- ENTREE de SECOURS -



samedi 22 novembre 2014

Taxation sans fin, à la française, y'a que ça d'vrai !

H16free
ven., 21 nov. 2014 07:02 CET
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Grâce à Hollande, son gouvernement et un parlement débridés, la terre ne ment plus, elle se contente de coûter une blinde : l'État, toujours plus impécunieux, cherche à remplir ses caisses par tous les moyens, et à mesure que les moyens disponibles se font plus rares, ils se font aussi de plus en plus douteux. C'est ainsi qu'on découvre lentement l'ampleur de la spoliation qui se met doucement en place sur le foncier, bâti et non bâti, puis sur tout le reste.
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Comme le faisait fort justement remarquer Proudhon en protestant contre toute conclusion communiste, « La propriété, c'est la liberté ». Et s'il y a bien quelque chose que l'État combat, c'est bien la liberté, celle qui permet notamment de s'affranchir de lui. Quel meilleur moyen de détruire celle-ci qu'en subornant celle-là ? Et quel meilleur moyen de corrompre la propriété, notamment foncière, qu'en la taxant comme jamais ?
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Et c'est dans l'Observatoire des Subventions qu'on prend connaissance des nouvelles dispositions fiscales relatives au foncier non bâti. Vous disposez de terrains, réputés bâtissables sur le plan local d'urbanisme (le remplaçant du plan d'occupation des sols) ? Heureux propriétaire fortuné ! Vous voilà à la tête d'un empire foncier, dont l'impôt sera calculé sur la valeur cadastrale à hauteur de 5€ par m² ($6.19/10.763ft²) en 2015, et le double l'année d'après. L'addition monte à la fois très vite, et comme elle s'applique, pour une fois, dans une parfaite équité indépendante des ressources de la personne, on comprend assez facilement que, du jour au lendemain, des dizaines de milliers de Français vont se retrouver avec des milliers d'euros d'impôts supplémentaires à payer pour avoir eu le malheur de disposer d'un bout de terrain bâtissable en bordure de village, ce dernier ayant été malencontreusement déclaré en « zone tendue ». Subitement, le potager va revenir très cher en France.
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L'idée derrière ce nouveau coup de pelle derrière la nuque des contribuables ? Tout part d'une loi qui a en fait une « longue » histoire (parlementairement parlant) puisqu'elle est d'abord issue des petites bavures législatives de Cécile Duflot en 2012 (article 82). Prenant pour prétexte le « déséquilibre entre l'offre et la demande de logement », le gouvernement avait fait voter en catimini cette majoration de la taxe foncière pour trouver un moyen simple de permettre aux communes de lever un impôt supplémentaire alors que les dotations de l'État viendraient à diminuer. À la suite de la mobilisation des agriculteurs, se rendant compte de l'énormité de la nouvelle taxe, cette dernière avait été mise en suspend par Duflot qui déclarait alors à l'Assemblée Nationale « Cette disposition ne s'appliquera pas au 1er janvier 2014 pour que chacun puisse en mesurer les conséquences. » Mais voilà : 2015 arrive, et la taxe n'est plus suspendue.
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Les hostilités fiscales peuvent donc reprendre, et tout comme le foncier non bâti, c'est au tour du foncier bâti de se retrouver dans la ligne de mire du parlement, par le truchement commode de la petite lucarne magique, celle qui distribue aux foyers français d'inénarrables chefs-d'œuvres culturels
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On savait déjà que la redevance télévisuelle serait augmentée (discrètement) de trois euros pour atteindre 136 euros tout de même, soit à peu près trois fois l'inflation constatée. Manifestement, tous les salaires ne baissent pas partout, et notamment pas dans les médias publics français à en croire la facture, en hausse donc, qui sera donc adressée à tous les contribuables. Le bonheur de vivre en Socialie mérite quelques sacrifices, après tout.
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Mais cette petite hausse, connue, en cache peut-être une autre, plus substantielle et qui va certainement ouvrir un intéressant débat.
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C'est le sénateur des Alpes-Maritimes, Jean-Pierre Leleux, du parti socialiste de droite UMP, qui a émis l'idée croustillante de taxer forfaitairement les résidences pour cette redevance audiovisuelle, indépendamment du fait qu'elles aient ou pas de poste récepteur. Idée d'autant plus croustillante qu'elle se place en parallèle de celle du parti socialiste de gauche qui propose quant à lui d'étendre l'actuelle redevance à tous les types de récepteurs, ordinateurs, téléphones et tablettes inclus. Apparemment, le combat pour une France plus taxée est maintenant embrassé avec fouge et passion par les deux « bords » de l'hémicycle qui s'en donnent à cœur joie pour trouver de nouvelles sources à un fisc décidément très gourmand.
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Leleux, « homme libre et de conviction » (slogan de sa campagne sénatoriale) comme on peut l'être lorsqu'on émarge aux frais de la République, nous propose donc de payer pour un service qu'on peut potentiellement avoir (la présence d'une télé n'étant plus obligatoire). C'est pratique et facilement extensible : à quand une taxe applicable à tous les adultes sur la cigarette, même celle qui n'est pas achetée ? À quand une taxe foncière même pour les locataires, ces derniers étant des propriétaires en puissance ? Le bonheur fiscal créatif est sans fin !
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Cette furie taxatoire audiovisuelle intervient de surcroît avec un timing endiablé au moment où l'on apprend que le service public de télévision, lourdement subventionné, entretient à nos frais des chaînes dont certaines ne sont pas regardées... du tout. C'est ainsi que France Ô, la « chaîne de la multiculturalité » qui nage dans le bonheur sucré de 30 millions d'euros gratuits du contribuable, récolte certains soirs ... 0 (zéro) téléspectateurs. D'un autre côté, la même redevance, qu'on veut étendre à toutes les plate-formes ou à tous les foyers, selon qu'on est à gauche ou à droite dans la Socialie détendue de la ponction, sert aussi à alimenter en fonds ces exotiques chaînes rigolotes comme Guadeloupe 1ère, de Wallis-et-Futuna 1ère, sans oublier Saint-Pierre-et-Miquelon 1ère, qui emploient des douzaines d'intermittents de l'information dont le désœuvrement les pousse parfois à travailler pour des boîtes de production privées...
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Extension de la redevance, taxation en folie du foncier qu'il soit non bâti ou même bâti (avec une augmentation vigoureuse pour les résidences secondaires des salauds de riches), augmentation salée de taxes diverses l'an prochain (droits de timbre en appel qui bondit de 50%, TSCA qui passe à 11%, hausse du plafond de la taxe de séjour, hausse des droits de mutation dans l'immobilier, hausse du diesel), et projet d'aller taxer les ressortissants français où qu'ils se trouvent à l'étranger... J'avoue que le changement, ça fait mal. Et à bien y réfléchir, vraiment, pour nos députés, les expressions « simplification administrative » et « pause fiscale » n'ont pas celui que le sens commun leur donne.
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Non, vraiment, messieurs les députés : arrêtez la pause fiscale ! Finissons-en avec la simplification administrative ! Depuis que vous vous êtes lancés dans ces lubies, jamais les Français n'ont subi tel assaut de taxes et de ponctions ! Depuis que vous vous êtes montés le bourrichon sur la complexité administrative au point de vouloir tout simplifier, jamais les processus n'ont été aussi alambiqués, les textes de lois aussi nombreux, les procédures aussi complexes et les décrets aussi illisibles ! Reconnaissez votre nullité, il n'y a pas de honte à comprendre qu'il n'y a décidément qu'en plein sommeil, sur les bancs de l'assemblée, ou profondément endormis dans vos fauteuils cossus de vos douillets ministères que vous nous faites du bien en ne faisant rien du tout. Messieurs, lâchez-nous et arrêtez vos exactions.
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Il en va maintenant de la survie de la France, et bientôt, pour vous, de la votre
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29 commentaires:

  1. Afin de loger les millions de futurs allocataires étrangers venus de force de chez Eux-sous-les-bombes a la Direction nazional socialiste mise en place depuis peu, les collabos français sont donc invités à se dessaisir de leur propriété quasiment volée au roi de prusse afin d'y laisser construire hôtels luxe quatre étoiles Poureuxdanslejardin et d'y démolir maison qui pas être ukrainiennes !

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    1. http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=7827C3EFE9B62E0ACFF14066A968602A.tpdjo15v_1?idSectionTA=LEGISCTA000029345850&cidTexte=JORFTEXT000029337646&dateTexte=20141120

      http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000029337646

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    2. Voir clip sur site:

      lundi 24 novembre 2014

      La France assassinée


      http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/11/la-france-assassinee.html?showComment=1416850739753

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  2. Une énergie d’avenir : le nucléaire durable

    Publié Par Michel Gay,
    le 22 novembre 2014

    dans Matières premières et énergie

    Quelle autre source d’énergie permettra d’éviter une crise de l’approvisionnement ?

    La production d’électricité nucléaire résulte aujourd’hui essentiellement de réacteurs à eau pressurisée (REP) qui sont peu économes en combustible : ils exploitent moins de 1 % du contenu énergétique de l’uranium naturel. Ce faible taux d’utilisation ainsi que la consommation mondiale actuelle d’uranium amènent l’Agence internationale de l’énergie à estimer les réserves terrestres à une centaine d’années. Ces réacteurs REP ne représentent donc pas une source d’énergie durable.

    Un REP actuel d’une puissance de 1000 mégawatts (MW) fissionne seulement une tonne d’uranium par an. Mais 200 tonnes d’uranium naturel sont nécessaires pour fabriquer son combustible, alors qu’un système régénérateur (fonctionnant à l’uranium ou au thorium) n’a besoin que… d’une seule tonne.

    Un cadre de réflexion international, le Forum1 Génération IV, a été créé à l’initiative des États-Unis en juillet 2001 pour déterminer le ou les futurs réacteurs régénérateurs. Le travail s’organise en collaboration depuis plus de dix ans. Le développement d’une nouvelle filière nucléaire est coûteux en recherche et en développement. Aucun pays aujourd’hui (sauf peut-être les États-Unis) ne peut explorer simultanément plusieurs filières dont ni le succès technique, ni la compétitivité ne sont garantis. Pouvoir travailler de façon multilatérale sur plusieurs filières est donc un atout considérable. La Génération IV minimise les déchets, économise les ressources et améliore la non prolifération.
    Contrairement à la filière actuelle2, les réacteurs régénérateurs utilisent entièrement l’uranium en renouvelant la matière fissile au fur et à mesure qu’elle est consommée. Ces réacteurs, dits de quatrième génération, utiliseront 100 fois mieux les deux seules ressources naturelles qui permettent cette transformation « miraculeuse » : l’uranium et le thorium. Ces réacteurs transforment beaucoup plus efficacement la ressource naturelle en énergie (les réserves mondiales passeraient à plusieurs milliers d’années) et ils diminuent par quatre l’activité radioactive des déchets sur le long terme.

    (suite en dessous:)

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  3. Les déchets sont principalement constitués par les produits de fission (qui représentent donc une tonne par an pour un réacteur de 1000 MW) qui sont sensiblement les mêmes, quelque soit le combustible et le type de réacteur. Il y a aussi les actinides mineurs (neptunium, américium, curium) issus de noyaux « parasites » qui, au lieu de se briser, absorbent des neutrons. Les actinides mineurs ne peuvent pas être transmutés efficacement dans les REP et ils constituent des déchets avec les produits de fission.

    En France, le plutonium produit dans les REP n’est pas considéré comme un déchet. Il est utilisé dans un combustible particulier appelé « MOX » (mixed oxyde) dans 22 réacteurs (sur 58). Il ne peut être entièrement « brûlé » car, dans les REP, seule une partie3 du plutonium est fissile. Après avoir été partiellement recyclé une fois, il est mis de côté en attente d’une utilisation éventuelle dans ces futurs réacteurs « régénérateurs ».

    Des solutions existent aujourd’hui pour un nucléaire propre et durable qui pourra contribuer de façon significative à la demande énergétique de la France et d’une grande partie du monde (États-Unis, Chine, Inde, Russie,…). Quelle autre source d’énergie permettra d’éviter une crise de l’approvisionnement énergétique, tout en diminuant les émissions de gaz à effet de serre ?

    Quand s’épuiseront les énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon), le nucléaire deviendra la source d’énergie durable nécessaire dont l’humanité aura besoin.

    1 - Il comprend dix pays et une organisation : Afrique du Sud, Chine, Russie, Canada, Corée du Sud, Etats-Unis, France, Grande Bretagne, Japon, Suisse, et Euratom. ?

    2 - Qui utilise l’uranium 235, présent en très faible quantité (0,72 %) dans l’uranium naturel composé à plus de 90% d’U238. ?

    3 - Seuls les isotopes impairs du plutonium sont fissiles : Pu 239 et Pu 241. Il existe aussi le Pu 240 et le Pu 242. ?

    http://www.contrepoints.org/2014/11/22/188957-une-energie-davenir-le-nucleaire-durable

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  4. Incroyable! Plus les gens vivent en ville, plus ils roulent en 4x4

    Par Alain-Gabriel Verdevoye
    le 21-11-2014 à 17h37 Mis à jour le 22-11-2014 à 11h06

    Au salon de Los Angeles, ils règnent en maîtres. 1 véhicule sur 5 vendu dans le monde est désormais un "SUV". En France, c'est presqu'un quart et aux Etats-Unis, un tiers.

    4x4 (vrais ou faux), "SUV", "Crossovers", peu importe l’appellation erratique de ces véhicules. Même si les spécialistes du marketing ne savent pas quel nom leur donner, ils sont à la mode et cartonnent dans le monde entier. "Le SUV est un symbole de liberté. Ca fait rêver. C'est l'idée qu'on peut partir quelque part, en week-end", affirme ainsi Jim Farley, vice-président de Ford en charge des ventes, lors d'une présentation de la nouvelle version du 4x4 Explorer - le "SUV" le plus vendu outre-Atlantique - au Salon de Los Angeles, qui ouvre ce vendredi ses portes au public.

    "Nous avons atteint un point de basculement" et la carrosserie 4x4 est désormais "plus répandue que les berlines". La marque emblématique des 4x4, Jeep, a carrément vu ses ventes bondir de moitié en octobre dernier aux Etats-Unis. Un véritable paradoxe puisque ce phénomène intervient au moment même où l'on assiste à un basculement démographique. Depuis plus de 5 ans, la part de la population mondiale vivant dans les villes est majoritaire. Selon les données de l'ONU, les citadins représentent aujourd'hui 54% de la population mondiale. C'est quasiment deux fois plus qu'en 1950 date à laquelle sont apparus les premiers 4x4.

    8 Français sur 10 vivent en ville et pourtant...

    "Les 4x4 de taille moyenne sont le segment de véhicules le plus important du marché américain et il y a un intérêt croissant pour les SUV compacts", relève Jack Nerad, analyste de la société spécialisée dans les évaluations de voitures d'occasion Kelley Blue Book. Près d'un véhicule sur cinq écoulé dans le monde et en particulier en Europe occidentale est un "SUV". Aux Etats-Unis, la proportion est même de 1 sur 3 alors que les Américains qui vivent en zone rurale représentent tout juste 15% de la population. En France, la part de ces véhicules atteint les 22%, contre 15% il y a deux ans, alors que les citadins (79% de la population française) y sont proportionnellement plus nombreux que dans le reste de l'Europe (73% en moyenne).

    Au total, la production des "SUV" aura été quasiment multipliée par 10 entre 2007 et 2020, selon les prévisions du consultant PwC. Certes, les véhicules sont différents d’un marché à l’autre. Aux Etats-Unis, le marché est dominé par de vrais 4x4 de type Ford Explorer, Chevrolet Tahoe ou Jeep Grand Cherokee, de gros engins selon les critères européens, aptes aux déplacements hors bitume et à la circulation sous la neige avec leurs quatre roues motrices. Dans les pays émergents, ce sont les possibilités d’affronter pistes et chemins dans de rudes conditions de circulation qui séduisent. En France, le véhicule le plus vendu est le… petit Renault Captur, une sorte de Clio rhabillée et surélevée, qui n’a évidemment pas la moindre velléité de quitter l’asphalte.

    (suite en dessous:)

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  5. Des voitures qui dégagent de fortes marges

    Ces véhicules ont tous l’avantage d’une position de conduite haute, très appréciée. On domine plus ou moins la route, selon les modèles. Leur arrière type break leur permet en outre une bonne fonctionnalité et des aptitudes familiales. Qu’ils soient de vrais ou de faux 4x4, ils évoquent tous, vaguement, le baroud avec des carrosseries flatteuses plus ou moins grimées en aventurières. Ils donnent du coup une impression de solidité rassurante. Enfin, développés généralement à partir de berlines de tourisme, ces "SUV" ne sont pas moins économiques que les berlines dont ils dérivent.

    Même si leur carrosserie moins aérodynamique et quelques kilos en plus font légèrement monter les consommations. Enfin, on peut avoir luxe et performances au programme comme chez BMW (X44, X5, X6) ou Porsche (Macan, Cayenne). Bonne nouvelle pour les constructeurs: ces véhicules vendus plus cher génèrent de solides marges...

    En 2015, des nouveautés majeures doivent être commercialisées dans le monde, comme le Land Rover Discovery Sport, le Volvo XC90 dans les gros modèles, les Kia Sportage II , Hyundai iX35 II, Honda HR-V, Mazda CX-3 ainsi que le nouveau modèle sur base Mégane chez Renault du côté des véhicules compacts, la Fiat 500x dans les petits.

    http://www.challenges.fr/automobile/20141121.CHA0568/incroyable-plus-les-gens-vivent-en-ville-plus-ils-roulent-en-4x4.html

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  6. La Russie va pas rompre les liens avec l'Europe, mais pas comme d'habitude - Lavrov


    22 Novembre, 2014 10:46



    La Russie et l'UE ont un moment de vérité porté en Ukraine. Moscou ne sera pas le seul à rompre les liens avec l'Europe, mais ne sera pas simplement de revenir à la façon dont les choses étaient avant le début de la crise, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères.

    "L'UE est notre principal partenaire. Personne ne va se tirer une balle dans le pied et rejeter la coopération avec l'Europe, mais tout le monde comprend qu'il n'y aura plus de business as usual », a dit Sergueï Lavrov un des principaux think-tank à Moscou.

    "Mais nous ne devons pas le genre d'entreprise que nous avions. L'entreprise était comme «la Russie doit faire et doit le faire ', et nous voulons coopérer d'égal à égal", a t-il ajouté.

    Les stores Idéologie Europe »

    Le ministre a souligné que les tensions entre la Russie et l'Occident couvait depuis des années avant la crise ukrainienne. Maintenant, les Européens ont décidé d'aller pour tout-ou-rien et jouer le poulet avec la Russie. Mais au moins, les positions ont été clairement, a déclaré M. Lavrov.

    "Les dirigeants occidentaux affirment publiquement que les [anti-russe] sanctions doivent mal à son économie et élever des protestations publiques. L'Occident ne veut pas changer les politiques de la Russie. Ils veulent un changement de régime. Pratiquement personne ne nie que ", a t-il dit.

    Il a rejeté le blâme pour l'escalade sur une «minorité agressive» entre pays de l'UE, qui poursuivent gagner du pouvoir fondée sur une idéologie en Europe de l'Est, y compris l'Ukraine, au lieu de se concentrer sur les graves problèmes que l'Europe est confrontée en raison de la crise à travers la Méditerranée en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.

    "Exportation toute sorte d'idéologie, qu'elle soit démocratique ou communiste ou tout autre type, ne fera pas bon», a t-il averti.

    L'idéologie Européennes a certains problèmes, dont la Russie estime qu'ils doivent être résolus, a déclaré M. Lavrov. Par exemple, les fonctionnaires européens sont réticents à parler de la persécution des chrétiens par des militants musulmans en Irak et en Syrie ou ailleurs, car ils craignent que cela serait perçu un est politiquement incorrect. En attendant, il est une christianophobie croissante dans le monde, a t-il dit.

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  7. «La plupart des membres de l'UE évitent de discuter de cette question. Ils ont honte de le prononcer comme ils avaient honte de mettre une phrase reconnaissant les racines chrétiennes de l'Europe dans la Constitution de l'UE, " a déclaré M. Lavrov. "Si vous ne vous souvenez pas et ne respecte pas vos propres racines et ses traditions, comment pouvez-vous respecter les traditions d'autres personnes ? "

    Russie pas anti-américain "

    Lavrov a accusé les Etats-Unis pour réclamer le leadership mondial à un moment où ses ressources et de compétences en leadership sont en déclin. En particulier, a t-il dit, Washington est de plus en adaptant sa politique aux cycles électoraux, comme objectifs à long terme sont sacrifiés pour des gains à court terme de popularité parmi les électeurs.

    "Nous ne pouvons pas accepter la position de ceux qui nous disent:« Mettre en place avec elle. Tout le monde doit souffrir d'Amérique ayant élections tous les deux ans, et rien ne doit être fait à ce sujet. Détendez-vous et le prendre comme un donné. Ce ne sera pas. Nous ne prendrons pas parce que les enjeux sont trop élevés ", a déclaré M. Lavrov.

    Il a ajouté que, bien que certains prennent l'opposition de la Russie à l'influence mondiale de l'Amérique comme l'anti-américanisme, ce ne est pas le cas.

    "Cela ne concerne pas l'anti-américanisme ou formant une sorte de coalition anti-américaine. Il est sur le désir naturel d'un nombre croissant de pays à assurer leurs intérêts vitaux et de le faire d'une manière qu'ils voient à droite, pas la façon dont ils se font dire par une partie étrangère ", a t-il dit.

    Si la direction nous poursuit pas d'une fausse perception qu'il a une charge donnée par Dieu à assumer la responsabilité de tout le monde, mais en développant les compétences pour former un consensus, Moscou serait le premier à dos Washington, a déclaré M. Lavrov.

    Mais maintenant, Washington est intimider d'autres pays en toeing leur ligne, et peu osent s'y opposer publiquement par crainte de représailles, tout en se plaignant en privé, a t-il ajouté.

    http://rt.com/news/207927-russia-europe-business-usual/

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    1. Et oui ! comme le souligne le ministre russe des Affaires étrangères "quand le mal est fait il n'y a plus rien à faire" ! et les choses ne vont pas se passer comme dorénavant. Cette manière de frapper du poing sur la table est typique à Lavrov et, de mettre les choses au point est aussi claire limpide que de l'eau. On sent là que les petits trous de cul qui se prennent pour le roi de la rangée de fayots sur piquets est compromis à baisser sa culotte et montrer ce qu'ils ont ! Hahahaha !

      Formule suppositoirement votre.

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  8. Pourquoi les Français doivent travailler plus sans gagner plus

    Par Challenges.fr
    Voir tous ses articles
    Publié le 08-10-2014 à 07h53 Mis à jour le 09-10-2014 à 16h03

    L'institut Montaigne regrette que les salariés à temps plein travaillent en France moins que dans la plupart des pays européens et de l'OCDE.
    Temps de travail en France Institut Montaigne (c) DR

    Français, il faut travailler plus sans gagner plus "pour relancer l'économie", estime l'Institut Montaigne dans un rapport publié mercredi 8 octobre, qui affirme que l'écart entre la France et ses voisins en matière de temps de travail atteint "des proportions inquiétantes".

    Dans ce texte baptisé: "Temps de travail: mettre fin aux blocages", le think thank d'inspiration libérale affirme que "tous secteurs confondus, les salariés à temps plein travaillent en France moins que dans la plupart des pays européens et des économies comparables de l'OCDE".

    Pour l'Institut, il faut "agir rapidement" face à cette situation et réformer le temps de travail pour "relancer l'économie française".*

    Baisse du coût du travail et hausse de la production

    "Une hausse du nombre d'heures travaillées sans compensation salariale, en permettant à la fois une baisse du coût du travail et une hausse de la production, pourrait permettre de créer un véritable choc de compétitivité en France", affirme le centre de réflexion.

    A l'appui de son constat d'un manque de travail des habitants de l'Hexagone, l'Institut cite diverses études, dont une récente enquête de Coe-Rexecode, selon laquelle les salariés français à temps complet ont travaillé en 2013 en moyenne 186 heures de moins que les Allemands et 239 heures de moins que les Britanniques.

    Le secteur public est aussi spécialement montré du doigt par le think tank, le temps de travail y étant "nettement inférieur" que dans le privé, selon lui.
    L'Institut déplore en ce domaine "une absence de données inquiétante" et "une défaillance globale du contrôle de la durée effective du travail".

    Il relève que "le nombre annuel moyen d'heures de travail pour les fonctionnaires des administrations centrales de 21 pays européens de l'OCDE était de 1.697 heures, contre 1.573 heures en France en 2010".

    Face à cette situation globale qui a "handicapé l'économie française au cours des dernières années", l'Institut Montaigne formule diverses préconisations.

    (suite en dessous:)

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  9. Diverses préconisations

    Il recommande en premier lieu d'"augmenter le temps de travail dans les secteurs public et privé", avec deux scénarios pour le privé: augmenter la durée légale du travail à une durée comprise entre 38 et 40 heures par semaine (contre 35h actuellement) ou carrément "supprimer la durée légale du travail", qui serait désormais fixée "par accords collectifs de branche ou d'entreprise".

    L'Institut précise qu'"en cas d'absence d'accord, la décision unilatérale du chef d'entreprise" devrait être autorisée.

    Pour le public, l'Institut propose là aussi de relever le seuil déclenchant des heures supplémentaires entre 38 et 40 heures par semaine, avec une absence de "compensation salariale" pendant une période qui pourrait durer trois ans.

    En matière de lutte contre l'absentéisme, le centre de réflexion préconise par ailleurs de restaurer le jour de carence (non indemnisé) dans la fonction publique, créé en 2011 et supprimé par la gauche, ou de donner aux cadres intermédiaires plus de moyens de contrôle avec par exemple une "généralisation des badgeuses".

    L'Institut suggère aussi de mieux recenser statistiquement le temps travaillé dans la fonction publique et de publier les données chaque année avec une discussion au Parlement.

    Du côté des entreprises, il estime qu'il serait "pertinent" qu'une partie des sujets concernant l'organisation du travail puisse être décidée de façon unilatérale par le chef d'entreprise qui en informerait les partenaires sociaux. Cela pourrait concerner par exemple, la mise en place d'astreintes ou de forfaits jours, précise l'Institut.

    http://www.challenges.fr/economie/20141008.CHA8627/pourquoi-les-francais-doivent-travailler-plus-sans-gagner-plus.html

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  10. Pourquoi la fin du pétrole et du gaz n'est plus d'actualité

    Par Challenges.fr
    Publié le 06-10-2014 à 13h06

    Un des thèmes majeurs qui a agité la sphère politico-médiatique ces dix dernières années, en particulier en France, est celui de la nécessaire transition énergétique. En cause: la fin du pétrole et les dérèglements climatiques dus à la consommation d’hydrocarbures. Accusé principal: le pétrole, bien sûr!

    Une fois ces évidences intégrées, les solutions arrivent avec les énergies renouvelables. Conséquence, notre univers se remplit de panneaux solaires et d’éoliennes tandis que les patrons d'hôtels et les maires des grandes villes expliquent comment "sauver la planète". La force de conviction de ces nouveaux Cassandre est considérable. Elle a conduit la chancelière allemande à accélérer la fermeture des centrales nucléaires de son pays et à multiplier les éoliennes, tandis qu’on assistait à un retour à la consommation de charbon s’accompagnant d’une fragilisation des sociétés de production d’électricité. La protection de l’industrie a, par ailleurs, conduit à un renchérissement de l’électricité pour les consommations domestiques! Tout n’est donc pas si simple!

    Plus de pétrole bon marché

    Tout d’abord, revenons au concept premier, celui de la fin du pétrole. Il est erroné, nous n'assistons pas aujourd’hui au début d’une pénurie physique, pas plus pour le pétrole que pour le gaz ou le charbon ! En revanche, nous pouvons dire que nous ne reverrons plus les prix que nous avons connus lors des Trente glorieuses. Comme ils ont décuplé, on peut simplement parler de fin du pétrole bon marché, mais les réserves ne sont pas la cause !

    Cela me permet d’illustrer mon premier théorème: LES RESERVES "AUGMENTENT" AVEC LE PRIX.

    Concernant le pétrole, on peut donner quelques arguments qui expliquent ce phénomène. Par exemple, un tiers seulement des bassins sédimentaires a été exploré. Il s'agit du plus facile et du moins cher. Mais il y a encore des potentialités pour du pétrole très lourd comme celui du bassin de l’Orénoque au Venezuela. Par ailleurs, les sables bitumineux existent un peu partout dans le monde, le pétrole non conventionnel (dit de schiste) également, et les gisements du siècle dernier ont été exploités à environ 5% tandis que nous approchons désormais des 50% extraits des puits actuels. De nouvelles techniques vont permettre, à terme, de retourner dans les anciennes régions pétrolières.

    Si l’on peut actuellement envisager tous ces développements, c’est que le prix actuel des hydrocarbures permet l’utilisation de techniques chères et de gisements éloignés. Nous ne connaîtrons donc pas de problèmes de pénurie de réserves physiques de pétrole, de gaz ou de charbon, tant que les coûts d’extraction permettront d’être moins chers que les autres sources d’énergie.

    (suite en dessous:)

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  11. Il n’y aura par ailleurs jamais de fin du pétrole, à mesure que les autres sources d’énergie deviendront compétitives. Il faudra abandonner les gisements trop onéreux et les produits pétroliers seront cantonnés aux usages où ils seront les moins remplaçables, comme dans l'industrie ou l'aéronautique.

    Combien de temps restera-t-il au prix actuel ?

    - Pour le charbon et le gaz, on peut tabler respectivement sur 200 et 150 ans, avec une consommation en croissance lente qui tient compte de la démographie.

    - Pour le pétrole, la visibilité est moins claire. On classe les découvertes selon trois catégories, les prouvées, les probables et les possibles. En réserves prouvées l'estimation varie entre 30 et 50 ans, mais ces chiffres ne tiennent pas compte des réserves de "lourd", des sables de l’Alberta et des autres provinces du Canada , du pétrole non conventionnel et de toutes les réserves d'Irak qui n’ont pas été regardées depuis quarante ans, des gisements du Rift africain, en gros de toute l’Afrique centrale, du canal du Mozambique, du potentiel iranien des investissements pour extraire les réserves probables … et des techniques qui permettront dans le futur de réexploiter les anciens gisements abandonnés! Je prédis 150 ans de pétrole dans la zone de prix actuel.

    Economiser l’énergie

    Alors, tous les efforts que nous faisons avec nos double-vitrages et nos éoliennes seraient-ils vains? N’y aura-t-il pas de transition énergétique ? Continuerons-nous à exploiter et consommer le pétrole ?

    Effectivement, les hydrocarbures vont continuer à être exploités mais tous les efforts ne sont pas vains. Il faut économiser l’énergie, ne pas la gaspiller et poursuivre les travaux sur le gaz carbonique (CO2) qui est de nature, semble-t-il, à conduire à des dérèglements climatiques.

    => Mais, et c’est mon deuxième théorème, l’utilisation de l’énergie n’obéit pas à des règles morales, L’ENERGIE DU FUTUR SERA LA MOINS CHERE. Ce qui signifie que si les hydrocarbures restent dans la gamme de prix actuel, on continuera à s’en servir mondialement. Les 7 milliards de consommateurs veulent avoir le meilleur prix pour leur énergie parce qu’ils sont loin d’être tous milliardaires et que la grande majorité des humains cherchent à survivre et non à sauver la planète!

    Car tout revient à déterminer ce qui sera le moins cher demain. Pour l’instant dans les contrées à forte population et à faibles revenus, le pétrole, le gaz et le charbon sont les mieux placés. Les pays qui ont choisi le nucléaire disposent également d’une électricité compétitive.

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  12. La bombonne de gaz butane ou propane a un présent et un avenir, de même que le gazole. Les avions fonctionnent encore pour longtemps au jet-fuel de raffineries, l’industrie chimique consomme 15% du pétrole produit. A ce prix, avec des réserves de 150 ans il n’y aura pas de "transition énergétique" mondiale !

    Solutions divergentes selon les Etats

    En revanche, un Etat peut décider, comme l’Allemagne hier avec le nucléaire ou la France avec les pétroles et gaz non conventionnels, qu’une production est impie. Ils en supportent les coûts en termes de compétitivité industrielle, et donc de récession éventuelle, mais ce n’est pas pour cela qu’ils vont changer le cours du monde.

    On peut aussi décider d’un vaste programme d’investissement dans le bâtiment pour diminuer la consommation énergétique d’un pays. Ce programme aurait un coût immédiat mais le rendement sur investissement pour les changements dans les bâtiments existants est très faible, c’est donc un choix de pays riche qui veut relancer le secteur de rénovation des constructions! Un Etat ou un groupe de pays peuvent aussi décider de taxer le gazcarbonique pour favoriser le nucléaire et les énergies renouvelables, c'est-à-dire augmenter artificiellement les coûts des hydrocarbures et du bois pour soutenir les alternatives, on tord alors la concurrence réelle. Cela a un coût et c’est encore une décision de pays riche. Mais en Inde et en Chine, où résident le tiers des habitants du globe, les prix resteront dépendants des coûts et les consommateurs prendront les solutions les moins chères!

    La mauvaise idée du protectionnisme

    La question finale est donc de savoir quand les énergies dites renouvelables, solaire, éolien, hydrolien, marées, courants marins… seront-elles moins chères que les hydrocarbures? Quand les ruptures technologiques vont-elles se réaliser? Tout le monde y travaille, à juste titre car à part pour certaines contrées avec beaucoup de soleil et beaucoup de vent, ces solutions sont encore chères et les problèmes de maintenance loin d’être résolus. On expérimente , on fait des progrès considérables , mais toute cette énergie produite ne représentera dans les années prochaines que quelques pour cents de la consommation mondiale . Pour l’instant la rupture technologique pétrole et gaz non conventionnels (dits de schiste) a précédé celle des énergies renouvelables en termes économiques, est-ce que la fusion nucléaire va également mettre tout le monde d’accord rapidement pour une production électrique bon marché et sûre ? D’autres avancées peuvent changer la donne par exemple sur le stockage et l’utilisation du gazcarbonique.

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  13. En attendant les hydrocarbures continueront leur chemin partout… sauf quelques cas isolés de pays riches et nantis qui risquent, néanmoins, de ne plus le rester longtemps ! Le protectionnisme n’a jamais été une solution durable.

    http://www.challenges.fr/tribunes/20140917.CHA7781/pourquoi-la-fin-du-petrole-et-du-gaz-n-est-plus-d-actualite.html

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    Réponses

    1. (...) Plus de pétrole bon marché (...) ??! Cela dépend toujours des pays, voyons l'Arabie Saoudite: Pays le plus pollueur de la planète où les 'patrons' roulent en 'gros cubes' et, les autres à pied sans assurance et salaire de rien. En face, ceux qui ont aussi du pétrole mais, comme pour copier la grande Libye de Kadhafi, cherchent à redistribuer cette mane gigantesque qu'est un produit gratuit qui sort seul de terre.

      (...) Il n’y aura par ailleurs jamais de fin du pétrole, (...) abiotique. Il ne peut y avoir que des restrictions. Restrictions dues à la forte demande face au temps qu'il faut pour reremplir les nappes.

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  14. Ni économique, ni écologique et même dangereux pour la santé… Le triple scandale des lampes à économie d’énergie

    Imposées par la loi, les lampes à économie d'énergie étaient supposées réduire la facture énergétique des Français et protéger l'environnement. Force est de constater aujourd'hui que le contrat n'est pas rempli, et que même la santé des enfants peut en être affectée.

    le 21 Novembre 2014

    Atlantico : Les ampoules basse consommation ont remplacé en 2013 les ampoules à incandescences sous l'effet de la loi. Que sait-on maintenant de leur impact sur l'environnement ? Ce dernier y a-t-il gagné ?

    Rémy Prud'homme : Aucune analyse précise te sérieuse n'a a ma connaissance été menée sur un éventuel effet bénéfique au niveau environnemental. Je serais curieux de voir comment de telles études pourraient être menées, d'ailleurs.
    Je me contente de faire preuve de bon sens. N'importe qui rapproche sa main d'une ampoule traditionnelle se rend compte qu'elle émet de la chaleur.
    En réalité la part de lumière émise est minime : 5%, contre 95 % de chaleur. Les ampoules nouvelle génération consomment moins d'énergie, certes, mais rejettent aussi moins de chaleur, ce qui mécaniquement a une incidence sur la consommation d'énergie : plus de gaz, plus de fuel, donc plus de gazcarbonique dans l'atmosphère. Alors que l'électricité, elle, étant de source nucléaire, ne pollue pas. A défaut de preuves existantes, c'est à partir de ces observations que l'on peut déduire que l'imposition par la loi de lampes basse consommation augmente l'émission de gazcarbonique.

    Jean-Pierre Cesarini : Il existe trois types de lampes à basse consommations :
    les halogènes, qui contiennent des substances extraites du sol et qui posent un problème de récupération de matériel ;
    les lampes à fluorescence, qui elles aussi posent un problème environnemental. Pour transférer la lumière, il faut des poudres tirées du sol à l'intérieur du verre. Tant que la lampe fonctionne, aucun problème ne se pose, par contre la récupération n'est pas gagnée ;
    les LED, qui sont différentes, mais qui posent aussi des problèmes de récupération. On n'est pas certain que la dispersion des matériaux qui les composent, qui sont des métaux rares, soit neutre.
    Les ampoules basse consommation sont censées durer plus longtemps que les ampoules traditionnelles. Les Français s'y retrouvent-ils au moins au niveau économique ?

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  15. Rémy Prud'homme : Les Français ont dû changer des centaines de millions d'ampoules, et ont donc opéré un investissement considérable. On leur a fait croire qu'ils consommeraient moins d'électricité, et que les ampoules dureraient plus longtemps, c’est-à-dire 50 ans contre 5 ou 10 ans. Et à peine 5 ans après, ils se retrouvent sur le point d'être contraints de changer pour des LED. Il y a donc escroquerie, d'autant que la différence de prix d'achat avec les ampoules traditionnelles étant considérable, les consommateurs n'auraient jamais eu de retour sur investissement.
    Et il serait faux de penser que cette dépense obligatoire crée des emplois, car si elle n'existait pas, les Français auraient dépensé leur argent ailleurs. Ceux qui y gagnent, ce sont les fabricants de lampes, qui sont majoritairement chinois.
    Qu'en est-il de la teneur en mercure des lampes à basse consommation ? Celle-ci constitue-t-elle une menace pour notre santé ?

    Jean-Pierre Cesarini : Le mercure est présent dans les lampes à fluorescence et dans les lampes halogènes, qui fonctionnent selon un principe similaire : une décharge qui se trouve être du mercure, à laquelle sont ajoutées des substances qui changent la température de couleur. On sait que le mercure est extrait des sols, mais on ignore ce qu'il devient une fois qu'il est relâché dans la nature, lorsque l'ampoule se casse.
    Les ampoules à basse consommation sont décriées par certains parce qu'elles émettent des UV. Est-ce véritablement une menace ?

    Jean-Pierre Cesarini : Les ampoules traditionnelles n'émettent pas d'UV, car la température du filament de tungstène n'est pas assez élevée pour en produire en grande quantité, et de toute façon l'enveloppe de verre protège. Les nouvelles ampoules, par définition, sont conçues sur l'émission d'ultraviolets. Dans les halogènes, la température atteinte est telle qu'une enveloppe de de quartz est nécessaire, mais ce dernier, qui est un verre ultra pur, laisse passer les UV. Ensuite les UV sont arrêtés par l'enveloppe de verre, mais un continuum persiste tout de même.
    D'autre part, le champ magnétique créé par la décharge créant la lumière est négligeable. Les lampes fluorescentes exigent quant à elles que l'on ne se rapproche pas trop longuement à moins de 20 centimètres.
    Les LED ne présentent pas non plus de risques en termes d'émissions électromagnétiques. En revanche, elles peuvent être dangereuses au niveau oculaire, car pour un rendement lumineux maximum, les techniciens ont poussé vers le bleu et le blanc très brillant. Contrairement aux sources halogènes ou fluorescentes, les LED ont un pic de lumière très prononcé. Les phares à LED sont particulièrement éblouissants, par exemple, car la lumière est concentrée sur une faible longueur d'onde.

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  16. A l'arrivée des LED sur le marché, j'ai dénoncé un certain nombre de risques : il ne faut pas les regarder fixement, surtout lorsqu'on est en bas âge. Sur le long terme, la rétine peut être endommagée. Le cristallin des enfants est particulièrement transparent, et laisse très facilement passer tout ce qui est blanc ou bleu. C'est pourquoi il est recommandé de ne pas intégrer de LED dans les jouets ou dans les espaces accueillant des enfants. C'est seulement à partir de 7 ou 8 ans que le cristallin fonctionnant, des pigments d'usure se forment, et arrêtent les UV.
    Les champs électromagnétiques autour des lampes peuvent-ils être cancérigènes ?

    Jean-Pierre Cesarini : Pas du tout. C'est une vieille peur agitée par des gourous qui veulent protéger mais ne connaissent pas la biologie des rayonnements électromagnétiques, qui n'ont pas été classés comme cancérigènes. S'il y avait un risque, ce serait de 1 sur 1000 par rapport à l'ultraviolet.

    http://www.atlantico.fr/decryptage/ni-economiqueni-ecologique-et-meme-dangereux-pour-sante-triple-scandale-lampes-economie-energie-remy-prud-homme-jean-pierre-1863068.html

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  17. Omerta sur la viande : 3 minutes pour comprendre le recyclage industriel qui permet à des pièces périmées d’atterrir dans votre assiette


    Ingénieur agronome, Pierre Hinard découvre les dessous des usines à viande : des asticots dans la viande hachée, des pièces congelées, décongelées, recongelées, des analyses faussées, des dates truquées, du sang déversé dans les champs. Face à ces manquements, les services vétérinaires sont absents ou corrompus et les pouvoirs publics pour le moins… distraits. En bout de chaîne, des consommateurs lésés, méprisés et trop souvent malades. Extrait de "Omerta sur la viande", publié chez Grasset (1/2).
    Bonnes feuilles
    Publié le 22 Novembre 2014

    Six mois après mon arrivée, Amélie, mon assistante, entre dans mon bureau et m’alerte. A l’entrée de l’atelier du piéçage, Bénédicte a des hoquets : elle ouvre des poches de viandes verdâtre. L’odeur, écoeurante, s’est répandue dans l’atelier. Les filles du « désouvidage » sont livides sous les masques.
    Il s’agissait visiblement de grosses pièces de muscles, des arrières, beaucoup de tranches à rôtir, du gîte principalement. A tous les coups, des invendus qu’Auchan nous a renvoyés en vertu d’un accord tacite imposé – et non écrit – par la chaîne d’hypermarchés à l’entreprise. Soit. Mais depuis combien de temps ces viandes macèrent-elles dans ces sacs ? Avec la pression de la mise sous vide, l’exsudat, un épanchement liquidien du muscle, s’est exprimé en abondance et agit tel un mouchard. Plus on avance dans le temps, plus il abonde, brunit et prend une odeur forte et acide.

    Un coup d’oeil sur l’étiquette suffit à s’en convaincre, cette viande n’aurait jamais dû arriver dans cet atelier : elle a traîné bien trop longtemps dans les frigos puis sur la plateforme de retour. Aujourd’hui, elle se retrouve largement hors délai pour subir une deuxième transformation. C’est pourtant l’ordre que les filles ont reçu : trancher des rôtis. Mais elles renâclent.

    Toutes les viandes, une fois désossées et mises sous vide à l’atelier de découpe, sont stockées au frigo avant expédition. Soit elles sont prévendues et donc déjà attribuées à un client de la grande distribution, soit elles sont en attente de vente. Quand elles ne sont pas vendues et que l’industriel veut les trancher et les congeler, il s’agit là d’une deuxième transformation qui doit être opérée au maximum huit jours après l’abattage, à l’atelier de piéçage.

    C’est la première fois que je suis confronté à une telle situation et j’ordonne immédiatement la mise en destruction du lot. Mais ce que j’ignore alors, c’est que le directeur commercial ne se plie pas d’aussi bonne volonté aux ordres du responsable qualité ! Parce qu’il est en charge d’écouler les stocks, c’est donc lui qui aménage le plan de travail de l’atelier, en fonction des commandes et des invendus. Sa formule : rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. Il transmet aux acheteurs de l’abattoir le nombre d’animaux à prévoir, leur nature en fonction des besoins de ses clients et entend satisfaire ces derniers au prix le plus bas.

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  18. Dans l’entreprise, David Rousset, c’est le bras droit du patron. Trop intéressé aux résultats de Castel Viandes et entièrement consacré à sa propre réussite, il méprise les règles, les hommes et les lois. Ce jour-là, il passe derrière moi pour ordonner au chef de l’atelier de piéçage de reprendre les lots avariés et de les travailler.

    Théoriquement, ma mission s’arrête à l’ordre de destruction, puisque je n’ai pas de raison de douter de son exécution. Mais quand un problème surgit, l’usage veut qu’on suive le produit jusqu’à sa fin ultime. A posteriori donc, mon assistante Amélie épluche les listings où sont consignées l’origine des viandes et les dates d’abattage, de piéçage et de mise sous vide afin de vérifier la régularité des délais.

    Et c’est là, au lendemain de l’ordre de destruction, que ressurgit sous nos yeux ce lot litigieux : au lieu de partir à la benne à déchets comme je l’avais exigé, les viandes ont été retravaillées. Interrogé, le chef d’atelier confirme que le directeur commercial, passé après moi, lui a forcé la main. Les filles, malades au-dessus des paquets, n’ont eu d’autre choix que de s’exécuter. Après un parage sommaire des muscles pour retirer les parties verdâtres, elles ont découpé ce qui restait et l’ont congelé. Le lot est reparti sous forme de « rôtis » à destination d’un traiteur industriel qui produit des plats cuisinés, sous les marques de distributeurs. A la réception, l’industriel a mis en cuisson la moitié des 800 kg reçus : confronté à l’odeur immonde qui s’en est dégagée, il nous a renvoyé les 400 kg restants. De son côté, Castel lui a fourni un avoir en guise de dédommagement.

    Amélie file au bureau chercher les documents d’identité des lots retournés et édite leurs fiches de traçabilité : date d’abattage et liste des animaux constituant le lot, date de mise sous vide, date de piéçage. A la lecture du listing et des tableaux, les bras m’en tombent : il s’agit bien des lots invendus par Auchan, tranchés et découpés (piécés) vingt-huit, trente et jusqu’à quarante jours après leur mise sous vide. Quarante ! A ce stade, légalement, on ne peut plus utiliser la viande. Pire, ces viandes présentent un éventail presque exhaustif des fraudes et contraventions sanitaires possibles dans notre métier : le lot d’origine, travaillé hors délai, est constitué pour partie de viandes « fiévreuses ». Ce ne sont pas des conditions rédhibitoires, mais de tels morceaux sont particulièrement instables et doivent impérativement être traités dans les sept à dix jours : l’acidification s’étant mal faite après l’abattage, leur conservation sera plus difficile. L’autre partie du lot provient d’animaux souillés sur la chaîne d’abattage où la préparation des carcasses s’est mal déroulée, elles auraient dû être traitées dans un lot à part. Pas étonnant qu’elles aient mal évolué ! C’est clair : ces viandes n’auraient jamais dû repartir chez un deuxième client, c’est une prise de risques considérable et potentiellement lourde de conséquences. Heureusement, l’odeur qui s’est dégagée de la cuisson a stoppé net l’industriel. Mais si l’odeur avait été masquée par une épice forte, la viande aurait pu finir dans notre assiette.

    Pourtant, la saga ne s’arrête pas là : une fois encore, au lieu de terminer dans la benne à ordures, sa juste place, le lot honni va avoir droit à une ultime chance…

    http://www.atlantico.fr/decryptage/omerta-viande-3-minutes-pour-comprendre-recyclage-industriel-qui-permet-pieces-perimees-atterrir-dans-votre-assiette-pierre-1865936.html

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  19. Riches deviennent plus riches, pauvres plus pauvres en vertu des résultats mitigés de Abenomics '

    Dernière mise à jour: 23 novembre 2014

    Malgré cheerleading infatigable du Premier ministre Shinzo Abe, les indicateurs économiques montrent l'écart entre les travailleurs réguliers et temporaires ne est grossit sous "Abenomics», son programme économique déflation-busting.

    Lors d'une conférence de nouvelles tenue mardi pour annoncer son plan de dissoudre la Chambre des représentants, chambre basse puissante de la Diète, pour des élections anticipées, Abe a souligné que ses politiques ont amélioré l'emploi et les salaires.

    Au cours des deux années écoulées depuis son gouvernement a été lancé, le taux de chômage désaisonnalisé améliorée à 3,6 pour cent en Septembre de 4,2 pour cent en Janvier 2013, quand le Cabinet d'Abe bat son plein. Le ratio des offres d'emploi aux demandeurs d'emploi a augmenté à 1,09 de 0,84, tandis que la récolte de diplômés universitaires de cette année a vu décrocher des emplois de 94,4 pour cent contre 93,9 pour cent un an plus tôt.

    Les exportateurs qui avaient souffert de la vigueur du yen au cours de la crise financière mondiale relancé que la Banque du Japon couper la monnaie à environ ¥ 117 pour un dollar d'environ ¥ 90.

    Et l'indice de référence Nikkei moyenne des stocks a grimpé à au-delà de 17 000 d'environ 11 000 que la Banque du Japon a lancé une inflation attisant, quantitative croisade d'assouplissement de l'actif-achat tandis que le fonds de retraite national massif a décidé de sauter dans le marché boursier de jouer avec l'argent des contribuables et de réduire ses avoirs en obligations du gouvernement japonais.

    En 2013, les travailleurs du secteur privé gagnaient un salaire annuel moyen de ¥ 4,130,000, en hausse de 1,4 pour cent par rapport à l'année précédente. Pourtant, les travailleurs non réguliers, ou temps, ne ont pas reçu beaucoup d'avantages de Abenomics, ou de leurs employeurs, que les salaires ont diminué à environ ¥ 1.670.000, en baisse de 0,1 pour cent.

    Pendant ce temps, le décompte de l'aide sociale a augmenté de près de 10 000 personnes.

    Reflétant les dépenses de l'Etat sur les mesures à amorcer, la dette du Japon a dépassé ¥ 1,038 quadrillions, soulignant les finances précaires de la troisième plus grande économie du monde que la BOJ engloutit obligations du gouvernement japonais et des risques le risque de long terme des taux d'intérêt dopage.

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  20. Abe a dit à la fin de la déflation est à venir en vue, mais la hausse des prix ont progressivement mis une pression supplémentaire sur luttant ménages et les dépenses de consommation, entraînant le pays dans une autre récession, tandis que la baisse des prix du pétrole ont jeté l'objectif d'inflation de la Banque du Japon en doute.

    L'indice des prix à la consommation de base, qui exclut les prix volatils des produits frais, se est établi à 103,5 en Septembre contre 100 pour l'année de base de 2010, en hausse de 3,0 pour cent il ya un an et le gain 16e année consécutive sur un an.

    http://www.japantimes.co.jp/news/2014/11/22/business/economy-business/rich-get-richer-poor-poorer-mixed-results-abenomics/

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  21. Ukraine/Novorossia : Comment les rebelles ont-ils fait pour vaincre des forces de Kiev largement supérieures ?

    jeudi 20 novembre 2014

    L’auteur anonyme de cette mini-série de trois articles est un blogueur américain (pseudonyme Shellback) qui se présente comme un ancien militaire, expert pour l’OTAN du désarmement à l’époque de Brejnev. Il n’estime pas que la Guerre froide fut une chose rigolote au point que nous devrions essayer de la recommencer. Il répond à trois questions sur ce conflit.

    - Lire le très long article:

    http://gaideclin.blogspot.fr/2014/11/ukrainenovorossia-comment-les-rebelles.html

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  22. La guerre contre Poutine

    22 novembre 2014

    Il est un livre intéressant, un pamphlet vraiment, intitulé «La guerre contre Poutine" par Mme King disponible sur Amazon.com. Le livre comporte 16 avis 5-étoiles et un avis accusant le livre d'être Kremlin

    La valeur de cette publication est en montrant comment Washington exploité contre l'Union soviétique et comment fonctionne Washington contre la Russie aujourd'hui. Les lecteurs auront un aperçu dans le mensonge du gouvernement à Washington et apprendre que les médias américains et européens sont des organisations de propagande qui imposent de fausses histoires sur l'esprit des Américains et des Européens. Toute personne qui se appuie sur les médias occidentaux vit intérieur de la matrice.

    La brochure du Roi ne est pas parfait, mais il est utile et facile à lire. Dans son effort pour mettre l'attaque de Washington sur la Russie de Poutine dans un contexte historique, l'incursion du roi dans l'histoire plus large est un peu idiosyncrasique. Par exemple, le roi écrit que Hitler avait d'envahir l'Union soviétique afin de préempter une invasion soviétique imminente de l'Allemagne. Une telle attaque soviétique semble peu probable-voire impossible en vue de la purge de Staline des commandants militaires soviétiques qui a commencé deux mois avant l'invasion d'Hitler. Staline avait si nombreux officiers supérieurs exécutés qu'il est difficile de voir comment une invasion de l'Allemagne aurait pu être possible.

    D'autres explications de l'invasion hitlérienne de l'Union soviétique semblent plus plausible. Par exemple, certains historiens ont conclu que Hitler a été frustré par le refus de l'Angleterre de mettre fin à la guerre avec un traité de paix. Hitler a blâmé le refus de l'Angleterre de mettre fin à la guerre sur l'espoir de l'Angleterre que les Soviétiques pourraient être incités à entrer en guerre contre l'Allemagne. Hitler a décidé qu'un coup de knock-out contre l'Union soviétique serait écraser l'espoir anglais et amener la fin de la guerre.

    Peu importe, le roi est écrit sur la guerre de Washington contre la Russie, pas de la Deuxième Guerre mondiale. Ce que le roi a à dire est très différent de ce que les Américains et les Européens sont nourris par les médias. Les citations de Poutine sont vaut le prix de la brochure.

    Les punks à deux bits qui habitent fonction politique dans l'Ouest et les arrière-scènes conspirateurs qui tirent leurs chaînes sont surclassées par Vladimir Poutine. Si la troisième guerre mondiale est évité, il sera entièrement due aux compétences diplomatiques de Poutine et la maîtrise de soi.

    La brochure du Roi vous aidera à éviter d'être fouettée dans une frénésie par des mensonges qui conduisent à la guerre.

    http://www.paulcraigroberts.org/2014/11/22/27588/

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  23. Une étude scientifique révèle que les théoriciens de la conspiration sont les plus sains de tous


    22 novembre 2014
    Invité article par JD Heyes

    Les chercheurs - psychologues et chercheurs en sciences sociales, pour la plupart - aux États-Unis et Royaume-Uni disent données indiquent que, contrairement à ces stéréotypes des médias grand public, «théoriciens du complot» semblent être plus saine que les personnes qui acceptent versions officielles d'événements controversés et contestés.

    (NaturalNews) Si vous êtes un théoricien de la conspiration, alors vous êtes fou, non ? Cela a été la croyance commune depuis des années, mais des études récentes prouvent que le contraire est vrai.

    Les chercheurs - psychologues et chercheurs en sciences sociales, pour la plupart - aux États-Unis et Royaume-Uni disent données indiquent que, contrairement à ces stéréotypes des médias grand public, les «théoriciens du complot» semblent être plus sains que les personnes qui acceptent les versions officielles d'événements controversés et contestés.

    L'étude la plus récente a été publiée en Juillet 2013 par des psychologues Michael J. bois et Karen M. Douglas de l'Université de Kent au Royaume-Uni. Intitulée «Qu'en est-il le bâtiment 7 ? Une étude psychologique sociale de discussion en ligne de 9/11 théories du complot », l'étude a comparé« conspirationniste », ou la théorie pro-complot, et" conventionnaliste, "ou anti-complot, des commentaires sur les sites d'actualité.

    Les chercheurs ont noté qu'ils étaient surpris de constater que ce est maintenant plus conventionnel de quitter soi-disant commentaires conspirationnistes que les conventionnels.

    "Sur les 2174 commentaires recueillis, 1459 ont été codées comme conspirationniste et 715 comme conventionnaliste," ont écrit les chercheurs.

    «La recherche a montré que les personnes qui ont favorisé le compte rendu officiel de 9/11 étaient généralement plus hostile»

    Ainsi, parmi les personnes qui commentent les articles de presse, ceux qui escompte comptes officiels du gouvernement d'événements comme les attaques de 9/11 et l'assassinat de John F. Kennedy sont plus nombreux que les croyants de plus de deux pour un. Cela signifie que les commentateurs pro-complot sont ceux qui sont maintenant exprime ce qui est considéré sagesse conventionnelle, tandis que les commentateurs anti-complot représentent une petite minorité aux abois qui est souvent moqué de et fuyait.

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  24. Peut-être devenir frustrés que leurs points de vue traditionnels présumés ne sont plus considérés comme tels par la majorité, ceux qui sont les commentateurs anti-complot souvent montré la colère et le dégoût dans leurs postes.

    "La recherche a montré ... que les gens qui ont favorisé le compte rendu officiel de 9/11 étaient généralement plus hostile en essayant de persuader leurs rivaux», a déclaré l'étude.

    En outre, il semble que ceux qui ne croient pas dans les conspirations étaient pas seulement hostile, mais fanatiquement attachés à leurs propres théories du complot ainsi. Les chercheurs ont dit que, selon les détenteurs anti-complot, leur propre théorie de 9/11 - une qui dit 19 musulmans, dont aucun ne pouvait voler des avions commerciaux avec toute la compétence, arraché une attaque surprise étonnante sous la direction d'un homme dialyse (Oussama ben Laden) qui vivait dans une grotte quelque part en Afghanistan - est résolument vrai.

    Pendant ce temps, «conspirateurs», à la main, ne ont pas à faire semblant d'avoir une théorie qui explique complètement les événements du 9/11. "Pour les personnes qui pensent 9/11 était une conspiration du gouvernement, l'accent ne est pas sur la promotion d'une théorie rivale spécifique, mais en essayant de démystifier le compte rendu officiel," ont déclaré les chercheurs.

    Tel que rapporté par Veterans Today:

    En bref, la nouvelle étude par Wood et Douglas suggère que le stéréotype négatif du théoricien de la conspiration - un fanatique hostile marié à la vérité de sa propre théorie de frange - décrit avec précision les gens qui défendent le compte officiel de 9/11, pas ceux qui contester.

    Une théorie du complot sur une théorie de la conspiration

    L'étude a également révélé que les croyants de la conspiration discutent le contexte historique, comme l'affichage de l'assassinat de JFK comme un précédent pour 9/11, plus que le antis. Il a également constaté que les croyants de la conspiration ne aiment pas être étiquetés comme tels.

    Ceux-ci et d'autres conclusions sont contenues dans un nouveau livre, Conspiracy Theory en Amérique, par le politologue Lance DeHaven-Smith, qui a été publié l'année dernière par la University of Texas Press. Il a expliqué pourquoi les gens ne aiment pas être étiquetés comme «théoriciens du complot».

    "La campagne de la CIA à populariser le terme« théorie du complot »et de faire conspiration croyance une cible du ridicule et de l'hostilité doit être crédité, malheureusement, d'être l'une des initiatives de propagande les plus réussies de tous les temps," a t-il dit.

    Il a en outre noté que, pour l'essentiel, ceux qui utilisent le terme comme une insulte le font à la suite d'un bien documenté, de complot incontesté et historiquement exact par la CIA pour couvrir l'assassinat de JFK.
    Ou non.
    À vous de juger.

    Sources:
    http://www.veteranstoday.com
    http://www.ncbi.nlm.nih.gov
    http://conspiracypsychology.com/2013/07/10/what-does-online-discussion-tell-us-about-the-psychology-of-conspiracy-theories/

    http://www.naturalnews.com/047168_conspiracy_theorists_sanity_propaganda.html#

    http://www.paulcraigroberts.org/2014/11/22/scientific-study-reveals-conspiracy-theorists-sane/

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  25. 3 banques américaines accusées de manipuler le prix des matières premières

    20 Minutes
    jeu., 20 nov. 2014 08:26 CET

    Dans un rapport rendu public mercredi, une commission sénatoriale du Congrès américain accuse trois grands établissements de Wall Street de s'être «engagés dans des activités risquées» au détriment des industriels et des consommateurs.

    Autrement dit, depuis 2008, les banques Goldman Sachs, JPMorgan Chase et Morgan Stanley, qui sont engagées dans plusieurs milliards de dollars d'activités concernant les matières premières physiques, en contrôlant ou en étant propriétaires de vastes stocks de brut, de gaz naturel, d'aluminium, d'uranium entre autres, sont aussi propriétaires d'entrepôts de stockage, de centrales électriques, de mines de charbon et de sites de gaz naturel et d'oléoducs.

    Position dominante et concurrence déloyale

    Or ce mélange des genres entre leur métier de banquier et le commerce engendre une concurrence déloyale face aux industriels et autres acteurs non bancaires. Et « leur permet de bénéficier de coûts d'emprunts bas contrairement aux autres intervenants », fustigent les sénateurs dans leur enquête.

    Et d'accuser les trois fleurons de Wall Street de s'être servis de leur position pour « manipuler ou influencer les prix des matières premières ».

    Audition au Sénat

    « Il est temps de restaurer la séparation entre la banque et le commerce et d'empêcher Wall Street d'utiliser des informations confidentielles à son avantage et au détriment de l'industrie et des consommateurs », souligne le sénateur Carl Levin, cité dans le document.

    Les sénateurs plaident notamment pour un désengagement des banques du courtage des matières premières. Les trois banques se sont défendues, arguant qu'une « connexion étroite a toujours existé entre les marchés financiers et les matières premières ». Elles devraient être auditionnées cette fin de semaine au Sénat.

    http://fr.sott.net/article/23934-3-banques-americaines-accusees-de-manipuler-le-prix-des-matieres-premiere

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