faute grave.

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  12. Cette fois-ci y a-t-il eu faute grave ? Ce que l'on reproche à James Comey est d'avoir arrêté une enquête en juillet 2016, d'en avoir relancé une autre du même type onze jours avant l'élection présidentielle puis d'être revenu dessus six jours avant le scrutin. Peut-on considérer cela comme une faute grave ? Si c'est le cas, une nouvelle question se pose : pourquoi n'a-t-il pas été limogé avant ? Donald Trump a été élu il y six mois, il est investi président depuis trois mois. Il avait donc largement le temps de le faire avant et pourtant il a attendu. Or, si ce n'est pas une faute grave qui motive ce choix, Donald Trump n'avait pas le droit de le limoger. Voilà ce que disent les démocrates.

    Lire aussi
    James Comey Apprenant son limogeage, James Comey croit d'abord à un canular

    RT France : Cette décision peut-elle encore être annulée ou est-elle désormais gravée dans le marbre ?

    J.-E. B. : Je crois que James Comey peut attaquer en justice mais ce sera pour obtenir un dédommagement ou pour sauver son honneur. Comme en droit français, si quelqu'un est renvoyé pour faute grave il peut toujours aller aux prud’hommes. Il peut quelques fois être réintégré dans l'entreprise mais sa vie devient alors impossible. Quand vous êtes renvoyé pour faute grave, même si votre employeur a eu tort, il est très difficile d'arranger la situation. En revanche, vous pouvez obtenir un dédommagement financier. C'est plutôt là-dessus que cela se jouera. L'affaire n'est pas finie pour autant, je crois que les démocrates vont encore embêter Donald Trump avec cette histoire.

    Cette décision de Donald Trump est autoritaire et relève de l'abus de pouvoir

    RT France : Pourquoi la presse américaine fait-elle le parallèle entre cette affaire et celle du limogeage d'Archibald Cox par Richard Nixon en plein Watergate ?

    J.-E. B. : L'affaire d'Archibald Cox ressemble beaucoup à celle-ci, dans le sens où Richard Nixon n'avait pas le droit de le renvoyer. On appelle cet épisode de 1973, «le massacre du samedi soir». Archibald Cox était procureur indépendant, nommé par le ministre de la Justice de l'époque, Elliott Richardson, avec l'accord du Congrès. Elliott Richardson avait assuré au Congrès que personne ne pourrait renvoyer Archibald Cox – sauf évidemment faute très grave. Quand Archibald Cox s'est tourné vers Richard Nixon pour exiger d'avoir les enregistrements du Watergate, Richard Nixon a refusé. Il a expliqué qu'il ne voulait pas répondre à un procureur indépendant et avait proposé que son ministre de la justice Elliott Richardson écoute les bandes et en face un résumé à Cox. Une proposition qu'Archibald Cox a refusée. Richard Nixon a alors pris peur, s'est senti attaqué et a exigé le départ d'Archibald Cox. Il s'agissait donc d'un abus de pouvoir.

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  13. Certains font aujourd'hui le parallèle entre le limogeage d'Archibald Cox et celui de James Comey parce que cette décision de Donald Trump est autoritaire et relève d'un abus de pouvoir. Si on fait le parallèle jusqu'au bout, certains pensent que c'est parce que James Comey était en train de mener une enquête sur les liens présumés entre la campagne de Donald Trump et le gouvernement russe. Se sentant acculé, Donald Trump aurait donc décidé de le limoger. Voilà d'où vient ce parallèle.

    Pour succéder à James Comey, il faut quelqu'un dont la probité sera au dessus de tout soupçon, quelqu'un d'absolument indiscutable

    RT France : De quel profil devra disposer le successeur de James Comey à la tête du FBI ?

    J.-E. B. : On ne peut s'attendre en réalité qu'à un seul profil car cette affaire est maintenant devenue hautement politique. Les démocrates sont très vite montés au créneau, même si Donald Trump les a tous traités d'hypocrites, les accusant d'être contents de cette décision et de l'utiliser comme excuse. Il n'a pas totalement tort en disant cela, mais il a tout de même été très naïf dans cette histoire. La conséquence de cela est qu'il se retrouve aujourd'hui bloqué. Il ne pourra pas nommer la personne qu'il souhaite. On aurait pu auparavant imaginer des proches de Donald Trump avec de très bons profils comme Rodolph Giuliani ou Chris Christie, ancien procureur et gouverneur du New Jersey.

    L'annonce du nouveau directeur du FBI devrait être faite entre ce soir et la fin de la semaine

    Mais aujourd'hui les démocrates n'accepteront jamais la nomination d'un proche de Donald Trump car l'enquête sur les liens entre Donald Trump et la Russie continue. Il faut donc quelqu'un dont la probité soit au-dessus de tout soupçon, quelqu'un d'absolument indiscutable. On a déjà des noms : Ray Kelly ou John Pistole. Ray Kelly a dirigé la police de New-York pendant très longtemps et a travaillé sur la lutte anti-terroriste. John Pistole est le président d'Anderson University et travaille également sur l'anti-terrorisme. Ce sont donc des profils idéaux puisque le FBI est très fortement impliqué dans l'anti-terrorisme. Ils sont tous les deux appréciés des démocrates et des républicains. Tous les deux sont peu partisans et réputés pour être très professionnels. C'est exactement ce qu'on va demander au nouveau directeur du FBI.

    Il faut comprendre que la nomination est faite par le président avec confirmation par le Sénat. La tradition veut qu'il n'y ait aucune voix contre le directeur du FBI – d'ailleurs James Comey est le seul à avoir obtenu une voix contre lui, celle de Rand Paul. L'unanimité est symboliquement nécessaire : le FBI est tout de même la police fédérale, au-dessus de tout le monde. Il faut donc que démocrates et républicains soient d'accord. Il ne faut pas que cela soit une police politique. Ces deux hommes sont à mon sens deux candidats sérieux mais un troisième nom peut très bien sortir. Ce qui est certain c'est qu'on le saura très rapidement. L'annonce devrait être faite entre ce soir et la fin de la semaine.

    On commence à saisir la psychologie de Donald Trump : c'est quelqu'un qui agit dans l'instant et à l'instinct

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  14. RT France : Les autorités russes ont réagi à cette décision, la qualifiant d'«interne aux Etats-Unis, souveraine du président américain et qui n'a absolument rien à voir et ne doit rien avoir à voir avec la Russie». Elle survient néanmoins le jour où Sergueï Lavrov rencontre à Washington Rex Tillerson et Donald Trump. Est-elle de nature à tendre les relations américano-russes ?

    J.-E. B. : Je dois dire que l'ironie des calendriers est parfois absolument extraordinaire. Cette rencontre aujourd'hui particulièrement est juste surnaturelle. Je trouve la réaction du gouvernement russe simplement normale. Vladimir Poutine tient le même discours depuis le début, il n'a aucune raison d'en changer. Je pense que les autorités russes ont raison de dire qu'il s'agit d'une affaire interne aux Etats-Unis. C'est une décision du président américain vis-à-vis d'un haut-fonctionnaire. Il s'agit d'une affaire totalement américaine.

    Sans durcir les relations entre Washington et Moscou, toute cette situation ne va pas permettre de les réchauffer rapidement

    Sur la question des tensions entre les deux pays, je ne vois pas pourquoi il y en aurait davantage. Je pense que cette affaire n'aura quasiment aucune incidence. Si ce n'est que la main supposément tendue par Donald Trump à Vladimir Poutine, que la stratégie qu'il souhaitait développer avec Moscou se sont bigrement compliqués. Les liens avec la Russie représentent un sujet qui empoisonne sa présidence. Cela a déjà donné lieu à plusieurs démissions et mises en cause. Aujourd'hui, même son gendre, Jared Kushner, pourrait être mis en cause.

    Si aujourd'hui, Donald Trump tendait une main trop franche ou trop claire à Vladimir Poutine, cela n'arrangerait pas particulièrement ses affaires. Il va sans doute y aller doucement. On commence à saisir la psychologie du personnage : c'est quelqu'un qui agit dans l'instant et à l'instinct. Je pense que sans durcir les relations entre Washington et Moscou, toute cette situation ne va pas permettre de les réchauffer rapidement.

    Lire aussi : Après le limogeage du directeur du FBI, Snowden prend sa défense et Assange lui offre un travail

    https://francais.rt.com/opinions/38223-abus-pouvoir-naivete-pourquoi-limogeage-patron-fbi-trump-choque-washington

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    1. Le côté réprobatif à toujours été de dire "Et pourquoi pas un autre ?", car effectivement un chef d'État qui désigne lui-même qui il veut dans tel ou tel ministère ne peut sentir que la dictature (comme tout ceux qui ont fait pareil avant !). D'où, le SEULE solution qui est d'appliquer la démocratie où c'est le Peuple qui donne son avis par référendum. Et c'est donc la loi du peuple qui est appliquée et donc incontestable !

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  15. La Chine avertit Washington que son dernier missile peut dissiper un porte-avions américain


    Par Tyler Durden
    10 mai 2017 20h36


    La Chine a récemment testé un nouveau type avancé de missiles guidés dans la mer près de la péninsule coréenne, a déclaré le ministère chinois de la Défense cité mardi par le Times of India, alors que la Corée du Sud a terminé ses élections présidentielles au cours des tensions régionales croissantes. Le test dans la mer de Bohai a été mené pour «augmenter la capacité opérationnelle des forces armées et réagir efficacement aux menaces pour la sécurité nationale», a déclaré le ministère dans un bref exposé. La déclaration n'a pas précisé quand le lancement a eu lieu, seulement que cela s'est produit "récemment", ni n'a donné aucun détail sur le missile ni sur le type de plate-forme à partir duquel il a été lancé.

    Le test a eu lieu alors que la Chine, les États-Unis et les Corées sont enfermés dans un craquement diplomatique sur les lancements de missiles de Pyongyang et de nouveaux essais nucléaires potentiels. Pour dissuader tous les lancements futurs, l'armée américaine a récemment déployé un système de lutte anti-missile en Corée du Sud pour dissuader le Nord, que la Chine considère comme une menace pour le bilan de sécurité régional et ses propres capacités de missiles balistiques. Comme indiqué précédemment, Washington et Séoul ont accepté le déploiement de la batterie de la Haute Altitude Area Defense (THAAD) en juillet dans le cadre des essais de missiles nord-coréens, dont l'installation a provoqué des plaintes vigoureuses par les Sud-Coréens locaux.

    La semaine dernière, la Force américaine Corée a déclaré que THAAD était opérationnel, avec la possibilité d'intercepter des missiles nord-coréens, incitant Beijing à demander la suspension immédiate du déploiement du système. Un responsable de la défense des États-Unis a toutefois déclaré que le système n'avait que «atteint la capacité d'interception initiale». Cette capacité initiale sera augmentée plus tard cette année, car des matériels et des composants supplémentaires arrivent pour compléter le système, ont indiqué les responsables.

    Lanceur de missiles THAAD

    En tout état de cause, le mécontentement croissant de la Chine face aux liens militaires croissants entre la Corée du Sud et les États-Unis s'est manifesté dans les récents lancements de missiles, car, comme l'a déclaré clairement le Global Times de la Chine dans un article du jour au lendemain, "le dernier test de missiles de la Chine montre que le pays peut répondre à Porte-avions, THAAD. " En d'autres termes, en plus de la Corée du Nord qui craque et menace de faire exploser tout atout stratégique américain dans le voisinage, comme l'a déclaré l'ambassadeur de NK à Sky News hier, il y a aussi la Chine.

    Dans un opérateur de Diff Ziaoci de Glbal Times, l'auteur écrit que le test réussi de la Chine d'un nouveau type de missile guidé dans la mer de Bohai "a tué deux oiseaux avec une pierre, ont déclaré les experts au Global Times, car le lancement montre que la Chine peut attaquer les deux Les transporteurs d'avions et le système de défense antimissile de la Défense de la zone à haute altitude (THAAD) des États-Unis déployés en Corée du Sud ".

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  16. "Pour juger que le missile reste révélé par les médias, il s'agissait d'un DF-26 qui a été testé récemment, également connu sous le nom de« missile du tueur de l'aéronef », Song Zhongping, un expert militaire qui avait l'habitude de servir dans le PLA Rocket Force, A déclaré au Global Times. "Compte tenu du type de missile et de l'emplacement du test, il est évident que nous avons mené une expérience de tir visant les transporteurs d'aéronefs, et l'ogive possédait peut-être une impulsion électromagnétique qui pourrait détruire le système de commande d'un transporteur, ainsi que le système THAAD", a déclaré Song.

    Lorsqu'on lui a demandé si l'emplacement du test dans la mer de Bohai, près de la péninsule coréenne, pouvait montrer que le test était spécifiquement destiné au déploiement THAAD de Séoul, Song a déclaré que cela est peu probable car Bohai est le terrain d'essai d'armes habituel de la Chine, contrairement au Sud et à l'Est Les mers de la Chine, où les expériences pourraient être difficiles car les eaux contiennent des zones économiques exclusives de diverses nations et des eaux internationales.

    Une déclaration du Bureau d'information du ministère de la Défense nationale de Chine a confirmé mardi que les forces de fusée chinoises ont testé un nouveau type de missile dans la mer de Bohai. La déclaration a déclaré que le test a été mené conformément au plan annuel de formation visant à «accroître la capacité opérationnelle des forces armées et à répondre efficacement aux menaces pour la sécurité nationale», a déclaré le communiqué.

    Traduction: La Chine vient d'émettre un grave avertissement aux États-Unis et en Corée du Sud avec un lancement de missiles: apportez vos porte-avions trop près ou lancez le THAAD, et Pékin est prêt.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-05-10/china-warns-washington-its-latest-missile-can-sink-us-aircraft-carrier

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    1. (...) l'ogive possédait peut-être une impulsion électromagnétique qui pourrait détruire le système de commande d'un transporteur, ainsi que le système THAAD", a déclaré Song.(...)

      L'IEM (Impulsion ElectroMagnétique) condamne/anéantie TOUTES les fonctions électriques dans un rayons plus ou moins grand. C'est-à-dire qu'aucun missile téléguidé ne peut plus quitter son pas de lancement ! D'où le retour des canons à boulets et des poudres ! Hahahaha ! C'est ainsi qu'après l'explosion d'un IEM, (donc zéro com radio), l'ennemi peut lui-même envoyer n'importe quel missile pour couler le bâtiment sans risque d'être contré !

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  17. Lavrov Scoffs à la "Situation humiliante" de l'Amérique


    Par Tyler Durden
    10 mai 2017 13h29


    Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov tient une conférence de presse suite à ses discussions dans The Oval Office avec le président Trump, qui l'a qualifié de «très, très bon» rendez-vous.

    Le président Trump "a clairement exprimé son désir de relations commerciales avec la Russie", a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, qui a rencontré le président Trump mercredi.

    Lavrov a commencé ...

    "Tout d'abord, nous avons discuté de notre coopération sur la scène internationale. On a confirmé que malgré toutes les difficultés, nos pays peuvent et doivent agir ensemble pour résoudre les problèmes clés de l'agenda international d'aujourd'hui".

    De plus, Lavrov a marqué Obama ...

    "Nos entretiens sont maintenant exempts d'idéologie, comme ils l'étaient à l'ère d'Obama, mais nous parlons maintenant d'affaires. Comment résoudre ensemble les problèmes mondiaux".
    Lavrov a jugé les démocrates et l'interrogation constante des médias, en précisant que:

    "Il est humiliant pour le peuple américain de se rendre compte que la fédération russe contrôle la situation en Amérique"
    Sa théorie sur les allégations d'ingérence russes:

    "Je crois que les politiciens endommagent le système politique des États-Unis essayant de prétendre que quelqu'un contrôle l'Amérique de l'extérieur".

    "Il n'a pas soulevé la question de la participation de la Russie aux élections américaines l'année dernière".
    Lavrov semblait avoir marre des questions sur l'ingérence russe lors de l'élection présidentielle:

    "Je l'ai déjà répondu ... donne moi un fait qui prouverait cela".

    "Je n'ai jamais pensé que je devais répondre à de telles questions - en particulier aux États-Unis - avec votre système démocratique hautement développé. Le président Trump a déclaré publiquement à plusieurs reprises en ce qui concerne l'ingérence de la Russie dans les affaires intérieures".
    Lavrov a déclaré que le président russe Vladimir Poutine "ne veut pas suivre la tête de ceux qui empoisonnent nos relations au point de ne pas retourner"

    Poutine et Trump "se verront en juillet" au G20 en Allemagne, dit Lavrov.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-05-10/trump-has-very-very-good-meeting-lavrov-live-feed

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    1. (...) "Je crois que les politiciens endommagent le système politique des États-Unis essayant de prétendre que quelqu'un contrôle l'Amérique de l'extérieur". (...)

      Rep: Qu'ils soient à l'extérieur ou à l'intérieur cela ne change rien ! Les 'hommes de l'ombre' sont partout et mènent la Russie comme la Chine (qui a transporté (emporté je-ne-sais-où) les gravats des tours 1, 2 et 7 du WTC le 11 Septembre 2001.

      Que sont 'Les hommes de l'ombre' ? D'abord un nano-groupuscule de dictateurs-monarques qui ont institué des 'Républiques' ici ou là sans que le statut premier ne change.
      Ensuite il ont dit "On a de l'Or, mais c'est interdit de vérifier !" HAHAHAHA ! Ainsi, passe t-il leur temps à distribuer des billets multicolore aux quatre coins de la planète pour satisfaire tout le monde et faire croire que certains pays sont même... endettés au 21è siècle ! Hahahaha !

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  18. Monter son business en étant certain de ne pas se planter


    mercredi, 10 mai 2017 13:43



    Hello...

    Bon ca y est, le petit MACRON est aux commandes. C'est parti pour du ni ni pendant 5 ans de plus.

    Pour ceux qui souhaitent ENTREPRENDRE sous la nouvelle ère qui démarre (quand un président nouveau arrive, les humains adooooorent se projeter dans un meilleur futur même si cela n'arrive jamais depuis 50 ans), je viens de produire une nouvelle formation qui compte beaucoup pour moi.

    Je pense en effet que le meilleur moyen d'améliorer sa vie n'est pas d'investir dans l'immo, la bourse, les jeux de hasard, de voter en écoutant les salades du dernier pantin politique ou se marier, mais de devenir un PRODUCTEUR / CREATEUR !

    Et il n'est pas inutile d'étudier des classiques du genre comme NAPOLEON HILL, qui n'a presque pas pris une ride malgré les décennies qui passent, ce qui prouve bien qu'il existe un côté immuable et intemporel dans le capitalisme !

    La peur de se planter plus forte que tout

    Je sais bien que peu de français ambitionne de devenir le nouveau RICHARD BRANSON. Généralement, on souhaite juste soit

    1 - quitter son job de la rat race et vivre de son business en décidant enfin pour soi

    2 - quitter le statut d'esclave français et profiter de son indépendance pour s'expatrier

    3 - ou rester vivre en France et améliorer fortement son aisance financière

    4 - ou enfin rebondir après un premier échec en tant qu'entrepreneur

    Le souci, c'est que 50% des candidats se plantent au bout de 5 ans. Et ça, les français ne pardonnent pas une plantade. Ils préfèrent massivement jouer la carte de la sécurité et ne pas s'aventurer au jeu de DEVENIR PRODUCTEUR / CREATEUR, malgré la carotte financière et de bien être ! Ils renoncent et je trouve cela DRAMATIQUE.

    Je voulais un outil pour pousser ceux qui ont malgré tout encore un secret espoir, la petite flamme au fond d'eux qu'ils n'arrivent pas à complètement éteindre.

    RALLUMEZ là sérieux. Et soufflez dessus !!!

    La question que personne ne pose

    Qui fait partie des 50% de gens qui se plantent ?

    Ne trouve t on pas dans ce lot une énorme quantité de gens sous préparés, sous formés qui n'ont tout simplement pas compris le jeu auquel ils sont en train de jouer et qui ne le savent pas qu'ils n'ont pas compris ?

    Pourquoi il n'existe pas de stats analysant le taux de succès et d'échec uniquement des PRODUCTEURS / CREATEURS qui ont une bonne compréhension du jeu ?

    D'après ma propre expérience, très peu se plantent et pour cause.

    Quand on sait comment marche le jeu de l'entreprise, on peut monter son business en étant presque certain de ne pas se planter !

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  19. Il s'agit ici de comprendre STRATEGIQUEMENT comment les choses marchent !

    Est ce compliqué ? Définitivement non !

    C'est ce qui m'a frappé quand j'ai étudié les retours des 700 clients qui ont acheté la formation ENTREE de gamme à 9€ pour S'ENRICHIR QUAND ON A DEJA 25.000€ dispo ici.

    Nombreux ne savaient pas ce qui comptait ou ce qui ne comptait pas. Pire, ils passaient à côté de l'essentiel en étant intimement convaincu que ce n'était pas "comme ça" qu'on réussissait dans la vie.

    Ce qui m'a littéralement explosé de surprise !

    Ce n'est pas la complexité, le problème pour les français, c'est d'accepter dans le chaos énorme des infos dispo partout, celles qui comptent le plus, celles qui aident le plus à atteindre ses objectifs d'indépendance financière ou de bonheur.

    Monter son business en étant certain de ne pas se planter

    C'est possible !

    Avec un bon mode d'emploi, une check liste qu'on consulte méthodiquement, n'importe qui peut sélectionner le bon projet et éliminer ce qui doit l'être.

    J'ai tourné donc une formation de 5h en vidéo dans laquelle je livre tout ce que j'ai appris en 25 ans de création de business, la pattern de base qui ouvre les portes du succès presque garanti.

    Mon ambition est de vous pousser à devenir des PRODUCTEURS / CREATEURS ! Et que cela marche pour vous !

    Les infos sont disponibles ici !

    Charles Dereeper

    http://www.objectifeco.com/entreprendre/excellence-humaine/monter-son-business-en-etant-certain-de-ne-pas-se-planter.html

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    1. Savoir ce que l'on veut c'est déjà l'avoir.

      Pour avoir une formation pour "comment gagner de l'argent", envoyez-moi un chèque et je vous dirai ce que je pense de vous ! Hahahaha !

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  20. Goldmann Sachs - plus grand que le combustible fossile dans le débat climatique


    May 11th, 2017

    Nous ne pouvons pas reprocher à Goldmann Sachs. C'est juste une bonne affaire.
    Goldmann Sachs verse de l'argent en causes de gauche et les politiciens des deux bandes. Les cadeaux aux flagship de gauche comme le changement climatique et le mariage homosexuel vendent une protection contre la foule Occupy. Et la propagande climatique est doublement utile - Goldmann Sachs peut investir et profiter de la générosité du gouvernement. Et ce sont de très grandes biccies. En 2009, Goldmann Sachs a annoncé qu'elle consacrerait 150 milliards de dollars à l'énergie verte d'ici 2020.

    Le message aux causes non-gauche est que si vous voulez obtenir des fonds philanthropiques multimillionnaires, mobilisez les gens et marchez dans la rue. Lorsque Goldmann a peur de ce que vous pourriez faire contre ses bonus ou profits, vous pourriez vous intéresser également à votre cause.

    Mais infâmer et surtout, Goldmann fait un don aux deux côtés de la politique et son peuple est nommé à des postes clés du Trésor et des couloirs de pouvoir. Lorsque Goldmann tombe en panne, il est renfloué - et cela s'est produit quatre fois au cours des 20 dernières années. Le sauvetage de TARP pour Sachs s'élève à 10 milliards de dollars, de sorte que seulement 675 000 $ de frais de parrainage pour Hillary-quase-Prés pourraient être considérés comme un investissement décent au moment où il a été créé. (Combien coûte Hillary pour le même discours maintenant, je me demande?)

    H / t À l'Institut Heartland

    Les États-Unis de Goldman Sachs
    Comme elle a fait l'objet d'un examen accru dans les années qui ont suivi la crise financière, la Fondation Goldman Sachs a non seulement grandement augmenté ses dons de bienfaisance, mais l'entreprise dans son ensemble a également évolué vers l'avenir pour verser de l'argent dans des organisations sans but lucratif politiquement correctes. Il a soutenu un agenda identité-politique d'Obama et un mariage homosexuel. La société a une longue histoire d'aller de l'avant sur l'activisme du changement climatique, cherchant à tirer profit des politiques gouvernementales qui nuisent à l'économie de plus grande taille.

    Plaider sur de telles causes de gauche permet aux démocrates obsédés par la guerre de classe d'avoir une conscience claire en soutenant une grande société.

    Bill Frezza, un membre de l'Institut de l'entreprise compétitive, écrit:

    Non, Goldman Sachs n'est pas un briseur de lois. Avec tous les anciens dirigeants et les copains, il a fait du parachutisme dans les salles du gouvernement et tout l'argent que les politiciens courent pour le bureau, c'est en fait un législateur. Et c'est le problème. Grâce à cette dernière crise bancaire, les lignes entre le Trésor, la Réserve fédérale, le pouvoir exécutif et Goldman Sachs ont presque disparu. En utilisant le moyen entièrement légal d'appeler des chèques des deux partis politiques dans son heure de besoin, Goldman Sachs a pillé le Trésor pour le sauver d'une crise de liquidité, couvrir ses erreurs spéculatives d'investissement et gagner des paris de paris gagnants qui n'auraient pas été récoltés Si oncle Sam n'était pas entré pour renflouer des contreparties comme AIG. "

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  21. Lisez l'article entier à Capital Research, puis lisez-le à nouveau. Il finit par un avertissement:

    Le capitalisme croissant est un problème plus important que celui de cette seule entreprise. Mais Goldman Sachs occupe une place privilégiée parmi les entreprises qui influencent le gouvernement et se penchent sur tout ce qui peut être la cause de la «justice sociale» progressive, devenu un moyen pratique pour l'entreprise de maintenir cette prise en main. Comme Bill Frezza de CEI prévient: «À quel point les joueurs comme Goldman Sachs ont-ils remis autant de munitions aux radicaux de gauche qui ne peuvent pas faire la différence entre le capitalisme de copains et le réel qu'ils réussissent à faire exploser la civilisation occidentale? Si les vrais capitalistes du marché ne s'allongent pas et se disent contre les fournisseurs de copinage et les politiciens des deux partis qui leur permettent, c'est juste une question de temps avant que nous ne tombions tous ensemble ensemble.

    Dites-moi de nouveau combien sont les combustibles fossiles influents ?

    http://joannenova.com.au/2017/05/goldmann-sachs-bigger-than-fossil-fuel-in-the-climate-debate/

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  22. Dans le monde entier: plus de 1 200 lois visent à changer le temps - besoin de plus pour limiter les averses, les mers, les tempêtes


    May 10th, 2017


    Bienvenue dans la politique paléolithique: dans cette version, les sorciers sont syndiqués et avec des tops.

    OSLO (Reuters) - Les nations du monde ont adopté plus de 1 200 lois pour freiner le changement climatique ...

    Patricia Espinosa, chef du changement climatique de l'U.N., a déclaré que les résultats étaient "une cause d'optimisme" ...

    Parce que plus de lois sont toujours bonnes.

    Quarante-sept lois ont été ajoutées depuis que les leaders mondiaux ont adopté un accord de Paris pour lutter contre le changement climatique à la fin de 2015, un ralentissement d'un pic antérieur d'environ 100 par an en 2009-2013 lorsque de nombreux pays développés ont adopté des lois.

    Toutes ces nouvelles lois et toutes les températures mondiales augmentent de toute façon. Doit être déprimant pour les législateurs.

    Trop de lois ne sont jamais suffisantes:

    "Nous ne voulons pas des faiblesses dans la chaîne", a déclaré Martin Chungong, secrétaire général de l'Union interparlementaire. Il a exhorté tous les pays à adopter des lois qui contribuent à limiter les averses, les ondes de chaleur et la montée du niveau de la mer.

    Je suis avec lui. Pourquoi pas les limites de vitesse pour les vents ?

    H / t Dépôt climatique

    http://joannenova.com.au/2017/05/worldwide-over-1200-laws-aim-to-change-weather-need-more-to-limit-downpours-seas-storms/

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    1. Tant que les scientifiques seront empêchés de parler publiquement ou d'être reçu en direct à la télé, la dictature gouvernementale se maintiendra.

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