- ENTREE de SECOURS -



lundi 11 mars 2013

Carte courants marins chauds & froids Fukushima/Atlantique

9 commentaires:

  1. Fukushima : le tremblement de terre a été ressenti jusque dans l'espace

    Edité par Clémentine MAZOYER
    le 11 mars 2013 à 13h36 , mis à jour le 11 mars 2013 à 15h03.


    Le tremblement de terre qui a frappé le Japon il y a deux ans aurait été ressenti depuis l'espace, révèle la BBC. Une première pour les scientifiques.
    Le séisme qui a frappé le Japon il y a deux ans a été si puissant qu'il aurait été ressenti depuis l'espace, a révélé la BBC. Selon les scientifiques de l'Agence Spatiale Européenne, le tremblement de terre, de magnitude 9 sur l'échelle de Richter, a envoyé des ondes à travers l'atmosphère, ressenties par le satellite Goce, à 255 km au-dessus de la terre.
    Les vibrations du tremblement de terre ont perturbé la densité de molécules dans l'air et changé leur vitesse. Bien qu'atténuées ces ondes ont été assez importantes pour être enregistrées par Goce une première fois 30 minutes après le séisme, puis de nouveau 25 minutes plus tard.
    Une première pour les scientifiques
    Même s'il était bien connu que les séismes pouvaient générer des ondes dans l'espace, aucun appareil en orbite n'était jusqu'à présent capable de les enregistrer.
    "Nous avons cherché des signaux de ce genre avec d'autres satellites mais n'en avons jamais trouvé, et je pense que c'est parce qu'il faut un appareil ultra-performant," explique Dr. Floberghagen de l'Agence Spatiale Européenne.
    Les scientifiques de l'Agence Spatiale Européenne sont actuellement à la recherche de signaux enregistrés lors du passage de l'astéroïde DA14 dans l'atmosphère, le mois dernier.

    http://lci.tf1.fr/science/nouvelles-technologies/fukushima-le-tremblement-de-terre-ressenti-depuis-l-espace-7876256.html

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  2. Tepco: C'est «vraiment impossible» pour nous garder de le stockage de liquide provenant des réacteurs de Fukushima - Nous avons besoin de penser à les déverser dans l'océan

    (VIDEO)

    Publié: 10 Mars 2013 à 18h15 HE
    Par ENENews


    Titre: chemin vers la guérison: TEPCO Interview exclusive
    Source: NHK
    Date : Mars 4, 2013 h / t MsMilkytheclown1

    Akira Kawano, Tepco directeur général :
    Il est vraiment impossible juste pour accumuler continuellement que l'eau dans les réservoirs.
    Ce n'est pas une solution envisageable.
    Il nous faut donc réfléchir à la possibilité de décharge, ou les autres moyens d'autres - comme l'évaporation ou quelque chose comme ça.
    Voir aussi: Tepco: Nous prévoyons de vider l'eau de l'usine de Fukushima dans l'océan Pacifique

    http://enenews.com/tepco-really-impossible-keep-storing-liquid-fukushima-reactors-need-about-discharging-ocean-video

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  3. AP: Plus de 30 millions de tonnes de déchets nucléaire de Fukushima seul - fumeurs monticules de débris en cas de catastrophe, peut-être dues à la combustion spontanée

    Publié: 10 Mars 2013 à 06h46 HE
    Par ENENews
    Titre: nettoyage du Japon accuse du tsunami, accident nuke
    Source: AP
    Auteur: MARI YAMAGUCHI et ELAINE KURTENBACH

    [...] Il laissera Fukushima, dont l'immense ferme et industrie de la pêche a été walloped par les craintes de rayonnement, avec 31 millions de tonnes de déchets nucléaires ou plus. Autour Naraha, d'énormes dépotoirs temporaires de déchets radioactifs, terrains de football sont de taille et de deux sacs empilés énormes profonde, sont dispersés autour de la zone sinistrée
    Les nettoyages au-delà de Fukushima, Iwate ou dans le nord et Chiba, voisine de Tokyo, dans le sud. Et les préoccupations ne se limitent pas à des radiations. Une promenade à travers les zones de Miyagi et Iwate qui ont déjà été débarrassés des débris trouve beaucoup de détritus toxiques, tels que les batteries des téléphones portables, des câbles électriques, tuyaux en plastique et des bouteilles de gaz.
    Le Japon dispose de la technologie en toute sécurité brûler la plupart des toxines à des températures très élevées, avec des émissions minimales de BPC, de mercure et d'autres poisons. Mais des tas de copeaux de bois dans une zone de traitement balnéaire près de Kesennuma ont été d'émettre de la fumée dans l'air un après-midi d'hiver récent, peut-être par combustion spontanée.
    Les travailleurs de ce site avaient des masques à gaz de haute qualité, une amélioration dès les premiers jours, quand de nombreux travailleurs dans la zone sinistrée n'avait que des masques chirurgicaux, tout au plus, pour les protéger de la poussière et de la fumée contaminée. [...]

    http://enenews.com/ap-31-million-tons-nuclear-waste-fukushima-alone-mounds-debris-smoking-possibly-spontaneous-combustion

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  4. Tepco : « Nous n’avons pas d’autre choix que de relâcher de la radioactivité dans l’environnement »

    Publié le 11 mars 2013 par Trifou


    Partager la publication « Tepco : « Nous n’avons pas d’autre choix que de relâcher de la radioactivité dans l’environnement » »
    Lors d’un passage sur le plateau de NHK World, le directeur général de Tepco, M. Akira Kawano, a estimé qu’il devenait techniquement impossible à son entreprise de continuer de stocker sur le site les effluents radioactifs contaminés par les réacteurs éventrés de Fukushima-Daiichi.
    Tepco et M. Kawano entendent revenir à la grande époque de l’océan-poubelle
    Visiblement très ennuyé d’avoir à s’exprimer de la sorte, le directeur général de Tepco a précisé – les yeux baissés – qu’il existait différentes techniques pour relâcher ce que Tepco se dit désormais incapable de stocker davantage comme “la vidange directe dans l’océan” ou encore “l’évaporation”. Il s’agit en fait d’une technique bien rodée de désinformation : quand on n’est pas capable d’expliquer succinctement “pourquoi”, on explique longuement “comment”.
    (1) Akira Kawano, DG de Tepco, très contrit d’avoir à avouer une nouvelle impuissance
    de l’opérateur dans la gestion de la crise nucléaire de Fukushima-Daiichi (NHK World)
    La décharge directe dans l’océan avait été utilisée du 4 au 11 avril 2011 afin de vidanger plus de 10.000 tonnes d’eau ”faiblement contaminée” 1 du bâtiment-turbine n°. 5 et 6 afin de faire de la place pour stocker l’eau nettement plus contaminée provenant des tranchées des unités n°. 1, 2 et 3.
    La dispersion par évaporation avait quant à elle été utilisée préalablement à l’automne 2011 sous le couvert d’une soi-disant protection des massifs boisés entourant la centrale contre les départs de feu (sic).

    (2) A l’automne 2011, Tepco a dispersé de l’eau radioactive au niveau de l’environnement terrestre
    Ce sont à cette occasion environ 17.000 tonnes d’eau “faiblement” contaminée qui ont été vidangées non seulement au niveau des forêts entourant le site mais également au niveau de routes et d’équipements sportifs (re-sic) afin d’éviter, cette fois-ci, aux particules radioactives déposées par les rejets antérieurs de “se retrouver de nouveau en suspension dans l’air”. Bon, ajouter une couche de radioactivité supplémentaire à un terrain contaminé ne parait pas au premier abord une opération particulièrement intelligente mais il fallait bien trouver une pseudo-justification à cette nouvelle opération de vidange environnementale.

    (suite en dessous:)

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  5. (3) Tepco vidange 28 tonnes d’eau radioactive dans l’environnement le 7 octobre 2011 (asahi)
    L’eau tritiée, un élément impossible à isoler, se retrouve intégralement injectée dans l’environnement
    Tepco entend débuter ses opérations de purge après la mise en service de la nouvelle unité de décontamination ALPS qui est censée sur le papier récupérer la majeure partie des éléments radioactifs contenus dans l’eau ; cette unité s’avère malheureusement incapable de “fixer” l’un des radionucléides les plus insaisissables du combustible nucléaire : le Tritium-3 se retrouvant piégé dans l’eau sous la forme d’eau tritiée (3H2O ou HTO).
    Cette eau tritiée est l’un des éléments les plus radioactifs qui soit 2 et présente en outre une période relativement importante 3. Étant donné que l’eau tritiée est d’une composition chimique très ressemblante à celle de l’eau normale 4, il est particulièrement délicat de séparer l’une de l’autre par un processus technologique éprouvé 5.
    Même si l’eau tritiée présente – officiellement 6 – une radiotoxicité relativement faible (1.8*10-11 Sv/Bq), les quantités importantes de Tritium libérées du combustible lors de la fusion des cœurs des 3 unités de Fukushima-Daiichi ont représenté à elles seules près de 5*1014 Bq, soit 500 TBq, à comparer avec des rejets annuels moyens de H3 par une installation électronucléaire française estimés à environ 10 TBq/an (wiki).
    Selon World-Nuclear Association, l’eau non détritiée ne peut être rejetée dans l’environnement
    L’association internationale représentant les métiers et les industriels du nucléaire indique dans sa page d’information sur la catastrophe de Fukushima-Daiichi que : “Tepco est sur le point d’expérimenter en février 2013 l’unité ALPS… qui ne peut toutefois résoudre le problème du Tritium, ce qui signifie apparemment que l’eau ne pourra être rejetée dans la mer après son traitement.”
    (4) Du Tritium en sortie = pas de rejets dans l’environnement selon WNO
    La norme de rejet Japonaise – pour ce que valent les normes – est en effet fixée à une activité maximale de 60 Bq/ml soit 60 kBq/l d’eau et il est probable que le Tritium de Fukushima dépasse largement à lui seul ce seuil 7.
    De la Hague à Fukushima, les rejets “tolérés” de Tritium empoisonnent chaque jour un peu plus la planète
    Les français sont hélas, 25 fois hélas, loin d’être innocents en matière de contamination au Tritium et à l’eau tritiée, attendu que les autorisations de rejets annuels de l’usine de la Hague 8 concernant ce radioélément sont fixées à… 18.500 TBq ; le terme-source 9 réel en H3 des installations de la Hague est estimé à environ 12.000 TBq par an, soit pour une seule année 25 fois le terme-source global des rejets de Tritium liés à la catastrophe de Fukushima-Daiichi.

    http://gen4.fr/2013/03/tepco-pas-dautre-choix.html

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  6. Tepco : « Nous n’y arriverons pas sans aide »

    Publié le 10 mars 2013 par Trifou


    Lors de la conférence de presse du 8 mars, le porte-parole de Tepco est revenu pour la première fois sur la certitude – affichée encore récemment avec le plus grand aplomb – d’un contrôle absolu de la situation à Fukushima-Daiichi ; l’opérateur a réclamé à cette occasion non seulement l’assistance du gouvernement et du monde scientifique Japonais mais également le prêt de main-d’œuvre de la part de l’industrie électronucléaire.

    (1) Tepco se dit « dépassé » par le manque de main-d’oeuvre (fukushima-diary)
    Tepco manque désormais officiellement de “viande à REM 1”
    L’appel à l’aide prononcé vendredi par Tepco tranche singulièrement avec les discours précédents où la situation, y compris sur le plan de la main-d’œuvre disponible, était présentée comme “maîtrisée” depuis le début de l’année 2012. En évoquant un manque de main-d’œuvre spécialisée, l’opérateur Japonais valide – enfin – la déclaration qui établit le fait que l’industrie électronucléaire nécessite en permanence des appoints de travailleurs “frais”, des hommes (pas de femmes à notre connaissance) choisis non en fonction de leurs compétences réelles mais qui présentent pour principale qualité de détenir un dossier dosimétrique vierge pour ne pas devenir “grillé” trop rapidement.
    L’armée civile de liquidateurs Japonais périclite donc mais faut-il s’en féliciter pour autant ?
    C’est un fait assez peu connu : Tepco avait déjà tenté de recruter des intervenants sur le marché international mais il semble aujourd’hui que les dossiers dosimétriques des milliers de travailleurs utilisés soient déjà bourrés par deux “petites” années d’intervention sur le chantier de Fukushima-Daiichi. Qu’en sera-t-il des 40 ou 50 années à venir ? Un seul opérateur électronucléaire peut-il envisager de réquisitionner la majorité voire la totalité des ressources mondiales de main-d’œuvre électronucléaire ? Faut-il former intensivement et spécifiquement de la “viande à REM” ?
    Sans “robots biologiques”, pas de calendrier de liquidation envisageable au Japon
    Par le biais de la révélation de cette quête désespérée de “chair à neutrons” – une fenêtre de plus entrouverte sur l’imposture électronucléaire – le Japon commence enfin à reconnaitre l’immensité – voire l’impossibilité – matérielle de poursuivre la tâche prévue initialement : liquider Fukushima s’avère décidément bien plus difficile que liquider Tchernobyl et ce, pour une raison évidente : la “gestion complète” de l’atome nécessite non seulement des des effectifs civils, volontiers disposés à vivre plus ou moins longtemps après leur travail mais également des personnels militaires prêts à mourir “pour l’atome”.

    (suite en dessous:)

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  7. Un exercice de lancer de poudre aux yeux qui se retourne finalement contre le Japon
    Le Japon est désormais pris à son propre piège : en déclarant l’accident “contrôlé” fin 2011, les autorités Japonaises laissèrent alors maladroitement entendre que les réacteurs n’étaient plus aussi brûlants, que les conséquences étaient maîtrisées, les installations stabilisées, le risque sanitaire inexistant etc. Une année plus tard et à l’aube du deuxième anniversaire de la catastrophe de Fukushima-Daiichi, il est difficile mais indispensable de revenir au plus vite sur cette déclaration illogique pour solliciter dans la foulée l’assistance internationale la plus large possible.
    Bref, le Japon doit, au même titre que les pays vivant actuellement une situation économique intenable, faire amende honorable, manger leur chapeau en passant sous les fourches caudines afin d’enclencher un processus d’assistance internationale nécessité par la gravité de la catastrophe et l’indisponibilité des moyens humains exceptionnels déployés par les Soviétiques à la suite de l’accident de Tchernobyl. A défaut, les Japonais poursuivront un bon moment leur calvaire électronucléaire et nationaliste.
    Du béton, cette fois-ci pour la bonne cause
    Ensevelir la totalité du site sous des milliards de tonnes de sable et de béton pourrait toujours constituer une alternative plus ou moins efficace ; cette opération fût d’ailleurs étudiée dès les première heures de la catastrophe 2 mais écartée à la suite d’un débat obligatoirement limité par l’urgente pression atomique. L’intervention décrite serait autrement plus économique en main d’œuvre spécialisée – à condition de revoir sérieusement les zonages d’évacuation - mais elle pourrait également permettre, dans la mesure où le combustible n’est pas entièrement déconfiné, de s’affranchir partiellement du problème majeur des fuites d’eau radioactive vers les nappes aquifère et maritime. S’il s’avère au contraire que le combustible est majoritairement déconfiné, la messe sera dite et bétonner le site ne deviendra plus alors qu’une réaction tardive et inappropriée, une de plus sur la longue liste de celles engendrées par la catastrophe nucléaire de Fukushima-Daiichi.

    La manœuvre d’ensevelissement représenterait par contre un constat d’échec majeur pour l’ensemble du village électronucléaire ; il faut donc s’attendre à ne la voir finalement déployée qu’en cas d’absolue nécessité, comme par exemple l’évocation d’une situation socio-sanitaire dramatique à la suite de la contamination avérée et étendue des nappes phréatiques.

    http://gen4.fr/2013/03/tepco-nous-ny-arriverons-pas-sans-aide.html

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  8. Environ 60 pour cent des évacués de Fukushima ne pourront pas rentrer chez eux en 2017

    11 mars 2013
    Par TETSUYA KASAI / Rédacteur

    Même six ans après l'accident nucléaire de 2011, environ 54.000 personnes, soit environ 60 pour cent des résidents de Fukushima forcés d'évacuer pendant la crise en cours, seront toujours pas en mesure de rentrer chez eux.
    Ce chiffre a été obtenu par l'Asahi Shimbun au moyen d'entrevues avec des représentants des administrations municipales ainsi que les estimations faites par l'Agence de reconstruction.
    Après l'accident de Fukushima au n ° 1 centrale nucléaire à la suite du tremblement de terre Mars 11, 2011, Grand Est du Japon, une zone située dans un rayon de 20 kilomètres a été désigné zone d'entrée, tandis que les résidents dans les zones en dehors de ce cercle étaient également chargé d'évacuer en conformité avec la propagation des retombées radioactives. La décision a été prise fin 2011 de renommer aires d'évacuation au niveau de radiation.
    Les zones où les niveaux de rayonnement annuelles de plus de 50 millisieverts ont été désignés comme lieux où les résidents ne pouvaient pas retourner pendant au moins cinq ans à compter de Mars 2011. Les résidents pourraient être en mesure de retourner dans les cinq ans dans les zones où les niveaux de rayonnement étaient supérieures à 20 millisieverts et moins de 50 millisieverts et qui ont été désignés comme des endroits où vivent les restrictions s'appliquent. Les zones où les niveaux de rayonnement étaient de moins de 20 millisieverts ont été désignés comme des endroits où les préparations peuvent être faites pour lever l'ordre d'évacuation.
    La quasi-totalité des 54.000 personnes évacuées qui ne serait probablement pas être autorisés à rentrer chez elles au cours des quatre prochaines années sont des villes de Okuma et Futaba, qui accueillent la centrale de Fukushima n ° 1 des végétaux, ainsi que les villes de Namie et Tomioka.
    Il y a environ 26.000 habitants qui avaient des maisons dans les zones où les résidents ne pouvaient pas retourner au cours des cinq prochaines années. De ce nombre, environ 17.000 sont des Okuma et Futaba.

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  9. Bien qu'il existe des parties des deux villes qui ne sont pas couverts par la désignation de non-retour au cours des quatre prochaines années, les deux municipalités ont déjà décidé de ne pas avoir de retour résidents pour les quatre prochaines années. C'est parce que ayant les résidents retournent dans le même temps permettra d'éviter les séparer séparés en raison de différences dans les montants de la rémunération de Tokyo Electric Power Co., en fonction de la désignation de la zone où les personnes évacuées ont vu leurs maisons.
    De même, alors que les villes de Namie et Tomioka n'ont pas ratios importants de résidents qui vivent dans des zones où aucun retour n'est possible au cours des quatre prochaines années, les gouvernements municipaux ont décidé contre un retour des habitants dans ce laps de temps.
    Environ 28.000 résidents de ces quatre villes vivaient dans des zones en dehors de la période de cinq ans sans zone de retour, mais qui ne sera pas de retour à la maison au moins jusqu'en 2017.
    Sur les 11 municipalités couvertes par le changement de désignation de zones d'évacuation, six ont déjà achevé la nouvelle désignation au sein de leurs juridictions. Trois autres municipalités compléter cette nouvelle désignation par Avril.
    Fonctionnaires des administrations centrales poursuivent les discussions avec les gouvernements municipaux de Futaba et Kawamata afin qu'ils puissent changer la désignation de leurs villes d'ici le printemps.
    Dans le même temps, il ya aussi un pourcentage significatif de personnes évacuées qui ont déjà décidé de ne pas rentrer à la maison quel que soit le changement de désignation sont effectuées.
    Selon des enquêtes menées par l'Agence de reconstruction, il ya des municipalités où entre 30 à 50 pour cent des répondants ont dit qu'ils n'ont pas l'intention de revenir. La plupart sont des jeunes qui ont des enfants.

    http://ajw.asahi.com/article/0311disaster/recovery/AJ201303110005

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