- ENTREE de SECOURS -



jeudi 18 septembre 2014

La France emprunte sans difficulté… parce qu’elle n’hésitera pas à ponctionner l’épargne des Français

par Philippe Herlin
15 sept. 2014
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Lundi [1er septembre, ndlr], la France a emprunté à un taux négatif, ce qui veut dire que les investisseurs perdent de l’argent, qu’ils payent pour confier leur argent ! Certes, il s’agit d’emprunts à court terme (3, 6 et 12 mois, pour un montant total de 8,2 milliards d’euros) et à des taux très légèrement en dessous de zéro (de -0,002% à -0,004%). Mais tout de même, cela ne s’était pas produit depuis mai 2013.
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Au même moment, l’Allemagne a également emprunté à des taux négatifs. Cependant, la situation économique des deux pays n’a strictement rien à y voir : l’Allemagne a dégagé un excédent budgétaire sur le premier semestre, alors que la France n’arrive pas à limiter son déficit à 3% du PIB ; le taux de chômage varie quasiment du simple au double de part et d’autre du Rhin ; la balance commerciale allemande a dégagé un excédent de 200 milliards d’euros sur 2013, tandis que celle de la France affichait un déficit de 60 milliards. Et on pourrait continuer cette liste sur des pages entières (rentabilité des entreprises, pourcentage des PME exportatrices, niveau des investissements, qualité de la formation professionnelle, etc.). Comment deux pays aussi dissemblables peuvent-ils emprunter avec la même facilité sur les marchés internationaux ?
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Si, ces deux pays possèdent un point commun : l’euro. Ça aide, surtout la France. Ceci dit, les investisseurs achètent de la dette française, à des conditions comparables à celle de l’Allemagne ; comment expliquer cela ? Des analystes évoquent le "Flight to quality" (fuite vers la qualité) : les abondantes liquidités cherchant à se placer à travers le monde quittent les pays émergents, peu sûrs et dont les devises peuvent décrocher et, dans la zone euro, évitent les pays périphériques. Ne restent plus que l’Allemagne, l’Europe du Nord et la France.
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Cette explication est en partie vraie, mais pas suffisante. Il y en a une autre : les Français épargnent beaucoup, entre 15 et 16% de leurs revenus (contre 10% en moyenne au niveau européen), ce qui se traduit par un pactole de 3.600 milliards d’euros d’épargne financière (livrets, comptes épargne, assurance-vie) logés dans les banques et les sociétés d’assurances. À un journaliste qui lui demandait si la France pouvait faire faillite, un ancien ministre des finances (François Baroin en 2012) avait répondu que la dette de la France est un "investissement sans risque", notamment parce que "la France a un niveau d’épargne élevé". Cet éphémère ministre avait trahi la ligne de conduite du pouvoir, par delà les alternances politiques : l’État n’hésitera pas à puiser dans l’épargne des ménages pour faire face à ses obligations (3.600 milliards d’épargne financière d’un côté, 2.000 milliards de dette publique de l’autre…). Et la qualité universellement reconnue de nos services fiscaux ne laisse aucun doute sur la réalité de cette menace. Voilà qui rassure les investisseurs internationaux. Nettement moins l’épargnant.
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On sait déjà que les banques qui tombent en faillite pourront puiser dans les comptes de leurs clients pour se renflouer, en vertu d’une directive européenne, mais une règle non écrite autorise l’État à faire de même : il faut en être conscient. Et, comme la situation de la France se dégrade inexorablement (les déficits ne se réduisent pas, la croissance est à zéro, le chômage continue d’augmenter), ce scénario risque vraiment de se produire. Face aux grands investisseurs internationaux, pour lesquels il ne faut pas négliger la dimension géopolitique (les fonds de pension US, les fonds souverains du Moyen-Orient, la banque centrale de Chine ; il ne fait pas bon se fâcher avec ces gens-là), l’épargnant français devra se sacrifier pour défendre "les intérêts supérieurs de l’État". On peut déjà imaginer, sur nos écrans de télévision, le ton compatissant, mais ferme, des plus hautes autorités de l’État nous expliquant "qu’il n’y a pas d’autre solution". Plus le temps passe, plus l’économie française s’enfonce dans la récession, et plus ce scénario cauchemar devient probable.
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76 commentaires:

  1. Comment l'Europe empoisonne sa propre population

    Jean-Paul Pougala
    Cameroon Voice
    jeu., 11 sept. 2014 06:01 CEST

    Il existe une histoire terriblement triste qu'on a cachée à des générations d'Européens. Ils sont donc nés, ont grandi et sont morts restant complètement idiots, ignares de tout ce qui les entourait. Ils sont morts idiots car ils n'ont jamais pu se poser une question qui pourtant était tellement élémentaire : Depuis la révolution industrielle au 19ème siècle, qu'a-t-on fait de tous les déchets toxiques résultats des erreurs et tâtonnements du début de l'industrialisation ?

    L'Europe, une vraie poubelle radioactive

    La vérité tenue secrète est que l'Europe, toute l'Europe est une sorte de poubelle radioactive. En Europe s'est passé quelque chose de très préoccupant. C'est que chaque pays cherchant à faire le malin a en toute confidentialité enfoui ses déchets radioactifs chez le voisin. Et ce voisin, ignare de ce que l'autre était venu enterré chez lui, est aussi allé enterrer ses propres déchets chez un autre voisin encore. Des années ont passé. Et la facture se présente très lourde à supporter et se traduit en prolifération des cancers dans toute l'Europe.

    Nous sommes en 1949, le Royaume-Uni, va débuter une activité nocturne légèrement suspecte aux larges des côtes françaises : immerger ses déchets radioactifs dans la mer, à 15 km seulement des côtes françaises du Cap de La Hague. Cette activité va durer 17 longues années avant que la France ne le découvre et y mette fin.

    Au même moment, dans les années 60, la France allait aux larges des côtes espagnoles enfouir ses propres déchets dans l'Océan Atlantique. Elle reconnait avoir ainsi enterré 14 000 tonnes de déchets radioactifs en mer.

    En 1967, accompagnée de 4 complices : l'Allemagne, la Belgique, le Royaume-Uni et les Pays-Bas, la France va immerger 36 000 fûts contenant 11 000 tonnes de déchets radioactifs aux larges des côtes espagnoles de la Galice.

    Elle va récidiver en 1969, cette fois-ci avec une nouvelle bande de complices : l'Italie, la Suède et la Suisse vont venir s'ajouter à l'ancienne bande de la Belgique et du Royaume-Uni pour l'immersion de 9 000 tonnes de déchets radioactifs en mer. Cette fois-ci, on le fait aux larges des côtes françaises de la Bretagne. De toutes façons, les Bretons sont un peuple à part, un peu rebelle qui ne se sent pas très français ; il peut donc être sacrifié. Encore aujourd'hui en 2014, il n'existe aucune station de péage sur les autoroutes bretonnes, parce qu'ils n'en veulent pas et donc, chez eux toutes les autoroutes sont gratuites. Et en 1969, ce peuple breton n'est pas au courant et ne peut donc pas réagir et se rebeller.

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  2. Tout cela a été interdit en 1983, avec la Convention de Londres. Conséquence, tous les pays européens ne savent plus quoi faire de leurs déchets qu'ils continuent à produire. C'est un peu le sauve-qui-peut avec pour conséquence naturelle l'augmentation exponentielle du nombre de décès dus à des cancers.

    Mais en 1996, l'association écologique italienne Legambiente a tenu une conférence pour dire qu'une entreprise britannique dénommée ODM (Oceanic Disposal Managemnt) proposait ses services pour contourner l'interdiction de la Convention de Londres. Elle justifiait ses services en disant que la convention de Londres interdisait de ne pas enfouir les déchets radioactifs dans les mers et les océans alors qu'elle les enfouissait plutôt sous la mer. Et pendant 20 ans tous les États européens se sont cachés derrière cette nuance pour continuer à enterrer des bateaux entiers pleins de déchets. C'est ce qui explique que la plupart des poissons pêchés aux larges des côtes européennes sont radioactifs.

    C'était en tout cas la technique la plus utilisée par tous les Européens pendant plusieurs décennies, une vraie politique de l'autruche : enfouir la tête dans le sable pour ne pas affronter le problème en face. Et cela consistait tout simplement à prendre un vieux bateau destiné à la casse, le remplir de déchets radioactifs ou toxiques et aller le faire couler aux larges des côtes européennes. Ainsi, pratiquement toutes les cotes européennes de la Méditerranée et de l'océan Atlantique, mais aussi de la Manche sont pleins d'épaves de bateaux contenant des déchets toxiques. De temps en temps, quelques déchets remontent à la surface ou sont tout simplement découverts par les pécheurs. Dans toute l'Europe c'est une véritable catastrophe nucléaire avec une montée vertigineuse des cas de cancer de tout genre.

    En France

    La France croule sous le poids de ses déchets radioactifs. Son sous-sol est une véritable bombe radioactive. L'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), dans son rapport 2012, donne un chiffre qui fait froid dans le dos : la France a 1,32 million de m3 de déchets radioactifs, et elle ne sait vraiment comment s'en débarrasser. Il faut préciser que ces chiffres, certainement minorés, nous viennent des déclarations des 3 principaux producteurs français de déchets radioactifs (EDF, Areva, CEA) pour l'année 2010.

    Alors au président Sarkozy est peut-être venue une brillante idée : pourquoi ne pas se débarrasser des déchets radioactifs en les enfouissant dans les constructions, dans les sous-sols d'autoroute durant la construction ? Aussitôt dit, aussitôt fait. Aujourd'hui, plusieurs tronçons d'autoroutes françaises sont certainement en cours de construction avec un mélange de ciment, d'aciers et de déchets radioactifs.

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  3. Dans ce merveilleux pays démocratique qu'est la France, une entreprise nous intéresse dans notre analyse. Elle ne comporte que 3 syllabes : Socatrie. Vous ne la connaissez pas, c'est normal. Même 99% des français ne la connaissent pas. C'est une entreprise en apparence insignifiante avec un seul actionnaire, et un capital de seulement 200.000€, crée et immatriculée au Registre de Commerce et des Sociétés de Nanterre dans la région parisienne (92) le 18 décembre 1974 avec le n° B 302 639 927, sous la forme juridique de EURL précisément, son siège social se trouve au 1, place Jean Millier à Courbevoie, en région parisienne.

    Cette entreprise en apparence seulement très insignifiante va pourtant réussir ce que la mafia italienne qui malgré son exploit de créer des partis politiques, élire les députés au parlement italien et avoir des ministres, n'a jamais réussi à faire : rendre parfaitement légal ses activités détestables d'empoisonnement des populations. Mais avant de développer le sujet, cherchons à savoir plus de ce Socatri qui veut dire : Société Auxiliaire du Tricastin. C'est quoi ses activités ? elle est enregistrée sous le code 3822Z, qui en France signifie : « Traitement et élimination des déchets dangereux » et dans la catégorie : « Eau et gestion des déchets ». Qui est son unique actionnaire ? Areva. Oui, vous avez tout compris : Areva produit les déchets nucléaires et sa filiale Socatri et chargée de les faire disparaître. Comment ? Nous allons le voir maintenant.

    Nous sommes en septembre 2004, Socatri demande au préfet du département français de la Loire, l'autorisation pour faire l'impensable : violer les lois françaises et surtout le code de santé publique. Il lui demande ni plus ni moins que l'autorisation d'aller dans une aciérie de la place dénommée Feurmetal et de faire fondre 550 tonnes de ferrailles radioactives, pour ensuite la dissimuler à hauteur de 20% dans l'acier normal et le destiner à la fabrication des objets pour le grand public, notamment l'acier pour la construction des bâtiments, des ponts, des autoroutes. Selon vous, ce préfet va l'autoriser ou refuser en lui demandant de respecter la loi ? Eh bien, vous avez vu faux. Le préfet l'autorise.

    Mais là, le pire n'est pas encore arrivé, puisque cela ne reste qu'au niveau d'un petit département. 5 ans plus tard, c'est-à-dire en 2009, 2 ans après l'arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy, c'est l'État central qui va lui-même autoriser d'empoisonner les français à grande échelle avec cette pratique. En d'autres termes, c'est sous le gouvernement de François Fillon avec Nicolas Sarkozy, le maitre du jeu que les entreprises françaises peuvent désormais en toute tranquillité, recycler les déchets nucléaires dans les biens de consommation, mais surtout, les produits de construction. Nous sommes le 5 mai 2009, un arrêté ministériel, introduit une procédure de dérogation, au code de la Santé, contre l'avis même de la Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité (CRIIRAD). En d'autres termes, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, 4 Ministres ont émis un décret pour permettre de déroger ou plus prosaïquement, d'annuler deux articles du code de la santé publique en France et qui datait depuis Lionel Jospin en 2002. Notamment les articles R.1333-2 et R.1333-3. Et que disaient ces 2 articles ?

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  4. - Article R.1333-2 : il est formellement interdit d'ajouter délibérément des substances radioactives dans les aliments, les biens de consommations et les produits de construction
    - Article R.1333-3 : il est formellement interdit d'utiliser des matériaux et des déchets provenant d'une activité nucléaire - et qui sont contaminés ou susceptibles de l'être - pour la fabrication de biens de consommation et de produits de construction

    Et quels sont les 4 Ministres impliqués ?

    Dans le décret de 2 pages et de 3 articles publié au Journal officiel du 14 Mai 2009, il y a 4 ministres pour ce seul petit document, à savoir :

    Le ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire, la ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi, la ministre de la santé et des sports et la ministre du logement. 4 Ministres, ça sent du lourd et c'est du lourd.

    Selon la CRIIRAD qui est désormais lancée dans une course contre la montre pour stopper cette folie et qui pour l'instant n'est écoutée par personne, ni de droite, ni de gauche, encore moins par le Conseil d'État, les substances radioactives qu'on autorise dans les produits destinés au grand public, ont la capacité d'induire des cancers chez les personnes exposées et des maladies génétiques chez leurs descendants. En d'autres termes, l'État français empoisonne ses propres populations en sachant très bien que des cas de cancers toujours plus nombreux vont faire leur apparition, même en Afrique, notamment à ceux qui sont friands des produits Made in France ou tout simplement Made in Europe.

    Plusieurs associations écologiques françaises sont mobilisées contre ce décret, mais rien n'y fait, on est en démocratie, on peut tuer son propre peuple, mais à partir du moment où c'est ce peuple qui a élu ces mêmes dirigeants, alors, rien n'est bien grave. On peut même se permettre le luxe de donner aux autres nations les leçons de démocratie et même de bonne gouvernance.

    Depuis qu'on a interdit en 1983, de déverser la poubelle radioactive à la mer, les producteurs d'électricité à travers le nucléaire ne savent plus vraiment quoi faire pour les déchets. Alors, presque tous à commencer par l'Allemagne ont joué sur le chauvinisme français. Tous ont chanté en chœur que la France était le pays le plus intelligent au monde pour s'occuper des déchets radioactifs, que la France était la seule nation de la planète à comprendre et maîtriser le traitement des déchets nucléaires. Et les français sont tombés dans le piège des autres. Leur pays est ainsi devenu la poubelle radioactive de l'humanité. Tous lui ont envoyé des wagons, des conteneurs, des bateaux entiers de déchets toxiques ou nucléaires. Cette supercherie va durer jusqu'à l'arrivée d'une dame au Ministère français de l'écologie, Madame Ségolène Royal. Elle a refusé l'importation en France de 9.000 tonnes de déchets toxiques venant d'Australie. Nous sommes le 18 Juillet 2014.

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  5. En pleine vacance d'été, un communiqué d'une vingtaine de ligne est envoyée à la presse pour annoncer cette nouvelle. Ce qui va nous intéresser dans ce communiqué, c'est sa conclusion, et c'est là où la Ministre montre qu'elle a finalement compris que pendant des années, la France a tout simplement été roulée dans la farine par ses amis autoproclamés « pays démocratiques », comme elle, en la submergeant de ses déchets les plus dangereux. Elle dit en effet : si la technologie française pour traiter les déchets est si au point pour résoudre ce problème, pourquoi ne pas l'acheter en France et traiter vous-mêmes vos déchets ? Il était peut-être temps pour que quelqu'un se réveille dans ce pays-là. Voici le communiqué dans son intégralité :
    « MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'ÉNERGIE

    Ségolène Royal s'oppose à l'arrivée des déchets toxiques en provenance d'Australie
    18 juillet 2014 - PRÉVENTION DES RISQUES

    Une société australienne, ORICA, a déposé auprès de la Préfecture de l'Isère une demande d'autorisation d'importation depuis l'Australie de 9000 tonnes de déchets très toxiques (sous-produits d'hexachlorobenzène) afin qu'ils soient incinérés sur le site exploité par TREDI à Salaise-sur-Sanne (38).

    Ségolène ROYAL a donné instruction au Préfet de l'Isère de s'opposer à cette importation au nom du principe de précaution, compte tenu du risque de pollution marine en cas d'avarie du navire pendant le transport, et du principe de proximité, qui exige que les déchets soient traités à proximité de leur source de production.

    Le transport de déchets dangereux en provenance des antipodes constitue une aberration écologique. Si les technologies de traitement françaises sont performantes, elles peuvent tout à fait être exportées pour permettre la réalisation d'unité de traitement adaptées, proches des activités productrices de déchets, et respectueuses des règles de protection de l'environnement.

    Pour toute information complémentaire, contact presse : 01 40 81 78 31 »
    En Finlande

    J'ai envie de décerner à la Finlande, le Prix Nobel de la rigolade démocratique. Dans ce pays, ne sachant pas quoi faire des déchets nucléaires, ils ont tout simplement décidé d'en faire un petit cadeau pour leurs descendants. Ce qu'ils appellent la-bas, « les déchets radioactifs pour l'éternité ». Ils ont décidé de créer une zone où ils vont enterrer les déchets qu'on ne pourra ouvrir avant 100.000 ans. Le problème c'est qu'on n'a pas besoin d'être historien ou anthropologue pour savoir que dans 100.000 ans, ce ne sera pas la même population d'aujourd'hui, les gens qui y vivront ne parleront pas la langue qui y est parlée aujourd'hui. Et donc, comment signaler à ces futurs habitants le petit cadeau qu'on leur a préparé, lorsqu'ils décideront de démarrer des recherches pour savoir comment, nous les primitifs prédécesseurs du 21ème siècle vivaient dans cette zone appelée aujourd'hui, la Finlande ? Ils ont eu une brillante idée, qui ne vient que des génies fruits de la démocratie. Ils ont décidé qu'ils vont mettre des idéogrammes, des symboles graphiques pour représenter des mots.

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  6. Le chantier a démarré en 2004 et les politiciens finlandais prévoient d'y enfouir les déchets nucléaires pendant 200 ans, 2 siècles avant de le refermer pour l'éternité. Le défi est qu'il faut que ce lieu soit suffisamment caché, hors de portée et sécurisé pour que personne n' y accède avant 100.000 ans ? Question : Comment des politiciens qui n'arrivent pas à anticiper 2 ans de la crise économique qui leur tombe sur la tête, peuvent-ils vouloir faire des prévisions sur 100.000 ans ? C'est de la pure folie.

    La vérité est qu'ils ne savent vraiment pas quoi faire des déchets toxiques qu'ils produisent tous les jours. Et plutôt que de se questionner sur le modèle même économique qu'ils suivent, ils sont lancés vers une fuite en avant, digne de la plus grande rigolade dramatique, fruit premier du suffrage universel. Puisqu'il ne faut jamais dire la vérité dérangeante à la population qui doit bientôt voter. Il faut au contraire la rassurer toujours et toujours. Et finalement, il ne faut prendre aucun vrai sujet à bras le corps, car le temps démocratique ne correspond pas toujours aux exigences techniques de préservation de la santé publique ou géostratégiques. On en arrive à l'incroyable qu'aujourd'hui, les politiciens Finlandais s'autoproclament champions du monde de l'écologie et prétendent même de très bien protéger leur terre qu'ils sont plutôt en train d'empoisonner. C'est-à-dire, de la géostratégie à l'envers.

    Un film documentaire y est consacré, il s'agit du film : « Into Eternity » diffusé en janvier 2011 sur Arte-tv. Dans ce film, on nous explique que nous avons hérité des antiques égyptiens, des pyramides qui ont 5000 ans d'âge. Et nous voilà qui ferons que dans 100.000 ans, ceux qui viendront après nous, plutôt que d'hériter des pyramides à la puissance 20, hériteront plutôt des déchets nucléaires, radioactifs. Ce qui confirme l'état de déconfiture d'une civilisation à bout de souffle, incapable de se régénérer, de se réinventer pour s'adapter au temps.

    En Suisse

    Il y a quelques semaines, c'est-à-dire à la fin du mois d'Août 2014, je me trouvais dans le Nord Ouest du Cameroun, sur les hauteurs de la ville de Bamenda. Et soudain, observant les collines verdoyantes avec un horizon lointain de plusieurs dizaines de kilomètres, je m'exclamais : « ces paysages sont aussi merveilleux que ceux de la Suisse ». Et moi d'ajouter et de corriger aussitôt : « à la seule différence qu'ici chez nous au Cameroun, le sol et le sous-sol sont aussi purs et limpides que nos ancêtres nous les ont légués. Là bas en Suisse, le sous-sol est pourri de déchets toxiques de tout genre et radioactifs. »

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  7. Tous les suisses savent que leur pays est très doué dans la fabrication des montres de luxe. Mais ce qu'il ne savent pas c'est qu'à cause de ces montres, une bonne partie du sol et sous-sol de leur merveilleux pays est une véritable poubelle radioactive. Et on sait même la nature de la contamination : au radium.

    Nous sommes en 2012, durant les travaux pour réaliser le tronçon de contournement de l'autoroute A5 au niveau de la petite ville de Bienne de 50.000 habitants, les manœuvres font une découverte extraordinaire : une quantité importante des déchets radioactifs. Une recherche immédiate montre qu'il s'agit du radium, issu des usines d'horlogerie de la ville. Et là où le bas blesse est que cette poubelle radioactive avait été soigneusement préparée en potager communautaire pour les légumes bio au profit des ouvriers de Bienne. Un slogan récitait même : « pour sauver la planète, arrêtez de consommer les légumes venus de trop loin (Kenya), consommez les légumes bio de Bienne ». Et selon vous. Avec cette découverte, a-t-on prévenu ces populations ouvrières qui continuaient tranquillement de cultiver et récolter ses carottes, épinards, haricot, tomates et champignons radioactifs ? Vous me répondez Oui. Eh bien, vous vous trompez.

    Chut, nous sommes en démocratie. Le peuple, comme le disait le Suisse Jean Jacques Rousseau, ne compte qu'une seule fois tous les 5 ans, lorsqu'il faut lui dire d'aller voter. La population ne sera nullement informée et continuera comme si de rien n'était à aller y cultiver ses légumes. Ce n'est que 2 ans plus tard, en 2014 seulement que 2 quotidiens suisses vont en faire leur scoop. Il s'agit du Matin Dimanche et de la SonntagsZeitung. On peut y lire qu'en 2012, les populations regardaient médusées, les ouvriers sur ce chantier habillés comme des extraterrestres, très bien protégés contre la pollution radioactive qui s'en dégageait, mais sans en savoir les raisons.
    Aussitôt fini le chantier construit par des extraterrestres, tout est rentré dans l'ordre, l'autoroute passe, les habitants continuent de manger leurs épinards radioactifs.

    On peut ainsi découvrir qu'en 2012, le canton de Berne (la capitale de la Suisse), mandataire du chantier, après analyse, constate la présence du radium-226 et décide immédiatement d'équiper les ouvriers de dosimètres. Mais n'avise pas la population, tout au moins pour lui demande de ne plus consommer les produits du potager. Il faudra donc attendre 2014, pour que le scoop de la presse fasse découvrir à cette population, pour qui la propagande a fait croire que leurs politiciens étaient les meilleurs au monde, que la teneur de radioactivité était à cet endroit, de 300 microsieverts par heure, pour qu'on annonce qu'on prendra les mesures. « C'est une valeur importante, qui franchit les valeurs-limites », déclarera le responsable de la division radioprotection à l'Office fédéral de la santé publique (OFSP).

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  8. Voici ce que titrait à la une du 1er Juin 2014, le quotidien Suisse, « le Matin » :

    « Ils ont jardiné sur des déchets radioactifs »

    Et l'article de commencer ainsi :

    « Ce n'est qu'aujourd'hui, après avoir été confrontées aux informations fournies au Matin Dimanche par un whistleblower, que les autorités ont fini péniblement par confirmer la dramatique situation. » Tout commence avec une ancienne décharge à ciel ouvert dans laquelle l'industrie horlogère de l'époque avait enfouis une peinture phosphorescente servant à illuminer les chiffres des horloges et interdite pour son extrême dangerosité. « A partir de 1950, deux tiers des 15 hectares de la décharge désaffectée ont progressivement été convertis en quartier d'habitation. Quant au reste du terrain contaminé, il a été recouvert de 30 centimètres de terre fraîche, avant d'être investi par la population, qui y a installé une soixantaine de petits jardins potagers. »

    Daniel Dauwalder, porte-parole de l'Office Fédéral Suisse de la Santé Publique (OFSP), dans Le Matin Dimanche, déclare : « Dans certains endroits, on a mesuré jusqu'à 300 microsieverts par heure » C'est-à-dire plus qu'autour de la centrale nucléaire de Fukushima. Et le quotidien suisse d'ajouter un tour de passe-passe utilisé en « démocratie » pour enfumer la population :

    « Les autorités de santé publique se rejettent la responsabilité, les responsables locaux disant que cela aurait dû être à l'office de santé publique d'informer le public, mais l'OFSP rejette à son tour cette accusation et dit que cette responsabilité incombe aux autorités municipales. Même le Pr François Bochud, directeur de l'Institut de radio-physique du centre hospitalier du CHUV et président de la Commission Fédérale de Protection contre les Radiations et de Surveillance de la Radioactivité (CPR) n'a pas non plus été tenu au courant de la situation à Bienne. Voici ce qu'il déclare à propos : « Ne pas informer les habitants et les anciens occupants du jardin ouvrier était une erreur, car tout finit par nous rattraper et il est beaucoup plus difficile de rester crédible et de récupérer la confiance de la population ».

    Pour information, le Radium a été découvert par Pierre et Marie Curie en 1898. et leur a valu le Prix Nobel de Physique en 1903. Ce n'est qu'en 1910 que Marie Curie va réussir à isoler cette substance à l'état pur : il est naturellement blanc et lorsqu'il entre en contact avec l'air libre, il devient noir. On le trouve dans l'uranium. Il sert dans de nombreux domaines notamment à l'hôpital dans la radiothérapie. Il a aussi servi comme peinture verte déposée sur les aiguilles et chiffre des cadrans de montres pour qu'on puisse lire l'heure même dans la nuit. Et c'est cette peinture qui est radioactive. En effet, les sels de radium étaient associés au sulfure de zinc dans du vernis, le résultat était une peinture qui émet une lumière continue. L'industrie horlogère utilisera largement ces peintures pour fabriquer surtout les réveils et les pendules fluorescents.

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  9. Mais ce qui m'a le plus touché dans cette analyse pour laquelle j'ai lu une vingtaine d'articles des journaux suisses dans différentes langues du pays, c'est que très peu de journaux font le rapprochement entre le scandale et l'usine Rolex qui emploie dans la ville de Bienne aujourd'hui en 2014, 1400 personnes. Même si les faits sont prescrits depuis longtemps, les principaux organes de presse ne se sont pas hasardés à fournir le moindre nom des potentiels responsables de cette décharge radioactive. La raison est très simple : les journaux appartiennent à des grands groupes, où sont actionnaires les industries horlogères suisses et le tour est joué, vive la démocratie.

    En Italie

    L'Italie par referendum populaire a mis fin à ses centrales nucléaires. Mais n'a toujours pas résolu le problème des déchets qui en avaient été générés. Mais le drame de l'Italie est ailleurs et s'appelle : Mafia, Ndranghetta, Sacro Corana Unita. Des organisations criminelles qui ont compris qu'il y avait un trafic encore plus lucratif que la drogue et les armes. C'est le trafic des déchets radioactifs. Comme dans tout l'occident, c'est du chacun pour soi, tout le monde ferme un œil et la mafia italienne importe en Italie des déchets de partout, qu'elle enfouit tout bonnement dans des décharges clandestines un peut partout, même au cœur des parcs naturels italiens.

    Comme nous le rapporte le quotidien italien : Il Fatto Quotidano du 27/10/2012, nous sommes le 26 octobre 2012, dans le petit village de Saluggia, dans la province italienne de Vercelli, les autorités font une découverte spectaculaire. Dans ce village sont stockés les déchets nucléaires en provenance de la centrale nucléaire de Pickering, village canadien sur les bords du lac Ontario. Mais aussi, d'autres déchets nucléaires provenant des centrales nucléaires hollandaises. C'est le sauve qui peut, les pays autoproclamés démocratiques se donnent les coups de coude, chacun cherchant à polluer chez son voisin ou comme dans ce cas, chez son partenaire avec qui d'habitude ils vont bombarder le monde entier pour leur apporter la démocratie, comme en Libye et en Irak.

    En plus de ces trafics, le vrai drame de l'Italie n'est pas là. Il existe en Italie un drame national dont aucun quotidien ne parle. Après l'incendie à la centrale nucléaire de Tchernobyl en avril 1986, c'est la panique générale dans le pays. Les écologistes en profitent pour organiser un référendum populaire l'année d'après en 1987 pour dire non au nucléaire, même si les 3 questions posées n'étaient pas très explicites pour fermer les 4 centrales nucléaires du pays. Le Oui à 80% va convaincre les politiciens à fermer toutes les centrales nucléaires italiennes de 1988 à 1990. Mais ce que la population ne savait pas en ce moment là, c'était qu'une centrale nucléaire à l'arrêt, qui ne produit plus d'électricité coûte plus cher à démanteler qu'une autre en activité. Résultat : sans argent pour démanteler ses propres vieilles centrales nucléaires de Sessa Aurunca et Latina dans le centre-sud du pays, Trino et Caorso dans le nord, 27 ans après le référendum, tous les réacteurs contaminés, les appareillages contaminés et les salles de stockage et celles de combustion de ces centrales sont aujourd'hui là, découverts, à l'air libre, et le vent qui y passe devient radioactif et continuant sa route, pollue des kilomètres plus loin selon la direction de ce vent.

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  10. Le 19 novembre 2000, l'émission d'investigation de la télévision Report nous amène à visiter les différentes centrales nucléaires italiennes à l'arrêt depuis 24 ans. Seulement à Caorso, le jour où on a éteint les machines, il y avait 190 tonnes de combustible nucléaire irradié prêt à l'emploi et 1800 m3 de déchets qui avaient déjà été produits. Tout est resté là où cela se trouvait. Il faudrait 20 à 30 ans pour démonter cette centrale. Mais comme l'état n'a pas d'argent, il faut au moins tenir la centrale en attende du jour où on aura l'argent pour cela. L'émission nous révèle que depuis sa fermeture, il y a 180 personnes qui travaille dans cette seule centrale pour attendre le jour où on aura l'argent pour démarrer le démantèlement. Une vraie folie économique.

    Quelles leçons pour l'Afrique ?

    Dans les années 1990, à la chute de l'Union Soviétique, les européens voulaient profiter de la confusion dans la nouvelle Russie sous Eltsin pour y exporter leurs déchets radioactifs. Tout avait bien fonctionner, jusqu'à l'arrivée d'un méchant au Kremlin, à Moscou, un certain Valdimir Poutine qui a ainsi renvoyé les européens à leurs responsabilités. Et depuis, on ne sait plus quoi faire. Les centrales désaffectées italiennes et allemandes qui sont devenues des cimetières radioactifs à ciel ouvert, sont une vraie honte pour l'Europe, très en forme pour de dépenser des milliards d'Euros pour acheter des avions-chasseurs F35 pour aller faire la guerre contre le monde entier, et y installer la démocratie, mais incapable de dépolluer convenables ses sites nucléaires pour le bien vivre de ses populations. Si on peut comptabiliser tous les morts par cancer dans les pays autoproclamés « pays démocratiques », des cancers très souvent liés à la pollution radioactive, on pourrait parler sans exagération d'un crime de masse, d'un génocide. Mais, il n'en sera rien.

    De même que la Cour Pénale Internationale (Raciste) peut se sentir très forte pour séquestrer un chef d'Etat Africain, comme Laurent Gbagbo, afin d'en profiter pour envoyer un message d'humiliation à tous les noirs d'Afrique, elle devient muette quand Israël bombarde la Gaza tous les 6 mois ou tous les 2 ans sans inquiétude, les lobbys du nucléaire peuvent continuer à assassiner des populations entières en Europe ou en Amérique du Nord, sans que cela fasse émouvoir cette Cour raciste. Mais il reste une justice à laquelle les forts et les faibles ne peuvent pas échapper, c'est la justice de l'économie. Ces nombreuses populations qui meurent tous les jours de cancer sont autant de bras, de cerveaux soustraits à l'économie de ces nations. Ces sols qu'on empoisonne sont autant de coût à la compétitivité des pays, car le premier degré de la guerre commerciale démarre avant tout sur la qualité de ce qu'on offre. Les européens en polluant leurs terres et leurs mers, en sacrifiant la santé de leurs populations, sont en train de déclarer forfait à la guerre économique qui leur est déclarée par les asiatiques (Chine, Japon, Corée, Indes). Et plutôt que de passer le temps à faire les ridicules de donner des leçons au monde, sur des sujets qu'ils ne maîtrisent pas, ils feraient mieux de s'interroger sur le type de modèle économique qui est en train de les plomber sous tous les angles.

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  11. L'Afrique par erreur se laisse dicter des leçons par des gens qui sont en train d'aller droit dans le mur. Ils sont nombreux ces génies qui depuis Bruxelles, Paris, Londres et Washington font des analyses pour donner des conseils aux africains sur qui sera au pouvoir ou non, sur l'utilité de ne pas toucher à telle forêt etc. Ce sont les mêmes qui ont conseillé Georges Bush père et fils pour aller tuer Saadam Hussein et aujourd'hui ils conseille à Obama de parler en prime-time à la télévision pour expliquer qu'il faut aller combattre des nouveaux méchants Irak, c'est-à-dire, ceux là mêmes à qui ils ont donné les armes et l'argent pour combattre Assad en Syrie. Assad ce méchant qui était en train de tuer son propre peuple, c'est-à-dire qui ripostait à une rébellion comme cela se passerait à Londres ou à Paris si un groupe prenait les armes pour contester l'ordre public. Selon le Ministère français de la santé, chaque jour en France, en 2012, 411 personnes meurent à cause du cancer. Ce sont 149.000 décès par an dont 85.000 hommes et 63.000 femmes.

    C'est-à-dire, c'est comme si tous les habitants d'une ville comme Genève, ou comme Grenoble disparaissaient chaque année. Et les causes on les connait : les contaminations et empoisonnement à travers la nourriture et l'air qu'on respire, en partie à cause largement des déchets nucléaires, associés aux engrais chimiques qui vont tous finir dans les rivières, utilisés pour arroser les plantations de légumes et céréales, utilisés pour élever les animaux qu'on mange, et qui vont au final créer tous ces cancers. Et ce sont les gouvernements qui laissent faire ou qui encouragent même et contribuent à assassiner leur propre peuple qui vont être les premiers à tuer Kadhafi sous prétexte qu'il a tué son propre peuple. 411 morts en France par jour. Si ça ne vous dit rien, c'est que c'est grave.

    http://fr.sott.net/article/23190-Comment-l-Europe-empoisonne-sa-propre-population

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  12. 15 enfants syriens morts suivant campagne de vaccination contre la rougeole de l'ONU


    18 Septembre, 2014 02:00


    L'ONU a mis fin à une campagne de vaccination contre la rougeole dans le nord de la Syrie après au moins 15 enfants sont morts après avoir reçu des coups, (UNICEF) et l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l'enfance des Nations Unies a confirmé dans une déclaration commune.

    «L'UNICEF et l'OMS ont été choqués et attristés d'apprendre la mort d'au moins 15 jeunes enfants à Idlib, Syrie," a indiqué le communiqué. "Les décès des enfants ont eu lieu dans les zones où une campagne de vaccination contre la rougeole a été en cours."

    Les enfants étaient tous âgés de moins de deux ans, a rapporté Reuters, citant les travailleurs humanitaires.

    Environ une heure après avoir reçu une deuxième série de vaccin contre la rougeole à Idlib mardi, les enfants ont montré des signes de «choc allergique grave", a déclaré Abdullah Ajaj, un médecin d'administrer les vaccins dans un centre médical dans Jarjanaz, selon AP. La deuxième série de vaccinations a commencé à Idlib et Deir Ezzour lundi.

    Après le vaccin, certains des corps des enfants gonflé et ils sont morts étouffés.

    "Il y avait des cris et des hurlements, il était difficile pour les parents. Vous obtenez vacciner votre enfant et vous trouvez votre enfant mourant, il est très difficile ", a déclaré Ajaj.

    Des déclarations contradictoires de l'opposition syrienne et les rapports des groupes de défense des droits ont mis le nombre de décès liés au vaccin entre 34 et 50.

    Selon l'OMS, il envoie une équipe d'experts pour enquêter sur les incidents, ajoutant que "établir la cause précise de la mort des enfants est essentiel."

    La campagne de vaccination a été suspendue dans les deux Idlib et Deir Ezzour provinces. Cependant, l'UNICEF et l'OMS ont bon espoir que la campagne puisse reprendre "dès que possible".

    Alors que l'on croit que les flambées de rougeole peuvent effectivement être contenues par la vaccination, ils peuvent être très dangereux dans les zones sous-développées. La maladie se transmet par les fluides corporels, la toux, et les larmes des yeux.

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  13. Agences des Nations Unies et d'autres organisations non gouvernementales ont fourni des services médicaux en Syrie depuis le soulèvement contre le président Bachar al-Assad a commencé en Mars de 2011.

    Le conflit syrien a depuis transformé en une guerre civile à grande échelle, avec plus de 190 000 personnes ont été tuées, selon l'ONU.

    Le mardi, Assad a déclaré la lutte contre le terrorisme doit commencer par le placer plus de pression sur les pays qui soutiennent et financement des insurgés en Syrie et en Irak.

    Pendant ce temps, aux États-Unis a annoncé qu'elle a l'intention de prendre des "actions ciblées contre ISIS (islamiques État / ISIL) refuge en Syrie," y compris la suppression de l'infrastructure. Secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel a dévoilé un plan pour stimuler les forces irakiennes de 1600 des États-Unis de «conseillers militaires».

    Les États-Unis aussi former et équiper les 5000 membres de l'opposition syrienne à lutter contre les militants du groupe Etat islamique.

    http://rt.com/news/188580-syria-children-dead-vaccinations/

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  14. Assad appelle de cesser de financer des groupes armés en Syrie, en Irak


    le 17 Septembre, 2014 01:35


    La lutte contre le terrorisme doit commencer par placer plus de pression sur les pays qui soutiennent et financent les insurgés en Syrie et en Irak, le président syrien Bachar al-Assad a dit en parlant avec un responsable de la sécurité irakienne à Damas.

    Les commentaires de M. Assad ont été faits lors d'une réunion mardi avec le conseiller de sécurité nationale de l'Irak, Falah al-Fayyad, "sur les efforts déployés par le gouvernement irakien pour lutter contre le terrorisme."

    "La lutte contre le terrorisme commence par la pression sur les pays qui soutiennent et financement des groupes terroristes en Syrie et en Irak et prétendent qu'ils veulent lutter contre le terrorisme", agence officielle de nouvelles SANA a cité comme disant Assad.

    Fayyad "mis Assad dans l'image des derniers développements en Irak et les efforts que le gouvernement irakien et les gens font pour lutter contre les terroristes", a rapporté SANA.

    La réunion a porté sur «l'importance de renforcer la coopération et la coordination entre les deux pays frères dans le domaine de la lutte contre le terrorisme qui frappe la Syrie et l'Irak et qui menace la région et le monde."

    Mardi, le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel a confirmé que le Commandement central américain a un plan pour prendre des "actions ciblées contre ISIS (État islamique / IS) refuge en Syrie," y compris la suppression de l'infrastructure. Hagel a également dévoilé un plan visant à stimuler les forces irakiennes de 1600 «conseillers militaires» des États-Unis.

    Les États-Unis aussi former et équiper les 5000 membres de l'opposition syrienne à lutter contre les militants du groupe Etat islamique, auparavant connu sous le nom ISIS / ISIL.

    Hagel a exclu de mettre des troupes sur le terrain pour le moment, mais ne dire que quelques-uns des 1600 américains «conseillers militaires» déployées en Irak depuis Juin peut s'engager dans un combat direct avec les militants état islamique.

    Dans le même temps, les États-Unis ont clairement indiqué qu'il n'y aura pas de coopération avec le gouvernement d'Assad en aucune manière dans sa lutte contre l'État islamique. La position d'Obama est depuis longtemps qu'il aimerait voir Assad quitter le pouvoir, en particulier après avoir été accusé d'utiliser des armes chimiques contre sa propre population l'année dernière.

    Plus de 30 pays qui ont accepté de se joindre à la coalition américaine dans sa lutte contre l'État islamique, le Pentagone a rapporté. Cependant, il n'ya aucun signe que les puissances régionales Iran et la Syrie se joindront à la liste.

    Selon l'Agence centrale de renseignement (CIA) des estimations, le groupe militant Etat islamique "peut rassembler entre 20 000 et 31 500 combattants."

    IS combattants ont capturé une grande partie du nord de l'Irak et la province d'Anbar ouest cette année, tuant des dizaines de civils.

    http://rt.com/news/188292-assad-iraq-arming-groups/

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  15. »Les États-Unis cherchent à utiliser est d'affaiblir chaque Etat de la région"


    le 17 Septembre, 2014 16:13


    Les États-Unis tentent d'utiliser ISIS pour détruire chaque gouvernement dans la région, y compris la Syrie et l'Irak, et essaie de faire glisser l'Iran dans cette, Soraya Sepaphour-Ulrich, chercheur et spécialiste de l'Iran, a déclaré à RT.

    RT: Pourquoi pensez-vous que l'Iran ne veut pas coopérer avec les Etats-Unis sur la lutte contre l'État islamique ?

    Soraya Sepaphour: Je pense que l'Iran est bien conscient de ce que la fin du jeu des États-Unis est. Ils ont observé Amérique répétant le même motif. Et ils sont bien conscients que ce n'est pas vraiment un combat contre un groupe de terroristes - de la décision des Américains eux-mêmes et leurs alliés - mais c'est vraiment à réoccuper la région du golfe Persique. Son angle est de supprimer Assad du pouvoir et de réoccuper l'Irak et peut-être même à prendre l'offensive à Téhéran. Donc Téhéran apprécie la menace de ces groupes terroristes qu'ils appellent ISIL ou est actuellement. Ils comprennent aussi que sans les Américains, sans l'argent saoudien et de la formation américaine, elle n'existerait pas ici en premier lieu.

    RT: Les USA nous dit: «la porte reste ouverte" pour l'Iran, mais en même temps refuse de l'inviter à une réunion de diplomates de haut rang qui ont été de discuter des moyens pour lutter contre les islamistes. Pourquoi donc ?

    SS: Je pense qu'il est très difficile de croire quoi que ce soit l'Amérique dit. Au début, je pense que les Américains ont demandé l'assistance de l'Irak pour lutter contre le groupe et l'Iran n'était pas intéressé à aider les Américains militairement. Je pense que cela a été dit par les Irakiens, par les Syriens. Mais je ne pense pas que l'Iran est intéressé par une opération militaire conjointe, le fonctionnement de l'intelligence ou de tout type d'opération avec les États-Unis. Et je ne pense pas que ce soit très convenable pour une superpuissance, aux États-Unis, à diffuser dans le monde qu'elle a été rejetée par l'Iran. Donc, je pense qu'il a essayé de tordre et faire croire que l'Iran est sans y être invité. Je pense que l'Amérique aimerait beaucoup faire glisser l'Iran dans tout cela. Le but est d'affaiblir chaque Etat de la région à l'aide de ces terroristes. C'est la tactique américaine d'habitude, il a toujours travaillé et je pense que l'Iran est trop intelligent pour se laisser entraîner dans ce.

    RT: L'Occident continue de soutenir les groupes d'opposition syriens - en dépit des liens rapportés entre les rebelles et l'État islamique. N'est-ce pas une politique dangereuse ?

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  16. SS: Il est vraiment insensé de tout point de vue logique, du point de vue des gens qui cherchent la stabilité et la paix. Mais ce groupe est en train de faire exactement ce que l'Amérique veut qu'il fasse. Ils détruisent chaque gouvernement syrien, le gouvernement irakien, les affaiblir. Dans le même temps, ils donnent aux Américains un prétexte pour intervenir. Il y a un an, le faux récit d'une attaque aux armes chimiques par le gouvernement de Assad n'a pas fonctionné. Le peuple américain ne sont pas à bord pour une autre guerre. Mais quand ils présentent ces vraiment truqués des morceaux de propagande minable des décapitations, puis les Américains sont maintenant plus à bord pour une autre guerre. C'est exactement ce que l'Amérique voulait: que le peuple américain est à bord d'une nouvelle guerre. Pour ce faire, ils vont armer les rebelles encore plus et en même temps les rumeurs que l'Amérique donne l'intelligence au gouvernement Assad. Ainsi, il crée le chaos, c'est vraiment détruire tous les pays de la région. Et j'espère que chaque nation est assez intelligente pour résister à la tentation de ne pas se laisser entraîner dans, mais de toute façon d'arrêter les États-Unis, que ce soit par le commerce ou par des moyens diplomatiques très difficiles: arrêter l'Amérique de détruire tous les pays sur la voie.

    http://rt.com/op-edge/188468-isis-usa-syria-war-iraq/

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    1. La formation de troupes terroristes pour combattre Assad passe certainement par des implantations radiocommandées sur chaque cobaye. Ce procédé (extérieur par ondes) s'était déjà fait valoir lors de la guerre du Golfe où des soldats irakiens étaient prêts à changer de camps !

      Voir:

      http://rudy2.wordpress.com/

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  17. [L'oeil itinérant] Le casse-tête des sanctions à répétition


    17 septembre 2014

    Tout ce que fait la Russie ne laisse pas de place au doute. On rapplique avec des sanctions. Nous y voilà encore. La dernière série de sanctions imposées par le département du Trésor américain et l’Union européenne vise le système bancaire russe, le secteur de l’énergie et l’industrie de la défense.

    Les sanctions sont cruelles. Les sanctions sont désagréables. Il n’y a pas d’euphémisme pour les décrire. Ce n’est rien de moins qu’une déclaration de guerre économique.

    Sberbank, la plus grande banque de Russie, n’aura plus accès aux marchés des capitaux occidentaux pour obtenir du financement à long terme, y compris toute forme d’emprunt s’étalant sur plus de 30 jours. En outre, cette nouvelle série de sanctions a ramené de 90 à 30 jours l’échéance maximale des prêts imposée à six autres grandes banques russes lors de la série de sanctions précédente.
    Sur le front énergétique, ce que les États-Unis et l’Union européenne veulent, c’est la mise au rancart des nouveaux projets d’exploration russes en Sibérie et dans l’Arctique, en interdisant aux grandes pétrolières occidentales de vendre de l’équipement et de la technologie aux projets extracôtiers et en eau profonde, ainsi qu’aux projets d’exploitation du gaz de schiste.

    Cela veut dire que les sociétés Exxon et Shell, par exemple, doivent mettre un frein à leurs activités avec cinq grandes sociétés russes dans le secteur du pétrole, du gaz naturel et du pipeline : Gazprom, Gazprom Neft, Lukoil, Surgutneftegaz et Rosneft.

    Personne n’a jamais perdu d’argent en misant sur la stupidité des sempiternels « hauts responsables américains » anonymes, qui répètent inlassablement que la dernière série de sanctions vise à obliger Moscou à « respecter le droit international et la souveraineté de l’État ». Un examen rapide des données historiques nous autorise à rire aux éclats en lisant ce passage.
    Pour sa part, David Cohen, sous-secrétaire chargé du terrorisme et du renseignement financier au département du Trésor américain, insiste pour dire que la série de sanctions va « isoler » la Russie du système financier mondial.

    Les médias institutionnels occidentaux ont aussi qualifié la série de sanctions comme susceptible de « causer une agitation sur les marchés financiers déjà nerveux ». Comme « agitation », on a déjà vu pire. En Russie, les titres des sociétés visées par les sanctions ont monté. Aux États-Unis, les titres énergétiques ont fléchi. Bref, les marchés « agités » ont interprété la dernière série de sanctions comme un autre tir dans les pieds de Washington et de Bruxelles.

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  18. Divisons l’Eurasie

    « L’isolement » de la Russie, c’est l’empêcher d’accéder à des « sources importantes de financement libellé en dollars », pour reprendre le jargon de Washington et de Wall Street, baptisées par euphémisme « capitaux occidentaux ». Il est question ici de dollars américains et d’euros. Mais quiconque suit les mesures qui se superposent en faveur d’un monde multipolaire sait que la Russie n’a pas besoin de se procurer plus de dollars américains et d’euros.

    Moscou pourrait se servir de ces deux devises pour des achats croisés de biens et services avec les États-Unis et l’Union européenne. Sauf qu’il peut se procurer ces biens et services ailleurs dans le monde. Pour ce faire, les « capitaux occidentaux » sont inutiles et Moscou favorise de plus en plus l’utilisation d’autres devises avec ses autres partenaires commerciaux. Le gang des atlantistes tient pour acquis que Moscou a bien plus besoin de biens et services des États-Unis et de l’Union européenne que l’inverse. Il se met le doigt dans l’œil.

    La Russie peut vendre ses ressources énergétiques abondantes en n’importe quelle devise autre que le dollar américain et l’euro. La Russie peut acheter tous les vêtements qu’il lui faut en Asie et en Amérique du Sud. Dans le secteur de l’électronique et de la haute technologie, pratiquement tout est fabriqué en Chine de toute façon.

    Un aspect crucial se joue sur le front énergétique. Il sera palpitant de suivre l’Union européenne – qui n’a même pas encore adopté de politique énergétique commune – dans sa recherche de fournisseurs de remplacement. Pour un certain nombre de raisons complexes (quantité insuffisante de gaz promise, absence de pipeline), l’Azerbaïdjan, le Turkménistan et le Qatar ne font pas partie du lot.

    Ce n’est pas pour demain non plus que l’administration Obama autorisera l’Union européenne à importer de l’énergie de l’Iran, et ce, même si l’accord sur le nucléaire iranien (qui bat de l’aile) était signé d’ici la fin de 2014, ouvrant sans doute la voie à la levée des sanctions.

    Les marchés « irrationnels » voient ce qui se passe vraiment. Loin d’être « irrationnels », ils fluctuent en fonction des profits à tirer de la realpolitik.

    Tout ceci se passe avant même que Moscou n’ait donné la réplique. Le coup pourrait être fatal, s’il vise les exportateurs de l’Union européenne vers la Russie et même l’approvisionnement en énergie de la Russie. L’Union européenne va ensuite riposter, puis la Russie rappliquera. C’est exactement ce que souhaite Washington : une guerre commerciale et économique ravageant et divisant l’Eurasie.

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  19. Et ces vingt mille milliards de dollars ?

    Sur le plan politique, l’Ukraine et l’Union européenne avaient initialement convenu de « repousser à la fin de 2016 l’entrée en vigueur de l’accord d’association avec l’Union européenne ». Ça ne s’invente pas. C’est exactement ce qu’a fait Victor Ianoukovytch en novembre dernier, car il savait que l’Ukraine ne pouvait se permettre de perdre un partenariat commercial certifié avec la Russie en faveur d’un vague « libre échange » avec l’Union européenne. Cette décision de « repousser » l’accord a été supervisée par ce parangon de médiocrité qu’est José Manuel Barroso, le président sortant de la Commission européenne.

    Lors d’une séance plénière, le Parlement européen à Strasbourg s’est empressé de ratifier l’accord d’association avec l’Ukraine [1], au moment même où le président Petro Porochenko le déposait au Parlement ukrainien. Ce qui ne veut pas dire que l’accord entre immédiatement en vigueur. « L’intégration » économique avec l’Union européenne, l’euphémisme utilisé pour nommer l’invasion à sens unique de produits de l’Union européenne en Ukraine, ne débutera qu’en janvier 2016. Il ne faut pas s’attendre non plus à ce que l’Union européenne, frappée par la crise, accueille l’Ukraine en son sein prochainement (si elle le fait).

    Ce jeudi, Porochenko va rencontrer son maître, le président des États-Unis Barack Obama, et prendra la parole au cours d’une séance conjointe des deux chambres du Congrès américain. Attendez-vous à de la rhétorique concernant « l’empire du mal » aux proportions intersidérales.

    Mais c’est samedi à Berlin que les vraies choses vont se jouer, pendant les négociations sur l’énergie entre la Russie, l’Union européenne et l’Ukraine. Inutile de rappeler que Moscou a toutes les principales cartes dans son jeu.

    La dette colossale de Washington a pratiquement atteint vingt mille milliards de dollars, et continue de grossir. Avec une crise monstrueuse qui s’approche comme un tsunami infernal, il ne faut pas s’étonner que Washington ait recours à la tactique de diversion parfaite : le retour de « l’empire du mal » Les écoles d’études politiques s’inspirant des Marvel Comics ont de nouveau la cote, semble-t-il.

    La Russie possède un énorme surplus de capitaux étrangers et est en mesure d’affronter la tempête. Par contre, la première économie de l’Union européenne qu’est l’Allemagne souffre déjà. Elle a déjà une croissance négative s’établissant à -0,2 %. C’est dans cette direction que le vent de l’imposition hystérique de sanctions souffle, en faisant dérailler davantage les économies de l’UE. Mais personne n’est prêt à parier que l’Union européenne aura le cran nécessaire pour résister à Washington. Surtout pas à Bruxelles, où les vassaux sont légion.

    Pepe Escobar
    Traduit par Daniel pour vineyardsaker.fr

    http://www.vineyardsaker.fr/2014/09/17/loeil-itinerant-casse-tete-sanctions-repetition/

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  20. Nowhere To Hide que les écarts Minority Report-Style de la technologie de reconnaissance faciale à travers l'Amérique


    Par Michael Snyder,
    le 17 Septembre, 2014



    A quoi notre société va ressembler quand nos visages seront suivis littéralement partout que nous allons ? Dans le cadre d'un nouveau système d'identification de prochaine génération du FBI, une base de données de reconnaissance faciale connu sous le système Photo Interstate aura collecté 52 millions de nos visages à la fin de 2015 mais c'est seulement une petite partie de l'histoire. Selon Edward Snowden, la NSA a été en utilisant la technologie de reconnaissance faciale de pointe depuis des années. En outre, comme vous le verrez ci-dessous, les entreprises de publicité commencent à utiliser des scanners minoritaires face Rapport de style dans leurs panneaux d'affichage et de nombreuses grandes entreprises considèrent la technologie de reconnaissance faciale comme un outil qu'ils peuvent utiliser pour mieux servir leurs clients. Un jour, bientôt peut devenir pratiquement impossible de sortir en public dans une grande ville des États-Unis sans avoir enregistré votre visage. Est-ce le genre de société que nous voulons ?

    Pour le FBI, cette technologie ne représente pas une atteinte à la vie privée. Au contraire, ils sont très fiers du fait qu'ils ne vont pas être si dépendante des empreintes digitales plus longtemps. Le FBI a mis au point le système d'identification de nouvelle génération depuis des années, et ce mois-ci il a été annoncé que c'est finalement pleinement opérationnel ...

    Le système d'identification de nouvelle génération de gouvernement fédéral - une base de données biométriques qui repose en grande partie sur la technologie de reconnaissance faciale - est désormais pleinement opérationnel, le FBI a annoncé lundi.

    "Cet effort est une étape importante pour la communauté de la justice pénale dans l'utilisation de la biométrie comme un catalyseur d'enquête", a déclaré le FBI dans un communiqué.

    La dernière avancée dans la technologie donne aux utilisateurs la possibilité de recevoir des "notifications d'état en cours" sur les antécédents criminels des individus, le FBI dit. Cela signifie que si, par exemple, un enseignant commet une infraction, l'application de la loi peut être immédiatement informé - et ensuite transmettre cette information aux administrateurs.

    C'est à surveiller les antécédents criminels des personnes "en situation de confiance", a déclaré le FBI.
    Dans le cadre de ce nouveau système, tous les Américains finiront par se voir attribuer un «universel de contrôle du numéro".

    Cela vous semble effrayant pour vous ?

    Même traditionnels reportages admettent que cela ressemble à quelque chose sorti d'un film de science-fiction ...

    Il vise à remplacer à terme les empreintes digitales à un ensemble complexe de la biométrie, en attribuant à chacun un «universel de contrôle du numéro", dans ce qui ressemble à une intrigue d'un film de science-fiction.
    Et il ne sera pas seulement le FBI en utilisant cette base de données.

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  21. Selon Fox Nouvelles, les organismes d'application de plus de 18 000 de la loi auront accès à ces informations ...

    Plus de 18 000 organismes d'application de la loi et d'autres partenaires autorisés de la justice pénale partout au pays auront accès au système 24 heures par jour, 365 jours par an.
    Donc, si votre visage est scanné quelque part ou vous faire quelque chose de remarquable qui est enregistré par le système, pratiquement tous les organismes d'application de la loi dans le pays sera immédiatement avertis.

    Jolie substance effrayant, hein ?

    Mais le FBI est en fait loin derrière la NSA.

    Selon Edward Snowden, la NSA a eu recours à des «programmes de reconnaissance faciale sophistiqués» pendant de nombreuses années ...

    La National Security Agency est la récolte très grand nombre d'images de personnes de communications qu'il intercepte le biais de ses opérations de surveillance mondiale pour l'utilisation dans les programmes de reconnaissance faciale sophistiqués, selon des documents top-secret.

    La dépendance de l'agence d'espionnage sur la technologie de reconnaissance faciale a considérablement augmenté au cours des quatre dernières années, l'agence a fait appel à un nouveau logiciel pour exploiter le flot des images incluses dans des e-mails, les messages texte, les médias sociaux, de vidéoconférences et d'autres communications, les documents de la NSA révèlent. Fonctionnaires de l'Agence estiment que les progrès technologiques pourraient révolutionner la façon dont la NSA trouve cibles de renseignement dans le monde entier, les documents montrent.
    Vous souvenez-vous des choses que vous avez vu dans les films Jason Bourne sur la façon dont la NSA peut suivre les gens ?

    Eh bien, la plupart de ce genre de choses est réel.

    Si vous ne l'aimez pas, c'est tout simplement trop mauvais. À ce stade, pas même le Congrès a beaucoup de contrôle sur ce que la NSA fait.

    Et il y a des services de police à travers le pays qui sont également en avance sur le FBI.

    Par exemple, il suffit de cocher ce qui s'est passé dans le sud de la Californie ...

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  22. En une seule seconde, les agents d'application de la loi peuvent correspondre à un suspect contre des millions et des millions de profils à de vastes bases de données détaillées stockées sur le nuage. Tout cela est fait en utilisant la reconnaissance faciale, et en Californie du Sud, il est déjà le cas.

    Imaginez la police de prendre une photo: une image d'une personne, n'importe où, et correspondant sur place en moins d'une seconde pour un profil personnalisé, la numérisation des millions et des millions d'entrées à l'intérieur de vastes bases de données complexes stockées sur le nuage.

    C'est fait avec l'état de la technologie de reconnaissance faciale de l'art, et en Californie du Sud c'est déjà le cas.

    Au moins un organisme d'application de la loi à San Diego utilise actuellement un logiciel développé par face la, une division de proximité Camarillo, Airborne biométrie Groupe de la Californie. Il peut identifier de façon positive tout le monde, tant que des données physiques sur les traits du visage d'une personne sont stockées quelque part la police peuvent accéder. Bien que la piscine de correspondances potentielles pourraient inclure millions, l'entreprise affirme qu'en utilisant les «meilleures disponibles algorithmes de reconnaissance faciale", ils peuvent parcourir cet ensemble de données en une fraction de seconde pour envoyer autorités tous les renseignements connus sur toute personne qui entre dans un appareil de champ de vision.
    L'utilisation généralisée de la technologie de reconnaissance faciale par nos autorités d'application de la loi devient un mode de vie.

    Si le peuple américain n'aiment pas cela, ils ont besoin de se lever et de dire quelque chose.

    Mais au lieu, à l'ère de piratage généralisé à Internet et le vol d'identité, de nombreux Américains sont effectivement réclamaient pour la mise en œuvre de plus l'identification biométrique.

    Par exemple, ce qui suit est un bref extrait d'un article de Fox Nouvelles intitulé « La sécurité biométrique ne peut pas venir assez tôt pour certaines personnes "...

    Dans un monde où presque tous les ATM utilise maintenant un système d'exploitation sans aucun support technique, où un bogue peut forcer tous les utilisateurs de l'Internet pour changer le mot de passe pour chaque compte qu'ils ont jamais possédé la nuit, où les cyber-attaques et le vol d'identité deviennent plus menaçant chaque jour, la possibilité d'utiliser votre voix, votre doigt, votre visage ou une combinaison des trois pour vous connecter à votre e-mail, votre flux de médias sociaux ou votre compte vous permet de vous assurer qu'il est très difficile pour quelqu'un d'autre de faire semblant ils vous sont.
    Comme les institutions financières adoptent ce type de technologie, un jour viendra où la quasi-totalité d'entre nous doivent avoir nos visages scannés à la caisse.

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  23. Cela peut sembler fou de vous, mais selon le Daily Mail une entreprise en Finlande a déjà lancé cette technologie ...

    Les cartes bancaires sont déjà remplacés par des téléphones et des bracelets qui ont la technologie de paiement intégré, mais la dernière menace pour le plastique humble dans votre poche pourrait être votre visage.

    Une start-up finlandaise appelé Uniqul a lancé ce qu'il appelle la première plate-forme de paiement jamais basée sur la reconnaissance faciale.

    Le système ne nécessite pas un porte-monnaie, carte bancaire ou par téléphone - au lieu d'une caméra est positionnée à la caisse et prend une photo du visage d'un client quand ils sont prêts à payer.

    Il recherche alors une base de données pour le visage et correspond à des détails de paiement stockés afin de compléter la transaction.
    Et les annonceurs sont encore plus désireux d'adopter la technologie de reconnaissance faciale. En fait, le type de panneaux d'affichage de balayage du visage que nous avons vu dans "Minority Report" sont déjà une réalité. Par exemple, une société appelée Amscreen dit qu'il a déjà écrans numériques ont plus de 6.000 visage de numérisation qui sont visionnées par environ 50 millions de personnes chaque semaine ...

    Réseau de publicité Amscreen a récemment lancé une technologie de détection des visages uniques, développé à l'origine par automatisé entreprise de mesure d'audience de Quividi.

    Des caméras ont été installées dans les écrans publicitaires numériques de Amscreen qui peuvent balayer le visage d'une personne et de déterminer leur sexe, l'âge, la date, l'heure et le volume des téléspectateurs.

    Il en est ainsi annonces sont servis à l'auditoire le plus approprié.

    Amscreen compte déjà plus de 6.000 écrans numériques vus par une audience hebdomadaire de plus de 50 millions de personnes.
    Même sites de rencontres sont de commencer à utiliser la technologie de reconnaissance faciale à ce point.

    Il suffit de vérifier ce que Match.com a fait ...

    Rencontre populaire site de Match.com va utiliser des photos des exes des utilisateurs pour déterminer quel type de look qu'ils sont attirés dans le but de leur trouver un match de datation.

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  24. Le site de rencontres a établi un partenariat avec trois Règle Jour, un service de jumelage basé à Los Angeles, qui a datant experts qui agissent comme des rencontres personnelles concierges qui répondent chaque match potentiel avant de prendre une introduction formelle aux clients-sélectionnez main et personnellement, rapporte Mashable.

    Les membres de Match.com pourront mettre à niveau vers le service haut de gamme de la règle de trois jours qui demandera aux utilisateurs d'envoyer des photos de exes pour déterminer le type de regard qu'ils sont attirés. Règle de trois jours alors utiliser la technologie de reconnaissance faciale dans un effort pour aider les utilisateurs à trouver des dates.
    Notre monde change à un rythme plus rapide que jamais.

    De nouvelles technologies puissantes sont littéralement mis en vente chaque jour maintenant, et l'avenir va probablement chercher bien loin différent de tout de nous imaginons.

    Mais avec toute cette nouvelle technologie, nous allons finir par perdre le peu de vie privée que nous avons laissé ?

    S'il vous plaît, n'hésitez pas à partager ce que vous pensez en postant un commentaire ci-dessous ...

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/nowhere-to-hide-as-minority-report-style-facial-recognition-technology-spreads-across-america

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  25. Nouvelles sanctions contre Moscou : un suicide juridique pour l'UE

    Ilia Remeslo
    fr.ria.ru
    jeu., 18 sept. 2014 16:36 CEST

    Le Conseil de l'UE a adopté de nouvelles sanctions contre la Russie, interdisant notamment de financer les plus grandes banques du pays ainsi que les compagnies pétrolières et gazières russes. Les sanctions précédentes entraient déjà en conflit avec la législation de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) et la Charte de l'Onu. Cependant, les dernières décisions du Conseil de l'UE transgressent cette fois la Convention européenne des droits de l'homme, ainsi que d'autres accords internationaux régissant l'activité économique mondiale.

    Des sanctions sans fondement juridique

    Pour commencer, il faut trouver sur quelle base l'UE a adopté ces sanctions - il doit bien y avoir un acte législatif qui fixe la procédure et les fondements juridiques dans ce cas.

    Et bien non.

    En adoptant ses sanctions, le Conseil de l'UE s'est référé à l'article 215 du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne (TFUE), ainsi qu'à l'article 29 du Traité sur l'Union européenne (TUE). Ces deux actes normatifs constituent la base juridique des activités de l'UE.

    Cependant, le premier point de l'article 215 du TFUE stipule : « Lorsqu'une décision, adoptée conformément au chapitre 2 du titre V du traité sur l'Union européenne, prévoit l'interruption ou la réduction, en tout ou en partie, des relations économiques et financières avec un ou plusieurs pays tiers, le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, sur proposition conjointe du haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et de la Commission, adopte les mesures nécessaires ».

    Alors que chapitre 2 du titre V du TUE ne contient que des dispositions générales sur la politique étrangère de l'UE. La base juridique et l'ordre d'adoption des sanctions sont absents. L'article 29 indique uniquement que « le Conseil adopte des décisions qui définissent la position de l'Union sur une question particulière de nature géographique ou thématique. Les États membres veillent à la conformité de leurs politiques nationales avec les positions de l'Union ».

    Soulignons le point 3 de l'article 215 : « Les actes visés au présent article contiennent les dispositions nécessaires en matière de garanties juridiques ».

    Mais quelles « garanties juridiques » a établi l'Union européenne en adoptant ses sanctions ?

    Le Conseil de l'Europe essaie la robe de juge

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  26. L'article 6 de la Convention européenne des droits de l'homme établit l'engagement de l'Etat à garantir un procès équitable. Il induit, en cas de litige sur les droits et les engagements civiques, le devoir de l'Etat d'assurer un procès juste et public, dans des délais raisonnables, par un tribunal indépendant et impartial.

    Mais que voit-on dans la décision du Conseil de l'UE ? Le point 1 de l'article 11 stipule clairement que toute plainte et revendication de personnes physiques ou morales russes(y compris pour l'indemnisation du préjudice), si elles concernent les sanctions, devait être rejetée.

    Par son acte normatif l'UE prédétermine donc le sort de toute plainte adressée aux organes juridiques. Ainsi, elle viole non seulement ses propres engagements dans le cadre de la Convention européenne, mais aussi l'un des fondements de la démocratie - le principe de séparation des pouvoirs. Comment un organisme, en dehors du pouvoir judiciaire, peut-il remplacer les décisions de justice par des actes normatifs ?

    Même les régimes dictatoriaux ne s'étaient jamais abaissés à un tel niveau de cynisme juridique. Au moins « sur le papier », ils laissaient la possibilité à toute personne de défendre ses droits au tribunal. Mais la citadelle de la démocratie se moque des conventions internationales. Tous les masques de la légitimité occidentales sont définitivement tombés.

    Les « sous-hommes » ne sont pas admis au tribunal. Et la loi doit indiquer : « Interdiction d'entrer au tribunal, la décision rendue sera contre vous ». C'est très légal, démocratique et « à l'européenne ».

    Et cela ne dérange personne que la Cour européenne ait reconnu en parallèle la Russie coupable d'avoir enfreint le « droit à un procès équitable » dans l'affaire Ioukos. Comme disait un célèbre démocrate européen (visiblement le mentor des dirigeants de l'UE), « tout pour les amis, et la loi pour les ennemis ».

    Faut-il respecter les engagements

    Mais laissons de côté les questions de suprématie du droit et de la démocratie. Ce n'est rien comparé au sabotage, par les « lois européennes », des bases des échanges économiques habituels.

    En règle générale, dans le droit international privé, prévaut le principe du pacta sunt servanda - les conventions doivent être respectées. Ce principe est fixé dans la Charte de l'Onu, la Convention de Vienne et signifie que tous les acteurs, dans les relations de droit civil, doivent respecter à la lettre les accords conclus.

    On peut donc dire sans exagération que toute l'activité économique mondiale repose sur ce principe, qui assure la prévisibilité des relations économiques. Chaque acteur est en droit de compter sur le respect des engagements par l'autre partie.

    Mais voici que surgit l'UE avec ses sanctions - et tout ce système s'effondre. C'est un précédent dangereux, car désormais tout acteur économique peut renoncer à accomplir ses engagements (par exemple en refusant de payer ses dettes pour une marchandise livrée) en prenant les sanctions pour prétexte.

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  27. Sanctions adoptées contre la Russie et mesure de rétorsion
    http://fr.ria.ru/infographie/20140904/202341796.html

    Selon la décision du Conseil de l'UE, c'est désormais au créancier de prouver que la transaction n'enfreint pas les interdictions imposées par les sanctions. Autrement dit, il est très pratique pour le débiteur prendre les sanctions pour prétexte afin de ne pas tenir ses engagements. Il n'y a rien à prouver ou à argumenter face aux juges. Et on devine facilement quelle décision prendrait dans ce cas le tribunal européen le plus juste.

    Tous les coups sont permis

    L'affaire ne se limitera pas aux pertes des entreprises russes et européennes. En prenant des décisions clairement illégales, l'Union européenne est la première à ouvrir la boîte de Pandore.

    Au final, les échanges économiques normaux, basés sur le droit et le profit mutuel, ont cédé la place à une guerre commerciale croissante et à l'anarchie. Quand les principaux fondamentaux de l'Europe sont enfreints, il s'avère que tout le reste est permis. C'est là que réside le principal danger de la guerre de sanctions - la possibilité de se retrouver dans un monde d'anarchie économique et de chaos.

    Quels autres chefs-d'œuvre de « légitimité révolutionnaire » proposera l'UE - la nationalisation, l'expropriation ? Si elle juge possible et juste toute action illégitime contre la Russie, cette dernière doit trouver un moyen de se protéger - et elle répondra probablement par des mesures symétriques.

    Étant donné la dépendance commerciale et énergétique qui demeure entre l'Europe et la Russie, les conséquences seront graves pour les eurobureaucrates. Et ils finiront dans le trou qu'ils ont eux-mêmes creusé.

    http://fr.sott.net/article/23199-Nouvelles-sanctions-contre-Moscou-un-suicide-juridique-pour-l-UE

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  28. ISIS-arrestations liées aux États-Unis, Europe, Australie, Intel met en garde contre les attaques «horribles»


    18 Septembre, 2014 12:31



    Le monde est au milieu d'une répression globale sur l'état islamique et de ses idées. Européens, américains et australiens arrestations massives ont été effectuées au milieu des rapports de renseignement effrayants, comme les États-Unis continuent efforts à la construction d'une coalition anti-EST.

    L'effort pour réprimer toute affiliation au groupe terroriste a atteint aussi loin que la France, les Etats-Unis, l'Espagne et d'autres pays - même le Kosovo partiellement reconnu.

    Six recrues potentielles ont été arrêtés en France, selon une source judiciaire mercredi, avec le nombre de ressortissants français se rendant dans les sections de la Syrie et de l'Irak en partie contrôlées par le SI (anciennement ISIS ou ISIL) continue d'augmenter.

    Deux des détenus mardi sont mineurs, tandis que l'autre paire est un frère et une sœur; un autre suspect est censé être lié à Forsane Alizza (Knight of Pride), une organisation appelant à la France de devenir un califat islamique. Il a été interdit en 2012.

    Comme dans le cas de la Grande-Bretagne et les États-Unis, la France inquiète ses ressortissants seront bientôt revenir avec la formation et la détermination de mener des attaques terroristes sur le sol de la maison. Le nombre de Français ayant déjà parti se battre et revenir a augmenté à 930, selon le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve.

    C'est une augmentation de 74 pour cent en seulement huit mois, disent les autorités. Actuellement, 175 sont suivis à la maison. Mais vraiment inquiétant, c'est la proportion français du nombre total des Européens, qui est d'environ 2000.

    Les jeunes filles sont de plus en plus ciblées. Il y a quelques semaines une série de détentions de jeunes femmes à travers la France, y compris un 16-year-old, ont eu lieu. Dans un exemple choquant, une jeune fille de 15 ans, a quitté le pays pour se croyant être sur une mission d'aide humanitaire. Elle n'est pas revenue.

    L'Assemblée nationale vient de faire une infraction pénale »[de planifier] pour voyager à l'étranger pour participer à des activités terroristes, le crime de guerre ou des crimes contre l'humanité ou dans un théâtre d'opérations des groupes terroristes."

    Ceci fait suite à l'Espagne, qui a modifié son code pénal pour empêcher les Espagnols de se rendre dans les zones de conflit à se joindre à des groupes radicaux, de punir ceux qui le font avec des accusations de terrorisme.

    José Manuel García Margallo, ministre des Affaires étrangères de l'Espagne, a demandé à une coopération accrue avec les efforts internationaux mardi, après les accusations selon lesquelles le pays ne fait pas assez pour lutter contre l'IS.

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  29. "L'Espagne n'a jamais été du genre à regarder la corrida de derrière les barrières," il a été cité par l'agence de nouvelles EFE comme disant. "Nous avons été et nous serons là où notre présence est nécessaire et peut être utilisé à bon escient," il également dit parlement, ajoutant que le pays a déjà pris part à un certain nombre de missions à l'étranger dans le cadre de ce qu'il appelle «l'une des menaces les plus complexes de notre temps."

    La promulgation du Code criminel n'a pas encore entré en vigueur, mais la FM a mis en évidence qu'une autre plus complet, série, suivra ses traces.

    Au cours de l'Allemagne, il est dit jusqu'à neuf citoyens effectuées attentats-suicides pour l'IS pour cette seule année. Comme avec le reste de l'Europe, le gouvernement craint la tendance pour la conversion de son idéologie est en croissance rapide.

    Les attaques ont été principalement effectuées en Irak.

    Une équipe de recherche nationale a rapporté alarme auprès du grand public.

    "Nous ne voulons pas la mort envoyé par l'Allemagne à l'Irak. Exportation terreur est inadmissible et doit être arrêté», a déclaré le ministre allemand de l'Intérieur Thomas de Maizière au journal Süddeutsche Zeitung en réponse aux allégations selon lesquelles des attaques ont été menées par les Allemands.

    Le gouvernement allemand a déjà interdit la fourniture de tout soutien au groupe terroriste, un mouvement qui est venu sur les talons de rapports que quelque 400 Allemands ont rejoint IS terroristes en Syrie et en Irak.

    Les autorités se sont fixé pour tâche de prévenir de nouvelles exportations de ressortissants au Moyen-Orient à rejoindre.

    "Nous sommes à la recherche à la situation de la sécurité en Allemagne, mais nous avons aussi une responsabilité envers les personnes qui vivent en Syrie et en Irak," la tête de l'Office fédéral pour la protection de la Constitution, Hans-Georg Maassen, dit, comme rapporté par la Deutsche Welle.

    Ses craintes sont essentiellement ceux qui sont partagés par tous les autres pays européens: que les extrémistes vont revenir avec des plans de formation et d'infliger la terreur.

    Le Kosovo est un autre endroit où une hausse soudaine de la sympathie de l'État islamique a donné lieu à de nombreuses arrestations. Autorités a arrêté mercredi un religieux musulman de premier plan, avec 14 autres personnes, sur des allégations d'exploitation d'un anneau de recrutement pour redresseurs se dirigeant vers la Syrie et l'Irak, les bastions de l'État islamique.

    Les arrestations ont couvert 16 sites, y compris Pristina. Il s'agit de la deuxième opération depuis Août, lorsque 40 personnes ont été arrêtées pour des motifs similaires.

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  30. L'Australie est en état d'alerte pour la première fois en 11 ans. Après avoir fait monter le niveau de sécurité suite à des allégations sérieuses de la part du gouvernement que l'attaque est en fait prévu, le gouvernement a alors arrêté 15 personnes soupçonnées de planifier dans une attaque aléatoire horrible en Australie.

    C'est la plus grande opération de lutte contre le terrorisme dans le pays à ce jour.

    Le Premier ministre Tony Abbott a informé le public que la décapitation publique aurait été planifiée par le groupe.

    "C'est l'intelligence que nous avons reçu ... les exhortations - exhortations très directs - venaient d'un Australien qui est apparemment assez haut dans ISIL à des réseaux de soutien de retour en Australie pour procéder à des exécutions de démonstration ici dans ce pays", at-il déclaré.

    "Ce n'est pas seulement la suspicion, c'est l'intention, et c'est pourquoi les services de police et de sécurité ont décidé d'agir de la manière qu'ils ont», at-il poursuivi.

    Les autorités ont également émis un mandat d'arrêt contre une boîte de nuit videur Sydney, Mohammad Ali Baryalei, 33, sur le soupçon qu'il est membre le plus ancien du pays du groupe terroriste Etat islamique.

    Un autre suspect arrêté, un 27-year-old, aurait été envisagent de "horriblement" exécuter une personne au hasard, les autorités disent, qui fait partie intégrante de la tactique de choc prétendus de l'IS.

    Les arrestations de Sydney faisaient partie d'une opération consistant à 800 agents de la police fédérale et de l'Etat, selon la police fédérale sous-commissaire Andrew Colvin.

    "La police a croire que ce groupe que nous avons réalisé cette opération aujourd'hui avait l'intention et avait commencé à effectuer une planification à commettre des actes violents ici en Australie", a dit Colvin. «Ces actes de violence en particulier celles liées à des actes aléatoires contre des membres du public . Ainsi, ce que nous avons vu aujourd'hui et l'opération continue était très bien sur la police qui perturbent le potentiel de violence contre la communauté australienne à la première occasion possible. "

    La police a refusé de donner plus de détails, mais a déclaré que les attaques étant prévues étaient "très haut niveau."

    Comme la répression mondiale a lieu, les États-Unis au milieu des rafles du Moyen-Orient, les pays partenaires et concurrents de même, de prendre part à une coalition anti-IS. L'initiative a attiré des critiques mitigées à la maison.

    Secrétaire d'Etat John Kerry a parlé à un certain nombre de dirigeants de la région, dont l'Arabie saoudite et le Qatar, tout en dénonçant ouvertement toute possibilité d'un rôle iranien dans l'opération. Et pourtant, les rôles pas clairement définis existent pour les membres de la coalition - seulement une vague idée de qui est à bord.

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  31. Les voyages de Kerry ont également lieu dans la confusion américain sur la langue à appliquer à son initiative anti-terroriste contre l'Etat islamique. Le jargon balançait de "nous sommes en guerre" pour "c'est une longue, très étirée effort de lutte contre le terrorisme" d'un jour à l'autre.

    Cela reflète mal à la fois sur l'avis du gouvernement à la maison et la coordination des rôles dans la coalition du Moyen-Orient.

    "Cela ne peut pas être le combat de la seule Amérique», le président américain Barack Obama a souligné dans son récent discours ISIS.

    En effet, le pays a réalisé plus de 150 frappes aériennes sur les positions des militants à ce jour. Cependant, pas tout le monde semble prêt à se joindre à la lutte.

    Turquie et la Jordanie, alliés clés des USA dans la région, sont considérés comme réticents à intervenir directement dans la lutte anti-EST battre.

    Turquie était également absent lors de la signature d'un communiqué conjoint sur la situation en Irak jeudi.

    Comme Kerry faisait sa ronde, un homme État de New York 30 ans a été accusé de avoir prétendument aidé l'IS. Il est accusé d'avoir aidé trois personnes voyagent en Syrie pour se battre avec IS et aussi comploté pour assassiner des troupes US qui rentrent chez eux en provenance du Moyen-Orient.

    Cette annonce intervient après des menaces de vidéo très directs par les terroristes de nuire Américains, en réponse à la promesse d'Obama de "downgrade et détruire" le groupe.

    http://rt.com/news/188660-isis-islamic-global-crackdown/

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  32. L'Ecosse peut trouver qu'elle n'a pas l'UE, pas de monnaie et pas d'huile

    Une grande partie de projection de la richesse pétrolière de l'Ecosse ne sera plus possible grâce aux progrès spectaculaires de la science de l'énergie qui ont lieu dans les universités d'élite


    Par Ambrose Evans-Pritchard
    21:19 BST le 17 septembre 2014


    Au moment où une Ecosse indépendante est autorisée dans l'Union européenne - peut-être au début des années 2020, peut-être plus tard, sauf l'Espagne, l'Italie et d'autres fléchir - l'industrie pétrolière du monde sera déjà en déclin structurel.

    Une grande partie de l'huile projetée la richesse de l'Ecosse n'existera plus, rendu obsolète par les progrès spectaculaires en matière d'énergie prise en sciences lieu dans les universités d'élite aux États-Unis, soutenue par le Département de l'énergie des États-Unis et le Pentagone. Washington et Pékin ont été choqués par complaisance par la crise du pétrole 2008, mais peu semblent avoir remarqué en Ecosse.

    Il est une idée du étrangement aux revendications et contre-revendications de la Oui et non côtés sur l'ampleur des réserves de l'Ecosse, comme si nous vivons toujours dans le 20ème siècle.

    Est-ce 24 milliards de barils, assez pour financer un modèle nordique de protection sociale pour «de nombreuses décennies à venir", comme Alex Salmond insiste héroïquement ? Ou plus près de 16 milliards, comme Sir Ian Wood signale, et la plupart des vétérans de pétrole approuvent ?

    Ce débat semble supposer que la demande de pétrole de la Chine va continuer à croître à un rythme effréné - quand il se refroidit déjà - et que les prix mondiaux restera suffisamment élevé pour justifier l'extraction de brut de la plupart des champs marginaux dans la mer du Nord, dont les coûts d'exploitation ont déjà sauté par cinq depuis 2002.

    Un rapport rose par le Centre d'Aberdeen pour la recherche en économie et finance de l'énergie donne le match à l'extérieur. "Même les commentateurs les plus pessimistes sur le marché du pétrole seraient d'accord pour que d'ici 2050 les prix réels du pétrole sont susceptibles d'être beaucoup plus élevé," il a dit.

    En fait, «la plus baissière" pense qu'une grande partie de l'industrie mondiale de pétrole va faire faillite bien avant, ruiné par les projets de la dette axée dans les régions marginales qui ne sera jamais viable, affaiblie par le coût de passe de l'énergie solaire et le révolutionnaire perspective de stockage de la batterie pas cher.

    Les jeunes analystes à la pointe de l'énergie mondiale parlent déjà une langue différente, mettant en garde contre les «actifs échoués» dans l'industrie du pétrole et du gaz. Sanford Bernstein appelle le nouvel ordre de «déflation mondiale d'énergie", une rue à sens unique que la technologie mange dans la domination de l'huile.

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  33. Une fois la malédiction de "l'intermittence" est conquise par le stockage d'énergie - et de Harvard est inférieure à trois ans de distance - le passage à l'énergie solaire deviendra une bousculade pour des raisons purement commerciales, dans de grandes parties du monde, sans avoir besoin de subventions. Cela baisser la demande de pétrole à travers une chaîne mondiale complexe de substitution de carburant. Mark Lewis, de Kepler Cheuvreux, s'attend à ce que la crise a frappé à l'horizon 2025.

    Il y a un risque élevé que l'Ecosse serait alors sous le choc des années dans un purgatoire cruel, coincé dehors de l'UE, sans un accès complet au marché unique ou le marché britannique, incapable de vendre librement leurs services au sud de la frontière, même si le reste du Royaume-Uni souhaite de continuer comme avant. La pâleur de cette porte guère penser.

    L'UE est une entreprise souple, bien sûr, avec une armée d'avocats habiles. Il peut toujours trouver des moyens de contourner techniques, la création d'un lieu pour l'Ecosse par l'utilisation de l'article 47 des traités de l'UE à la place de l'article 48 Les Ecossais pourrait rejoindre par un amendement à la place d'adhésion d'un traité (générateurs d'itinéraire normale). Ecosse adhère déjà aux 190 000 pages de l'acquis juridique.

    La question est de savoir si les joueurs puissants au sein de l'appareil souhaitent de l'UE pour le rendre facile. Certains ont de fortes motivations pour assurer que l'expérience de l'Ecosse est un échec lamentable, une leçon salutaire à tous les autres.

    Le chef de file de l'Espagne, Mariano Rajoy, a déclaré à el Cortes mercredi, il est "très peu de chances" que les Etats sécessionnistes seront aménagés dans l'UE, et son pays a un droit de veto, si son commentaire est auto-réalisatrice. "Tout le monde en Europe pense ce sont des processus extrêmement négatives. L'Europe se sont réunis pour intégrer les Etats, de ne pas les séparer de l'autre," a t-il dit.

    Son gouvernement dit qu'il va déployer «tous les moyens à sa disposition" pour arrêter les Catalans aller de l'avant avec leur vote pré-sécession le 9 Novembre, même si cela signifie de décapage Catalogne à l'autonomie gouvernementale. Ce prend une direction inquiétante. Barrios Barcelone préparent la résistance civile.

    Professeur JHH Weiler, directeur de l'Institut universitaire européen, parle pour beaucoup de l'élite de l'UE à adopter une "mauvaise opinion de l'affaire Ecosse", avertissant que l'UE a le droit légitime de défendre son modèle contre une réaction en chaîne destructrice. Revendications à une «identité nationale distincte" ne suffisent pas à justifier la sécession d'un Etat démocratique.

    "Il est éthiquement démoralisant de voir les goûts de l'Écosse et de la Catalogne revenir à une mentalité du début du 20e siècle, après la Première Guerre mondiale, quand l'idée qu'un seul Etat pourrait englober plus d'une nationalité semblait impossible," a t-il dit.

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  34. M. Weiler accuse Ecosse d'argumenter sur l'avantage «utilitariste», un reproche matière sur ce qui est en elle pour eux. Cette montre un esprit qui est «diamétralement contraire à l'éthique historique de l'intégration européenne", dit-il. Il disqualifie Ecosse "moralement et politiquement" de l'appartenance à une entreprise qui dépend de donner et de recevoir, et une volonté de travailler sur les différences raisonnables in extremis.

    «Pourquoi y aurait-il un intérêt à prendre dans l'Union un système politique comme un Ecosse indépendante fondée sur une philosophie nationaliste rétrograde et dépassée qui peut apparemment pas supporter la discipline d'une nation multinationale ?" il demande.

    Vous ne pouvez pas d'accord avec M. Weiler, mais c'est la voix de la structure du pouvoir de l'UE. C'est ce que les Ecossais sont contre s'ils votent pour briser l'Union, et ce-Bretagne est contre trop car il tente de recoller les morceaux pour le compte de l'Ecosse.

    Le camp séparatiste en sont venus à croire leur propre mythe que l'Europe est derrière eux, que tout le monde est d'enracinement pour l'opprimé, emportés par Celt romantisme. Ils ne semblent pas avoir la moindre idée de ce qui se trouve en magasin.

    Les ennemis de l'UE de l'Ecosse ont tout prétexte nécessaire pour retarder l'adhésion, depuis que le gouvernement écossais dit qu'il ne se conformera pas aux exigences des traités de l'UE à rejoindre la zone euro. Il est vrai que la Suède a toujours la Couronne près de 20 ans plus tard, mais cet argument ne va nulle part. Stockholm véritablement destiné à rejoindre la zone euro en 1995, et aucun pays ne voulait garder Suède sur.

    Nous pouvons donc faire face à une impasse catastrophique, devenant encore plus catastrophique si Westminster persiste à nier M. Salmond son syndicat sterling, si elle s'accroche à piété universitaires en sachant que cela risque d'un défaut écossais, une rupture des relations entre Edimbourg et Londres de travail, et un financier bain de sang pour l'ensemble du Royaume-Uni.

    Nous pouvons tous convenir que ce n'est pas une bonne idée pour les deux pays avec leurs propres trésors souverains de partager une monnaie, d'autant plus que l'économie écossaise sera mise à profit pour le cycle de produit mondial pour les premières années, sujettes à des chocs asymétriques.

    Pourtant, à nier l'Ecosse une union sterling sur la base d'une objection technique serait pédant, et contre nos propres intérêts. La crise de la zone euro n'est pas non plus prouver qu'une telle entreprise est impossible, comme souvent affirmé. Autriche n'a pas de partager l'euro avec l'Allemagne en difficulté.

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  35. La débâcle de l'UEM montre seulement que les unions monétaires sont très difficiles à gérer sans union fiscale, d'autant plus si les cultures sont incompatibles, et si les taux de croissance et d'inflation ne sont pas alignés. Il n'est pas au-delà de l'esprit de l'homme à la mode un arrangement pour l'Angleterre et l'Ecosse qui est sui generis, celui qui lie les pays de retour ensemble dans une grande intimité. On peut même dire que c'est un impératif politique.

    L'ancien chef de la Réserve fédérale, Alan Greenspan, dit qu'il n'y a "pas, de manière crédible concevable la Banque d'Angleterre va y siéger en tant que prêteur en dernier ressort à une nouvelle Ecosse". Malheureusement, c'est exactement ce que Westminster doit accepter, même si elle galles à concéder quoi que ce soit à un chef écossais tenant un pistolet sur la tempe. Le vol imminent de RBS à travers la frontière atténue considérablement le problème, en tout cas.

    Rump-Bretagne n'a pas le luxe de l'arrogance. Ce qui est devenu toujours plus claire sur ces quinze derniers jours, c'est que le Royaume-Uni lui-même est dans le collimateur, à haut risque de la fuite des capitaux et une perte de confiance dans la dette britannique.

    Nomura Japon conseille à ses clients à court Gilts et retirer la protection sur les banques britanniques, les assureurs et les fonds de pension sur les marchés de produits dérivés, en avertissant que la dissolution d'une union de 300 ans serait un "choc cataclysmique".

    Grande-Bretagne est déjà patiner sur la glace mince, avec des ratios d'endettement tendus et un déficit du compte courant près de 5pc du PIB, le pire dans le club de l'OCDE, et le pire jamais en temps de paix. Le pays se branche l'écart en aspirant les capitaux étrangers, y compris les prêts - une recette pour les problèmes.

    Albert Edwards, de Société Générale, affirme le déficit est une "abomination de premier ordre", plus grave encore que il semble une fois ajusté pour le cycle économique. Il a dit la perte de 90pc du pétrole britannique de la mer du Nord - une valeur de 39 milliards de £ dans les exportations et l'année dernière de la substitution des importations - causerait le déficit à pic instantanément vers 7pc du PIB.

    "La ligne de faille béant dans la situation économique du Royaume-Uni sera révélé aux yeux de tous. Capital ne sera pas déplaçait du nord de la frontière écossaise au sud. Elle sera en train de quitter le Royaume-Uni tout," a t-il dit.

    La Banque de Ben Broadbent Angleterre insiste pour que ce déficit est bénigne, une distorsion causée par une baisse temporaire du bénéfice net sur les placements. Notre portofolio mondiale d'actifs génère des rendements très supérieurs au fil du temps. Qui amortit le déficit.

    Je ne vois pas pourquoi cela est rassurant, et pas plus que Stephen King, de HSBC. "Nous n'avons pas besoin de s'inquiéter parce que le Royaume-Uni est un fonds géant de couverture réussie", dit-il, d'un ton acide. Vous pourriez conclure que l'état désastreux de nos comptes ont été flatté par le boom mondial de l'équité, et que nous sommes un choc loin d'un réveil désagréable.

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  36. M. Broadbent dit que nous pouvons sortir avec un tel déficit à cause de la «confiance» mondiale dans les institutions britanniques. C'est précisément cette confiance qui est s'effondre sous nos yeux. Comme un gestionnaire de fonds de couverture asiatique m'a dit, tout ce que les investisseurs mondiaux avaient pris sur le caractère AAA de la gouvernance et des institutions britanniques a «soudainement été testé, et devront être réévalués".

    Nous sommes au-delà d'une discussion sur l'Ecosse. Le gallois, anglais et d'Irlande du Nord, ainsi que les Ecossais eux-mêmes, vont glisser ensemble dans un tourbillon économique et constitutionnelle si l'Union se brise sur de faux prospectus de M. Salmond. Il est vandalisme.

    http://www.telegraph.co.uk/finance/comment/ambroseevans_pritchard/11103051/Scotland-may-find-it-has-no-EU-no-currency-and-not-much-oil.h

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    1. L'Ecosse, comme des millions d'autres à travers le monde, ne se demande pas de si basses questions si çà va marcher, si le pétrole va se vendre et si et si, l'Ecosse se demande si tout simplement elle peut avoir la chance de s'en sortir de ce marasme, ce bourbier, ce merdier qu'est 'l'Europe' et son devenir transAtlantique. La chance d'être libre. Libre de draguer les fleuves & rivières sans devoir demander l'autorisation à l'autre dictature de Bruxelles. Libre comme la Chine de refuser de payer la taxe carbone aux aéroports. Libre de ne pas devoir envoyer des gens pour aller assassiner des millions d'enfants, de femmes et d'hommes en Libye, en Irak, etc. Libre de connaître la liberté ! Libre d'être écossais.

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  37. Le meurtre présidentiel n'est plus illicite


    Par Andrew P. Napolitano
    18 septembre 2014


    Alors que le débat fait rage quant à savoir si le président a besoin l'autorisation du Congrès pour la guerre avant son déploiement de l'armée à se dégrader ou détruire ISIS, l'organisation terroriste que aucun de nous n'avait entendu parler jusqu'à il ya quelques mois, le pays a perdu de vue le plus question fondamentale de l'infidélité du président Obama à la règle de droit.

    Sur la légalité de sa guerre proposée, le président a peint lui-même dans un coin. L'année dernière, il a tout à fait bien reconnu que l'autorisation pour l'utilisation de la force militaire (AUMF), une loi adoptée par le Congrès en 2002 pour permettre le président George W. Bush d'utiliser l'armée pour traquer, capturer, dégrader ou tuer toutes les personnes ou organisations que prévu les attentats du 9/11, ne peut pas s'appliquer à des organisations qui n'existaient pas au moment de 9/11, dont ISIS est un.

    Cela laisse le président avec deux alternatives restantes. L'une est la Résolution des pouvoirs de guerre (WPR), une loi adoptée par le Congrès en 1973 pour limiter les invasions militaires presidentially commandés assentiment du Congrès absent à 180jours ou moins. Mais la WPR est inconstitutionnelle, car elle se compose du Congrès loin de donner à l'autorisation expresse de président de déclarer la guerre, qui la Constitution délègue au Congrès. La Cour suprême a interdit les cadeaux de pouvoirs et de responsabilités de base d'une branche du gouvernement fédéral à l'autre.

    Même si Obama décide de s'appuyer sur la WPR, et s'attend à ce que personne ne juge fédéral va interférer avec cette décision, ses conseillers militaires lui ont dit qu'il ne peut pas atteindre son objectif de 180 jours. Ils lui ont aussi dit qu'il ne peut pas atteindre son objectif par l'utilisation de la puissance aérienne seule.

    Le mécanisme reste pour commencer une guerre est de suivre la Constitution en cherchant une déclaration du Congrès de la guerre. Mais Obama n'a pas encore demandé une telle déclaration. Pourquoi pas ? Sans doute, il a deux craintes. L'un est que le Congrès va imposer des restrictions sur l'emplacement et la durée des hostilités, contrairement à la AUMF, qui est ouvert. L'autre est qu'il mécontenter sa base politique fidèle en faisant ce qu'il avait promis de ne jamais faire: mettre le pays dans une autre guerre offensive au Moyen-Orient.

    En 2008 et en 2012, Obama a couru comme un candidat et un titulaire déterminé à mettre fin à l'engagement militaire américain au Moyen-Orient, pas l'augmenter. D'où sa promesse, maintenant fait à plusieurs reprises, qu'il ne présentera pas de troupes au sol dans cette guerre. Apparemment, tout comme quand il a bombardé la Libye dans l'instabilité chaotique en 2010, il ne considère pas les bombes un acte de guerre offensive.

    Mais il le fait envisager l'utilisation de bottes comme un acte de guerre. Lorsque le président promet pas de troupes au sol, noter la phrase qu'il utilise: "Pas de bottes sur le terrain». Il s'agit d'un terme technique qui a apparemment des significations différentes pourdes gens différents.

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  38. Il y a déjà plus de 1000 paires de bottes militaires américaines sur le terrain dans cet effort pour détruire ISIS. Pourtant, parce qu'ils ne sont pas encore directement impliqués dans l'utilisation de la violence dans la poursuite de combattants ISIS (ils s'entraînent autres à le faire ou trouver des cibles à détruire par air), ou parce qu'ils sont des forces spéciales et donc hors de l'uniforme (mais pas doute armé et violent et portant des bottes), le président sent qu'il a une conscience claire quand il dit qu'il n'y a pas de bottes sur le terrain.

    Quand il dit cela, il signifie: «Il n'y a personne dans un tir de la terre à une cible ennemie uniforme militaire américaine" - mais il ya des militaires en uniforme sur le terrain, et il y a des militaires en civil tir combattants ISIS. Est-ce la langue arguties compatible avec l'obligation morale du président de dire la vérité à nous ?

    Dans un autre passage trompeur, Obama a annoncé lundi que l'opération contre ISIS, si autorisé par le Congrès ou pas, sera dirigé par l'ancien Marine Corps le général John Allen. Il s'agit d'une nouvelle utilisation des biens du gouvernement, comme Allen n'est plus une partie du Pentagone et donc pas soumis à la chaîne de commandement militaire. Apparemment, le président ne fait pas confiance à ses conseillers militaires, dont les conseils ont rejeté à plusieurs reprises, pour exécuter sa guerre. Prévoit la Maison Blanche pour lancer cette guerre directement LBJ a fait au Vietnam ? Le Département d'Etat ? Comment un civil qui ne sont pas les forces armées de la commande président peut ?

    Le lundi de la semaine dernière, la Maison Blanche a annoncé que, dans sa poursuite de l'ISIS, les États-Unis d'aller où il trouve des objectifs de ISIS, et si ISIS cache en Syrie et le gouvernement de la Syrie ne nous permet pas de jets d'utiliser son espace aérien, les États-Unis attaquer la Syrie. Cela sonne comme le président russe Vladimir Poutine en Ukraine.

    Attaquer la Syrie parce que son gouvernement a nié l'espace aérien des États-Unis serait un acte non provoquée et illégale de la guerre qui serait probablement provoquer Poutine. Le Congrès a rejeté la déclaration de guerre à la Syrie il ya tout juste un an. Si elle le fait maintenant, il n'y aurait pas de base légale ou morale pour une telle déclaration, que la Syrie est un pays souverain, légalement habilitée à contrôler son espace aérien, qui ne représente pas une menace pour la liberté ou la sécurité américaine. Les États-Unis ne pouvons plus légalement réquisitionner l'espace aérien syrien que la Syrie peut réquisitionner les nôtres.

    Quelque chose ne va pas ici. L'année dernière, le président voulait aider ISIS indirectement par la dégradation de l'armée syrienne. Maintenant, il veut aider la Syrie indirectement par la dégradation ISIS, mais seulement si la Syrie reste en dehors de notre chemin. Et il est prêt à violer la Constitution, enfreindre la loi et mentir au peuple américain pour parvenir à ses fins.

    Pourquoi toute cette illégalité, quand il peut et doit laisser ces parties en litige à eux-mêmes et garder l'armée américaine à la maison à des fins défensives authentiques ?

    Reproduit avec la permission de l'auteur.

    http://www.lewrockwell.com/2014/09/andrew-p-napolitano/serial-killer-in-chief/

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    1. ISIS. 'I-S' 'I-S'. ' Yes' 'Yes'. On sent par qui s'est fabriqué.

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  39. Qu'est-il arrivé ? 9/11 président de la Commission: déclassifier TOUT


    Posté le 17 Septembre, 2014
    par WashingtonsBlog


    9/11 commissaires Vous voulez que les faits de Come Out

    Président de la Commission 9/11 Thomas Keane a déjà demandé la déclassification des secrets 28 pages du Congrès 9/11 Commission d'enquête, et dit que 60-70% de ce qui a été classée ne doit pas avoir été classé en premier lieu .

    Le New Yorker a rapporté la semaine dernière:

    Thomas Kean se souvient d'avoir enfin l'occasion de lire ces vingt-huit pages après, il est devenu président de la 9/11 Commission- "si secret que je devais obtenir tous mes attestations de sécurité et aller dans les entrailles du Congrès avec quelqu'un regarde par-dessus mon épaule. "Il a également souvient d'avoir pensé à l'époque que la plupart de ce qu'il lisait n'aurait jamais dû être gardé secret. Mais l'accent mis sur les vingt-huit pages occulte le fait que de nombreux documents importants sont encore classified- "une tonne de choses," Kean m'a dit, y compris, par exemple, les entretiens de la Commission 9/11 avec George W. Bush, Dick Cheney, et Bill Clinton. "Je ne sais pas d'une seule chose dans notre rapport qui ne devrait pas être public après dix ans», a dit Kean.

    9/11 Commission Co-président Lee Hamilton accepte .

    Et il en va de 9/11-commissaire Tim Roemer. Comme le New Yorker écrit:

    «À certains égards, il est plus dangereux aujourd'hui", Timothy Roemer, qui était un membre de l'enquête conjointe et la Commission 9/11, observé. "Une série plus complexe de menaces viennent ensemble que même avant 9/11, impliquant ISIS, Al-Qaïda, et les capacités de cyber-terroriste. Plus les Américains savent ce qui s'est passé il ya treize ans, plus nous pouvons avoir une crédibilité, débat ouvert »sur nos besoins de sécurité. Libérer les vingt-huit pages, dit-il, pourrait être un pas en avant. «J'espère que, après un choc initial et la crainte, il ferait mieux travailler notre processus. Notre gouvernement a l'obligation de le faire. "

    Et d'autres qui ont vu les petites 9/11 matériaux conviennent que nous ne pouvons pas aller de l'avant avec un programme de sécurité efficace jusqu'à ce que le peuple américain sait ce qu'il ya dans les documents classifiés. Le New Yorker ajoute:

    Thomas Massie, un député républicain du Kentucky et un sponsor de la résolution de la Chambre de déclassifier le matériau, m'a dit que l'expérience de la lecture de ces vingt-huit pages a amené à repenser la façon de gérer la montée de l'ISIS. Il lui a fait beaucoup plus prudents quant à une intervention militaire. "Nous devons faire attention, lorsque nous courons les calculs de l'action, ce que les répercussions seront," at-il dit.

    Le coprésident de l'enquête du Congrès sur 9/11 - Le sénateur Bob Graham - notes :

    Bien qu'il a été il y a plus de dix ans lorsque cet événement horrible a eu lieu, je pense que [les questions de savoir qui a appuyé les attaques] ont des conséquences réelles à US actions d'aujourd'hui .

    Graham dit PBS :

    Nous avons besoin de cette information maintenant parce que c'est pertinent à la menace que le peuple des États-Unis sont confrontés aujourd'hui .

    Et l'Independent écrit :

    La montée de l'Etat islamique d'Irak et du Levant (Isis) a été facilitée par l'incapacité persistante du gouvernement des États-Unis pour étudier le rôle de l'Arabie Saoudite dans les attaques 9/11 et de son soutien aux mouvements djihadistes comme Al-Qaïda dans les années qui ont suivi, a déclaré l'ancien sénateur Bob Graham, le co-président de l'enquête officielle sur 9/11.

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  40. Le sénateur Graham, qui a présidé la commission du renseignement du Sénat, a déclaré que les administrations successives de Washington avaient fermé les yeux sur le soutien des Saoudiens pour les extrémistes sunnites. Il a ajouté: «Je crois que le fait de ne pas faire la lumière complète sur actions saoudiennes et en particulier son implication dans 9/11 a contribué à la capacité Arabie de continuer à s'engager dans des actions qui sont préjudiciables aux États-Unis - et en particulier leur soutien à Isis. "

    Mais 9/11 commissaires admettent qu'ils n'ont jamais eu le Full Story
    Les 9/11 commissaires ont exprimé publiquement leur colère au ups de couverture et les obstructions de la justice par le gouvernement dans une véritable enquête 9/11:

    - Co-présidents de la Commission a déclaré que la CIA (et probablement la Maison Blanche) "obstruction à notre enquête"
    - 9/11 commissaire Bob Kerrey dit que "Il ya de nombreuses raisons de soupçonner qu'il peut y avoir une alternative à ce que nous avons décrit dans notre version. . . Nous n'avons pas eu accès. . . . "
    - 9/11 commissaire Timothy Roemer a déclaré "Nous avons été extrêmement frustré par les fausses déclarations que nous recevions"
    - 9/11 commissaire Max Cleland a démissionné de la Commission, déclarant: "C'est un scandale national" , "Cette enquête est maintenant compromise» ; et "Un de ces jours, nous aurons à connaître toute l'histoire parce que la question 9-11 est si important pour l'Amérique. Mais cette Maison Blanche veut étouffer l'affaire "
    - L'avocat-conseil de la Commission 9/11 (John Farmer) - qui a dirigé l'enquête du personnel 9/11 - dit «À un certain niveau du gouvernement, à un certain moment dans le temps ... il y avait un accord pour ne pas dire la vérité sur ce qui s'est passé ». Il a également dit "J'ai été choqué par la façon dont la vérité était différente de la façon dont elle a été décrite .... Les bandes ont raconté une histoire radicalement différente de ce qui avait été dit à nous et au public pendant deux ans .... Ce n'est pas tourner. Ce n'est pas vrai. "
    Pas étonnant que le co-président de l'enquête du Congrès sur 9/11 - Bob Graham - 9/11 et le commissaire et l'ancien sénateur Bob Kerrey réclament soit un " 9/11 commission permanente "ou une nouvelle enquête 9/11 pour se rendre à la partie inférieure de celui-ci.

    Quelques exemples d'entrave à la justice dans l'enquête 9/11 sont les suivants:

    - Un informateur du FBI a accueilli et loue une chambre à deux pirates de l'air en 2000 précisément, les enquêteurs de la Commission d'enquête mixte du Congrès ont découvert qu'un informateur du FBI avait accueilli et même loué une chambre pour deux pirates de l'air en 2000 et que, lorsque l'enquête a cherché à interroger l'informateur , le FBI a refusé catégoriquement, puis le cacha dans un lieu inconnu, et qu'un haut niveau FBI officielle a déclaré ces manœuvres de blocage ont été menées sous les ordres de la Maison Blanche. Comme les New York Times note :
    Le sénateur Bob Graham, la Floride démocrate qui est un ancien président de la commission du renseignement du Sénat, a accusé la Maison Blanche mardi de dissimulant des preuves ... La accusation découle du Bureau fédéral du refus de l'enquête pour permettre aux enquêteurs d'une enquête du Congrès et l'indépendant 11 septembre commission d'interroger un informateur, Abdussattar Shaikh, qui avait été le propriétaire à San Diego du 11 septembre deux pirates de l'air.

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  41. - Les présidents de la Commission 9/11 fois et le Congrès officiel enquête sur 9/11 a déclaré que le gouvernement de style soviétique "assistantes" obstruction de l'enquête sur 9/11 en intimidant des témoins
    - Les 9/11 commissaires ont conclu que des fonctionnaires du Pentagone ont menti à la Commission, et a envisagé de recommander des accusations criminelles pour ces fausses déclarations
    - La bande d'interviews de contrôleurs de la circulation aérienne en devoir sur 9/11 a été volontairement détruit par compression de la cassette à la main, couper la bande en petits morceaux, puis déposer les morceaux dans différentes poubelles autour du bâtiment comme le montre ce New York Times article (version résumée est libre; version complète est pay-per-view) et par cet article du Chicago Sun-Times
    - Tel que rapporté par l'ACLU , FireDogLake , RawStory et bien d'autres, les documents déclassifiés montrent que les fonctionnaires de l'administration Bush senior sévèrement mis en garde la Commission 9/11 contre sonder trop profondément dans les attaques terroristes du 11 Septembre, 2001
    Tant le 9/11 Commission d'enquête et 9/11 essais ont été fondées sur des preuves non fiables Produit par la torture
    La CIA a filmé l'interrogatoire des suspects 9/11, dit à tort la Commission 9/11 qu'il n'y avait pas de bandes vidéo ou d'autres enregistrements des interrogatoires, et ensuite détruits illégalement tous les enregistrements et les transcriptions des interrogatoires .

    9/11 Commission copréside Thomas Keane et Lee Hamilton a écrit :

    Ceux qui ont connu au sujet de ces bandes vidéo - et ne nous a pas dit à leur sujet - ont fait obstruction à l'enquête.

    L'avocat en chef pour les litiges Guantanamo - Vijay Padmanabhan - dit que la torture de suspects 9/11 était très répandue. Et Susan J. Crawford, la responsable du Pentagone haute surveillance des commissions militaires à Guantánamo - le nouveau système d'essais pour les suspects de terrorisme qui a été conçu à la suite des attentats du 9/11 - dit Bob Woodward:

    Nous torturés Qahtani. Son traitement correspond à la définition juridique de la torture.

    En effet, quelques-unes des principales sources d'information ont été torturés jusqu'à le point de mourir .

    En outre, le type de torture utilisée par les États-Unis sur les suspects de Guantanamo est d'un type spécial. Le sénateur Levin a révélé que le États-Unis utilisé communistes techniques de torture visant spécifiquement à créer de faux aveux.

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  42. Et selon NBC Nouvelles :

    - Une grande partie du rapport de la Commission 9/11 était basé sur le témoignage de personnes qui ont été torturés
    - Au moins quatre personnes dont les interrogatoires figuré dans le rapport de la Commission 9/11 ont affirmé qu'ils ont dit des informations interrogateurs comme un moyen de cesser d'être "torturé".
    - L'une des principales sources de la Commission de l'information a été torturé jusqu'à ce qu'il accepte de signer des aveux qu'il a été MEME PAS autorisé à lire
    - La Commission 9/11 elle-même doutait de l'exactitude des aveux de torture , et encore gardé leurs doutes se
    Post-scriptum: Ne comptez pas sur les procès devant les commissions militaires de 9/11 suspects à aller au fond de quoi que ce soit ... même ceux qui sont impliqués disent qu'ils sont kangourou spectacle de la cour d'essais .


    http://www.washingtonsblog.com/2014/09/911-commission-chair-declassify-everything.html

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    1. Toutes affaires seront jugées. Jugées 'en temps voulu'. C'est-à-dire après. Quand tout les auteurs sont morts.

      Refaire le procès de Jeanne d'Arc ? Cà été fait. Et après ?

      Il y a une injustice pour certain et une injustice pour d'autres.

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  43. Comment ISIS Ouest a été crée


    ... Avec un peu d'aide de nos amis.
    Par Nafeez Ahmed MintPress Nouvelles
    18 septembre 2014



    Partie 1 - NOS ENNEMIS

    «Il s'agit d'une organisation qui a une vision stratégique apocalyptique de fin de jours qui finira par être vaincu," Gen Martin Dempsey, président de l'US Joint Chiefs of Staff, lors d'une conférence de presse du Pentagone en Août.

    L'action militaire est nécessaire pour enrayer la propagation de l'ISIS / IS "cancer", a déclaré le président Obama. Hier, dans son discours très attendu, il a appelé à des frappes aériennes étendues à travers l'Irak et la Syrie, et de nouvelles mesures pour armer et entraîner des forces terrestres irakiennes et kurdes.

    "La seule façon de vaincre [IS] est de rester ferme et à envoyer un message très simple," a déclaré le Premier ministre Cameron. "Un pays comme le nôtre ne sera pas intimidé par ces tueurs barbares."

    Absent de la chorale de l'indignation, cependant, a été une reconnaissance du rôle fondamental de la secrète des États-Unis et la stratégie britannique de renseignement militaire régionale dans l'autonomisation et même directement parrainer les mêmes militants islamistes virulents en Irak, en Syrie et au-delà, ce qui se passait à briser loin de al-Qaïda et forme ISIS », l'Etat islamique d'Irak et la Syrie, ou tout simplement maintenant, l'État islamique (IS).

    Depuis 2003, la puissance anglo-américaine a secrètement et ouvertement coordonné soutien direct et indirect aux groupes terroristes islamistes liés à Al-Qaïda à travers le Moyen-Orient et Afrique du Nord. Cette géostratégie de patchwork mal conçu est un héritage de l'influence persistante de l'idéologie néo-conservatrice, motivée par des ambitions de longue date, mais souvent contradictoires à dominer les ressources régionales de pétrole, de défendre une expansionniste d'Israël, et à la poursuite de ceux-ci, re-dessiner la carte du Moyen-Orient .

    Maintenant, malgré les dénégations du Pentagone qu'il y aura des bottes sur le terrain - et l'insistance d'Obama que ce ne serait pas une autre "guerre d'Irak" - sources militaires et de renseignement kurdes locales confirment que des États-Unis et en Allemagne des forces d'opérations spéciales sommes déjà «sur le terrain ici. Ils aident à nous soutenir dans l'attaque. "US frappes aériennes sur les positions d'ISIS et de fournitures d'armes aux Kurdes ont également été accompagnée par British vols de reconnaissance de la RAF sur la région et les livraisons d'armes britanniques aux forces de peshmergas kurdes.

    Diviser pour régner en Irak

    «Ce n'est pas que nous ne voulons pas que les salafistes pour lancer des bombes", a déclaré un conseiller de la défense du gouvernement américain ']); "> conseil de défense du gouvernement des États-Unis en 2007 «C'est qui ils les jettent à - le Hezbollah, Moqtada al-Sadr, Iran, et les Syriens, s'ils continuent à travailler avec le Hezbollah et l'Iran. "

    Tôt pendant l'invasion de 2003 et l'occupation de l'Irak, les Etats-Unis secrètement fourni des armes à al-Qaïda insurgés affiliés même tout en soutenant ostensiblement une administration émergente chiite dominée.

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  44. Des sources militaires pakistanais interrogés par Asia Times en Février 2005 a confirmé que les insurgés décrits comme des «anciens du parti Baas" loyalistes - qui étaient recrutés et formés par "al-Qaïda en Irak", sous la direction du regretté Abou Moussab Zarqaoui - étaient en cours armes fourni Pakistan-fabriqué par les États-Unis. Les livraisons d'armes comprenaient des fusils, des lance-grenades propulsées par fusée, de munitions, de roquettes et d'autres armes légères. Ces armes "ne pouvaient pas être destinés à des forces de sécurité irakiennes parce armes américaines seraient donnés à eux", a déclaré une source Syed Saleem Shahzad - le chef du bureau de Times Pakistan qui, "connu pour ses expose de l'armée pakistanaise", selon le New Yorker, a été assassiné en 2011, plutôt, les États-Unis jouent un jeu-doubles à "parer" la menace d'un "mouvement religieux conduit clergé chiite-," a dit la source de la défense pakistanais.

    Ce n'était pas la seule façon de la stratégie américaine a aidé la montée de Zarqaoui, un Ben Laden mentoré et fruit de la l'idéologie extrémiste qui serait plus tard spawn "ISIS".

    Selon un rapport peu connu Novembre pour l'Université US Joint Special Operations (jsou) et le Département d'études stratégiques, divisant nos ennemis , post-invasion de l'Irak était "une étude de cas intéressante d'attiser le mécontentement des ennemis, conduisant à« rouge-against- rouge '[ennemi contre-ennemi] échanges de tirs. "

    Alors que la contre-insurrection d'une part nécessite nous oblige à «améliorer les conditions de vie difficiles ou démunies des populations autochtones» pour gagner les cœurs et les esprits du public locales:

    "... Le revers de la médaille est un moins discuté. Il ne comporte aucun effort pour gagner ceux qui sont pris dans les feux croisés de la guerre de contre-insurrection et les insurgés, que ce soit par balle ou de diffusion. Au contraire, cette face inférieure de la pièce de contre-insurrection est calculé à exploiter ou à créer des divisions entre adversariesfor le but de fomenter ennemi-sur-ennemi affrontements meurtriers ".

    En d'autres termes, les forces américaines vont poursuivre la légitimité publique grâce à la protection sociale conventionnelle tout délégitimer simultanément ennemis locaux par escalade de la violence intra-insurgés, sachant-bien que cela lui permet à son tour une escalade du nombre de civils innocents "pris entre deux feux." Le idée est que la violence secrètement calibré par des opérations spéciales des États-Unis non seulement d'affaiblir les ennemis à travers les luttes intestines mais tourner la population contre eux.

    Dans ce cas, «l'ennemi» est composée de jihadistes, baasistes, et les soufis pacifiques, qui étaient dans la majorité mais, comme les militants, également opposés à la présence militaire des États-Unis et ont donc besoin d'être influencé. Le rapport jsou qualifié les événements de la fin de 2004 à Falloujah où "US guerre psychologique (PSYOP) spécialistes» se sont engagés à cela impliquait effectivement la promotion de l'idéologie d'al-Zarqaoui, ironiquement, pour le vaincre "set insurgés affrontements avec les insurgés.": "Les guerriers de la PSYOP programmes conçus à exploiter activités meurtrières de Zarqawi - et de les diffuser à travers des réunions, des émissions de radio et de télévision, des documents, des articles de journaux, bandes dessinées politiques, et affiches - ainsi diminuer son image folk-héros », et encourager les différentes factions pour ramasser les uns les autres. "En puisant dans les Fallujans de la répulsion et de l'antagonisme à la Zarqawi djihadistes la Force opérationnelle interarmées en opérations psychologiques a fait son préférable de favoriser une faille entre les groupes sunnites."

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  45. Pourtant, comme l'a noté Dahr Jamail, l'un des rares journalistes d'investigation Unembedded en Irak après la guerre, la prolifération de la propagande reliant l'accélération des attentats-suicides à la personnalité de Zarqaoui n'a pas été accompagnée par une preuve significative. Sa propre recherche pour étayer les allégations attribuant une myriade de l'insurrection de Zarqaoui au-delà des sources de renseignement américains anonymes rencontrés qu'une « blancheur inquiétante ".

    L'opération de l'armée américaine à Falloujah, largement justifiée sur la demande que les forces militantes de Zarqawi avaient occupé la ville, utilisé du phosphore blanc, les bombes à sous-munitions, et des frappes aériennes aveugles à pulvériser 36 000 de 50 000 maisons de Falloujah, tuant près d'un millier de civils, terrorisant 300.000 habitants à fuir, et aboutissant à une augmentation disproportionnée des malformations congénitales, des cancers et de la mortalité infantile due aux conséquences environnementales dévastatrices de la guerre.

    À ce jour, Fallujah a souffert d'être largement coupés de large Irak, son infrastructure largement impraticable avec les systèmes d'aqueduc et d'égout toujours en mauvais état, et ses citoyens victimes de discrimination et de persécution sectaire par le gouvernement irakien soutenu par des miliciens chiites et la police. "Des milliers de familles de Falloujah en deuil et sans-abri ont une nouvelle raison de haïr les Etats-Unis et ses alliés", observe The Guardian en 2005, donc, ne l'occupation américaine plante les graines à partir de laquelle l'héritage de Zarkaoui s'uniront pour former le monstre de Frankenstein qui se dit " l'État islamique. "

    Finançant al-Qaïda en Syrie

    Selon l'ancien ministre français des Affaires étrangères Roland Dumas, la Grande-Bretagne avait prévu une action clandestine en Syrie dès 2009: «J'étais en Angleterre deux ans avant la violence en Syrie pour d'autres affaires", a déclaré la télévision française: "J'ai rencontré des représentants britanniques top, qui m'a avoué qu'ils préparaient quelque chose en Syrie. Ce n'était pas en Grande-Bretagne en Amérique. La Grande-Bretagne se préparait à envahir la Syrie hommes armés ".

    E-mails fuite de la société privée de renseignement Stratfor , y compris les notes de la rencontre avec les responsables du Pentagone , a confirmé que dès 2011, des États-Unis et au Royaume-Uni formation des forces spéciales des forces de l'opposition syrienne était bien en cours. L'objectif était d'obtenir «l'effondrement» du régime d'Assad "de l'intérieur."

    Depuis lors, le rôle des Etats du Golfe - à savoir l'Arabie saoudite, le Qatar, le Koweït, les Emirats arabes unis et la Jordanie (ainsi que membre de l'OTAN en Turquie) - dans officiellement et officieusement le financement et la coordination des éléments les plus virulents parmi les rebelles de la Syrie dans le cadre du tutelle de l'intelligence de l'armée américaine n'est pas un secret. Pourtant, la sagesse conventionnelle veut que l'entonnoir de soutien aux extrémistes islamistes dans le mouvement rebelle affilié à Al-Qaïda a été une erreur colossale et regrettable.

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  46. La réalité est très différente. L'autonomisation des factions islamistes au sein de la «Armée syrienne libre» (FSA) était une conclusion avance de la stratégie.

    Dans sa volonté de déposer le colonel Kadhafi en Libye, l'OTAN avait déjà fait alliance avec les rebelles affiliés à la faction d'Al-Qaïda, le Groupe islamique combattant. Le régime libyen résultant soutenu par les États-Unis était à son tour d'assurer la liaison avec les dirigeants de la FSA à Istanbul à fournir de l'argent et des armes lourdes à l'insurrection anti-Assad. Le Département d'Etat même embauché un affilié milice libyenne Al-Qaïda pour fournir la sécurité pour l'ambassade américaine à Benghazi - bien qu'ils avaient des liens avec ceux-là mêmes qui ont attaqué l'ambassade.

    L'année dernière, CNN a confirmé que les fonctionnaires de la CIA opérant secrètement de l'ambassade de Benghazi ont été obligés d'assumer supplémentaires tests polygraphiques de garder enveloppe sous ce Congrès américain suspect était une opération secrète "pour déplacer des missiles sol-air de la Libye, à travers la Turquie , et entre les mains des rebelles syriens ".

    Avec leur centre de commandement et de contrôle basé à Istanbul, en Turquie, les fournitures militaires en provenance d'Arabie saoudite et le Qatar en particulier ont été transportés par les services secrets turcs à la frontière pour l'acquisition de rebelle. agents de la CIA ainsi que des commandos israéliens et jordaniens ont également la formation des rebelles de la FSA sur la jordano frontière syrienne avec l'anti-chars et anti-aériens armes. En outre, d'autres rapports montrent que la Colombie et l'armée française ont également participé à ces programmes de formation secrets. Il semble que les mêmes rebelles FSA recevant cette formation d'élite sont allés directement dans ISIS - le mois dernier un commandant ISIS, Abu Yusaf , a dit: «Beaucoup de gens de la FSA qui a formé l'ouest sont effectivement joindre à nous."

    Le National a ainsi confirmé l'existence d'un autre centre de commandement et de contrôle à Amman, en Jordanie, "composé de fonctionnaires militaires occidentaux et arabes", qui "véhicules canaux, des fusils de sniper, des mortiers, des mitrailleuses lourdes, des armes légères et des munitions à des unités syriennes gratuites Armée . "sources de rebelles et de l'opposition ont décrit le pont d'armes comme" une opération bien gérée composé de fonctionnaires militaires de haut rang de 14 pays, dont les Etats-Unis, les pays européens et arabes des Etats du Golfe, ce dernier fournissant la majeure partie du matériel et un soutien financier aux factions rebelles. "

    Les sources de la FSA interrogés par The National sont allés à la peine de nier que les factions affiliés d'Al-Qaïda ont été impliqués dans le centre de contrôle, ou ne pas recevoir d'aide d'armes. Mais cela est difficile à croire tant que «armes saoudiennes et qataries fourni" ont été canalisés par les rebelles via Amman, à leurs factions favorisées.

    Petites évaluations de l'aide militaire fournie par les alliés des Etats-Unis Arabie saoudite et le Qatar obtenus par le New York Times a montré que "la plupart des armes livrées à la demande de l'Arabie saoudite et le Qatar de fournir des groupes rebelles syriens ... vont HardLine djihadistes islamiques, et pas les groupes les plus laïques de l'opposition que l'Occident veut renforcer ".

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  47. Qu'il n'y ait aucun doute quant à la mesure dans laquelle tout cela aide militaire secrète coordonnée par les États-Unis a servi à soutenir al-Qaïda factions affiliées à la FSA, il est intéressant de noter que plus tôt cette année, le site de renseignement militaire israélien Debkafile - terme par deux correspondants vétérans qui ont couvert le Moyen-Orient pendant 23 ans pour The Economist - a rapporté que: "La Turquie donne des forces rebelles syriens, y compris le Nusra avant al-Qaïda affiliés, passage sur son territoire pour attaquer la zone côtière de la Syrie du nord-ouest autour de Lattaquié . "

    En Août, Debkafile a rapporté que «Les États-Unis, la Jordanie et Israël sont tranquillement soutiennent le sac mixte d'environ 30 factions rebelles syriens", dont certains avaient juste "pris le contrôle de la partie syrienne du passage de Quneitra, le seul point de passage entre Israël et Golan syrien. "Cependant, Debkafile a noté,« des éléments d'Al-Qaïda ont imprégné toutes les factions. "Israël a fourni un soutien limité à ces rebelles sous la forme de« soins médicaux », ainsi que« des armes, de l'intelligence et de la nourriture ...

    "Israël a agi en tant que membre, avec les États-Unis et la Jordanie, d'un système de soutien aux groupes rebelles qui combattent dans le sud de la Syrie. Leurs efforts sont coordonnés par une salle de guerre que le Pentagone a créé l'an dernier près d'Amman. Les officiers, jordaniens et israéliens américains qui tenaient le centre déterminer en consultation qui factions rebelles sont fournis avec des renforts en provenance des camps de formation spéciaux pour exécuter les rebelles syriens en Jordanie, et qui recevront les bras. Les trois gouvernements comprennent parfaitement que, malgré toutes leurs précautions, une partie de leur aide militaire est lié à percoler à bras syrien d'al-Qaïda, Jabhat Al-Nusra, qui se bat dans les rangs rebelles. Ni Washington ou Jérusalem ou Amman seraient à l'aise en admettant qu'ils sont en train de s'armer Nusra Front al-Qaïda dans le sud de la Syrie ".

    Ce soutien s'est également rendu à ISIS. Bien que celui-ci a été fondée à l'origine en Irak en Octobre 2006, en 2013 le groupe avait considérablement élargi ses activités en Syrie travaillant aux côtés d'al-Qaïda al-Nusra jusqu'en Février 2014, quand ISIS a été officiellement dénoncée par al-Qaïda. Même si, experts sur les groupes islamistes de la région soulignent que le fossé présumé entre al-Nusra et ISIS, bien que réels, n'est pas aussi lourd qu'on pourrait l'espérer, constituant une simple différence de tactique plutôt que l'idéologie fondamentale.

    Officiellement, le soutien financier du gouvernement américain pour la FSA passe par l'entité Washington DC, le Groupe de soutien syrien (SSG), Groupe de soutien syrien (SSG ), qui a été constituée en Avril 2012 Le SSG est autorisé par le département du Trésor des États-Unis à "l'exportation , la réexportation, la vente ou la fourniture à l'armée syrienne libre («FSA») financiers, les communications, la logistique et d'autres services seraient par ailleurs interdites par le décret exécutif 13582 afin de soutenir la FSA. "

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  48. À la mi-2013, l'administration Obama a intensifié son appui aux rebelles avec un nouveau décret annonce inverser sa politique antérieure des États-Unis de limiter le soutien direct aux seuls équipements non létaux. Comme auparavant, l'ordre aurait pour but de fournir des armes aux forces strictement «modérés» de la FSA.

    Sauf les procédures de contrôle du gouvernement de bloquer les extrémistes islamistes de recevoir armes américaines n'ont jamais travaillé.

    Un an plus tard, Mother Jones a constaté que le gouvernement américain a "peu de surveillance pour savoir si approvisionnements américains sont en proie à la corruption - ou dans les mains d'extrémistes", ". trop de bonne foi» et s'appuie le gouvernement américain conserve la trace des rebelles recevoir une aide uniquement par «recettes manuscrites fournies par les commandants rebelles sur le terrain," et le jugement de ses alliés. Pays soutenir les rebelles - la même qui ont le pouvoir d'al-Qaïda affiliée islamistes - «font des vérifications de la livraison de fournitures létales et non létales."

    Ainsi, avec les pays du Golfe encore la barque sur le terrain, il n'est pas surprenant que de Septembre l'année dernière, onze groupes rebelles importants se sont éloignés de la direction de l'opposition «modérée» et se sont alliés à Al-Qaïda.

    Par sa propre estimation prudente de la SSG, autant que 15% des combattants rebelles sont des islamistes affiliés à Al-Qaïda, soit par la faction Jabhut al-Nusra, ou son groupe d'échappés ISIS. Mais en privé, des responsables du Pentagone estiment que «plus de 50%" de la FSA est composé d'extrémistes islamistes, et selon des sources rebelles ni chef FSA Gen Salim Idris ni ses principaux collaborateurs se livrent à beaucoup vetting, des décisions sur lesquelles sont faites généralement par les autorités locales commandants.


    Partie 2 - LA GUERRE LONG

    Suivez l'argent

    Les rapports des médias suivants conquête ISIS de grande partie du nord et du centre de l'Irak cet été ont peint le groupe en tant que super-efficace, auto-financé, organisation la plus terroriste du monde qui a été en mesure de se consolider exclusivement par une vaste pillage des banques et des fonds de l'Irak de les ventes de pétrole sur le marché noir. Une grande partie de ce récit, cependant, a provenant de sources douteuses, et vis à vis des détails troublants.

    Une source anonyme a déclaré à l'intelligence correspondant gardien Martin Chulov , par exemple, que plus de 160 bâtons ordinateur flash obtenus à partir d'un repaire ISIS a révélé des informations sur les finances ISIS »qui était complètement nouveau pour la communauté du renseignement.

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  49. "Avant de Mossoul, de leur trésorerie et les actifs étaient 875m $ [515m €]», a déclaré l'officiel sur les fonds obtenus en grande partie par l'intermédiaire de "flux de trésorerie massifs des champs pétrolifères de l'est de la Syrie, qui avait réquisitionné à la fin de 2012» Par la suite, "avec . l'argent qu'ils ont volé des banques et la valeur des fournitures militaires, ils ont pillé, ils pourraient ajouter un autre 1,5 milliard de dollars pour que «La poussée du récit provenant de sources de renseignement était simple:" Ils ont fait tout cela eux-mêmes. Il n'y avait pas d'Etat du tout acteur derrière eux, que nous avions depuis longtemps. Ils n'en ont pas besoin ".

    «ISIS» d'un demi-milliard de dollars vol de banque rend groupe terroriste le plus riche du monde », selon le Telegraph, ajoutant que le chiffre ne comprenait pas supplémentaire lingots d'or volés, et des millions d'autres attrapé par les banques" dans la région. "

    Cette histoire de la banque prodigieuse frénésie de pillage ISIS »à travers l'Irak a fait les manchettes mondiales, mais s'est avéré être la désinformation. Fonctionnaires et banquiers irakiens seniors ont confirmé que les banques en Irak, y compris Mossoul où ISIS soi-disant volé 430 millions de dollars avaient été confrontés à aucune agression, rester ouvert, et sont gardés par leurs propres forces de sécurité privées.

    Comment l'histoire est-elle née ? L'une de ses principales sources était parlementaire irakien Ahmed Chalabi - le même homme qui, sous l'aile de son «Congrès national irakien» colporté de faux renseignements à propos de Saddam Hussein des armes de destruction massive et des liens avec al-Qaïda.

    En Juin, Chalabi a rencontré l'ambassadeur américain en Irak, Robert Beecroft, et Brett McGurk, vice-secrétaire adjoint du Département d'Etat de l'Etat pour l'Irak et l'Iran. Selon des sources citées par Buzzfeed en Juin, Beecroft "a rencontré Chalabi pendant des mois et a dîné à sa maison à Bagdad."

    Suivez l'huile

    Mais tout ISIS a clairement obtenu un financement des bailleurs de fonds dans les pays du Golfe, la plupart de ses combattants ayant rompu avec les groupes affiliés plus traditionnels d'Al-Qaïda comme Jabhut al-Nusra, il a également réussi à tirer parti de son contrôle sur les champs pétroliers syriens et irakiens.

    En Janvier, le New York Times a rapporté que «les rebelles islamistes et les groupes extrémistes ont pris le contrôle de la plupart des ressources pétrolières et gazières de la Syrie", le renforcement de «la fortune de l'Etat islamique d'Irak et la Syrie, ou ISIS, et le Front Nusra, à la fois qui sont des ramifications d'Al-Qaïda. "Al-Qaïda rebelles affiliés avaient" pris le contrôle des champs de pétrole et de gaz dispersés à travers le nord et l'est du pays », tandis que les plus modérés" groupes rebelles soutenus par l'Occident ne semblent pas être impliqués dans le commerce du pétrole, en grande partie parce qu'ils n'ont pas pris le relais des gisements de pétrole ".

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  50. Pourtant, l'ouest a directement aidé ces groupes islamistes dans leurs efforts pour opérationnaliser les champs de pétrole de la Syrie. En Avril 2013, par exemple, le Times a noté que les rebelles d'Al-Qaïda avaient repris les principales régions de la Syrie: "la main de Nusra est ressenti plus fortement à Alep", où la filiale d'Al-Qaïda avait établi en coordination avec d'autres groupes rebelles , y compris ISIS "une Commission charia" running ", un corps de police et un tribunal islamique qui prononce des phrases qui ont inclus des saisines." combattants d'Al-Qaïda a également "contrôlent la centrale et distribuer de la farine pour garder les boulangeries de la ville en cours d'exécution." En outre, ils "ont saisi les champs de pétrole du gouvernement "dans les provinces de Deir al-Zour et Hasaka, et maintenant faire un« profit brut de l'qu'ils produisent. "

    Perdu dans le brouillard de battage médiatique a été le fait déconcertant que ces opérations de pain de rebelle et d'huile d'Al-Qaïda à Alep, Deir al-Zour et Hasaka ont été directement et indirectement soutenus par les Etats-Unis et l'Union européenne (UE). Un compte par le Washington Post , par exemple, fait référence à une mission furtive à Alep "pour livrer de la nourriture et d'autres aides pour les Syriens dans le besoin - tout cela payé par le gouvernement américain", y compris la fourniture de farine. "La boulangerie est entièrement fourni avec la farine payé par les Etats-Unis," la mission continue, notant que les consommateurs locaux, cependant, «crédité Jabhat al-Nusra - un groupe rebelle aux États-Unis a désigné comme une organisation terroriste en raison de ses liens avec Al-Qaïda - de fournir de la farine pour la région, mais il a admis qu'il n'était pas sûr d'où il vient ".

    Et dans le même mois que le contrôle d'al-Qaïda principales régions productrices de pétrole de la Syrie à Deir al-Zour et Hasaka a été confirmé, l'UE a voté pour soulager un embargo pétrolier sur la Syrie pour permettre à l'huile pour être vendus sur les marchés internationaux de ces très al-Qaïda champs de pétrole contrôlés. Les entreprises européennes seraient autorisés à acheter du pétrole brut et de produits pétroliers à partir de ces zones, bien que les transactions seraient approuvés par la Coalition nationale syrienne. En raison de l'infrastructure endommagée, l'huile serait transporté par camion par la route vers la Turquie où se trouvent les raffineries les plus proches.

    "La conclusion logique de cette folie est que l'Europe sera le financement d'Al-Qaïda", a déclaré Joshua Landis ']); "> Joshua Landis, un expert en Syrie à l'Université de l'Oklahoma.

    Deux mois plus tard, un ancien membre du personnel senior au Groupe de soutien Syrie à Washington, David Falt, fuite SSG internes courriels confirmant que le groupe était «obsédé» par le courtage "jackpot" offres de pétrole pour le compte de la FSA pour le pétrole rebelle terme de la Syrie régions.

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  51. "L'idée qu'ils pourraient soulever des centaines de millions de la vente de l'huile en vint à dominer le travail de la SGS au point pas vraiment attention a été accordée à la nature du conflit", a déclaré Falt, se référant en particulier au directeur de SSG Brian Neill Sayers, qui avant son rôle de SSG a travaillé avec la Division des opérations de l'OTAN. Leur but était d'amasser des fonds pour les rebelles en vendant les droits à pétrole syrien.

    Complicité tacite dans la contrebande de pétrole

    Même si les combattants d'Al-Qaïda décident de plus en plus à se joindre à IS, la production de pétrole sur le marché noir et l'exportation des infrastructures ad hoc mis en place par les groupes islamistes en Syrie a continué à fonctionner avec, paraît-il, le soutien tacite des puissances régionales et occidentales.

    Selon Ali Ediboglu , un député turc pour la province frontalière de Hatay, IS est la vente de la majeure partie de son pétrole des régions en Syrie et à Mossoul en Irak via la Turquie, avec le consentement tacite des autorités turques: «Ils ont posé des tuyaux de villages près de la frontière turque à Hatay. Tuyaux similaires existent également au [les régions frontalières turques de] Kilis, Urfa et Gaziantep. Ils transfèrent à l'huile de la Turquie et Parlay en espèces. Ils prennent l'huile dans les raffineries à un coût nul. En utilisant des moyens primitifs, ils affinent l'huile dans les zones proches de la frontière turque et vendent ensuite via la Turquie. C'est une valeur de 800 millions de dollars. "Il a également noté que l'ampleur de ce problème et des opérations indique complicité officielle turque. "Des combattants de l'Europe, la Russie, les pays d'Asie et en Tchétchénie vont en grand nombre à la fois à la Syrie et l'Irak, en traversant de territoire turc. Il ya des informations que au moins 1000 ressortissants turcs aident les combattants étrangers s'infiltrent en Syrie et en Irak pour rejoindre ISIS. L'Organisation nationale de renseignement (MIT) serait impliqué. Rien de tout cela ne peut se produire à l'insu du MIT ".

    De même, il existe des preuves que les autorités de la région kurde de l'Irak se tournent également vers les yeux sur la contrebande de pétrole. En Juillet, les responsables irakiens ont dit que IS avait commencé à vendre l'huile extraite de la province septentrionale de Salahuddin. Un fonctionnaire a fait remarquer que «les forces de peshmergas kurdes arrêtés la vente du pétrole au début, mais plus tard a permis pétroliers de transférer et de vendre du pétrole."

    Etat de droit coalition MP Alia Nasseef a également accusé le gouvernement régional du Kurdistan (KRG) de négociation secrètement huile avec IS: «Ce qui se passe montre l'étendue de la conspiration massive contre l'Irak par les politiciens kurdes ... La vente [illégale] du pétrole irakien à ISIS ou quelqu'un d'autre est quelque chose qui ne nous surprend pas. "Bien que les responsables kurdes ont rejeté catégoriquement ces accusations, des sources bien informées ont déclaré au quotidien arabe Asharq Al-Awsat que le brut irakien capturé par ISIS a été "vendu aux commerçants kurdes dans les régions frontalières chevauchant l'Irak , l'Iran et la Syrie, et a été expédiées au Pakistan, où il a été vendu »pour moins de la moitié de son prix d'origine."

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  52. Une déclaration officielle en Août du ministère irakien du pétrole a averti que toute huile non sanctionné par Bagdad pourrait inclure brut contrebande illégale de l'IS:

    "Acheteurs internationaux [de pétrole brut] et d'autres participants au marché doivent être conscients que les exportations de pétrole réalisées sans l'autorisation du Ministère du pétrole peuvent contenir le pétrole brut provenant de gisements sous le contrôle de [ISIS]."

    "Des pays comme la Turquie ont fermé les yeux à la pratique" de la contrebande de pétrole, a déclaré Luay al-Khatib , un garçon à la Brookings Doha Center, "et la pression internationale doit être monté de fermer les marchés noirs dans sa région du sud." Jusqu'à présent, il n'y a pas une telle pression. Entre-temps, la contrebande de pétrole se poursuit, avec des observateurs à l'intérieur et hors de la Turquie en notant que le gouvernement turc est tacitement permet doit s'épanouir comme il préfère les rebelles au régime Assad.

    Selon l'ancien ministre du pétrole irakien Isam al-Jalabi, «La Turquie est le grand gagnant de commerce de contrebande de pétrole de l'Etat islamique." Les opérateurs et les compagnies pétrolières sont en jeu, a t-il dit, que les bas prix permettant de profits "massives" pour les pays faciliter la contrebande.

    Acheter huile ISIS ?

    Au début du mois dernier, un navire-citerne transportant plus d'un million de barils de pétrole brut de la région kurde du nord de l'Irak est arrivé dans le golfe du Mexique au Texas. L'huile a été affiné dans la région kurde irakienne avant d'être pompée à travers un nouveau pipeline de la région de l'ARK se retrouver à Ceyhan, en Turquie, où il a ensuite été chargé sur le camion-citerne pour l'expédition aux États-Unis. Les efforts de Bagdad pour mettre fin à la vente de l'huile sur la base de sa juridiction nationale ayant été repoussées par les tribunaux américains.

    Au début de Septembre, l'ambassadeur de l'Union européenne pour l'Iraq, Jana Hybášková, a déclaré à la commission des affaires étrangères de l'UE que «plusieurs États membres de l'UE ont acheté l'huile de l'Etat islamique (IS, anciennement ISIS) organisation terroriste qui a été la conquête brutale de grandes parties de l'Irak et la Syrie ", selon Israël Nouvelles nationales. Elle a cependant "refusé de divulguer les noms des pays en dépit d'être demandé à de nombreuses reprises."

    Un troisième point final pour le brut de l'ARK cet été, une fois de plus livré via le port de la Turquie de Ceyhan, était le port sud-ouest d'Israël de Ashkelon . Ce n'est pas si nouvelles. En mai, Reuters a révélé que les raffineries de pétrole américaines et israéliennes ont été régulièrement achètent et l'importation de pétrole contestée de l'ARK.

    Pendant ce temps, que ce triangle de livraisons de pétrole cachées par lesquelles ISIS brut semble être inextricable devient plus établi, la Turquie a de plus en plus exigé que les États-Unis appliquons des mesures formelles pour lever les obstacles à la vente de pétrole kurde vers les marchés mondiaux. L'ARK prévoit d'exporter autant que 1 million de barils de pétrole par jour d'ici l'année prochaine grâce à son pipeline à la Turquie.

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  53. L'oléoduc Kirkouk-Ceyhan: le Kurdistan irakien seul pouvait contenir jusqu'à 45 milliards de barils de pétrole, ce qui permet l'exportation de jusqu'à 4 millions de barils par jour dans la prochaine décennie si elle est introduite avec succès à la production.

    Parmi les nombreuses entreprises pétrolières et gazières actives dans la capitale de l'ARK, Erbil, sont ExxonMobil et Chevron. Ils forent dans la région de pétrole en vertu de contrats de l'ARK, que les opérations ont été interrompues en raison de la crise. Pas étonnant que Steve Coll écrit dans le New Yorker que l'air des grèves d'Obama et des fournitures d'armes aux Kurdes - notamment pas à Bagdad - montant effectivement à «la défense de l'état de l'huile kurde non déclaré dont les sources d'appel géopolitique - comme à long terme, non fournisseur -Russe de pétrole et de gaz vers l'Europe, par exemple - sont mieux ne parle pas de gens de bonne compagnie ou naïf "Les Kurdes sont maintenant occupés à travailler pour" "leur quadruple. capacité d'exportation , alors que la politique des États-Unis a de plus en plus déplacé vers autoriser les exportations kurdes - un développement qui aurait d'importantes conséquences pour l'intégrité territoriale nationale de l'Irak.

    Pour être sûr, que l'offensive contre EST rampes jusqu'à, les Kurdes sont maintenant craquage sélectif vers le bas sur la contrebande efforts - mais les mesures sont trop peu, trop tard.

    Une nouvelle carte

    La troisième guerre en Irak a commencé. Avec elle, néo-conservateur de longue date rêve de partitionner l'Irak en trois le long de lignes ethniques et religieuses ont été ressuscités.

    Responsables de la Maison Blanche estiment maintenant que la lutte contre «État islamique» de la région va durer des années, et peut survivre l'administration Obama. Mais cette vision «longue guerre» remonte à idées nébuleuses officiellement présentés à la fin analyste RAND Corp Laurent Muraweic avant du Pentagone Defense Policy Board, à l'invitation du président d'alors Richard Perle. Cette présentation décrit l'Irak comme un «pivot tactique» par qui de transformer le Moyen-Orient élargi.

    Brian Whitaker, ancien rédacteur en chef Gardien Moyen-Orient, à juste titre, fait remarquer que la stratégie Perle-RAND a puisé son inspiration à partir d'un rapport de 1996 publié par l'Institut israélien pour Advanced Strategic et études politiques, co-écrit par Perle et d'autres néoconservateurs qui occupent des postes importants dans le poste -9/11 administration Bush.

    Le document d'orientation a préconisé une stratégie qui porte la ressemblance saisissante au chaos qui se déroule dans le sillage de l'expansion de «l'Etat islamique» - Israël "façonner son environnement stratégique" en protégeant d'abord la chute de Saddam Hussein. "La Jordanie et la Turquie former un axe avec Israël pour affaiblir et« faire reculer la Syrie. "Cet axe serait tenter d'affaiblir l'influence du Liban, de la Syrie et de l'Iran par" sevrage "de leurs populations chiites. Pour réussir, Israël aurait besoin de gagner le soutien des États-Unis, qui serait obtenue par Benjamin Netanyahu formulation de la stratégie »dans le langage familier aux Américains en puisant dans les thèmes des administrations américaines durant la guerre froide."

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  54. Le plan Perle-RAND 2002 a été active à la réflexion stratégique de l'administration Bush sur l'Irak peu avant la guerre de 2003. Selon la société américaine privée de renseignement Stratfor , à la fin de 2002, puis vice-président Dick Cheney et le secrétaire adjoint à la Défense Paul Wolfowitz avait co-auteur d'un régime en vertu duquel l'Irak à majorité sunnite central se joindra à la Jordanie; les régions du nord kurde deviendrait un État autonome; tout devient distincte de la région du sud chiite.

    Les avantages stratégiques d'une partition Irak, Stratfor ont soutenu, axé sur le contrôle des États-Unis du pétrole:

    "Après avoir éliminé l'Irak comme un Etat souverain, il n'y aurait pas peur qu'un jour un gouvernement anti-américain serait arrivé au pouvoir à Bagdad, la capitale serait à Amman [Jordanie]. Ennemis géopolitiques actuels et potentiels des États-Unis Iran, l'Arabie saoudite et la Syrie seraient isolés les uns des autres, avec de gros morceaux de terre entre eux sous le contrôle des forces pro-américaines.

    Tout aussi important, Washington serait en mesure de justifier son à long terme et une forte présence militaire dans la région comme nécessaire pour la défense d'un jeune nouvel Etat demandant la protection des États-Unis - et d'assurer la stabilité des marchés et des produits pétroliers. Qui à son tour aider les Etats-Unis de prendre le contrôle direct de pétrole irakien et remplacer le pétrole saoudien en cas de conflit avec Riyad ".

    L'expansion de la «Etat islamique» a fourni un prétexte pour les contours fondamentaux de ce scénario de se dérouler, avec les Etats-Unis et de la Colombie cherche à rétablir une présence militaire à long terme en Irak au nom de la «défense d'un jeune nouvel Etat ".

    En 2006, le successeur de Cheney, Joe Biden, a également indiqué son soutien à la « partition douce »de l'Irak le long des lignes ethno-religieux - une position qui le co-auteur du plan Biden-Irak, Leslie Gelb du Conseil sur les relations étrangères, soutient maintenant est "la seule solution" à la crise actuelle.

    Toujours en 2006, le Armed Forces Journal a publié une carte du Moyen-Orient avec ses frontières complètement re-dessiné, avec la permission du lieutenant-colonel (à la retraite). Ralph Peters, qui avait déjà été affecté au Bureau du sous-chef d'état-major pour le renseignement où il était responsable de la guerre du futur. En ce qui concerne les objectifs de ce plan, en dehors de la «sécurité contre le terrorisme" et "la perspective de la démocratie», Peters a également mentionné "l'accès à l'approvisionnement en pétrole dans une région qui est destiné à se battre."

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  55. - voir carte sur site -

    En 2008, la stratégie a refait surface - une fois de plus par la RAND Corp - à travers un rapport financé par le Commandement de l'entraînement et de la doctrine de l'armée américaine sur la façon de poursuivre la «longue guerre». Parmi ses stratégies, un scénario préconisé par le rapport était «Diviser pour régner» qui impliquerait:

    "... L'exploitation de lignes de faille entre les différents groupes salafistes jihadistes-les tourner les uns contre les autres et dissiper leur énergie sur les conflits internes."

    Simultanément, le rapport suggère que les États-Unis pourrait favoriser les conflits entre les salafistes djihadistes-et militants chiites par:

    "... Étayage les régimes sunnites traditionnels ... comme un moyen de contenir la puissance iranienne et de l'influence au Moyen-Orient et du golfe Persique."

    D'une façon ou une autre, un semblant de ce plan est en mouvement. La semaine dernière, le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Leiberman dit secrétaire d'Etat américain John Kerry:

    "L'Irak se désagrège sous nos yeux et il semblerait que la création d'un Etat kurde indépendant est une fatalité."

    La montée de la «Etat islamique» n'est pas seulement une conséquence directe de cette vision néo-conservatrice, parce que lié à une stratégie d'opérations secrètes dangereux qui a vu Al-Qaïda lié terroristes comme un outil pour influencer les populations locales - il a à son tour offert un prétexte pour le lancement d'une nouvelle ère de la guerre sans fin, le spectre d'une présence militaire américaine dirigée prolongée dans la région du golfe Persique riche en énergie, et un retour à la tentation impériale dangereux pour reconfigurer l'ordre régional plus large.

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    Reproduit avec la permission de MintPress Nouvelles .

    http://www.lewrockwell.com/2014/09/no_author/how-the-west-created-isis/

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  56. Porochenko nous pousse à offrir à l'Ukraine "matériel militaire létal»

    18 Septembre, 2014 14:48



    Le Président Petro Porochenko a demandé à l'OTAN de lui donner l'état de sécurité "spéciale" à l'Ukraine. S'adressant au Congrès américain, il a demandé à Washington de fournir Kiev avec "matériel militaire plus, létale et non létale" à "maintenir la paix" dans l'Est de son pays.

    Alors que le président Barack Obama a promis auparavant que l'aide non létale à Kiev, comme les gilets et les casques pare-balles, Porochenko a déclaré que cela ne suffira pas.

    " Les couvertures et les lunettes de vision nocturne sont importantes, mais on ne peut pas gagner la guerre avec des couvertures. Vous ne pouvez pas maintenir la paix avec une couverture, "a t-il dit, ajoutant que l'Ukraine a besoin de toute urgence" des équipements plus militaire, à la fois mortelle et non mortelle. "

    Comme sa déclaration a suscité des applaudissements de l'auditoire, le dirigeant ukrainien a lancé un appel à l'OTAN pour des liens plus étroits.

    « J'encourage fortement les Etats-Unis à donner à l'Ukraine un titre spécial et le statut de la défense qui reflètent le plus haut niveau d'interaction avec un allié non-OTAN ", a t-il dit.

    La Russie a mis en garde que les progrès de l'OTAN vers l'est et l'Ukraine, dont le bloc militaire considère comme un membre potentiel, va déclencher une forte réaction.

    «Nous allons réagir à l'OTAN accumulation ! Principaux extraits Poutine de l'adresse de la politique de défense

    Porochenko a accusé la Russie d'avoir une «mentalité impériale" et "la nostalgie de l'Union soviétique», faisant référence à l'échappée de la Crimée et le soutien présumé de la Russie de rebelles dans l'est de l'Ukraine.

    " Je vous exhorte à ne pas laisser l'Ukraine autonome face à cette agression ", at-il dit, rappelant également des événements dans les régions séparatistes de l'extérieur de la Géorgie de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud en 2008 ainsi que le conflit militaire 1992 en Moldavie, qui a abouti à Transnistrie proclamer unilatéralement son indépendance.

    Il a ensuite appelé un coup parallèle avec Israël:

    " Tout comme Israël, l'Ukraine a le droit de défendre son territoire, et le faire avec tout le courage dans son cœur et de dévouement dans son âme. "

    L'Ukraine a été englouti dans un violent conflit interne depuis Avril, quand l'armée de Kiev a commencé sa répression sur les régions du sud-est du pays.

    (suite en dessous:)

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  57. Selon les estimations des Nations Unies, plus de 2249 personnes ont été tuées à ce jour et plus de 6033 blessés dans les combats dans l'est de l'Ukraine. Le nombre d'Ukrainiens déplacées a atteint 260 000, avec un autre 814 000 ont trouvé refuge en Russie.

    Mis à part demander de l'aide militaire, Porochenko a appelé les Etats-Unis à continuer sa pression économique sur la Russie.

    " Et je demande aussi que les États-Unis plus de fermeté et de poursuivre son principe à l'égard de nouvelles sanctions contre l'agresseur. sanctions économiques sont importantes pour de nombreuses raisons. Ils permettent de distinguer entre le bien et le mal. Ils nous aident à défendre et tenir le moral hauteurs et ne pas sombrer dans l'indifférence, le dégoût et le pragmatisme ", a déclaré le président ukrainien.

    Pendant ce temps, les États-Unis ont promis 53 millions de dollars de nouvelles aides à l'Ukraine. La nouvelle aide comprendrait 46 M $ de renforcer la sécurité de l'Ukraine dans le conflit dans l'est de l'Ukraine et 7 millions de dollars en aide humanitaire.

    Président de l'Ukraine Porochenko adressé au Congrès des États-Unis quand il est arrivé à Washington DC le jeudi matin. Il est également prévu de rencontrer le président Barack Obama plus tard. Sa visite aux Etats-Unis a été précédée par un voyage similaire au Canada.

    http://rt.com/news/188808-poroshenko-usa-nato-lethal/

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  58. Pentagone surveillance accrue pour éviter une autre fuite Snowden style


    18 Septembre, 2014 17:55


    Dans la foulée de deux des plus grandes violations de renseignement de l'histoire américaine, le Pentagone prévoit auraient à déployer de nouvelles règles obligeant les entrepreneurs militaires pour surveiller plus strictement les activités des employés qui travaillent avec des matériaux sensibles.

    Bien que les fuites de renseignement attribués à l'armée américaine privée Chelsea Manning et ancien entrepreneur Edward Snowden ont déjà engendré des changements importants dans la façon dont l'information sensible est perçu et partagé par les travailleurs d'avoir accès à des données classifiées, Joseph marques de Politico a rapporté cette semaine que le Pentagone prévoit de mettre en place de nouveaux mécanismes visant à diminuer les chances d'une autre violation majeure de sitôt.

    Selon les marques, le Pentagone dans les prochains mois nécessite que les entrepreneurs ayant accès à des informations hautement classifiées être sous la surveillance constante lors de leur inscription sur les réseaux publics.

    Alors que les violations Manning et Snowden ont déjà chacun fait le ministère de la Défense et de la communauté du renseignement en général de modifier la façon dont ils gèrent les secrets du pays, Marks a signalé que les nouvelles règles obligeront ces types de travailleurs à surveiller comme jamais auparavant.

    "Informations relatives à la navigation des employés sur ces réseaux sera combiné avec des outils d'analyse de données pour repérer les comportements suspects comme un analyste du Moyen-Orient à fouiller dans les documents de renseignements relatifs à la Chine ou la Russie ou un employé l'accès aux documents à des heures inhabituelles," Marks a écrit le mercredi cette semaine. "Le nouveau régime de surveillance est conçu pour donner aux entrepreneurs les alertes précoces que l'un de leurs employés peuvent être de voler des informations classifiées soit à fuir au public comme Snowden et Pvt. Chelsea Manning fait ou de passer à un gouvernement étranger ".

    Snowden, 31, a travaillé pour l'entrepreneur de l'intelligence Booz Allen Hamilton avant de quitter les États-Unis à la mi-2013, mais pas avant de fournir aux journalistes une mine de documents classifiés concernant les programmes de surveillance de l'Agence nationale de sécurité et les opérations similaires menées par les pays alliés - dont les Etats-Unis gouvernement a lui accusé d'espionnage , entre autres infractions. En quelques semaines de la première fuite Snowden que Juin, prvt. Manning, maintenant 26, a été condamné à 35 ans de prison pour fournir de l'organisation anti-secret WikiLeaks avec une collection de dossiers classifiés, y compris les rapports de terrain des guerres en Afghanistan et en Irak, les détails sur les détenus de Guantanamo et des centaines de milliers de Département d'Etat câbles diplomatiques, dérobés pendant qu'il travaillait comme analyste du renseignement de l'armée.

    (suite en dessous:)

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  59. Dans chaque cas, Snowden et les rôles de Manning entre eux doivent travailler en étroite collaboration avec le matériel sensible.

    "C'est une sorte de brillant, si vous lui êtes," National Public Radio a cité un responsable du gouvernement anonyme disant de Snowden l'année dernière. "Son travail consistait à faire ce qu'il a fait. Il n'était pas un fantôme. Il n'était pas intelligent. Il a fait son travail. Il a été observé [documents] en mouvement, mais c'était son travail ".

    De la part de Manning, un ancien supérieur a témoigné lors d'une audience préliminaire en 2011 que le soldat "avait une meilleure compréhension de l'un des autres analystes."

    Afin d'éviter d'autres experts du renseignement qualifiés d'utiliser leur accès à embarrasser les Etats-Unis encore, Marks a indiqué que les travailleurs vont bientôt être avertis que leurs habitudes informatiques seront suivis et mis à la disposition des enquêteurs dans le cas où ils commencent à être soupçonné d'activités criminelles .

    "Les entrepreneurs concernés seront tenus de signer un formulaire attestant leur navigation sur les réseaux classifiés est soumis à une surveillance et que des registres de navigation qui pourraient être utilisées contre eux dans un procès pénal ou de l'action administrative, "a rapporté marques, citant le porte-parole du Pentagone Marine Cmdr. Amy Derrick-Frost. En outre, les marques rapporté, Derrick-Frost a dit que les employés ont souscrit à des réseaux sensibles seront accueillis avec des bannières personnalisées pour leur rappeler que tous navigation sera soumise à une surveillance.

    Selon Mike Gelles, un directeur chez Deloitte Consulting et ancien psychologue en chef de la Naval Criminal Investigative Service, certains entrepreneurs ont déjà mis en œuvre des changements similaires.

    «Je crois fermement que beaucoup d'entre eux le font parce qu'ils veulent se positionner pour être en conformité avec toutes les exigences que peut descendre, "at-il dit Politico. "Dans le même temps, ils veulent être en mesure de protéger les leurs actifs et leur réputation. "

    Le jeudi cette semaine, directeur du renseignement national américain James Clapper dit une audience à Washington, DC que " le vol et la fuite de documents de la NSA et la perte des capacités de collecte associée "est l'un des quatre principaux facteurs responsables pour ce qu'il a appelé une « tempête parfaite »qui est l'érosion de la capacité de la communauté du renseignement de collecter des informations à des fins de sécurité nationale.

    http://rt.com/usa/188824-pentagon-intelligence-monitoring-leak/

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  60. Thomas l'incrédule: UK Archevêque pas sûr de l'existence de Dieu


    18 Septembre, 2014 16:26



    «L'ecclésiastique le plus haut de Grande-Bretagne a déclaré que la réflexion sur les injustices mondiales lui a fait remettre en question l'existence de Dieu.

    Archevêque de Cantorbéry Justin Welby a admis devant un petit auditoire public Bristol qu'il «fréquemment posées» si Dieu existait vraiment, et si "il devrait faire quelque chose» à propos de situations difficiles.

    Interrogé pour savoir s'il n'a jamais douté de sa croyance par un journaliste de la BBC, l'archevêque a dit qu'il a fait le christianisme question à la fois.

    "Oui. Je fais. Dans beaucoup de façons différentes en réalité. C'est une très bonne question. Cela signifie que je dois penser à ce que je vais dire. Oui je fais», dit-il.

    Il a cité que son introspection est venu pendant ses courses autour de Lambeth Palace, où sont basés l'archevêque et de son personnel.

    Welby, qui représente plus de 80 millions de chrétiens anglicans, a déclaré à l'auditoire que parfois il a demandé à Dieu "... est-il pas temps que vous avez fait quelque chose, si vous êtes là ?"

    L'archevêque, cependant, a repoussé toutes les idées qu'il peut être abandonnait sa foi en l'avenir.

    Alors il a dit que les chrétiens seraient incapables d'expliquer le problème de la souffrance, il a affirmé l'idée que Dieu était présent dans les bons et les mauvais moments.

    Il ne s'agit pas de sentiments, c'est sur le fait que Dieu est fidèle et la chose extraordinaire d'être un chrétien, c'est que Dieu est fidèle quand nous ne sommes pas ", at-il dit à l'auditoire.

    Quand on lui demande ce qu'il fait quand la vie devient difficile, il dit à l'auditoire: «Je continue et appeler à Jésus de m'aider, et il me ramasse."

    Welby est le premier archevêque à admettre ouvertement de son interrogatoire du divin, en contraste avec d'autres figures de proue religieux dans la communauté chrétienne.

    Les commentaires sont également à un moment où le christianisme est en baisse à un rythme rapide. Selon le dernier sondage de recensement du Royaume-Uni en 2011, le nombre de personnes qui s'identifient comme chrétien a chuté de 4,1 millions de personnes - soit une baisse de plus de 10 pour cent.

    En revanche, le Royaume-Uni connaît un énorme disque dans le nombre de personnes qui s'identifient comme musulmans, en particulier chez les jeunes. Selon le recensement, les personnes autour d'un sur dix se sont identifiés à la foi islamique.

    http://rt.com/uk/188816-bishop-welby-question-god/

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    1. Toutes les guerres ont été des guerres de religions. Et y a beaucoup d'yeux crevés et, c'est irrémédiable !

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  61. Alerte : Les plans de Washington pour une guerre mondiale

    Patrick Martin
    Réseau International
    mer., 17 sept. 2014 12:00 CEST

    Un document extraordinaire publié le 31 juillet à propos du calendrier prévisionnel militaire des États-Unis enjoint le Pentagone de se préparer à déclencher jusqu'à une demie douzaine de guerres simultanément, y compris des guerres dans lesquelles les adversaires possèdent des armes nucléaires.

    Ce n'est pas les USA qui se battent ils utilisent des tiers

    Ce document, intitulé « Ensuring a Strong Defense for the Future » (« Assurer une défense forte pour le futur »), a été rédigé par le National Defense Panel, un groupe d'anciens hauts responsables civils et militaires, missionnés par le Congrès pour fournir un regard critique sur le calendrier prévisionnel officiel du Pentagone publié cette année, le plan quadriennal de défense 2014.

    Le National Defense Panel est coprésidé par William Perry, secrétaire à la Défense sous la présidence Clinton, et par le général John Abizaid, ex-chef du Commandement central des États-Unis. Parmi ses membres, il comprend quatre autres généraux à la retraite, ainsi que Michele Flournoy, anciennement secrétaire adjoint à la Défense sous Obama, et Eric Edelman, un éminent néo-conservateur et sous-secrétaire à la Défense dans le gouvernement de George W. Bush.

    Il s'agit donc d'un groupe bipartisan [Républicains + Démocrates], qui représente l'intégralité du spectre politique des dirigeants officiels de Washington en matière de sécurité. Son rapport a été publié sous les auspices d'une agence financée par le gouvernement des États-Unis qui se consacre à l'étude des conflits, et dont le nom, choisi avec une logique orwellienne irréprochable, est l'US Institute of Peace [Institut américain de la paix].

    Ce document nous prévient des dangers auxquels les États-Unis vont devoir faire face, en parlant en premier lieu de la puissante expansion de la Chine et de la Russie, avant de mentionner la Corée du Nord, l'Iran, l'Irak, la Syrie, le Moyen-Orient tout entier, puis l'Afrique. La Chine et la Russie ont donc été promues à la première place des cibles potentielles d'une intervention militaire des États-Unis, devant les trois pays mis en avant par George W. Bush dans son fameux discours de 2002 sur « l'Axe du mal ».

    - voir original sur site -
    Ensuring a strong_defense_for_the_future

    (suite en dessous:)

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  62. Le document précise que pendant les deux décennies précédentes, depuis l'effondrement de l'URSS en 1991, la doctrine militaire des États-Unis a exigé la capacité de pouvoir financer deux conflits militaires majeurs simultanément. Ensuite, il y est demandé un changement radical de cette doctrine :
    « Étant donné que, dans le contexte actuel, les menaces s'intensifient, nous croyons qu'un nouveau format renforcé des forces armées, plus complet - un format qui soit différent du format double conflit (NdT : le « two-war construct » est un terme faisant référence à une doctrine militaire classique aux États-Unis et qui prévoit que ses forces armées doivent être dimensionnées de manière à être capables de mener simultanément deux conflits majeurs), mais au moins aussi puissant - est approprié. »
    Par la suite, cette idée est davantage détaillée :
    « Nous croyons [...] qu'une capacité à faire la guerre partout est la condition sine qua non pour être une superpuissance et s'avère donc essentielle à la crédibilité de la stratégie globale de l'Amérique en matière de sécurité nationale. Dans le contexte actuel de menaces, les États-Unis pourraient, selon toute vraisemblance, être amenés à mener des actions préventives ou à combattre dans plusieurs régions sur des périodes qui se superposent : dans la péninsule coréenne, dans les mers de Chine orientale et méridionale, au Moyen-Orient, en Asie du Sud, et pourquoi pas en Europe. Les États-Unis sont également confrontés à la possibilité d'avoir à faire face à des adversaires dotés de l'arme nucléaire. De surcroît, l'expansion d'Al-Qaïda et de ses émanations dans de nouvelles parties de l'Afrique et du Moyen-Orient implique que l'armée américaine doive pouvoir assumer des opérations antiterroristes au niveau mondial et défendre le territoire américain tout en étant engagée dans des conflits régionaux hors de nos frontières. »

    Cette liste suggère que les États-Unis doivent être préparés à mener de front cinq ou six guerres majeures. Ce n'est rien moins que la demande à l'impérialisme américain de se préparer à gérer une guerre mondiale qui pourrait menacer l'humanité d'extinction.

    La mise en avant de la Chine et de la Russie comme cibles potentielles d'une action militaire américaine est de très mauvais augure quant à ses implications, puisque ces deux pays possèdent respectivement le deuxième et le troisième arsenal nucléaire de la planète, derrière les États-Unis eux-mêmes.

    Le rapport soutient la position de l'administration Obama, qui prône un « rééquilibrage » des forces militaires américaines pour affronter la Chine, décrivant cette initiative stratégique comme un effort pour réaffirmer « la primauté de la région Asie-Pacifique parmi les intérêts de sécurité des États-Unis. »

    (suite en dessous:)

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  63. En ce qui concerne la possibilité pour qu'une telle guerre se produise, il convient de souligner que le Comité de défense nationale (National Defense Panel) discute actuellement des déclencheurs possibles pour un conflit majeur, en particulier en Extrême-Orient. Les termes utilisés ont beau être pleins de jargon, les perspectives n'en font pas moins froid dans le dos:
    « La prolifération de systèmes de plus en plus autonomes et ne nécessitant pas d'intervention humaine, en Asie-Pacifique et au Moyen-Orient par exemple, aura un impact préjudiciable sur le maintien de la stabilité durant une crise ou sur la gestion de l'escalade si un conflit éclate. Ajoutés à la multiplication d'outils cyber-offensifs et défensifs ainsi que de défense anti-spatiale, ces systèmes affecteront sérieusement le rapport entre force militaire offensive et défensive dans des régions-clés, augmentant ainsi le risque qu'une crise dégénère rapidement en conflit - avant que les politiques et commandements militaires ne puissent réagir à temps ».
    En clair, une grande guerre peut éclater, sans intervention humaine, à travers l'interaction de drones et de systèmes de réponse automatisés de part et d'autre.

    Le rapport ne remet pas ouvertement en cause les forces militaires composées de volontaires, mais il met l'accent sur leur coût croissant, et appelle à une « réforme raisonnable des soldes et des avantages sociaux » pour les rendre plus abordables. La logique des pressions combinées de la hausse des coûts et des déploiements militaires croissants est inexorable, cependant cela signifie que la classe dirigeante américaine devra à plus ou moins court terme se diriger vers une certaine forme de conscription, même au-delà du projet économique actuel dans lequel les plus pauvres des travailleurs sont enrôlés comme « volontaires » de manière disproportionnée.

    Le rapport de défense exprime des préoccupations sur le fait que les contraintes financières pesant sur l'impérialisme américain, et notamment des limitations imposées volontairement telles que la « saisie conservatoire » d'une partie sélectionnée des dépenses militaires imposées par le Budget Control Act (« Loi de contrôle budgétaire ») de 2011, sabrent dans les préparatifs de guerre du Pentagone.

    Les auteurs se plaignent de manière répétée des limitations pesant sur les dépenses militaires états-uniennes à cause du fardeau des programmes sociaux domestiques, montrant du doigt « le large fossé grandissant entre les sommes collectées pour financer les programmes, d'une part, en particulier pour la Sécurité sociale et les principaux programmes de santé, et les sommes effectivement dépensées, d'autre part ».

    (suite en dessous:)

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  64. Ils déclarent :
    « L'Amérique doit remettre de l'ordre dans sa maison fiscale afin de financer simultanément des dépenses militaires robustes. Une limitation drastique des coûts de santé se doit d'être appliquée à la fois à l'intérieur du Département [c'est-à-dire pour les soldats et leurs familles] et plus généralement à travers tous les programmes gouvernementaux. »
    Répétons-le : il s'agit d'un rapport bipartisan. Les démocrates tout comme les républicains, libéraux [NdT : au sens américain = « de gauche »] et conservateurs, ont soutenu sa demande de coupes dans les programmes sociaux dont dépendent les travailleurs pour mettre des trillions à disposition de l'appétit insatiable du complexe militaire américain.

    Le caractère bipartisan de ce document témoigne de l'unité de toutes les composantes de la classe dirigeante américaine sur le recours à une violence sans précédent pour sauvegarder sa richesse et sa domination sur de vastes parties du monde. Cela confirme que le combat contre une guerre impérialiste peut être mené si, et seulement si, la classe ouvrière se libère du système politique existant aux États-Unis, et construit un mouvement politique de masse indépendant, fondé sur un programme révolutionnaire socialiste et internationaliste.

    Traduction les-crises.fr

    http://fr.sott.net/article/23204-Alerte-Les-plans-de-Washington-pour-une-guerre-mondiale

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  65. Intempéries mortelles dans l'Hérault et le Gard

    Euronews
    jeu., 18 sept. 2014 18:46 CEST

    Cinq personnes sont décédées dans un camping du département de l'Hérault la nuit dernière, après de violents orages qui ont également touché le Gard, où un homme est porté disparu, à Saint-Laurent-le-Minier.

    Un camping du village de Lamalou-les-Bains a été dévasté par la rivière qui le traverse et qui est complètement sortie de son lit. Plusieurs camping-cars et leurs occupants ont été emportés.

    Mercredi les intempéries ont provoqué la mort d'une septuagénaire dans l'Aveyron.

    - voir clip sur site:

    http://fr.sott.net/article/23203-Intemperies-mortelles-dans-l-Herault-et-le-Gard

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    1. Fleuves & rivières qui débordent à la moindre pluie !
      Encore des victimes du non-dragage volontaire des 'autorités' !

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  66. Bruxelles infligerait-elle, sans le savoir, un hiver sibérien à l'Europe ?

    Valentin Vasilescu
    Réseau International
    jeu., 18 sept. 2014 12:00 CEST

    L'interruption de la fourniture de gaz à l'Ukraine par la Russie, le 16 Juin 2014, et les réserves de gaz stockées pour une durée maximale d'un mois, ont incité la Maison Blanche à faire pression sur l'élite dirigeante à Bruxelles.

    L'UE a été contrée, de manière efficace, par la Russie, dans son plan de tricherie consistant à livrer le gaz naturel russe en mode inverse pour sauver l'Ukraine. Face à cette réalité, l'UE et Washington ont intensifié la guerre économique contre la Russie en imposant de nouvelles sanctions. Du coup, la Russie a répondu par un avertissement, en réduisant le volume de gaz pour l'Europe de 5%. Elle montre ainsi que toute l'Europe court le risque majeur de supporter tout le poids des mesures économiques que le Kremlin considèrera comme dangereuses pour sa propre économie.

    Dans sa conférence de presse 10 Juin 2014, Sergueï Glazyev, conseiller économique de Vladimir Poutine, a montré que les États-Unis, par le biais de la guerre civile en Ukraine, avait déclenché une guerre économique contre la Russie. Washington, qui prend les Russes pour des idiots, aidera, sans le savoir, à faire tomber l'Europe, au milieu de l'automne, dans le piège habilement tendu par Poutine. Les manœuvre effectuées par les Américains par l'intermédiaire de l'UE vont donner aux Russes le prétexte pour priver l'Ukraine de son principal intérêt, sa position stratégique, représentée par le pipeline ''Fraternité''. C'est par ce gazoduc Fraternité qui traverse l'Ukraine que passe près de 50% du gaz russe pour approvisionner l'Europe.

    Ainsi, les russes n'approvisionneront plus la Slovaquie, la République tchèque, l'Autriche, la Hongrie, la Serbie, le Monténégro, la Bosnie, la Macédoine, la Croatie, la Slovénie, l'Italie, la Moldavie, la Roumanie et la Bulgarie, c'est-à-dire la plupart des anciens pays communistes qui sont devenus, du jour au lendemain, membre de l'OTAN et de l'UE. Face à une telle décision de la Russie, les Etats-Unis ne pourront offrir que des briquets à ces états. Quant au gaz de schiste liquéfié tant promis, il n'existe aucun moyen de le fournir avant 4-5 ans, car il n'existe encore aucune infrastructure pour cela.

    En outre, toute tentative frauduleuse de l'UE de livraison de gaz russe en mode inverse pour compenser le pipeline Fraternité sera immédiatement sanctionnée par la fermeture du second nœud stratégique (Biélorussie), représenté par le gazoduc ''Yamal'', laissant sans une goutte de gaz, pour une durée illimitée, d'autres pays de l'UE comme la Finlande, les Pays Baltes et la Pologne.

    Le Pipeline North Stream, appartient à celui qui l'a construit, c'est-à-dire le consortium formé par Gazprom et les groupes allemands Wintershall et E.ON. Le champ d'exploitation de Sibérie centrale Yuzhno Russkoye qui alimente le gazoduc en gaz naturel a pour actionnaires : Wintershall avec 25% des actions, E.ON 25% et Gazprom 50%. Dans les conditions mentionnées ci-dessus, l'Allemagne, le principal partenaire économique de la Russie, n'en souffrira pas, car le gazoduc North Stream, qui fournit du gaz naturel en Allemagne, en Belgique, en France et en Angleterre, sera le seul que la Russie ne fermera pas.

    (suite en dessous:)

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  67. La raison en est que Gazprom et Wintershall sont également les principaux actionnaires du projet de gazoduc South Stream, actuellement en construction. Dans la situation créée ainsi par la Russie, le fonctionnement et le trajet du gazoduc South Stream constituent une question de survie économique pour les pays d'Europe de l'Est et l'Europe centrale, et dépendent de l'attitude de la Bulgarie, la Hongrie, la Slovénie, l'Autriche et la Croatie vis-à-vis de la Russie. S'ils ne soumettent pas leur demande d'adhésion à l'Union économique eurasienne, ces pays risquent de ne voir le gaz russe que dans leurs rêves.

    Depuis plus d'une décennie, les États-Unis et leurs satellites européens qui parlent continuellement de briser le monopole russe sur le gaz naturel en tant que source d'énergie la moins chère à portée de main, sans jamais avoir trouvé de solution, se plaignent maintenant auprès des Russes. On voit déjà un effondrement avec des pertes qui pourront s'évaluer par milliers de milliards d'euros en raison de la renonciation volontaire à ce monopole en Europe par la Russie.

    La Russie ne manque pas de demandes de pétrole et de gaz, comme l'a montré le méga contrat de 400 milliards de dollars achevé en mai 2014 avec la Chine, dont le but est de rediriger vers la Chine le gaz naturel livré à ce jour en Europe à travers le réseau de pipeline Druzhba.

    L'Inde est le principal importateur d'armes russes, les achats de l'armée indienne représentant 45% des 15,7 milliards de dollars réalisés annuellement par la Russie. Après la signature du contrat avec la Chine, lors du sommet des BRICS qui s'est tenue au Brésil des 15 et 16 Juillet 2014, la Russie a été fortement courtisée par l'Inde pour livrer du gaz par le même gazoduc d'Asie centrale et le pipeline CPC (Caspian Pipeline Consortium), de la société russe Transneft, comme dans le cas des chinois.

    L'Inde et le Pakistan sont également membres du ''Club de l'Energie'', un instrument du projet énergétique commun des pays de la future Union économique eurasienne dont les bases ont été posées en 2006 à Shanghai. En cherchant à se déplacer vers l'Est, vers l'Asie, dont les besoins représentent quatre fois la quantité de gaz russe fournie actuellement à l'Europe, la Russie sait où elle va.

    La Russie est donc prête à donner une cinglante leçon de géopolitique à l'Europe et aux Etats-Unis, sur l'hypothèse qu'ils vont continuer à aller en ligne pour maintenir les sanctions économiques. Comment les peuples des états membres de l'UE vont se chauffer pendant ces hivers sibériens, ça les regarde, puisqu'ils viennent de voter pour les politiciens de Bruxelles qui en sont la cause.

    Traduit par Avic

    http://fr.sott.net/article/23200-Bruxelles-infligerait-elle-sans-le-savoir-un-hiver-siberien-a-l-Europe

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  68. Finlande/centrale nucléaire russe: le gouvernement donne son feu vert

    20:47 18/09/2014
    MOSCOU, 18 septembre - RIA Novosti


    Le gouvernement finlandais a donné jeudi son feu vert à la construction de la centrale nucléaire Hanhikivi-1 avec le concours du groupe nucléaire russe Rosatom, rapporte le site du gouvernement.

    Dix ministres ont approuvé le projet de la centrale, alors que sept membres du gouvernement ont voté contre. Le projet sera soumis au parlement finlandais.
    Le premier ministre finlandais Alexander Stubb a antérieurement déclaré que la Finlande poursuivrait sa coopération avec la Russie dans le nucléaire civil malgré les sanctions européennes contre Moscou.

    L'électricien finlandais Fennovoima et Rusatom Overseas, filiale de Rosatom chargé des projets à l'étranger, ont signé en décembre 2013 un contrat prévoyant la construction de la centrale nucléaire Hanhikivi-1 à Pyhäjoki, au bord du golfe de Botnie. Les deux sociétés ont adopté un calendrier des travaux et des mécanismes de financement.

    Aux termes d'un accord signé en mars dernier, RAOS Voima Oy, filiale de Rusatom Overseas, détiendra 34% du capital investi dans le projet dont le coût s'élève à environ 5 milliards d'euros, selon les médias.

    La centrale sera équipée d'un réacteur à eau sous pression de 1.200 MW de conception russe, conforme aux normes de l'AIEA et de l'UE. Le projet sera entièrement adapté aux normes finlandaises en matière de sécurité nucléaire que les experts considèrent comme les plus strictes au monde.

    http://fr.ria.ru/world/20140918/202469690.html

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  69. Canada: Une firme pétrolière attaque un village pour avoir protégé l’eau

    mercredi 17 septembre 2014

    Au Canada, une petite commune est poursuivie en justice pour avoir empêché une compagnie pétrolière de forer à proximité des sources d'eau potable.

    C’est un peu l’histoire de David contre Goliath. Sauf que dans ce cas le géant Goliath n’est autre qu’une société pétrolière, Gastem. Cette firme canadienne réclame 1,5 millions de dollars canadiens (soit un peu plus d’un millions d’euros) à Ristigouche, municipalité de 168 habitants pour.

    Poursuivi pour avoir protégé les sources d’eau potable, Gastem, société pétrolière canadienne, réclame plus d'un millions d'euros à une petite commune québécoise de seulement 168 habitants. En cause, la décision de la municipalité de faire interdire le forage dans un rayon de 2 km autour des sources d'eau potable, afin de les préserver de la pollution liée à l'extraction des énergies fossiles.

    En mars 2013, la petite commune de Gaspésie (péninsule canadienne) avait adopté un règlement visant à protéger les sources d’approvisionnement en eau. “C’est un règlement populaire demandé par une majorité écrasante des résidents. En adoptant ce règlement, le conseil municipal a fait son devoir de protéger le bien commun de la communauté" a déclaré François Boulay, maire de Ristigouche.

    Or, en juillet 2012, les autorités provinciales du Québec avait accordé à Gastem une licence d’exploration. C’est pourquoi la firme pétrolière, s’estimant lésée, intente une action en justice à Ristigouche, lui réclamant une somme qui représente 5,5 fois le budget annuel de la municipalité.

    La commune appelle à la solidarité pour pouvoir se défendre. En plus des indemnités colossales réclamées par Gastem, Ristigouche doit faire face à d’importants frais de justice. Mais la petite commune n’en a pas les moyens.

    “Avec 168 habitants, on n'a pas les capacités pour se défendre” confiait le maire au journal canadien La Presse.

    C’est pourquoi la municipalité appelle à la solidarité et le soutien financier des Québécois en lançant Solidarité Ristigouche, une plateforme de dons en ligne. À ce jour, le montant des donations s’élève à 87 500 $CA, soit 39 % des 225 000 $CA nécessaires.

    La société pétrolière, quant à elle, assure vouloir simplement récupérer la somme investie dans la préparation du forage.

    (suite en dessous:)

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  70. Après l'interdiction décrétée par Ristigouche en mars 2013, 70 communes canadiennes lui avaient emboîté le pas, dès juillet 2014, lorsque dut adopté le Règlement sur le prélèvement des eaux et leur protection (RPEP) dans l'ensemble du Québec.

    Pourtant, la commune est la seule à être sous le coup d'une procédure judiciaire. Le RPEP n'étant pas rétroactif, Gastem est libre de poursuivre la commune en justice pour demander réparation.

    Aujourd’hui encore, la municipalité gaspésienne cherche du soutien auprès du gouvernement, jusque-là sans succès. Sa demande auprès de Pierre Moreau, ministre des Affaires municipales s’est heurté à un refus. Le ministère estimant qu’il ne pouvait “s’immiscer dans un dossier faisant l’objet d’une poursuite judiciaire.”

    Mais les élus de la commune n’excluent pas de se tourner à nouveau vers Pierre Moreau pour demander au gouvernement une aide financière ou au moins sa participation aux négociations avec Gastem.

    Source : © La Presse Canada

    http://naturealerte.blogspot.fr/2014/09/17092014canada-une-firme-petroliere.html

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