- ENTREE de SECOURS -



mardi 29 octobre 2013

Allo Wind ?

Imaginez que les rats se soient habitués aux poisons et, que ces derniers, n'aient plus aucun effet sur eux et, pire, que les rats soient devenus si agressifs qu'ils fassent même peur aux chats !
.
C'est par cette phrase 'énigmatique' pour certains que je commencerai ce soir mon allocution télévisée en cette veille du jour des morts.
.
D'abord, j'ai une grande et bonne nouvelle à vous annoncer: Dès ce 1er Novembre, et ceci en accord avec tout le gouvernement, sera supprimée la taxe sur les carburants afin de relancer la compétitivité et permettre à tous de passer l'hiver au chaud. D'autre part, le taux normal de la TVA qui est de 19,6% et qui devait passer à 20 le 1er Janvier 2014, sera ramené à 10%.
.
Permettez-moi de rêver que j'entends déjà les clameurs de joie de toutes celles et ceux qui sont descendus dans la rue pour fêter cette nouvelle et que - si je peux me permettre d'ajouter - je suis bien l'ex de ma compagne divorcée; aussi, après ces réjouissances de fin d'Octobre, je tiens tout de même à vous annoncer une 'mauvaise' nouvelle: Tout ce que je viens de vous dire étaient des mensonges et que, finalement, je vais reprendre ma première femme dès vendredi.
.
Bonsoir. Merci de m'avoir écouté.
.
Fach'

25 commentaires:

  1. Fumer avant 35 ans est sans risque pour son espérance de vie

    Olivier Bach
    Le blog d'Olivier Bach
    ven., 15 mar. 2013 13:54 CDT

    Une telle annonce peut paraître scandaleuse et provocatrice.

    Je ne fais pourtant que me référer aux résultats d'une étude épidémiologique incontestée, publiée en juin 2004 par Richard Doll, Richard Peto et al, intitulé « Mortalité en relation avec tabagisme : 50 ans d'observation de docteurs britanniques. », que l'on peut consulter sur le site internet suivant : http://www.bmj.com/content/328/7455/1519

    Elle a suivi de 1951 à 2001, plus de 34 440 médecins, dont 83% fumaient au début de l'étude. Ils ont répondu à des questionnaires régulièrement et les causes de leur décès étaient analysées avec précision. Des résultats ont été publiés pratiquement tous les dix ans.

    Tous les épidémiologistes ou les médecins dans le monde, spécialisés sur le sujet, se réfèrent à cette étude pour présenter leurs analyses. Il n'est pas exagéré d'écrire que cette étude est considérée par ces spécialistes comme « la vérité scientifique » des effets du tabac sur la santé.

    Cette étude a l'avantage unique sur toutes celles qui ont été réalisées depuis 60 ans, de pouvoir mesurer sur le long terme la mortalité de ceux qui fument et de ceux qui ne fument pas. A ce titre, elle indique clairement que ceux qui ne fument pas de cigarettes ont très peu de cancer du poumon, alors que ceux qui fument des cigarettes en ont beaucoup plus, jusqu'à quarante fois plus pour les très gros fumeurs.

    Elle étudie également les effets de l'arrêt de la consommation de cigarettes à des âges différents sur la mortalité.

    Voici ce qu'elle nous indique, figure 4 :

    - voir graphiques sur site -

    Sachant qu'une figure précédente avait indiqué un écart de 10 ans d'espérance de vie entre fumeurs et non-fumeurs, voici le commentaire des auteurs de l'étude concernant ces graphiques :

    « La mortalité des ex-fumeurs est montrée sur la figure 4, qui ( sachant la possibilité d'une cause contraire) indique que même un fumeur âgé de 60 ans peut gagner finalement 3 ans d'espérance de vie en arrêtant de fumer...Ceux qui arrêtent à environ 50 ans, gagnent environ 6 ans d'espérance de vie ; ceux qui arrêtent à environ 40 ans gagnent environ 9 ans ; et ceux qui arrêtent avant l'âge moyen gagnent environ 10 ans et ont un modèle de survie équivalent aux hommes qui n'ont jamais fumé. »

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  2. On constate donc que si on arrête de fumer des cigarettes avant 35 ans, soit après environ 20 ans de consommation, l'espérance de vie est identique à celle d'un non-fumeur et même...légèrement meilleure (6 mois à 70 ans).

    Pour ceux qui ont arrêté de fumer entre 35 et 44 ans, les résultats sont pratiquement identiques avec 1 année de perte d'espérance de vie entre 70 ans et 80 ans seulement.

    Ces observations n'étaient pas une découverte. Elles avaient déjà été publiées en octobre 1994 dans le rapport des 40 années de suivi de ces médecins britanniques. Elles ont été confirmées en 2004 et sont donc connues depuis près de vingt ans.

    Quelles conclusions en tirer ?

    - Fumer des cigarettes jusqu'à 35 ans, soit après un peu moins de 20 ans de consommation, n'a aucun effet sur son risque de mortalité futur, comparé avec un non-fumeur.

    - Fumer des cigarettes jusqu'à près de 44 ans, soit après un peu moins de 30 ans de consommation, quelques soient les quantités, n'a pratiquement pas d'effets sur son risque de mortalité futur, comparé avec un non-fumeur.

    - Ce n'est qu'à partir de 45 ans que le risque de mortalité augmente très sensiblement pour les fumeurs. La perte d'espérance de vie est alors estimée à 10 ans, pour ceux qui ne s'arrêtent pas de fumer.

    Les épidémiologistes du monde entier, ainsi que la grande majorité des médecins spécialisés dans les affections liées au tabac, ont été ainsi informés de ces résultats dès 1994. Ces derniers modifiaient fondamentalement les connaissances que l'on avait précédemment. On savait que l'arrêt du tabac permettait d'améliorer l'espérance de vie, mais on ne savait pas que fumer n'avait aucune conséquence sur sa future mortalité, quand on s'arrête suffisamment tôt.

    Ces résultats permettent donc d'affirmer qu'un fumeur âgé de moins de 35 ans n'a pas de séquelles dans son corps pouvant entraîner une surmortalité future par rapport au non-fumeur. C'est parce qu'il fume après 35 ans qu'il risque une mortalité précoce par rapport au non-fumeur.

    Cela veut dire aussi que les produits annoncés comme cancérigènes dans la fumée de cigarette, ne sont pas actifs avant l'âge de 35 ans, puisqu'ils ne provoquent rien d'irrémédiable concernant des risques de surmortalité future.

    Non seulement cette information fondamentale n'est jamais publiée, mais c'est son contraire que l'on peut lire.

    Un exemple, parmi beaucoup d'autres se trouve dans la brochure sur les cancers du poumon, éditée par La Ligue contre le cancer en 2009, destinée au grand public :

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  3. « La durée de l'exposition à la fumée de tabac (nombre d'années pendant lesquelles on a fumé) et donc l'âge de début (plus on commence tôt, plus la durée est grande) est quatre fois plus déterminante que la quantité de cigarettes fumées. »

    http://www.ligue-cancer.net/shared/brochures/cancers-poumon.pdf

    La réalité est qu'un jeune de 20 ans qui fume plus d'un paquet de cigarettes par jour n'a pas plus de risques d'avoir un cancer du poumon ou une autre affection mortelle qu'un non-fumeur, s'il s'arrête de fumer avant 35 ans.

    Cela ne veut pas dire que ces jeunes n'auront jamais un cancer du poumon. Cela veut simplement dire qu'ils n'en auront pas plus que les non-fumeurs.

    Compte tenu du fait qu'il n'y a aucune raison d'estimer que les autres résultats de l'étude sur les médecins britanniques sont des vérités scientifiques et que ceux que je viens de présenter ne le sont pas, quel est l'épidémiologiste ou le médecin qui va « oser » présenter cette vérité scientifique ?

    Serait-elle même tout simplement acceptée, compte tenu de toutes les informations contraires qui ont été diffusées ? Cette situation illustre bien la perte de crédibilité de la science aujourd'hui.

    Des résultats scientifiques, non contestés, sont donc falsifiés dans le but d'empêcher les jeunes de fumer, alors que son espérance de vie n'est en rien entamée s'il arrête de fumer suffisamment tôt. Est-ce acceptable ? J'estime que non, car la science perd ainsi toute sa pertinence. C'est à cause de ces pratiques que l'on doute, aujourd'hui, des informations scientifiques et ce sont les scientifiques qui en sont responsables.

    Il est intéressant de voir ce que vient d'écrire Martine Perez, médecin et rédactrice en chef au Figaro, dans son livre «Interdire le tabac, l'urgence », au sujet de cette étude. Elle y consacre quatre pages, dont ce commentaire :

    « La dernière étude a été publiée en 2004, soit plus de cinquante ans après le lancement de l'enquête, alors que Richard Doll, désormais anobli par la reine et pouvant faire précéder son nom de « sir » vient de fêter ses 90 ans. Au bout de cinquante ans de comparaison entre médecins fumeurs et non-fumeurs, il est possible d'affirmer que les fumeurs perdent dix ans d'espérance de vie par rapport aux autres. Surtout, la probabilité de mourir prématurément avant 69 ans est deux fois plus importante pour les premiers que pour les autres...L'arrêt de la consommation à 60, 50, ou 40 ans fait gagner respectivement trois, six ou neuf années. L'abandon de la cigarette offre toujours un bénéfice pour la santé. De multiples enquêtes au cours des soixante dernières années, dans les pays industrialisés ont confirmé ces données. Et les ont précisées : 16% des fumeurs réguliers auront un cancer du poumon, le risque augmentant avec la consommation. Il n'y aurait pas de tabagisme sans risque. »

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  4. Pourquoi Martine Perez, qui reprend les informations de l'étude des médecins britanniques, occulte-t-elle les résultats sur les fumeurs qui ont arrêté de fumer des cigarettes entre 25 et 34 ans ? Faut-il rappeler qu'il y était indiqué :

    « Ceux qui arrêtent avant l'âge moyen gagnent environ 10 ans et ont un modèle de survie équivalent aux hommes qui n'ont jamais fumé. »

    Pourquoi conclut-elle qu'il n'y a pas de tabagisme sans risque, puisqu'elle sait qu'il n'y en a pas avant 35 ans ? D'autant plus qu'elle ajoute dans son livre :

    « Même ceux qui ont « peu fumé » et finalement arrêté conserveront longtemps un risque supérieur aux non-fumeurs de développer une maladie grave liée à l'usage du tabac. »

    Ou encore :

    « Si la consommation globale française a tendance à baisser très légèrement, celle des jeunes fumeurs de 17 ans se maintient à un niveau élevé...La moitié d'entre eux mourront de leur addiction. »

    « Mettez 16 fumeurs dans une pièce : l'un mourra d'un cancer du poumon, un autre d'un cancer de la vessie, 3 par maladie cardio-vasculaire...La moitié des fumeurs mourront des conséquences du tabac...»

    « Les cardiologues estiment même qu'une seule cigarette pourrait par effet spastique sur les coronaires provoquer l'infarctus et la mort. »

    Comment imaginer que Martine Perez falsifie la réalité scientifique sans s'en rendre compte ? On est loin de la méthode scientifique et de l'honnêteté intellectuelle, nécessaires à une connaissance objective des problèmes.

    On peut se demander si son livre n'est pas plutôt guidé par un esprit de revanche, quand on y lit :

    « Pendant longtemps, les fumeurs ont fait la loi. Si la cigarette de votre collègue vous dérangeait, c'était à vous de changer de place. Ceux qui se plaignaient étaient « liberticides », « sans fantaisie » et « dénués d'intérêt ». Aujourd'hui, la situation s'est inversée. Les fumeurs sont enfermés dans des fumoirs au sein de l'entreprise, entre eux. Comme des malades contagieux. Ils ne sont plus jeunes et beaux comme la publicité voulait les présenter, mais commencent à avoir le teint terreux et des rides prématurés...»

    A-t-elle une approche scientifique quand, dans son livre publié en mai 2012, elle affirme que le tabac provoque 60 000 morts par an et que, dans un article du Figaro du 2 mars 2013, elle assure qu'il y a 73 000 morts annuels dus à la cigarette ? Un minimum de cohérence serait peut-être nécessaire.

    La science n'est jamais gagnante avec de tels comportements.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  5. Martine Perez n'est pas la seule à pratiquer le mensonge pour arriver à ses fins. La grande majorité des analyses d'épidémiologistes et de médecins présente les effets de l'arrêt du tabac sur l'espérance de vie, mais tous, occultent les conséquences d'un arrêt du tabac avant 35 ans.

    Ce type de comportement, qui n'est pas réservé au domaine du tabac, est une des causes majeure du rejet de la science, car ils falsifient la réalité scientifique.

    Quand on sait, de plus, que 84% des gros fumeurs n'auront jamais de cancer du poumon et que l'âge médian de sa survenance est de 68 ans, il me semble que toutes les recherches dans le monde auraient dû se concentrer sur l'explication de ces observations. Certains auront pourtant fumé jusqu'à un million de cigarettes tout au long de leur vie.

    Certains biologistes avancent des explications génétiques qui sont aussitôt balayées, car elles sont incompatibles avec le discours officiel : il faut que tout le monde arrête de fumer.

    Est-ce de la science ?

    http://fr.sott.net/article/17512-Fumer-avant-35-ans-est-sans-risque-pour-son-esperance-de-vie

    RépondreSupprimer
  6. Renvoyer les canailles ?


    Thomas Sowell
    29 octobre 2013

    Les sondages indiquent que le public est tellement dégoûté par les politiciens de Washington des deux partis qu'une proportion étonnamment élevée de la population voudrait se débarrasser de tout le lot d'entre eux.
    Il est certes compréhensible que les électeurs souhaitent "jeter les coquins." Mais il est inutile de jeter les coquins, si nous allons nous contenter d'obtenir un nouvel ensemble de coquins pour les remplacer.

    En d'autres termes, nous devons penser à ce qu'il y a sur les pratiques politiques actuelles qui amènent à plusieurs reprises pour alimenter un tel ensemble contre des personnes. Ceux que nous appelons "les fonctionnaires" sont en fait devenus maîtres publics. Et ils agissent comme cela.
    Ils gaspillent de plus en plus grandes quantités d'argent de nos impôts, et laissent encore des milliards de dollars de la dette nationale à payer par nos enfants et nos petits-enfants. Leur intrusion dans nos vies privées avec toujours plus de restrictions, la paperasserie et la surveillance électronique. Et ils se tournent différents groupes d'Américains les uns contre les autres avec la rhétorique et les politiques de guerre de classe.

    Rien de tout cela est inévitable. En fait, ce modèle est en grande partie le fruit des tendances politiques mises en mouvement durant les années 1930, et d'atteindre un point culminant aujourd'hui. Durant les années 1920, la dette nationale a été réduite et le rôle du gouvernement revu à la baisse. Le taux de chômage a aussi bas que 1,8 pour cent.

    Président Calvin Coolidge, avec toutes les chances d'être réélu en 1928, a simplement déclaré: «Je ne veux pas courir." Plus tard, dans ses mémoires, il a expliqué combien il est dangereux d'avoir n'importe qui restent trop longtemps à la Maison Blanche, entouré par la flatterie et isolé de la réalité. Quel contraste que cette attitude est l'attitude de l'actuel occupant de la Maison Blanche !
    Le contraste s'étend au-delà de ces deux présidents. Ce que nous avons aujourd'hui que nous n'avions pas dans l'histoire des débuts de ce pays est une classe politique permanent à Washington - un Congrès et une bureaucratie fédérale sans cesse croissante composée de gens qui sont devenus une classe dirigeante permanente.

    Les Etats-Unis n'a pas été fondée par des politiciens de carrière, mais par des gens qui ont pris le temps de leurs professions réguliers de servir pendant un moment crucial dans la création d'une nouvelle nation, et un nouveau genre de nation dans un monde gouverné par des rois et des empereurs.
    Au XIXe siècle, il y avait un taux de rotation élevé de membres du Congrès. Beaucoup de gens sont allés à Washington pour servir un mandat au Congrès, puis renvoyés dans leur pays d'origine à reprendre leur vie en tant que citoyens privés.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  7. La montée de la classe politique permanent à Washington est venu avec l'émergence d'un vaste appareil gouvernemental avec des quantités sans précédent de l'argent et le pouvoir de contrôler et corrompu les individus, les institutions et le tissu de la société tout entière.

    Les premiers pas de géant dans cette direction ont été prises dans les années 1930, lorsque la Grande Dépression a fourni la justification pour un rôle radicalement élargi de gouvernement que Franklin D. Roosevelt et ses disciples avaient cru en avant il y avait une grande dépression.

    Il y a maintenant des gens à Washington dont la vie d'adulte ont été dépensés dans le gouvernement, dans un rôle ou d'une autre. Certains commencent comme aides aux politiciens ou dans le cadre des empires tentaculaires de la bureaucratie fédérale. De cela, ils progressent de hautes fonctions électives ou nommé au sein du gouvernement.

    Chiffre d'affaires en Congrès a été réduit presque au point de disparaître. Les alliances politiques au sein du gouvernement et avec des intérêts particuliers à l'extérieur, ainsi que le charcutage électoral des circonscriptions du Congrès, font la réélection de la plupart des titulaires presque une fatalité.

    La possibilité de distribuer de grandes quantités de largesses aux électeurs, aux frais des contribuables - Le président Obama est loin de donner gratuitement des téléphones cellulaires pendant une année d'élection étant que la partie émergée de l'iceberg - incline davantage la balance en faveur des titulaires.

    Ce genre de gouvernement doit constamment «faire quelque chose» afin de garder les noms des titulaires dans les nouvelles. En bref, un gros gouvernement a tout intérêt à créer un gouvernement plus gros.

    Lancer les coquins ne se débarrassera pas de ce modèle politique. La première étape dans la limitation, puis mise à l'échelle de retour, le gouvernement lui-même doit être de limiter le temps que n'importe qui peut rester en fonction - de préférence limité à un seul terme, de rendre plus difficile de devenir des politiciens de carrière, une espèce que nous pouvons bien faire sans.

    http://townhall.com/columnists/thomassowell/2013/10/29/throw-the-rascals-out-n1732671/page/full

    RépondreSupprimer
  8. Seule une forte baisse du prix du pétrole pourrait faire repartir l’économie mondiale

    Dans l'œil des marchés : Jean-Jacques Netter, vice-président de l'Institut des Libertés, dresse, chaque mardi, un panorama de ce qu'écrivent les analystes financiers et politiques les plus en vue du marché.
    Revue d'analyses financières
    Publié le 29 octobre 2013

    Deux fois par an, Charles Gave, président de GaveKal, invite ses clients pour leur faire part de sa vision de l’économie mondiale et des marchés financiers. C’est toujours un moment important, car il fait partie des rares stratégistes qui peuvent s’offrir le luxe de dire ce qu’il pense, car il est totalement indépendant et ne fait partie d’aucune chapelle subventionnée par les pouvoirs publics d’une façon ou d’une autre.

    Voilà les principales idées qu’il a développées :

    Les banques centrales manipulent plus que jamais les taux d’intérêt et les parités de change. Aux Etats-Unis, en Europe, au Japon. Cela a pour conséquence que la volatilité des marchés est devenue artificielle. Le fait que les taux courts, au plus bas depuis 3 mois, soient maintenus trop bas depuis cinq ans et que le rendement du Bon du trésor à 10 ans soit à 2,50% a trois effets :

    1/ Des taux artificiels trop bas ne poussent pas les gouvernements à diminuer rapidement le niveau de leurs dépenses publiques. Le gouvernement français aime à répéter que le fait que l’Agence France Trésor ait pu réaliser, depuis le début de l’année, tous ses refinancements au taux de 1,49% serait le signe de l’hommage rendu par les investisseurs internationaux à la grande sagesse de la politique économique française !

    2/ Ils amènent une baisse structurelle de la croissance. Toutes les périodes de laxisme monétaire excessif entrainent une croissance de la sphère de l’Etat au détriment du secteur privé.

    3/ Ils provoquent une très mauvaise allocation du capital. Quand la bulle keynésienne éclate, elle se produit sur des actifs improductifs comme l’immobilier. Les systèmes complexes dont on a supprimé artificiellement l’instabilité deviennent très fragiles. Ces systèmes artificiellement contraints sont enclins à ce que Nassim Taleb économiste appelle les « cygnes noirs »…

    Les montants spectaculaires de liquidités mis par les banques centrales à la disposition des banques pour faire baisser les taux d’intérêts ont très peu servi à financer l’économie réelle et beaucoup à provoquer des bulles dans de nombreuses classes d’actif comme les actions, l’immobilier et les œuvres d’art. Il existe curieusement un consensus parmi les différentes cercles d’économistes (les économistes de Gauche, les économistes du Front de Gauche, les économistes progressistes, les économistes atterrés, les économistes déconomistes etc…) pour penser que les taux d’intérêts proches de zéro permettent de relancer la croissance. L’examen de la réalité montre que depuis cinq ans, ce n’est absolument pas le cas, comme on peut le constater.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  9. Une forte baisse du prix du pétrole de l’ordre de 50% serait une des routes qui pourrait permettre à l’économie mondiale de repartir. Le développement du gaz et du pétrole de schiste aux Etats Unis, en diminuant leur dépendance par rapport au Moyen Orient, fait partie de cette stratégie.

    Quand le rendement des obligations américaines (notés BAA ) émises par les entreprises est supérieur de 250 points de base à celui de la croissance de l’économie, ce qui est presque le cas en ce moment, on a peu de temps après une récession. C’est ce qui s’est produit depuis 60 ans, chaque fois que l’événement s’est produit. Une récession peut se transformer en dépression si la Fed baisse ses interventions trop rapidement. C’est tout le problème du fameux « tapering », l’ajustement auquel doit procéder la banque centrale américaine.

    L’avalanche de liquidités procurées par la Federal Reserve américaine fait baisser le dollar qui est la monnaie de réserve du commerce mondial. La balance des paiements courants des Etats-Unis est excédentaire avec le monde entier sauf avec la Chine et les pays qui lui fournissent du pétrole. Plus cette balance va s’améliorer, avec le retour de la compétitivité de l’industrie américaine, plus cela constituera une mauvaise nouvelle pour l’économie mondiale. En effet, les Etats-Unis sont le premier fournisseur de la liquidité internationale. Chaque fois que cet événement s’est produit dans le passé, il s’est produit des crises financières en dehors des Etats-Unis. Même si le Renminbi progresse, sa montée en puissance prendra de nombreuses années.
    L’Euro est surévalué, surtout par rapport au dollar, après le remboursement des LTRO par les banques. Ces "Long Term Refinancing Operations” sont le dispositif qui avait permis à la BCE d’apporter des liquidités aux banques qui n’étaient plus en position d’emprunter sur les marchés. L’Euro reste un système bancal qui ne peut fonctionner dans la durée puisqu’il n’existe pas de mécanisme d’ajustement des différences de productivité des pays membres. Autrefois, ces différences étaient réglées par des dévaluations ponctuelles devenues impossibles. Ce qui ne peut s’ajuster a vocation à exploser dans un cadre où des pays qui ont des stratégies économiques et fiscales totalement différentes partagent la même monnaie.

    Le marché américain n’est plus bon marché, surtout après sa surperformance des derniers mois. Son Price/Earning Ratio (rapport Cours de bourse/Bénéfices) se trouve autour de 16X, soit sa moyenne historique. Malgré ce niveau de valorisation, peu d’investisseurs ont le courage de ne plus être exposés aux valeurs américaines. Il faut faire attention, car les marges des entreprises sont proches de leur plus haut niveau et les bénéfices ne sont pas sur une trajectoire très dynamique, comme le démontrent les nombreux avertissements sur résultat.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  10. En Asie, les marchés attractifs sont le Japon et la Chine

    Pour Louis Gave de GaveKal à Hong Kong, la Chine enregistre en ce moment des chiffres économiques meilleurs que prévus. L’inflation est sous contrôle et on assiste à une montée régulière du Renminbi. C’est la seule devise asiatique à être en hausse. Près de 18% du commerce extérieur chinois est réalisé maintenant en Renminbi.

    Sur les marchés financiers en Asie, l’acheteur final qui détermine les flux est soit le particulier, soit l’investisseur étranger. Cela donne des vagues de marché très puissantes.

    Aujourd’hui, les marchés en Asie sont sous évalués.

    Le Japon est probablement le marché le plus intéressant, à condition de se couvrir contre la baisse du Yen. L’épargne des ménages japonais représente 8000Md$ qui, pour le moment, ne leur rapporte pratiquement rien. Acheter les actifs que les épargnants japonais vont acheter semble être un des thèmes d’investissement forts pour les prochaines années, comme cela avait été le cas il y a dix ans avec la Chine. Il faut être prudent sur les pays qui sont très dépendants de la liquidité dollar comme l’Australie et la Nouvelle Zélande. La Corée, Taiwan et Singapour offrent aussi des opportunités.

    Le Japon va concurrencer l’Allemagne. Ils en ont les moyens avec les 8000Md$ d’épargne des ménages japonais qui ne rapportent quasiment rien. Les investisseurs avisés essaieront d’acheter les classes d’actif qui seront attractives pour Madame Watanabe, l’épargnante japonaise type. Curieusement, depuis le début de l’année, elle a acheté pour 65Md$ d’obligations du Trésor émises par le gouvernement français, car elle apprécie beaucoup le rendement.

    En Europe, le « keynésianisme thatchérien » est en marche partout sauf en France

    L’Europe était une zone instable. Il fallait stopper son agonie politique.
    Un armistice a été signé sur les plans budgétaire (moins d’austérité...) et monétaire (la BCE a mis en place l’OMT avec l’accord de l’Allemagne). L’Europe est donc devenue une zone moins restrictive que le reste du monde. Tous les pays qui se redressent pratiquent comme le décrit François-Xavier Chauchat de GaveKal un « keynésianisme thatchérien » qui consiste à piloter plus intelligemment l’économie. Après les élections allemandes, cet armistice a peu de chances d’être rompu. Les actifs européens sont historiquement encore sous évalués en absolu et en relatif. C’est le secteur considéré comme « value » qui devrait encore monter (banques, télécoms, énergie).

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  11. La France était au bord de la dépression. François Hollande n’a visiblement pas encore assimilé les parcours de Gerard Schröder et de Tony Blair. L’Allemagne avec son nouveau gouvernement devrait s’engager dans une relance budgétaire pour stimuler la consommation intérieure au moment où les exportations allemandes vont souffrir de la baisse du yen. La Grande Bretagne crée des emplois. L’Italie est sortie de la procédure de déficit excessive,

    Le gouvernement français continue semaines après semaines à envoyer de très mauvais signes envoyés à l’économie française. Ils sont si nombreux cette semaine qu’il devient presque impossible de les commenter tous :

    L’attaque sur les prélèvements sociaux, déclenchée par le gouvernement pour boucler son budget, se solde par un recul du gouvernement. Il a voulu augmenter la taxation des gains réalisés lors du rachat de produits de placement comme le PEA, le PEL et les contrats d’assurance vie. Il s’agissait d’appliquer un taux de prélèvement uniforme de 15,5% sur l’ensemble des gains réalisés depuis 1997, année qui correspond à l’entrée de ces produits dans l’assiette de la CSG…

    Pour les contrats d’assurance vie, qui prévoit d’ajouter aux revenus de l’année la valorisation latente de l’épargne placée en assurance vie, André Lévy Lang, ancien président de Paribas, a montré dans un article des Echos que si le dispositif envisagé par le gouvernement était mis en place on arriverait, pour un contribuable qui a acheté un appartement à Paris et constitué un portefeuille d’actions avec de l’épargne qui a déjà payé l’impôt, à un taux effectif d’imposition de 98% (75%+15,5%+7,5%).

    La super taxe sur le capital, soit une imposition automatique de 10% sur tous les ménages disposant d’une épargne positive, pourrait enfin être mise en place par les brillants esprits en charge de la fiscalité. Ce serait probablement l’apothéose de la période de répression financière que nous sommes en train de vivre.

    http://www.atlantico.fr/rdv/revue-analyses-financieres/seule-forte-baisse-prix-petrole-pourrait-faire-repartir-economie-mondiale-jean-jacques-netter-884237.html

    RépondreSupprimer
  12. Keith Alexander au Congrès américain: NSA espion en chef accuse les Européens d'y être avant en Amérique


    Les autres font, mais aussi - comme en est au sujet de la stratégie de défense de la NSA chef Keith Alexander. Au Congrès, il a affirmé que les alliés européens se tournent opération d'espionnage aux Etats-Unis. Parmi les objectifs sont des politiciens soi-disant américaine et les agences de renseignement.

    Washington - La NSA américaine est en Spähaffäre à l'offensive. NSA chef Keith Alexander, a déclaré mardi soir au Congrès américain que les alliés européens se tournent espion sur des cibles aux États-Unis.

    À la Chambre des représentants le comité Intelligence a été demandé: «Pensez-vous que les alliés ont mené espionnage contre les Etats-Unis d'Amérique ?" Directeur du renseignement James Clapper a répondu: «Absolument, oui." Demander à Keith Alexander: "L'Union européenne ?" Réponse: "Oui." Plus la demande: «C'est aussi aujourd'hui encore" Alexander: "Pour autant que je sache, oui."

    Clapper a expliqué plus loin, il suppose que même les politiciens américains et les agences de renseignement américaines ont été victimes de suivi. "L'obtention de dirigeants étrangers est l'objectif central de l'espionnage."
    Clapper et Alexander défendu le Spähaktionen US vigoureusement. «Nous espionner les Américains et les citoyens de tous les autres Etats non détournements de" Clapper assuré, Alexander a ajouté: «Nous établissons des normes élevées pour nous-mêmes au importe où nous exerçons nos activités, ici ou à l'étranger .." Le comité a eu les patrons du renseignement initialement convoqués comme témoins pour expliquer que l'espionnage des citoyens américains. Des révélations récentes, cependant, ont donné la nature explosive de consulting international.

    Alexander décrit les rapports des médias au cours des derniers jours , après quoi la NSA avait collecté durant le français, l'espagnol et l'italien, comme "totalement faux". Ceux qui ont analysé les documents Snowden "ne comprenaient pas ce qu'ils ont vu." Au contraire, il s'agit de données que les Alliés eux-mêmes avaient rassemblé et partagé avec la NSA. Il a confirmé un rapport dans le "Wall Street Journal". Même le républicain Mike Rogers, Président du Comité s'est moqué de «pauvre, déclaration inexacte».

    http://www.spiegel.de/politik/ausland/nsa-chef-keith-alexander-wirft-europaeern-spionage-in-usa-vor-a-930732.html

    RépondreSupprimer
  13. US espion en chef affirme que les alliés espionnaient les dirigeants américains, les services de renseignement

    Directeur du renseignement national James Clapper témoigne devant un comité du renseignement du Sénat entendant la législation Intelligence Surveillance Act étrangères sur la colline du Capitole à Washington, le 26 Septembre 2013.

    WASHINGTON | Mar 29 octobre 2013 14:48 HAE

    WASHINGTON (Reuters) - Directeur du renseignement national américain James Clapper a déclaré mardi que les alliés étrangers procèdent régulièrement à des activités d'espionnage contre les dirigeants américains et les services de renseignement.

    En réponse à une série de questions au cours d'une audition devant la Chambre des représentants Intelligence Committee, Clapper a déclaré espionner les dirigeants étrangers est un principe fondamental des opérations de renseignement.

    http://www.reuters.com/article/2013/10/29/us-usa-security-spying-idUSBRE99S15T20131029

    RépondreSupprimer
  14. Invité Message: Les effets indésirables de la stimulation monétaire

    Soumis par Tyler Durden le 29/10/2013 17:13 -0400
    Soumis par Alasdair Macleod via GoldMoney.com ,

    Un certain nombre de personnes m'ont demandé de développer sur la façon dont l'expansion rapide de la masse monétaire conduit à un effet inverse de celui prévu: une baisse de l'activité économique. Cet effet commence au début de la phase de reprise du cycle de crédit, et est particulièrement marquée aujourd'hui en raison du taux agressive de l'inflation monétaire. Cet article prend le lecteur à travers les événements qui ont conduit à cette issue inévitable.

    Il y a deux faits économiques indiscutables à garder à l'esprit. Le premier est que le PIB est simplement un argent-total des transactions économiques, et une banque centrale favorise une augmentation du PIB en mettant à disposition plus d'argent et donc le crédit bancaire pour gonfler ce nombre. Ce n'est pas la même chose que de véritables progrès économique, ce qui est ce que les consommateurs désirent et entrepreneurs fournir dans un marché sans entraves avec de l'argent fiable. Le deuxième fait est que l'argent nouvellement émises n'est pas absorbé dans une économie homogène: il doit être remis à quelqu'un d'abord, comme une banque ou ministère du gouvernement, qui passe à son tour il à quelqu'un d'autre à travers leurs relations et ainsi de suite, étape par étape jusqu'à ce qu'il soit finalement dispersé.

    Comme l'argent neuf entre l'économie, il entraîne naturellement les prix des marchandises achetées avec elle. Cela signifie que quelqu'un cherche à acheter un produit similaire sans le bénéfice de l'argent neuf estime qu'il est plus cher, ou mettre plus correctement le pouvoir d'achat de son salaires et l'épargne a diminué par rapport à ce produit. Par conséquent, les nouveaux avantages monétaires ceux qui obtiennent d'abord aux dépens de tout le monde. De toute évidence, si de grandes quantités d'argent frais sont mobilisés par une banque centrale, comme c'est le cas aujourd'hui, le transfert de la richesse de ceux qui reçoivent l'argent plus tard pour ceux qui l'obtiennent tôt sera d'autant plus grand.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  15. Maintenant regardons l'environnement monétaire d'aujourd'hui aux Etats-Unis. L'effet de richesse transfert n'est pas adéquatement enregistré, parce que les statistiques officielles de l'inflation ne saisissent pas l'augmentation réelle des prix à la consommation. La différence entre les chiffres officiels et une estimation plus exacte de l'inflation américaine est illustrée par John Williams de Shadowstats.com, qui estime qu'il est 7% plus élevé que le taux à peu près 9% officielle, en utilisant la méthodologie de calcul du gouvernement avant 1980. De manière simpliste et en supposant qu'aucun inflation des salaires, ce rapproche du taux actuel de transfert de richesse de la majorité des gens à ceux qui d'abord recevoir la nouvelle monnaie de la banque centrale.

    La Fed financement a occupé la majeure partie de l'emprunt du gouvernement. L'argent nouvellement émis dans les mains du gouvernement est largement distribué, et maintient les prix des biens et services les plus élémentaires à un niveau plus élevé qu'ils ne le seraient autrement. Toutefois, dans ce financement, la Fed crée des réserves excédentaires sur son propre bilan, et c'est cet argent que nous considérons.

    Les réserves sur le bilan de la Fed sont en fait des dépôts, les actifs des banques commerciales et autres institutions de dépôt nationaux et étrangers qui utilisent la Fed comme une banque, de la même façon le reste d'entre nous ont des dépôts bancaires dans une banque commerciale. Ainsi, même si ces dépôts sont sur le bilan de la Fed, ils sont la propriété de banques individuelles.

    Ces banques sont libres de puiser dans leurs dépôts à la Fed, tout comme vous et moi pouvons puiser dans nos dépôts. Cependant, parce que les banques américaines ont été aversion au risque et sous la pression réglementaire pour améliorer leur propre situation financière, ils ont eu tendance à laisser de l'argent en dépôt à la Fed, plutôt que d'employer pour des activités financières. Il ya des signes cela change.

    Plutôt que de gagner un quart de un pour cent, une partie de ce dépôt d'argent a été employé dans la spéculation financière sur les marchés dérivés, ou trouvé sa place dans le marché boursier, entré dans l'immobilier résidentiel, et une partie est maintenant d'entrer dans les prêts à la consommation pour le crédit- emprunteurs dignes.

    Outre le déficit budgétaire du gouvernement, ces chaînes représentent des façons dont l'argent est entrée dans l'économie. Par ailleurs, tous ceux qui travaillent dans les principaux centres de la finance est bien payé, donc les prix à New York et Londres sont entraînés plus élevé que dans d'autres villes et dans les le pays dans son ensemble. Ils passent leurs primes sur les voitures de luxe et maisons de campagne, bénéficiant vendeurs et les valeurs de propriété dans des endroits branchés. Et avec les cours des actions proches de leurs plus hauts historiques, les investisseurs dont le portefeuille se sentent partout en meilleure situation financière, afin qu'ils puissent augmenter leurs dépenses ainsi.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  16. Toutes les dépenses supplémentaires stimule PIB, et dans une certaine mesure, il a un effet boule de neige. Banques délier les cordons de la bourse un peu plus, et l'augmentation des dépenses de plus. Mais le nombre de personnes bénéficiant n'est qu'une petite minorité de la population. Le reste, faible -payés des travailleurs à revenu fixe, les retraités, les personnes vivant sur de modestes économies en espèces à la banque, et les employés à temps partiel ainsi que les chômeurs à trouver leur coût de la vie a augmenté. Ils pensent tous que les prix ont augmenté, et ne comprennent pas que leurs revenus, pensions et l'épargne ont été réduits par l'inflation monétaire: ils sont les victimes ultimes de transfert de richesse.

    Alors que les produits de luxe sont en forte demande à Londres et à New York, marchands générales dans le pays trouvent des conditions de marché difficiles. Des prix plus élevés forcent la plupart des gens à dépenser moins, ou à chercher des alternatives moins chères. Les fabricants de biens de consommation courante doivent trouver des moyens de réduire les coûts, y compris le personnel de tir. Après tout, si vous transférez la richesse des gens ordinaires, ils vont tout simplement dépenser moins et les entreprises vont souffrir.

    Nous avons donc un paradoxe: la croissance du PIB reste positive: en effet artificiellement forte en raison de la sous-enregistrement de l'inflation, alors qu'en réalité l'économie est en plein marasme. La hausse du PIB, ce qui reflète l'argent dépensé par le peu de chance avant qu'il ne soit absorbé dans la circulation générale, se cache une situation pire qu'avant économique. L'effet de l'expansion de l'argent neuf dans l'économie ne fait pas la majorité des gens mieux, au lieu de cela les rend moins bien lotis en raison de l'effet de transfert de la richesse. Pas étonnant que le chômage reste obstinément élevé.

    Elle est la plus fréquente erreur dans l'économie aujourd'hui que l'inflation monétaire stimule l'activité. Au lieu de cela, il bénéficie de la minorité au détriment de la majorité. L'expérience de tous les inflations de change est juste que, et le pire de la inflation le plus la majorité de la population est pauvre.

    Le problème pour les banques centrales est que l'alternative à maintenir un rythme accéléré de la croissance monétaire, c'est risquer de déclencher une crise de la dette généralisée impliquant à la fois les gouvernements surendettés et aussi des entreprises plus étendu et la maison des propriétaires. C'est pourquoi le concept de rétrécissement, ou de mettre un frein sur le taux de création monétaire, les marchés à travers le monde déstabilisé et a été rapidement abandonnée. Avec les banques sous-capitalisées déjà pressés entre les mauvaises créances et les passifs des déposants, il ya le potentiel pour une cascade d'échecs financiers. Et alors que de nombreux banquiers centraux pourraient profiter de la lecture et la compréhension de cet article, la vérité est qu'ils ne sont pas nommés pour faire face à la réalité que l'inflation monétaire est économiquement destructrice, et que l'expansion de la monnaie escalade pris à sa conclusion logique: la monnaie elle-même finira par devenir inutile.

    http://www.zerohedge.com/news/2013-10-29/guest-post-adverse-effects-monetary-stimulation

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Lapidaire comme analyse, non ?
      Pour moi, lorsqu'est tirée monnaie: ce sont toujours les mêmes qui en profitent et non 'tout-le-monde'. Et que, ceux qui font tourner le monde ne sont pas les Dirigeants ou les banquiers qui en freinent l'élan mais le peuple qui travaille et consomme.

      Supprimer
  17. 10 signes que Obamacare va détruire l'économie américaine

    Par Michael Snyder,
    le 29 Octobre 2013

    Il est difficile de trouver les mots pour décrire adéquatement combien de Obamacare en cas de catastrophe est en passe de l'être. Les débuts de Healthcare.gov a été sans doute le pire lancement d'un site majeur de l'histoire, des millions d'Américains ont leurs politiques actuelles de l'assurance maladie annulés, des millions d'autres voient la taille de leurs primes d'assurance-maladie absolument exploser, et cette nouvelle loi qui va se traduire par un nombre considérable d'emplois perdus. C'est presque comme si Obamacare a été spécialement conçu pour détruire l'économie américaine. Non pas que ce que nous avions avant Obamacare était grande. En fait, j'ai longtemps soutenu que le système de santé américain est un accident de train complète et totale. Mais maintenant Obamacare fait tout ce qui était mauvais au sujet de notre système bien pire. Américains vont payer beaucoup plus pour les soins de santé, la qualité de ces soins va descendre, ils vont avoir à traiter avec un ruban rouge beaucoup plus médical, et des milliers d'employeurs américains envisagent de se débarrasser de la santé plans qu'ils offrent aux employés tout à fait raison d'Obamacare. Si le système de santé américain était une nation indépendante, il serait le 6ème plus grande économie de la planète entière, et maintenant Obamacare va absolument paralyser. Dire que Obamacare est une «catastrophe économique» serait un euphémisme énorme.

    Bien sûr, on nous a assuré qu'il ne serait pas tourner de cette façon. On nous a promis à maintes reprises que nous allions payer moins pour les soins de santé, obtenir une meilleure couverture, et être capable de garder nos plans de santé actuel si nous avons été heureux avec eux. Voici ce que dit M. Obama lors d'un meeting en 2009 ...

    "Tout d'abord, si vous avez une assurance santé, vous aimez vos médecins, vous aimez votre plan, vous pouvez garder votre médecin, vous pouvez conserver votre plan. Personne ne parle de prendre que loin de vous."
    Oh vraiment ?

    C'était un mensonge spectaculaire que même NBC Nouvelles tourne sur lui. Ils ont découvert que Obama a connu depuis trois ans que la plupart des gens qui comptent sur les polices individuelles d'assurance maladie ne serait pas en mesure de les garder ...

    Enterré dans la réglementation Obamacare de Juillet 2010 est une estimation qui en raison du roulement normal dans le marché de l'assurance individuelle ", de 40 à 67 pour cent" des clients ne sera pas en mesure de maintenir leur politique. Et parce que de nombreuses politiques auront été changé depuis la date clé, «le pourcentage des politiques du marché individuelles de perdre son statut de grand-père dans une année donnée dépasse la gamme de 40 à 67 pour cent."

    Cela signifie que l'administration savait que plus de 40 à 67 pour cent de ceux dans le marché individuel ne serait pas en mesure de garder leurs plans, même s'ils les aimaient.
    Quasiment tout ce que Obama nous a dit quand il nous vendait sur son plan s'est avéré être un mensonge.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  18. Alors, que pouvons-nous attendre de Obamacare aller de l'avant ? Ce qui suit sont 10 signes que Obamacare va détruire l'économie américaine ...

    # 1 Il est prévu que des millions et des millions d'Américains vont perdre leurs plans d'assurance-santé actuel grâce à Obamacare. La plupart seront confrontés avec le choix d'acheter une assurance santé beaucoup plus cher ou aller assurés. Cela mettra encore plus l'accent sur une classe moyenne qui est déjà désintègre rapidement. Ce qui suit est de la récente enquête NBC Nouvelles mentionné ci-dessus ...

    Quatre sources profondément impliqués dans la Loi sur les soins abordables disent NBC Nouvelles que 50 à 75 pour cent des 14 millions de consommateurs qui achètent leur assurance individuelle peut s'attendre à recevoir une lettre «d'annulation» ou l'équivalent au cours de la prochaine année parce que leurs politiques existantes ne sont pas répondre aux normes imposées par la nouvelle loi sur les soins de santé. Un expert a prédit que ce nombre pourrait atteindre jusqu'à 80 pour cent. Et dire que beaucoup de ceux qui sont contraints d'acheter de nouvelles politiques plus coûteux connaîtra «choc."
    # 2 Les augmentations de primes d'assurance de santé que certaines familles éprouvent sont absolument ahurissant. Selon Mike Adams de Nouvelles naturelle , une famille au Texas vient de se faire frapper avec une augmentation du taux de 539% ...

    Obamacare est nommé la «Loi sur les soins abordables», après tout, et le président a promis les tarifs seraient «aussi bas que une facture de téléphone." Mais je viens de recevoir une lettre confirmée par un ami au Texas montrant une augmentation du taux de 539% sur une politique existante qui a été en règle pendant des années.

    Comme la lettre révèle (voir ci-dessous), le coût de la politique de ce couple sous Humana est en hausse de 212,10 $ par mois à 1,356.60 $ par mois . C'est pour un couple en bonne santé dont le revenu combiné est inférieur à $ 70K - une famille de classe moyenne, en d'autres termes.
    Selon NBC Nouvelles , un couple âgé en Caroline du Nord a été frappée par une augmentation du taux similaire ...

    George Schwab, 62 ans, de Caroline du Nord, a déclaré qu'il était "parfaitement heureux" avec son plan de Blue Cross Blue Shield, qui a également assuré sa femme pour une prime mensuelle de 228 $. Mais ce passé Septembre, il a été surpris de recevoir une lettre disant sa politique n'était plus disponible. Le plan "comparable" la compagnie d'assurance lui a offert une prime mensuelle réalisée 1,208 $ et une franchise de $ 5,500.
    Beaucoup d'Américains qui étaient auparavant en faveur de l'Obamacare sont maintenant contre elle après avoir vu ce qu'il va faire à leurs budgets. Ce qui suit est un exemple de ce à partir d'un récent article du Los Angeles Times ...

    Pam Kehaly, président de Anthem Blue Cross de Californie, a dit qu'elle a reçu une lettre récente d'une jeune femme se plaindre d'un relèvement des taux de 50% liée à la loi de santé.
    "Elle a dit:« J'étais tout pour Obamacare jusqu'à ce que j'ai découvert que je payais pour elle, »Kehaly dit.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  19. # 3 Obamacare comprend réellement inciter les gens à travailler moins et font moins d'argent. Ce qui suit est un exemple d'un article récent par Sean Davis ...
    En Californie, un couple qui gagne 64 000 $ (46.576€) par année ne serait pas admissible à des subventions de la santé. Un plan bronze pour eux par Kaiser leur coûterait environ 1300 $ (946€) par mois, soit 15.600 dollars (11.352€) par an. Mais si cette même famille a gagné un peu moins de $ 2000, il aurait droit à plus de 14.000 dollars en subventions annuelles de santé, laissant tomber leurs primes pour ce même plan de Kaiser à moins de 100 $ par mois.

    # 4 Heureusement, le mandat de l'employeur dans Obamacare a été retardée pendant un certain temps, mais il finira par entraîner des pertes d'emplois massives dans tout le pays. En fait, nous commençons déjà à voir cela se produire. Ce qui suit provient d'un article paru récemment dans The Economist ...
    Avant la récession, l'entreprise de nettoyage de Richard Clark en Floride comptait 200 employés, dont près de la moitié d'entre eux travaillent à temps plein. Ces jours-ci il a environ 150, dont 80% à temps partiel. Le ralentissement explique en partie cela. Mais M. Clark blâme également la réforme de santé de Barack Obama. Quand il entrera en vigueur en Janvier 2015 Obamacare va exiger des entreprises comptant plus de 50 employés à temps plein à leur assurance santé abordable offrir ou payer une amende de 2000-3000 $ par travailleur. C'est une perspective intimidante pour les entreprises qui n'ont pas déjà une couverture. Mais pour beaucoup, il ya un moyen de contourner la loi.
    M. Clark dit qu'il est «très prudent avec le seuil". Pour conserver sa main-d'œuvre à temps plein sous le chiffre magique de 50, il s'appuie plus sur à temps partiel. Il n'est pas seul. Entreprises de plus de un sur dix interrogées par Mercer, un cabinet de conseil et un sur cinq au détail et l'hospitalité sociétés disent qu'ils vont couper les heures de travailleurs en raison de Obamacare. Une centaine de travailleurs à temps partiel peut se retourner autant de hamburgers que 50 employés à temps plein, et l'ancien sera bientôt beaucoup moins cher.
    Vous pouvez trouver une très longue liste de certains des employeurs qui ont soit supprimé des emplois ou d'heures coupées à cause de Obamacare ici .

    N ° 5 Même si vous êtes en mesure de garder votre emploi, il n'y a aucune garantie que votre employeur continuera à offrir une assurance santé comme un avantage social. En fait, il est rapporté qu'un grand nombre d'employeurs ont déjà décidé de ne plus offrir une assurance santé à leurs employés en raison de Obamacare.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  20. # 6 Selon CBS Nouvelles, jusqu'à présent, le nombre de personnes qui ont eu leurs politiques d'assurance santé annulée est plus de trois fois supérieur au nombre de personnes qui ont signé de nouvelles politiques sous Obamacare ...
    CBS Nouvelles a appris plus de deux millions d'Américains ont été informés qu'ils ne peuvent pas renouveler leurs polices d'assurance actuelles - soit plus du triple du nombre de personnes ont dit être l'achat d'assurance en vertu de la nouvelle Loi sur les soins abordables, communément appelé Obamacare.

    # 7 Si ce qui se passe à New York est une indication, ceux qui s'inscrivent à l'assurance maladie sous Obamacare va y avoir un temps vraiment, vraiment difficile de trouver un médecin ...
    New York médecins traitent ObamaCare comme la peste, un nouveau sondage révèle.
    Un sondage mené par le New York State Medical Society estime que 44 pour cent des médecins ont dit qu'ils ne participent pas au nouveau plan de soins de santé de la nation.
    Un autre 33 pour cent disent qu'ils sont toujours pas sûr que ce soit pour devenir des fournisseurs ObamaCare.
    Seulement 23 pour cent des 409 médecins interrogés ont dit qu'ils vont prendre les patients qui se sont inscrits à travers des échanges de la santé.

    # 8 Obamacare est en passe de devenir une mine d'or pour les pirates et les voleurs d'identité. Les informations personnelles de millions d'Américains pourrait finir par être compromise. Selon CNN , Healthcare.gov a été trouvé pour être grouillant de failles de sécurité ...
    Le site Obamacare a plus de bugs gênants. Un expert en cybersécurité a trouvé un moyen de pirater les comptes des utilisateurs.
    Jusqu'à ce que le ministère de la Santé a fixé le trou de sécurité la semaine dernière, n'importe qui peut facilement réinitialiser votre mot de passe Healthcare.gov à votre insu et potentiellement pirater votre compte.
    Et selon le New York Post , Healthcare.gov a été conçu si mal du point de vue de la sécurité que cela pourrait être "reconstruit à partir de zéro" ...
    Le président du Comité de la Chambre Intelligence dit le site web de ObamaCare, déjà un fouillis, peut-être besoin d'être reconstruit à partir de zéro pour se protéger contre les cyber-voleurs parce qu'il craint que ce n'est pas un endroit sûr pour le moment pour les consommateurs de soins de santé pour déposer leurs renseignements personnels .
    "Je sais qu'ils ont appelé dans une autre entité privée pour essayer d'aider à la sécurité de celui-ci. Le problème, c'est qu'ils peuvent avoir à repenser l'ensemble du système », a dit le représentant Mike Rogers dimanche sur CNN« État de l'Union "talk-show politique. «La façon dont le système est conçu, il n'est pas sûr."

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  21. N ° 9 Comme je l'indiquais dans un précédent article , environ 60 pour cent de toutes les faillites personnelles aux États-Unis sont liés à des factures médicales. Parce que des millions d'Américains sont en train de perdre leurs politiques d'assurance maladie et des millions d'autres vont choisir de payer l'amende plutôt que de s'inscrire à Obamacare, plus d'Américains que jamais vont se retrouver dépassés par les factures médicales quand ils arrivent gravement malade. Cela se traduira par encore plus de faillites personnelles.

    # 10 En fin de compte, le fardeau de payer pour les subventions que les offres Obamacare va tomber massivement sur les contribuables. Cela va causer notre dette nationale cauchemardesque de s'aggraver encore. Peter Schiff a récemment expliqué pourquoi ce qui va se passer ...

    Il est également ironique que, plans catastrophiques franchise élevée sont précisément ce que les jeunes devraient acheter en premier lieu. Ils sont peu coûteux, car ils fournissent une couverture pour improbables, mais cher, événements. Pour l'entretien courant est le mieux payé out-of-pocket en valeur les consommateurs soucieux. Mais Obamacare proscrit ces plans, en faveur de ce qui revient au prépayé traitement médical qui décale le coût des services aux contribuables. Dans un tel système, les patients n'ont aucune incitation à contenir les coûts. Depuis le plus grand facteur déterminant des coûts de santé plus élevés en premier lieu a été l'utilisation excessive de l'assurance que les résultats du gouvernement prévu des incitations fiscales, et le manque de transparence des coûts qui résulte d'un système de tiers payant, Obamacare va plier le coût courbe encore plus élevé. Le fait que Obamacare ne fait rien pour freiner les coûts tout en offrant une subvention à l'assurance illimitée peut être de bonnes nouvelles pour les hôpitaux et les compagnies d'assurance, mais il est de mauvaises nouvelles pour les contribuables, sur qui cette augmentation de la charge sera finalement tomber.
    Alors, que pensez-vous de Obamacare ?
    A t-il directement affecté votre vie encore ?

    N'hésitez pas à partager vos pensées en postant un commentaire ci-dessous s'il vous plaît ...

    http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-10-signes-que-obamacare-va-wreck-l-economie-americaine-120858025.html

    RépondreSupprimer
  22. Trahi: démocrates admettent maintenant qu'ils savaient tout au long que des millions perdraient leurs plans de santé existants

    Wednesday, 30 Octobre, 2013
    par Mike Adams , le Ranger Santé

    (Natural News) Le degré de trahison dans la Loi sur les soins abordables (Obamacare) arrive enfin à la surface ... et c'est intense. En tant que haut-démocrate a admis aujourd'hui, les démocrates savaient depuis le début que Obamacare causerait des millions de perdre la couverture des soins de santé . Pourtant, ils ont continué à le promouvoir avec préméditation mensonges tels que «Vous pouvez garder votre plan de santé actuel si vous l'aimez" et "vos coûts d'assurance santé sera inférieur à une facture de téléphone." "Nous savions qu'il y aurait certaines politiques qui ne seraient pas admissibles et donc les gens [de perdre leur couverture existante] », a déclaré Chambre Steny Hoyer démocratique fouet dans un article NationalReview.com . National Review passe pour signaler cet étonnant échange: Demandée par un autre journaliste comment répéter des déclarations faites par Obama à l'effet contraire n'ont pas été «induit en erreur», Hoyer a déclaré: «Je ne pense pas que le message était faux, je pense que le message était exacte Ce n'était pas assez précis ... [il] aurait dû être caveat avec -.». supposant que vous avez une politique qui en fait, ne font que le projet de loi vise à faire. » En d'autres termes, gisant au public n'est pas «mauvais».

    C'est exact, mais pas précis ! C'est ainsi que démocrates pensent, bien sûr: mentir au public d'obtenir leur soutien artificiel, et puis quand les choses vont mal, pousser un fusil dans le visage de tout le monde pour les forcer à se conformer à leurs grands mandats gouvernementaux. C'est l'ensemble du plan d'Obamacare et la plupart des socialistes: l'obéissance à la pointe du fusil. Mao aurait été fier d'appeler Obamacare sienne.

    L'administration Obama savait aussi que «des millions ne pouvaient pas garder leur assurance santé
    Les mensonges de l'administration Obama sont aujourd'hui tellement flagrant et indéniable que même les médias traditionnels commence à exposer. NBC Nouvelles a annoncé aujourd'hui que «des millions d'Américains reçoivent ou sont sur ??le point d'obtenir des lettres de résiliation de leur assurance-santé sous Obamacare, disent les experts , et l'administration Obama a su que pendant au moins trois ans ". NBC Nouvelles poursuit en compte: ... 50 à 75 pour cent des 14 millions de consommateurs qui achètent leur assurance individuelle peut s'attendre à recevoir une "lettre d'annulation ou la équivalent au cours de la prochaine année parce que leurs politiques existantes ne répondent pas aux normes exigées par la nouvelle santé loi de soins. Un expert a prédit que ce nombre pourrait atteindre jusqu'à 80 pour cent. Et dire que beaucoup de ceux qui sont contraints d'acheter de nouvelles politiques plus coûteux connaîtra «choc." ... l'administration savait que plus de 40 à 67 pour cent de ceux dans le marché individuel ne serait pas en mesure de garder leurs plans, même si ils les aimaient. Pourtant, le président Obama, qui avait promis en 2009, "si vous aimez votre plan de santé, vous serez en mesure de garder votre plan de santé», disait encore en 2012: «Si [vous] avez déjà une assurance santé , vous permet de garder votre assurance maladie. " Comme tout le reste jailli par Obama, toutes ces demandes étaient bien sûr des mensonges éhontés.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  23. Lies Within se trouve enveloppé dans le mensonge et emballés dans la langue de «prestations»
    Obama n'est pas simplement un menteur, mais un menteur sociopathe qui n'a aucun remords pour le coût social massif de ses actions. Il trompe délibérément les Américains en soutenant un plan qui a été conçu dès le départ pour détruire l'économie américaine et de laisser des dizaines de millions de personnes en faillite médicale avec aucune assurance. Ce n'est pas simplement un débat pour savoir qui gagne ou perd, c'est une question qui impact sur la vie de dizaines de millions d'Américains. Il apparaît aujourd'hui que 16 millions d'Américains vont perdre leur merci d'assurance maladie à Obamacare, et les employeurs réduisent leurs heures de travail, des postes de travail et plus encore. Obamacare est dévastatrice de l'économie et de la culture américaine comme une apocalypse économique. Voici quelques-uns des mensonges que nous avons tous été informés par Obama et ses acolytes criminels:
    Mensonge n ° 1) "Le plan moyen de l'assurance de la famille va coûter de 2500 $ de moins par année . "
    Mensonge n ° 2) "Vous pouvez garder votre régime, la période". (Mensonge total!)
    Mensonge n ° 3) "Vous pouvez garder votre médecin." (Mensonge vicieux !)
    Mensonge n ° 4) "L'ACA ne fera qu'ajouter 900 milliards de dollars du déficit au cours des dix prochaines années." (Mensonge mathématique.)
    Mensonge n ° 5) "Ceci est tout au sujet de la fourniture santé abordables assurance pour presque tous les Américains. " (En vérité, il s'agit de la destruction totale de l'économie américaine, les travailleurs et les employeurs.)

    Les augmentations de taux de 400% - 500% ou plus désormais commun
    Comme nous sommes tous en train de découvrir, Obamacare n'est pas des soins de santé "abordable", c'est des soins de santé obligatoire à des tarifs monopolistiques prix abusifs. Par exemple, comme NBC News rapporte : George Schwab, 62 ans, de Caroline du Nord, a déclaré qu'il était " parfaitement heureux "avec son plan de Blue Cross Blue Shield, qui a également assuré sa femme pour une prime mensuelle de 228 $. Mais ce passé Septembre, il a été surpris de recevoir une lettre disant sa politique n'était plus disponible. Le plan "comparable" la compagnie d'assurance lui a offert effectué une prime mensuelle 1,208 $ et un 5500 $ de franchise. Nouvelles Natural fait état d'un cas où un couple a été dit qu'ils allaient avoir à payer 539% de plus pour la couverture des soins de santé, grâce à Obamacare. Leurs taux montaient à partir de 212 $ par mois à 1,356.60 $ par mois. Pour Obama pour appeler ces plans de soins de santé «abordable» est un mensonge scandaleux, et ça va dévaster financièrement des millions de familles à travers l'Amérique qui ne peuvent tout simplement pas se permettre ces augmentations de taux exotiques. Oui, même ceux qui ont voté pour Obamacare Obamacare et optimisme soutenu vont être frappé avec des taux plus élevés, aussi.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  24. Américains indignés par la profondeur de la trahison multi-couches, le mensonge, la tromperie par Obama et les démocrates
    Voici quelques- uns des commentaires des utilisateurs sur la révélation que M. Obama et les démocrates savaient tous ce qui se passerait, mais menti à ce sujet de toute façon: Quelle pièce de vie faible des ordures Steny Hoyer. Les démocrates ont menti à tous les Américains et ne donnent pas une putain de ce qu'ils ont fait. Si cela ne outrage les personnes qui ont acheté dans Obamacare alors ce pays est fini. Le socialisme a gagné. Quel triste jour pour cette fois grand pays, l'Amérique, terre de la utilisés pour être libre. Ils savaient et encore ils sont allés avec le mensonge. Les républicains ont essayé et essayé d'avertir tout le monde et ont été diabolisés pour cela par les médias et le reste des libs. Je parie que cela ne se réveille pas toujours les drones en place de leur stupeur. J'imagine que les gens ne rient pas à Ted Cruz plus. Savaient-ils que leur ordre du jour serait toxique pour le milieu des affaires, et que, dans la première année de l' second mandat de socialiste, 90 millions de personnes seraient sans emploi? Savaient-ils plus de personnes auraient besoin de bons d'alimentation et les prestations d'invalidité ? Savaient-ils que des millions de jeunes gens seraient sans emploi et sans espoir ? Combien ont-ils su ? Et pourquoi détestent-ils l'Amérique ? Même en 2009, quand ils se cachaient derrière des portes verrouillées, en gardant les républicains de trouver ce genre de choses qu'ils avaient déjà décidé de visser la population. Vous devez être un idiot pour soutenir les démocrates quand ils font des trucs comme ça. Maintenant, les républicains sont diabolisés pour avoir tenté de protéger les citoyens de cette sordide, mesquin BS. Donc, combien d'autres occasions telles que la réforme globale de l'immigration sont également vous mentir. A ce stade, nous allons assumer 100% du temps. Ils savaient et ils ont menti. Il est temps d'allumer le standard du Congrès. Pour un mensonge libéral est tout à fait véridique aussi longtemps car il vous ventouses. "... Je pense que le message était exact." -
    Merci Steny, je suis sûr que c'était de notre faute, nous devons avoir écouté erronées. Liars. Et ce n'est pas de leurs affaires damnés ce que la couverture est appropriée pour n'importe qui. Qui a fait Obama un expert en soins de santé? Comme une vieille femme de 59 ans qui est de ne pas avoir plus d'enfants, je n'ai pas besoin de couverture de la maternité. Avec ce régime, qui sait ce qui va arriver tho ? Le Roi Obama pour sûr. Il doit aller, avec chacun d'eux. Je n'ai pas d'assurance, avant Obamacare j'étais responsable à 100% de mes frais de soins de santé. Après Obamacare je suis toujours responsable à 100% de mes frais de soins de santé, mais je dois payer au gouvernement une amende de l'argent que je devais payer mes soins de santé avec. Est-ce un grand plan ou quoi ?
    http://www.naturalnews.com/042717_health_insurance_losing_coverage_Obamacare.html

    RépondreSupprimer