- ENTREE de SECOURS -



samedi 26 janvier 2013

L'objectif de ruiner le monde


L'objectif de ruiner le monde (classe moyenne) et de le polluer à tous prix serait en vue de finalisation ! Observons plutôt la bulle d'endettement astronomique mis au point dans les 70's, les problèmes constatés (et masqués) sur les centrales nucléaire avec pour tout objectif... du retour au charbon !

des fracturations pour obtenir du gaz de shiste pollueur mortel des nappes aquifères et dangers d'explosion aux robinets d'appartements ! des dégâts constatés avec les plate-formes off-shore pétrolières et des porte-containers qui polluent plus que toutes les voitures du monde.


Qui a fait tout çà ? et... qui paye tout çà ? (et encore là, je ne parle pas des guerres !).
Point n'est notre place d'être ministre mais de se rendre compte (comme eux) du 'progrès' accompli dans ce 21è siècle.

C'est l'hécatombe où que l'on regarde ! Des éoliennes de 200m de haut qui sont inefficaces (coût 1 milliard/pièce !), des panneaux solaires qui n'en sont pas moins non rentables,

du gazcarbonique (renommé 'CO²' pour faire savant !) qui fait pousser les plantes qui nous fournissent l'oxygène nécessaire mais qui est appelé 'poison' dès que l'homme respire, des 'station d'épuration' qui coûtent une fortune alors que depuis des milliers d'années l'eau sale se nettoie toute seule et ressort toute propre aux sources (salies juste après de chlore et de fluor), et des voitures électrique non amortissables et qui sont interdites par:

Alors, sentant le danger venir du peuple dans la rue, se protègent-ils de millions de drones armés sous couvert de faux drapeaux de 'terrorisme' présent et à venir, payé à la planche-à-billets dont seules les banques privées en profitent.
Donc, après le 'pognon abiotique' qui peut ruisseler indéfiniment comme l'est le pétrole qui reremplit les nappes 'épuisées' sous les derricks en 10/15 ans est arrivé l'éthanol issu de céréales qui font donc défaut à ceux qui meurent de faim (il faut choisir son camp !)


et, l'escroquerie du 'Global Warming' qui serait susceptible de faire... monter le niveau des océans ! (Hahaha !), et, pour 'le mot de la fin':



Exklusiv: Die Federal Reserve unter dem Turm Nr. 7 befand !

56 commentaires:

  1. Il n’existe que deux systèmes politiques, par Frédéric Bastiat

    Publié le 27/01/2013

    "Il faut bien reconnaître que, si nous chargeons l’État de répandre partout l’abondance, il faut lui permettre d’étendre partout l’impôt."


    Introduction par Damien Theillier, Institut Coppet.

    La révolution de février 1848, fit surgir des barricades un ennemi plus redoutable que le protectionnisme, avec lequel il avait pourtant de nombreuses affinités : le socialisme. Les socialistes voulaient organiser le travail et refaire la société. Ils voulaient s’occuper du rachat forcé de toutes les industries, de la remise, aux mains de l’État, de toutes les propriétés, de l’organisation des ateliers sociaux, de la création d’un ou de plusieurs milliards de papier-monnaie, etc. Bastiat se tourna contre ce nouvel adversaire et ne cessa pas un seul jour de combattre ces rêveries. Ainsi, dès les premiers jours de la révolution, il apporta son concours à un journal éphémère nommé La République Française.
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    Il n’existe que deux systèmes politiques
    Par Frédéric Bastiat

    Le bien général, la plus grande somme possible de bonheur pour tous, le soulagement immédiat des classes souffrantes — c’est l’objet de tous les désirs, de tous les vœux, de toutes les préoccupations.
    C’est aussi la plus grande garantie de l’ordre. Les hommes ne sont jamais mieux disposés à s’entraider que lorsqu’ils ne souffrent pas, ou du moins quand ils ne peuvent accuser personne, ni surtout le gouvernement, de ces souffrances inséparables de l’imperfection humaine.
    La révolution a commencé au cri de Réforme. Alors ce mot s’appliquait seulement à une des dispositions de notre constitution. Aujourd’hui c’est encore la réforme que l’on veut, mais la réforme dans le fond des choses, dans l’organisation économique du pays. (…)
    Ainsi que nous l’avons dit, deux systèmes longtemps débattus par les polémistes sont en présence.
    L’un aspire à faire le bonheur du peuple par des mesures directes.
    Il dit : "Si quelqu’un souffre de quelque manière que ce soit, l’État se chargera de le soulager. Il donnera du pain, des vêtements, du travail, des soins, de l’instruction à tous ceux qui en auront besoin. Si ce système était possible, il faudrait être un monstre pour ne pas l’embrasser. Si l’État a quelque part, dans la lune par exemple, une source toujours accessible et inépuisable d’aliments, de vêtements et de remèdes, qui pourrait le blâmer d’y puiser à pleines mains, au profit de ceux qui sont pauvres et dénués ?"

    (suite en dessous:)

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  2. Mais si l’État ne possède par lui-même et ne produit aucune de ces choses ; si elles ne peuvent être créées que par le travail ; si tout ce que peut faire l’État, c’est de les prendre par l’impôt aux travailleurs qui les ont créées, pour les livrer à ceux qui ne les ont pas créées ; si le résultat naturel de cette opération doit être, loin d’augmenter la masse de ces choses, d’en décourager la production ; si, sur cette masse réduite, l’État en garde forcément une partie pour ses agents ; si ces agents chargés de l’opération sont eux-mêmes soustraits au travail utile ; si, en définitive, ce système, tout séduisant qu’il est au premier abord, doit engendrer beaucoup plus de misères qu’il n’en guérit, alors il est bien permis de concevoir des doutes et de rechercher si le bonheur des masses ne peut pas naître d’un autre procédé.

    Celui que nous venons de décrire ne peut évidemment être mis en œuvre que par l’extension indéfinie de l’impôt. À moins de ressembler à ces enfants qui se dépitent de ce qu’on ne leur donne pas la lune à la première réquisition, il faut bien reconnaître que, si nous chargeons l’État de répandre partout l’abondance, il faut lui permettre d’étendre partout l’impôt : il ne peut rien donner qu’il ne l’ait pris.
    Or de grands impôts impliquent toujours de grandes entraves. S’il ne s’agissait de demander à la France que cinq à six cents millions, on peut concevoir, pour les recueillir, un mécanisme financier extrêmement simple. Mais s’il faut lui arracher quinze à dix-huit cents millions, il faut avoir recours à toutes les ruses imaginables de la fiscalité. Il faut l’octroi, — l’impôt du sel, l’impôt des boissons, la taxe exorbitante des sucres ; il faut entraver la circulation, grever l’industrie, restreindre le consommateur ; il faut une armée de percepteurs ; il faut une bureaucratie innombrable ; il faut empiéter sur la liberté des citoyens ; — et tout cela entraîne les abus, la convoitise des fonctions publiques, la corruption, etc., etc.
    On voit que si le système de l’abondance puisée par l’État dans le peuple, pour être par lui répandue sur le peuple, a un côté séduisant, c’est néanmoins aussi une médaille qui a son revers.

    Nous sommes convaincus, nous, que ce système est mauvais et qu’il en est un autre pour faire le bien du peuple, ou plutôt pour que le peuple fasse son propre bien : celui-ci consiste à donner à l’État tout ce qu’il faut pour qu’il remplisse bien sa mission essentielle, qui est de garantir la sécurité extérieure et intérieure, le respect des personnes et des propriétés, le libre exercice des facultés, la répression des crimes, délits et fraudes, — et après avoir libéralement donné cela à l’État, à garder le reste pour soi.
    Puisque enfin le peuple est appelé à exercer son droit, qui est de choisir entre ces deux systèmes, nous les comparerons souvent devant lui, sous tous leurs aspects politiques, moraux, financiers — et économiques.

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    Article paru dans La République Française, Œuvres Complètes, vol. 7, 47. Article 6. Paris, 28 février 1848

    http://www.contrepoints.org/2013/01/27/112745-il-nexiste-que-deux-systemes-politiques-par-frederic-bastiat

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  3. Retiré: 114 milliards de dollars de grandes banques américaines

    Par Nick Summers le 23 Janvier, 2013


    Plus de $ 114 milliards sortis des plus grandes banques des États-Unis ce mois-ci, et personne n'est tout à fait sûr pourquoi.

    La Réserve fédérale publie les données sur les actifs et les passifs des banques commerciales, tous les vendredis. Les chiffres les plus récents, couvrant la première semaine complète de l'année 2013, montrent les plus importants d'une semaine retraits depuis le 11 septembre 2001, les attaques. Même lorsque corrigées des variations saisonnières, le niveau baisse à 52,8 milliards de dollars encore le troisième montant le plus élevé jamais enregistré, et pour lequel les experts et les analystes bancaires étaient réticents à donner une explication définitive.

    La cause la plus évidente est l'expiration du programme de garantie des transactions du compte, l'effort extraordinaire fédéral pour consolider non gigantesques banques du pays pendant la crise financière de 2008. Les grandes banques ont été jugées «too big to fail», tandis que les plus petits étaient vulnérables aux pistes. Le programme de dons backstopped leurs bases de dépôts par provisoirement offrir une assurance illimitée sur l'argent conservé dans non des comptes portant intérêt. Cette garantie a pris fin le 31 décembre, donc une diminution des dépôts pourrait s'attendre en tout début de Janvier.

    HISTOIRE: la croissance des salaires peut être le signe d'inflation Ahead et d'action de la Fed
    Mais attention: les données de la Fed montrent 114 milliards de dollars en laissant la plus grande 25 banques, soit environ 2 pour cent de leur base de dépôts. Seulement $ 26,9 milliards laissé tous les autres, ce qui équivaut à 0,9 pour cent de leur base de dépôts. Les experts avaient prédit que la fin de TAG nuirait petites banques du pays, car les grands sont toujours considérées comme trop grosses pour faire faillite. «Je pense que [les clients] vont revenir aux méga banques," la tête d'une banque régionale à Bethesda, dans le Maryland, a déclaré au Washington Post en Décembre. «Ils ont été assurés par le gouvernement que les banques sont méga too big to fail. C'est un horrible, mauvais, mal pensés situation. " Les petites banques crainte pression sur le Sénat pour prolonger TAG, avec les analystes disent les New York Times qu'ils espéraient 200 millions de dollars 300 millions de dollars, oui, avec un m -passer d'touchée comptes dans les fonds du marché monétaire ou d'ailleurs.

    (suite en dessous:)

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  4. Donc, si la somme manquante 114 milliards n'est pas le résultat du programme TAG expiration, ou du moins pas tous liés à TAG-ce qui se passe ? Paul Miller, analyste bancaire avec FBR Capital Markets, met en garde contre trop lire en données hebdomadaires de la Fed. «C'est une base de données bruyant», dit-il. Parmi les grandes banques américaines, il ya eu des mouvements de plus de $ 50 milliards (données non désaisonnalisées) pendant 107 semaines différentes depuis 2000. Il n'est pas rare de voir la figure 11-balançoires, c'est-, des dizaines de milliards de dollars, du positif au négatif, ou vice-versa, une semaine à l'autre.

    Le bruit peut augmenter peu après le début de l'année. "Le premier trimestre est toujours un quart farfelu», dit Miller. Et Janvier 2013 a vu un nombre incroyable de changement. Tout d'abord, le drame falaise fiscale avait des dividendes des sociétés mouvantes et clients de la banque avait deviner ce que leurs obligations fiscales serait, ce qui pourrait expliquer l'$ 60,4 milliards injectés dans les banques les plus importantes au cours de la semaine se terminant le 26 décembre. (Corrigées des variations saisonnières, il était le sixième niveau le plus élevé jamais enregistré.) Deuxièmement, la taxe sur les salaires vient de monter, coller la plupart des salariés de chèques de paie qui sont de 2 pour cent plus petit.

    Troisièmement, les investisseurs ordinaires peuvent être prêts à sortir des comptes garantis au niveau fédéral et dans les investissements. Les stocks ont très bien en 2012. Comme Bloomberg Businessweek Roben Farzad écrit le 16 janvier, les fonds communs d'actions ont vu leur deuxième plus fortes entrées d'enregistrement sur la première semaine de l'année. Les économistes s'inquiètent que exubérance des marchés devient trop grande, avec une mesure de l'aversion au risque au plus bas depuis trois décennies.

    «Si les dépôts sont vraiment tendance à la baisse et à la fin du mois, nous serons plus intelligents que nous sommes maintenant, si c'est le cas, il peut nous en dire quelques petites choses», explique Dan Geller, vice-président exécutif des taux du marché Insight. "Et une chose qu'il pourrait nous dire, c'est que la loi d'élasticité est enfin en train de rattraper les dépôts." En d'autres termes, contrairement à ce que prévoit la théorie économique, les dépôts se sont accumulés dans les banques depuis la crise, même si elles offrent rendements pitoyables. Geller dit que peut-être enfin se termine-bien que, comme Miller, il a dit de ne pas trop se fier à une seule rafale de données de la Fed.

    "Une semaine est juste une tranche très mince», dit-il. Pourtant, 114 milliards de dollars est une grande figure, et c'est l'un de garder un oeil sur afin de comprendre où l'économie est dirigée en 2013.

    http://www.businessweek.com/articles/2013-01-23/missing-114-billion-from-u-dot-s-dot-banks

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  5. Saturday, Janvier 26, 2013

    Le plan d'Obama pour mettre en faillite les centrales à charbon est une réussite, 2600 emplois ont été perdus ...

    - voir video sur site -

    Barack Obama est le recours aux règlements de littéralement ruiner l'industrie électrique au charbon. Nous ne devrions pas être surpris. Il s'est engagé à faire exactement cela par des règlements sévères ... Via Washington Examiner:


    Chase Power, la société mère derrière l'usine 3 milliards de dollars Las Brisas électrique au charbon à Corpus Christi, au Texas, a annoncé hier qu'elle annulait le projet. "Power Chase ... a choisi de suspendre efforts pour permettre l'installation et est à la recherche d'investisseurs alternatifs comme cadre d'un plan de dissolution de la société mère, "Chase PDG Dave Freysinger dit le Corpus Christi Caller-Times. Freysinger dit très clairement qui était responsable de la mort de projets. "L'(Las Brisas Energy Center) est victime d'une action concertée de l'EPA pour étouffer les installations énergétiques des combustibles solides aux Etats-Unis, y compris l'EPA carbone permettant exigences et EPA nouvelles normes de rendement pour les nouvelles centrales électriques", at-il dit. L'Las Brisas centrale avait fait partie d'un vaste projet Las Brisas Energy Center prévu pour Inner Harbor de Corpus Christi. Les économistes avaient prévu que dans les 5 premières années de la construction et l'exploitation du projet créerait que 1.300 directs et 2.600 emplois indirects . Maintenant, aucun de ces emplois existent.

    http://www.bluegrasspundit.com/2013/01/obamas-plan-to-bankrupt-coal-power.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+bluegrasspundit%2FNwhs+%28Bluegrass+Pundit%29

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  6. Connaître son portable

    Même si votre portable est bloqué:
    Le 112, numéro international fonctionne.

    Les portières de votre voiture sont bloquées:
    Vous avez laissé les clés dedans et la clé de secours est à la maison.
    La solution:
    Vous appelez chez vous et vous demandez d'actionner la télécommande de la clé de secours près du téléphone. Et vous mettez votre téléphone contre la vitre de la voiture, elle s'ouvre !

    Savez-vous que les téléphones possèdent une réserve de charge de batterie ?
    Si vous êtes à plat, tapez *3370# et aussitôt s'active une réserve de charge qui peut vous dépanner.

    En tapant *#06# apparaît sur l'écran votre N° de série IMEI (15 chiffres).
    Prenez note de ce numéro car, si on vous vole votre téléphone portable, le contacté de la compagnie pourra le bloquer et personne ne pourra s'en servir.

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  7. Comment l'Islande a renversé la Banques: Les 3 Seuls les procès-verbaux des Worth De Davos

    Soumis par Tyler Durden sur 26/01/2013 21:00 -0500

    - voir video sur site -


    "Pourquoi considérons-nous les banques sont comme les saintes églises ?" est la question rhétorique que de l'Islande Olafur Ragnar Grimson Président demande (et réponses) dans ces trois épiques minutes de truthiness de la farce que le Forum économique mondial de Davos. Au milieu d'une semaine de back-slapping et d'auto-congratulation parti surpasser, comme le souligne Aziz John, le président islandais explique que son pays est en forte croissance, pourquoi le chômage est négligeable, et la façon dont ils se sont déplacés à partir du monde affiche-enfant de 5 crise bancaire ans pour une nation prospère à nouveau. Autrement dit, dit-il, « nous n'avons pas suivi les orthodoxies dominantes des 30 dernières années dans le monde occidental. " Il y a des enseignements à tirer pour tout le monde - que Grimson explique le processus de destruction créatrice qui reste indispensable dans les économies occidentales - mais nous soupçonnons son laissez-passer pour le plaisir holographique suisse de l'année prochaine sera renié ...

    http://www.zerohedge.com/news/2013-01-26/only-3-minutes-worth-listening-davos

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  8. Daniel Hannan détruit les mythes trois incontestable de notre crise

    Soumis par Tyler Durden sur 26/01/2013 18:45 -0500


    Les plans de sauvetage passés et présents de chaque banque (et «important» de l'industrie) seront, un jour, d'être considéré comme une infraction générationnelle est de savoir comment l'eurodéputé Daniel Hannan commence cette démolition soigneusement britannique des trois mythes critiques liés à la crise, qu'en dépit de marché optique, nous sommes encore en train de vivre. De l'idée que le capitalisme a échoué (il n'a pas, à son avis, il a été ravagé par le proxénétisme politique), à la crise causé par l'absence de réglementation, et que la cupidité est le seul pilote de la pagaille que nous restions dans; Hannan suggère un débat bref mais éloquent qu'il ya un monde de différence entre être favorable aux affaires et le marché pro, comme il détruit tout semblant de crédibilité que la politique (et de l'élite) de classe a l'écho d'une jeune Ron Paul dans son fond libertaire libre- sensibilités du marché.

    - voir video sur site :

    http://www.zerohedge.com/news/2013-01-26/daniel-hannan-destroys-3-unquestionable-myths-our-crisis

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  9. L'Europe »La participation du secteur Banque

    Soumis par Tyler Durden sur 26/01/2013 17:53 -0500

    Via Mark J. Grant, auteur Out of the Box,

    Combien de fonctionnaires de l'Union européenne prend-il pour changer une ampoule ?

    Aucun. Il n'y a rien de mal avec l'ampoule, son état s'améliore chaque jour. Tous les rapports de son manque d'incandescence représentent une conséquence illusoire par les médias américains. Éclairage des chambres européennes est un travail difficile. Cette ampoule a servi avec honneur, et tout commentaire non approuvé par l'UE sape les efforts d'éclairage.

    Une chose qui est rationnellement appris en regardant l'Europe, c'est que ce qui est dit, ce qui est introduite dans les médias comme un fait, n'est souvent que de fait dans le esprit de ceux qui ont créé le conte de fées. Qu'il s'agisse de la dette par rapport au PIB des pays d'Europe ou les passifs non comptabilisés d'un pays ou les prêts à une banque qui sont comptabilisés comme des investissements et non passifs;. Le drapé de charade pend élastiquement sur tout le spectacle C'est souvent une farce entrelacée avec un leurre présenté comme la tarte complètement cuite qui est vraiment à moitié cuite et ensuite nous sommes tous tenus de la consommer et de s'extasier sur non seulement la recette mais les ingrédients et la présentation. Tout va bien pour les brebis et les bergers menant eux, mais je suis allé au sommet du mont. Olympus et il n'y a ni dieux ni temples. Maintenant, le 30 Janvier, la BCE se faire rembourser 182,2 millions de dollars des banques européennes qui ont emprunté de l'argent dans les opérations LTRO. Ce n'est pas 25% des prêts consentis, tant vanté dans presque chaque titre, mais environ 10% de l'encours des prêts en quelque sorte comme il est commodément oublié qu'il y avait deux formules de prêt totalisant 1,3 milliards de dollars qui ont été lancés en Décembre 2011 et la deuxième en Février 2012. Ce n'est pas deux ans d'avance comme tête d'affiche dans la presse que la moitié environ des prêts (655 milliards de dollars) ont été effectués dans la tranche 2011. Commençons donc avec un clin d'œil à l'exactitude et à explorer le reste de ce qu'on nous dit. J'ai appris, au cours des dernières années, que l'Europe est psychotique. Ils créent une illusion, nous disent que c'est la réalité et sont en colère quand nous nous interrogeons sur la validité de ce qu'on nous dit. Ce n'est pas l'authenticité, mais faux-semblants et ce genre de faux-semblant est concocté pour vous conduire dans des endroits qu'aucun homme rationnel veut se promener. Le taux d'intérêt, étant payés par les banques européennes à la BCE est de 0,75%, alors on peut raisonnablement supposer qu'aucune institution financière, dans leur esprit, serait de payer un tel prêt, pour des raisons économiques. Les banques ne peuvent pas emprunter sur leurs propres pendant trois ans à ce niveau et donc de les payer tôt fait aucun sens économique. Pourtant, ils sont payés hors tension et si elle n'a pas de sens économique alors il doit avoir un sens pour d'autres raisons ou les motifs. Si l'ordre du jour est dépourvu de bon sens dans sa présentation il doit y avoir un agenda caché et un homme qui travaille fébrilement derrière les rideaux et de manipuler les leviers. Ici, il pourrait bien être la situation financière de la BCE elle-même qui, sans doute, est bourré de prêts et de la titrisation que, compte tenu de l'état misérable de la plupart des économies de l'Europe, doit être en très mauvais état dont les actifs sont d'une valeur de cents seulement sur le dollar ou peut-être même pas que si l'on

    (suite en dessous:)

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  10. considère que les marchés immobiliers en Grèce, en Espagne, au Portugal et en Irlande. Il est alors tout à fait évident que les banques ne voulaient pas rembourser les prêts, mais qu'ils étaient «encouragés» à le faire pour d'autres raisons et l'une des raisons pourrait bien être pour financer la BCE afin que la banque centrale n'a pas à prendre en la dette encore plus et gonfler son propre bilan de ses valeurs d'actifs se sont détériorées. Ici nous avons une variation de la «participation du secteur public", qui peut être appelée "la participation du secteur bancaire» , qui ne doit pas provoquer des pertes sur son visage, mais qui va certainement augmenter les coûts de financement pour les banques européennes et ainsi nuire à leur bilan par la hausse du coût de financement qui bien sûr va pas être mentionné dans tout communiqué de presse européenne et donc sur décommentée par des médias européens qui acceptent béatement et volontiers les commentaires sur ce qu'il a été officiellement dit. "Il est dangereux de laisser le public dans les coulisses. Ils sont facilement déçus et ils sont en colère contre vous, car c'était l'illusion qu'ils aimaient. "
    -W. Summerset Maugham The Wall Street Journal, hier, a publié un article intitulé «Les banques européennes à rembourser l'aide précoce», qui a déclaré: «Les données constituent l'un des plus clairs exemples à ce jour de la guérison étonnamment rapide de larges pans du système bancaire européen. Il élimine un obstacle majeur à une reprise progressive de l'ensemble de l'économie européenne, qui repose sur la santé de ses banques. "Avec le plus grand respect pour le Journal, je dois dire qu'ils ont totalement tort. Les banques, sans doute, auront un meilleur financement des coûts de remboursement de ces prêts et des bilans moins attrayants en conséquence et il est donc ni l'Europe ni ses banques qui bénéficieront avec le bénéficiaire n'est possible que soit la Banque centrale européenne. Tout cela a été rendu possible non pas par des économies plus saines, ni par les taux de financement moins chers particulier pour les souverains européens ou des banques, mais par le flux continu et sans obstacle de l'argent créé par la BCE et les autres banques centrales. Le monde est devenu accro, comme dans Frank Herbert roman merveilleux Science Fiction, "Dune", où "L'épice doit couler." Que ce soit l'équité mondiale ou sur les marchés de la dette, les pays en difficulté en Europe et même de l'économie en Amérique, il n'y a qu'un seul pilier soutenant la construction et que est l'impression de l'argent et de l'utilisation des pièces nouvellement créées de papier qui soutiennent les différentes maisons de cartes où la politique en Amérique et sur le continent n'ont pas de réponse autre que de cracher de l'argent dans un tel torrent et à une telle vitesse qu'il met à la honte Niagara Falls. Le monde semble dépourvue de politiciens qui mènent sensiblement si elles ont été très habiles à passer devant ce qui peut être accordée. L'univers des banques centrales ont été laissés pour ramasser les factures. Le renflement bilans, la qualité des actifs, notamment en Europe, se détériorent. Plus est passé, plus d'argent est créé, les marchés tête plus élevé, plus l'argent est créé, il n'y a pas d'autre réponse ou la réponse que le papier plus nouvelle, plus l'encre verte, de l'encre plus bleu, et la bulle est systémique et périlleuse et pleine à craquer de risques budgétaires. Rappelez-vous, ce matin, ce que je vous ai dit, car il viendra un moment où vous souhaitez que vous aviez considéré plus attentivement ce que j'ai dit. "Essayez de regarder dans ce lieu où l'on n'ose pas regarder ! Vous me trouverez là, à regarder hors de vous ! "
    -Frank Herbert, Dune

    http://www.zerohedge.com/news/2013-01-26/europes-bank-sector-involvement

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  11. Sunday, Janvier 27, 2013

    Équipe Arpaio: nouveaux éléments probants à convaincre le plus grand sceptique document est faux à 100%


    Mise à jour vidéo: Sheriff Joe Arpaio enquêteur principal Mike Zullo;

    Preuve nouveaux programmes trouvés convaincre le plus grand sceptique

    Document est faux à 100%, la preuve est au-delà de tout doute raisonnable

    Sheriff Joe Arpaio l'enquêteur principal Obama Mike Zullo est apparu sur Carl Gallups à l'émission de radio Freedom vendredi. Zullo a répété que l'enquête Obama n'a jamais cessé et que la seule chose qui s'en tête est la couverture médiatique autour de l'enquête .... Zullo dit : "Nous sommes tellement convaincus ... laissez-moi sortir sur le membre ... je vais de mettre ma réputation là-bas que nous avons la preuve hors de tout doute raisonnable - norme la plus élevée - au-delà de tout doute raisonnable que ce document est un faux absolu". Zullo également dit, «la preuve que nous avons acquise, nouveau trouvé des preuves que nous ont jamais été rendue public à n'importe quel point dans le temps, et nous n'allons pas rendre public avant que nous ayons la bonne occasion, saura convaincre même le plus grand sceptique que ce document est un faux à 100%." Beaucoup de plus en entrevue. Les segments inhérents à l'enquête Obama dans une vidéo ici :

    http://obamareleaseyourrecords.blogspot.fr/2013/01/team-arpaio-newly-found-obama-evidence.html

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  12. Les entreprises ont du mal à suivre, les ventes de pistolet montent en flèche

    Publié le: 25/01/2013 21:37
    Par: Erica Zucco, Nouvelles Eyewitness KOB 4

    Les fusils d'assaut sont devenus des articles à prix chauds comme le contrôle des armes parle Ampère.
    «C'est formidable, l'augmentation des ventes que nous avons eu, nous avons augmenté les ventes de munitions, AR-15, you name it," Larry Gun Shop représentant Ron Abernathy a dit.
    Magasins échelle de l'État ont du mal à faire face à la ruée. Même les munitions ont été difficiles à trouver que les propriétaires d'armes des stocks de fournitures.
    "Il y a beaucoup de gens qui ont peur [ils ne seront pas en mesure d'acheter, à la suite de nouvelles réglementations de contrôle des armes], et c'est une grande partie de la raison pour les munitions étant rares et difficiles à trouver», a déclaré Abernathy.
    Gun Shop Larry à Roswell vu venir, et dès que les ventes ont commencé en plein essor, ils ont acheté en vrac, en s'assurant qu'ils pourraient servir les clients. Maintenant, les gens de l'extérieur de la ville appellent à ce qu'ils ne peuvent pas trouver à la maison.
    "Nous avons des gens qui nous appelle de partout dans l'état demandant si nous avons certaines choses en stock», a déclaré Abernathy. "Donc, nous faisons de notre mieux pour répondre aux besoins dans ces situations."
    L'augmentation des ventes de toutes sortes d'armes et de munitions a une exposition d'armes annuelle se préparer à doubler sa foule habituelle. Ils s'attendent à être en mesure de remplir de nombreux types de besoins.
    «Nous avons des fournisseurs de partout dans l'état si c'est comme mettre 30 ou 40 fournisseurs en un seul endroit et beaucoup d'entre eux n'ont pas été à une exposition d'armes pourtant, depuis la conférence du contrôle des armes donc il ya beaucoup d'entre eux qui ont beaucoup de stock », a déclaré l'organisateur Kim Sansom.
    L'exposition d'armes se trouve à Carlsbad dans les arts de la scène et Gerrells Walter Parc des Expositions. Il sera à partir de 9 heures-17 heures le samedi et 9 heures-16 heures le dimanche.

    http://www.kob.com/article/stories/S2909879.shtml?cat=504

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  13. Tina Turner pourrait obtenir la nationalité suisse

    Vingt ans après son installation dans le pays, Tina Turner, 73 ans, devrait obtenir la nationalité suisse.

    Publié le 27 janvier 2013


    Voici le genre d'information qui, en France, ferait certainement polémique. Pour autant, il n'est pas certain que cela soit le cas aux États-Unis. Vingt ans après son installation en Suisse, la chanteuse américaine Tina Turner devrait obtenir la citoyenneté helvétique. Et si la star est naturalisée, elle pourrait rendre son passeport américain. "Je suis très heureuse en Suisse et je m'y sens chez moi. Je ne peux pas imaginer un meilleur endroit pour vivre ", a-t-elle déclaré au magazine suisse Blick. A 73 ans, la rockeuse a d'ores et déjà obtenu la citoyenneté de Küsnacht, une commune près de Zurich où elle réside, d'après un avis publié par la municipalité, ce vendredi, dans la Zürichsee-Zeitung.

    Officiellement, les raisons de cet exil ne seraient en aucun cas fiscales. En effet, Tina Turner partagerait sa vie avec Erwin Bach, un producteur de musique allemand. Et le couple vit ensemble depuis 27 ans. Pour obtenir la citoyenneté suisse, Tina Turner doit encore attendre le feu vert du canton de Zurich et de la Confédération Suisse, alors même qu'elle a passé un test avec succès pour obtenir cet avis favorable. Il se dit que la chanteuse aurai tout fait pour obtenir cette nouvelle nationalité allant jusqu'à apprendre l'allemand et à passer un test de naturalisation.

    http://www.atlantico.fr/atlantico-light/tina-turner-pourrait-obtenir-nationalite-suisse -619785.html

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  14. Wake-Up Call: une semaine désastreuse pour le commerce du carbone

    Par Joel Stonington

    Le système européen de plafonnement et d'échange a glissé dans l'insignifiance près que bickers Allemagne sur la touche. Souhaite que l'élection de Basse-Saxe susceptibles de résoudre les querelles de haut niveau ont été égarés. Maintenant, le marché du carbone Europe a atteint un nouveau plus bas.

    Pour ceux qui sont impliqués dans la politique européenne du climat de l'Union, l'élection régionale allemande en Basse-Saxe, le dimanche était un clou-mordeur. L'espoir pour beaucoup, c'est que l'Allemagne pro-business Parti libéral-démocrate (FDP) subirait la défaite et chef de Philipp Rösler, qui a été sous pression au sein de son parti depuis plusieurs semaines maintenant, serait forcé de démissionner de son ministre de l'économie. Mais cela ne s'est pas produit. Au lieu de cela, Rösler s'est retrouvé dans une position plus forte que jamais, et le projet phare de la politique climatique de l'Europe s'enfonçait dans le coma sans vie.


    AnzeigeRösler est contre un plan à court terme pour augmenter les prix sur le système d'échange d'émissions (SCEQE), tandis que ministre de l'Environnement, M. Peter Altmaier de la chancelière Angela Merkel Union chrétienne-démocrate (CDU), le parti qu'il favorise. Rösler s'oppose à toute intervention sur le marché du carbone et se met en attente le processus de marché qui a entraîné un effondrement du prix des quotas de carbone. Le plan, appelé backloading, prendrait 900 millions quotas de carbone du système temporairement pour aider à stimuler les prix du carbone et partiellement soulager un engorgement massif. Mais le gouvernement allemand est divisé sur le plan, avec Mme Merkel rester à l'écart. Quoi qu'il arrive, les acteurs du marché disent qu'il est déjà clair que la position de l'Allemagne sera déterminante.

    «J'ai été surpris de la façon dont Angela Merkel ne veut pas eu à entrer dans ce débat et de le résoudre au nom du gouvernement", a déclaré Mark Lewis, un analyste du marché climatique à la Deutsche Bank. "C'est extrêmement frustrant. Il prend plus de temps et plus longtemps. Et par conséquent, le marché va plus en plus bas."

    La chancellerie allemande n'a pas répondu à une demande de commentaire.

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  15. L'ETS est maintenant à sa troisième phase cruciale - celle dans laquelle elle était de réduire le nombre de crédits de carbone disponibles sur le marché, forçant les prix et la pollution vers le bas. Cependant, les crédits de carbone ont été émis trop dans les premières années et les entreprises ont produit moins de la récession, entraînant un excédent de crédits. Les prix ont été tellement bas que l'Allemagne a récemment annulé une vente aux enchères de crédits carbone pour la première fois, après qu'aucune offre entré au prix minimum.

    «Quelque chose doit être fait de toute urgence"

    En effet, le marché des crédits de carbone a atteint de nouveaux planchers. Jeudi, le prix des crédits de carbone a chuté de 40 pour cent dans les 30 secondes avant de reprendre la plupart des pertes. Dans un indicateur de combien STE vulnérables menace de devenir, la volatilité suite à un vote quasi vide de sens pour une recommandation non contraignante par le comité de l'industrie du Parlement européen que le plan backloading être rejetée.

    Secteur de l'énergie-lourds et le charbon qui dépendent des pays comme la Pologne s'opposent intervention sur le marché dans l'ETS tout en notant que les prix du carbone plus élevé entraîne des coûts élevés de l'énergie qui se traduisent par une charge sur les entreprises alors que les économies européennes restent faibles. Les arguments contre l'intervention travaillez peut-être, que l'Allemagne - qui abrite aussi de profondes inquiétudes au sujet du fardeau de plafonnement et d'échange pourrait avoir sur l'industrie - continue à ralentir, et l'ETS reste le plus souvent inutile. Un échec sur backloading probablement tomber crédits carbone à un niveau légèrement au-dessus des penny stocks.

    "Ce devrait être le dernier coup de semonce", a déclaré l'UE Climat, Connie Hedegaard, commissaire, selon les rapports de fils. "Quelque chose doit être fait d'urgence. Je ne peux donc lancer un appel aux gouvernements et le Parlement européen à agir de manière responsable."

    Jeudi, le prix a atteint un plus bas de € 2,81 (3,75 €) par tonne de carbone et rebondi au-dessus de € 4 avant la fin de la journée. Mais il reste bien en dessous du point € prix de 20 ou 30 € que les analystes disent est nécessaire pour stimuler le type d'investissement propres besoins de l'industrie pour réduire les émissions de carbone.

    En Avril 2006, les crédits ont atteint un sommet à 32 € et approchait de € 30 par tonne en 2008. Lorsque l'ETS a été développé, les crédits devaient être basées sur des modèles de croissance attendus, mais aucun mécanisme n'a été construite pour compenser la possibilité de fluctuations économiques. Maintenant, le ralentissement économique en Europe a laissé le marché avec beaucoup trop de crédits et le prix du carbone a diminué de façon constante au cours des dernières années. En 2012, le prix du carbone a chuté de plus d'un tiers.

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  16. Avec quotas de carbone à un prix aussi bas, les pays sont, en effet, la définition des priorités nationales par le biais des objectifs de réduction de carbone, des tarifs, des taxes et d'autres méthodes. Le problème est un exemple de ce à l'échelle européenne des politiques comme l'ETS étaient censés éviter.

    L'ETS peut avoir une signification encore ?

    La bataille pour arrêter le plan backloading et les questions de l'Allemagne annoncent réticences importantes quand il s'agit de fixer un plus large qui rendrait l'ETS encore pertinents. Les discussions sur la façon de résoudre les ETS et derrière-le-scènes négociations ont déjà commencé.

    Là aussi, l'Allemagne est confrontée au même problème d'un avis partagé. Sans une position nationale unifiée, l'Allemagne ne peut pas négocier avec la Pologne, le pays qui a fait un nom pour elle-même en bloquant la politique climatique européenne. Ceux qui sont proches des négociations entre la Pologne et l'Allemagne sur les questions climatiques ont dit que les négociations sont essentiellement à l'arrêt en raison du conflit entre les ministères allemands.

    Le débat sur backloading est situé le long de la ligne de front mêmes qui sont tirées dans une solution structurelle. Étonnamment, il y a de nombreux défenseurs improbables de la tarification du carbone solide à l'échelle européenne, y compris les producteurs d'énergie et de carbone-lourds compagnies comme Shell. Pour européen de l'électricité EURELECTRIC, le pire des cas pour les fournisseurs d'électricité de l'Europe sont des centaines ou des milliers de différentes taxes, droits de douane, et les règlements élaborés par chacun des 27 pays de l'UE.

    Ou, comme le climat commissaire Hedegaard a dit le jeudi, s'adressant à l'échec possible de backloading, «re-nationalisation des outils de climat, ce qui signifie un patchwork avenir de jusqu'à 27 systèmes différents et taxes, au lieu d'un marché de la création de règles du jeu équitables en interne dans Europe. "


    La proposition doit encore backloading votes clés au sein du Parlement européen qui ont le potentiel de le tuer. Si ce n'est le parlement clair, toutefois, qu'une décision finale ne serait pas arriver avant les réunions prévues des ministres de l'environnement de l'UE en Mars ou Juin.

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  17. Et ce n'est pas seulement les 27 pays de la zone euro regarder le gâchis backloading attentivement. L'arrêt continu sur une position backloading en Allemagne, les prix et la saleté bon marché pour le carbone se font sentir bien au-delà l'Europe, des pays comme la Chine et l'Australie, développer et mettre en œuvre des marchés du carbone basé en partie sur l'ETS. Et avec l'objectif d'un prix global de crédits de carbone, il ya une bonne partie de se concentrer sur les déboires de l'Europe, qui est le plus grand du monde de plafonnement et d'échanges sur le marché.

    "Je reçois des appels téléphoniques réguliers de compagnies d'électricité chinoises qui regardent la crise backloading en Europe", a déclaré Scott. "Ce n'est pas invisible. Nous disons,« avoir confiance dans les marchés du carbone », mais nous n'allons pas faire quelque chose à propos de la confiance dans notre marché propre climat. C'est absurde."

    http://www.spiegel.de/international/europe/drop-in-carbon-price-underscores-disastrous-week-for-carbon-trading-a-879769.html

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    1. (…) Je reçois des appels téléphoniques réguliers de compagnies d'électricité chinoises (…) Hahaha ! Tu m’étonnes ! Les Chinois ont toujours refusé de payer la ‘taxe carbone’ dictatoriale.

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  18. Le greenwashing du siècle

    Publié le 27/01/2013

    Le greenwashing de l’État n'a pu s'opérer qu'avec l'assentiment complice du public et des médias. L’État prétend s'être repeint en vert et la foule ne demande qu'à le croire.

    Par Olivier Méresse.

    En moins d'une décennie, les entreprises engagées dans ce qu'on appelle la révolution verte — au premier rang desquelles nous pourrions faire figurer The Body Shop — ont été l'objet d'une dénaturation particulièrement perverse. Durant cette courte période, en effet, nous sommes passés d'entreprises qui se promettaient de faire elles-mêmes de la politique, concrètement, sur le terrain, à travers un commerce rentable et garant de leur indépendance, en prenant elles-mêmes les choses en main et sans rien attendre d'une Administration ayant démontré si souvent son impuissance ou sa nocivité... à des entreprises alliées des pouvoirs publics, soutien moral de leurs politiques sociales et environnementales, tirant profit de subventions, menant souvent des actions de lobbying, et mendiant à des sommets de Rio, Kyoto ou Copenhague leur ligne de conduite future. Opéré, on s'en doute, au nom du réalisme et de l'efficacité — ce ne serait pas la première fois qu'ils seraient convoqués pour meurtrir la morale — ce basculement est une très mauvaise nouvelle pour les petits poissons et les petits oiseaux.

    Confier la supervision des affaires environnementales à l’État nous paraît en effet aussi fou que de confier la gestion de sa fortune à un militant communiste ou l'administration d'une fondation juive à un ancien totenkopf-schutzstaffel. Et c'est même bien plus fol encore, car un être humain peut changer, regretter, se repentir, vouloir sincèrement repartir de zéro, ou voir coexister en lui différentes facettes contradictoires. C'est systémiquement que l'Etat pollue et ça personne ne peut rien y changer. Guerres, chambres à gaz, irradiations massives, feuilles de sécu, même en papier recyclé, normes surannées, lois débiles et vent brassé, charbonnages et gaspillages, corruption, disparition de la mer d'Aral, postes frontières et déficits abyssaux, l’État cumule tant de mauvais points qu'on ne saurait même pas par quel bout en commencer l'inventaire. Le plus étonnant est bien sûr la rapidité avec laquelle nos contemporains ont donné au monstre les clefs du royaume : quelques sommets internationaux, un Ministère du Développement Durable par-ci et un "Grenelle de l'Environnement" par-là, auront à peu près suffi à lui greffer un visage d'ange.

    "Greenwashing", parfois traduit en "écoblanchiment", est un terme écologiste qui désigne et dénonce la pratique d'organisations qui se font malhonnêtement passer pour plus vertes qu'elles ne le sont, généralement en investissant davantage en publicité qu'en actions réelles, en tronquant quelques réalités désavantageuses ou en appelant "propre" un processus à peine moins sale. Ainsi, une industrie chimique qui polluerait sans vergogne air, terre et eau, et qui publiciserait largement une action peu coûteuse en faveur de quelques escargots, même rares, pourrait à juste titre être accusée de greenwashing. C'est une notion qui n'a vu le jour qu'assez récemment, avec l'émergence de ces entreprises engagées dans le développement de solutions novatrices en matière environnementale, souvent assorties d'innovations dans la gestion du personnel et des fournisseurs, ou l'établissement de partenariats avec des fondations. Il n'a pas été nécessaire d'attendre très longtemps pour que des imitateurs veuillent obtenir, par ce greenwashing dont nous parlons, les mêmes gains en termes d'image mais sans en supporter les coûts.

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  19. Le greenwashing de l’État n'a pu s'opérer aussi simplement et aussi rapidement qu'avec l'assentiment complice du public et des médias. Cette complicité est selon nous la conséquence conjointe d'une espérance enfantine et d'une vaste ignorance. L'espérance enfantine consiste à attendre que le tyran devienne enfin gentil, qu'il arrête de flanquer des claques, ou qu'avec discernement il ne les distribue plus qu'aux seuls méchants pollueurs qui les méritent. Or, la raison pour laquelle le personnel de l’État ne peut pas aboyer de bons ordres ne vient pas de la qualité des ordres mais de l'aboiement. Une bonne décision, si elle est appliquée injustement par l'exercice d'une contrainte illégitime, c'est-à-dire contrevenant aux libres choix des propriétaires, devient intrinsèquement une mauvaise décision. Et aucun despote censément éclairé ne pourra jamais remplacer à lui seul l'intelligence diffuse et polycentrique d'une société civile libre. Cette captation de la décision est en elle-même source de pollution parce que nécessairement sous-optimale. Néanmoins, ce fantasme d'un gouvernement mettant enfin sa force brutale au service du bien, gouvernement à la tête duquel chacun se projette probablement (d'où la place que les « il faut... » et les « y'a qu'à... » occupent dans le débat public) peut expliquer un tel soutien populaire. L’État prétend s'être repeint en vert et la foule ne demande qu'à le croire. Elle oublie un peu vite que, sans les subventions qui leur sont socialement accordées, les pêcheurs qui raclent sans vergogne les grands fonds marins auraient depuis longtemps abandonné cette activité déficitaire. Exemple parmi tant d'autres... Quant à la vaste ignorance, elle concerne les liens très étroits que le capitalisme entretient depuis ses origines avec la morale.

    L'éthique ne se surajoute pas au capitalisme, elle lui est consubstantielle

    La littérature managériale actuelle témoigne d'un mouvement de fond qui voudrait faire de la morale le nouveau moteur du capitalisme. L'« éthique d'entreprise » est très à la mode [1], nous aurions d'ailleurs tort de nous en plaindre, et certains vont jusqu'à parler d'un « Capitalisme 2.0 » pour décrire ce nouveau "logiciel" qui désinfecterait enfin le commerce et le monde des affaires.

    Comme nous l'a brillamment exposé Philippe Nemo dans son merveilleux opuscule Qu'est-ce que l'Occident ? [2], le capitalisme est né dans l'Occident chrétien à la suite lointaine de la révolution papale des XIe au XIIIe siècles, qui a intégré en un seul corpus cohérent, l'humanisme chrétien, dont l’Église était la gardienne, avec le meilleur des héritages antiques grecs et romains, l'ensemble permettant au croyant de travailler à son salut en s'appuyant sur sa foi mais aussi sur la philosophie, la science et le droit. Révolution papale qui annonce la Réforme et qui, pour faire court, aboutit à consacrer la propriété, à commencer par celle que chacun a sur lui-même (peut-être après Dieu — ce qui n'a pas souvent de conséquences ici-bas — mais devant le roi ou la république).

    Aussi la question de savoir si la morale pourrait devenir le nouveau moteur du capitalisme nous paraît-elle particulièrement incongrue puisqu'elle néglige, et plus encore oblitère, le fait que la morale est le socle même du capitalisme. La propriété fonde en effet la liberté, l'échange, le contrat, la responsabilité. Nous entendons par là que sans la définition et la reconnaissance de droits de propriété, les notions de liberté, d'échange, de contrat ou de responsabilité, ainsi que toutes leurs déclinaisons, seraient absolument vides de sens ou n'existeraient pas [3].

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  20. C'est le socialisme qui est venu saper les bases morales du capitalisme en niant la propriété, au premier chef celle que chaque individu a sur son propre corps. Interdire à un être humain de vendre son travail moins cher que le salaire minimum décrété ou lui interdire de travailler plus de 35 heures sur les 168 que compte sa semaine, c'est l'infantiliser, c'est lui nier sa capacité d'adulte responsable, capable de faire des choix, de combattre sa pauvreté, ou de contracter librement avec d'autres adultes responsables. C'est donc le socialisme qui est venu au final inventer un nouvel esclavage (celui de la société sur l'individu) s'appuyant sur le présupposé que les êtres humains n'ont pour seule alternative que d'être des salauds ou des crétins (salauds qui exploitent ou crétins qui se laissent exploiter).

    Le socialisme s'est nourri d'illusions d'optique sur le capitalisme. Ce dernier a permis de produire tant de richesses que les pauvres, avant de s'enrichir, ont commencé par se multiplier, la population humaine passant de 650 millions d'individus en 1750 à plus de 7 milliards aujourd'hui. S'il est vrai qu'au début de l'ère industrielle des enfants sont morts en bas âge après avoir poussé des wagonnets au fond des mines, c'est parce qu'il est difficile de passer sans transition d'une situation où les enfants meurent de faim très jeunes (ou ne naissent tout simplement pas) à une situation où ils font des études jusqu'à trente ans. En revanche si aujourd'hui encore un million d'enfants dans le monde travaillent anachroniquement au fond des mines, c'est exclusivement à l'arriération de régimes et de politiques socialistes que nous le devons. Le progrès capitaliste ne doit pas servir à masquer les crimes du socialisme. Le socialisme n'accorde aucune valeur au capital humain (on ne saurait être en même temps socialiste et individualiste).

    Quand les politiques se voient signer des chèques en blanc pour ne pas tenir leurs promesses ; quand les administrations utilisent la menace pour exercer leur racket ; quand même l'inoffensive association peut se contenter de faire croire qu'elle fait plutôt que de faire, est-ce qu'il ne faudrait pas plutôt pointer les carences des modes d'organisation alternatifs à l'entreprise ? Et plutôt que de moraliser le capitalisme est-ce qu'il ne faudrait pas plutôt s'efforcer de le débarrasser des nombreuses gangues de socialisme dans lesquelles il s'asphyxie ?

    En s'acoquinant avec l’État, les entreprises vertes se jettent dans la gueule du loup. Leurs dirigeants pensent ainsi gagner du temps, mais qui peut prétendre galoper plus vite que le marché ? La dénaturation de ces entreprises vertes en un mouvement rouge d'entreprises militantes est une perte sèche qui débouche sur un arsenal législatif imbécile dont les effets seront encore une fois contraires aux intentions proclamées.

    Plutôt que de pondre lois sur lois, députés, sénateurs et ministres feraient mieux de s'occuper de leurs fondements

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  21. Les fondements du Droit et de la Loi sont la protection de la personne humaine face à la force : celle des brutes, celle de la foule ou celle du pouvoir. La propriété de soi, de son travail, des fruits de son travail, des biens échangés ou reçus, de son identité et de sa responsabilité, sont les seules composantes de cette liberté, entérinée par l'habeas corpus ou la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789.

    Légiférer, taxer, subventionner, interdire ou obliger, c'est toujours introduire des mécomptes. Cela aboutit inévitablement à tromper le marché sur la rareté relative d'une ressource, sur la difficulté réelle d'une opération ou la rentabilité escomptée d'une activité. En modifiant plusieurs fois les prix de rachat de l'électricité d'origine photovoltaïque, en dénonçant ses engagements contractuels, parfois même de façon rétroactive, l’État français est parvenu à laminer en quelques années tous les acteurs du solaire en France, fabricants de panneaux et installateurs. Toutes les boutiques qui s'étaient montées à Béziers, Orange, Nîmes ou même Dunkerque, et dont les business plans tablaient sur ces garanties publiques, ont pu mettre la clef sous la porte. Nombreuses sont d'ailleurs les voix qui se sont félicitées publiquement de cet écrémage qui éliminait de la filière ceux qui n'avaient pas les reins assez solides ou qui comptaient trop sur les subventions. Quelle méchanceté ! Oublie-t-on qu'à chaque fois il s'agit d'êtres humains ayant investi leur temps et leurs efforts, leur argent et celui de leurs proches, et que la faillite les plonge dans le dénuement et la misère, souvent en les endettant à vie. Voilà, hélas, à quoi mène le fait de croire aux promesses du Léviathan. Le ménage est fait et la place est maintenant libre pour toutes les grandes entreprises publiques ou semi-publiques qui sauront respecter l'héritage de L'edf.

    Les catastrophes écologiques de demain se mettent en place aujourd'hui même au travers des investissements environnementaux conduits par l'Administration. Ces éoliennes off-shore qui peuplent désormais les océans sont promises à la rouille, leurs pâles cassées, des cormorans s'électrocutant sur leurs générateurs pillés dont les graisses empoisonnées viendront se répandre sur un amoncellement de chaluts perdus, refuges de pieux flottants sur lesquels s'éventreront des mammifères marins. C'est écrit dans les eaux de leur naissance et c'est inéluctable puisque, entre autres raisons de cette déchéance annoncée, nos déficits budgétaires abyssaux ne nous autoriseront peut-être plus longtemps le financement du surcoût de cette énergie, dès lors condamnée à l’abandon.

    Comme le disait Chateaubriand : « [...] regardez à la fin d'un fait accompli, et vous verrez qu'il a toujours produit le contraire de ce qu'on en attendait, quand il n'a point été établi d'abord sur la morale et la justice. » Les adeptes du point Godwin arrière apprécieront l'illustration qu'en donnèrent plus tard les nazis qui, pour donner mille ans de gloire à l'Allemagne, ne parvinrent qu'à complexer une ou deux générations d'Allemands.

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  22. Après avoir fondé The Body Shop en 1976, Anita Roddick [4] finira par vendre l'entreprise à L'Oréal trente ans plus tard. Puis elle est morte, hélas, en 2007, à seulement 64 ans ; les petits oiseaux et les petits poissons pourront s'en désoler. Inspiratrice d'une révolution verte dans l'entreprise, elle aura montré que la prise en compte et l'intégration de nombreuses externalités négatives pouvaient être profitables et même devenir des facteurs de séduction commerciale auprès d'une clientèle responsable. Elle n'est peut-être pas la première à avoir posé cette hypothèse audacieuse [5] mais personne ne l'avait encore démontrée à une telle échelle, avec un tel succès et en s'impliquant dans une telle variété d'actions originales. La révolution verte est d'abord et avant tout un retour aux sources. Veillons à ne pas nous tromper sur sa nature et ne la laissons pas se noyer dans les déchets de l'autoritarisme collectiviste.

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    Publié initialement dans le bulletin de l'Aleps Liberté économique et progrès social n°142 (janvier 2013). Reproduit avec l'aimable autorisation de l'auteur.
    Notes :

    Morale ou éthique ? Par une pudeur bizarre procédant de son athéisme militant, notre époque inculte (sans culte) substitue systématiquement "éthique" à "morale", celle-ci renvoyant soi-disant à la religion. Des maximes telles que « Bien mal acquis ne profite jamais » ou « Qui vole un œuf vole un bœuf » n'exigent pourtant pas un grand mysticisme pour être comprises, et l'école de Jules Ferry, laïque, n'était pas gênée de les inscrire au chapitre de la morale. Morale et éthique ne sont absolument pas synonymes, l'éthique désignant cette partie de la philosophie qui recherche comment agir au mieux. Autrement dit, l'éthique est la discipline philosophique qui étudie la morale. Si l'éthique peut très profitablement se pencher sur le capitalisme ou sur l'entreprise, dire d'une entreprise qu'elle est ou qu'elle n'est pas éthique n'a pas plus de sens que de dire d'une feuille d'érable qu'elle est ou qu'elle n'est pas mathématique (sa forme, par exemple, est mathématisable, c'est différent).

    Auquel on se référera pour un exposé plus rigoureux et plus complet. Cette Révolution papale des XIe au XIIIe siècles est plus connue sous le nom de Réforme grégorienne, mais Philippe Nemo recommande la première appellation. Qu'est-ce que l'Occident ? Ph. Nemo ; Ed. PUF ; Coll. Quadrige ; 2004.

    André Comte-Sponville prétend qu'aucun lien ne peut être établi entre le capitalisme et la morale, l'un et l'autre appartenant à deux ordres différents, séparés par un ordre tiers... On pourra regretter que cette sophistique d'illusionniste à deux balles rencontre un tel succès dans les médias ou auprès des enfants. On devra surtout se demander pourquoi. Pourquoi ce goût pour le compliqué et ce refus du complexe ? Pourquoi cette préférence systématique pour l'ignorance et l'obscurantisme ?

    Cf. Anita Roddick, Business as unusual. Trad. franç. par Élisabeth Laville et Marie Balmain : Corps et âmes ; Coll. Graines de changement ; Éd. Village mondial ; 2003. À travers ses livres et son agence Utopies (Paris) Élisabeth Laville se propose de diffuser auprès d'un large public d'entrepreneurs — pour les étendre à tous types d'activités — l'esprit et les enseignements d'Anita Roddick et de The Body Shop.
    L'industriel gallois Robert Owen (1771-1858) en avait déjà fait une démonstration exemplaire, avant de la noyer lui-même dans une utopie paléo-socialiste.

    http://www.contrepoints.org/2013/01/27/112708-le-greenwashing-du-siecle

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  23. Qui croit encore au Réchauffement Climatique Anthropique ?

    Publié le 27/01/2013


    Où en sommes-nous du réchauffement climatique ? Difficile, surtout en ces mois d'hiver, de voir un redoux... J'en parle régulièrement dans ces colonnes, surtout pour noter la tendance de fond qui aura consisté, pour ceux qui vivent du bobard, à lentement muter leur "réchauffement" en "changement", plus facile à gober. Malgré tout, le doute s'immisce de plus en plus : où sont ces degrés, ces demi-degrés ou ces dixièmes de degrés supplémentaires qu'on nous promettait, affolé, il y a quelques années ?

    Pour le moment, on peut en rire, mais il faut bien reconnaître que le soutien à l'hypothèse d'un réchauffement climatique provoqué par la frénésie industrielle et polluante de l'humanité a de plus en plus de mal à convaincre. Pire : petit à petit, les soutiens historiques à ces théories plus ou moins bancales se font hésitants, voire, pour certains, s'en écartent au point de déclarer, ouvertement, que tout ceci est du flan.

    C'est ainsi qu'on apprend (pas dans la presse française, je vous rassure, la maison Foucard & Huet marche à plein régime) que d'anciens scientifiques de la NASA parviennent à la conclusion qu'il n'y a pas de menace imminente causée par le dioxyde de carbone rejeté par les activités humaines. On se rappellera que souvent, des scientifiques de la même institution gouvernementale furent largement instrumentalisés dans les médias (des fois, à leur corps défendant) pour faire passer l'idée générale et Gaïa-compatible que l'humanité, productrice de CO2, était responsable de tous les problèmes environnementaux qui la touchent. Le ridicule de la situation allait parfois assez loin puisque le réchauffement climatique d'origine humaine était jugé responsable des ouragans, des tremblements de terre et du psoriasis.

    Et la conclusion de ces scientifiques, exposée sur leur site, remet quelque peu les pendules à l'heure : finalement, il n'y a pas plus de consensus scientifique que de beurre en branche, il n'y a pas de preuve scientifique claire de l'implication humaine dans les changements climatiques, les modèles climatiques informatiques sont erronés, il n'y a pas de menace "imminente" sur l'humanité, le niveau des mers ne va pas monter subitement, les gouvernements ont largement sur-réagi et tout montre que la diminution du CO2 atmosphérique poserait plus de problème que son augmentation, le CO2 n'est pas un polluant, et globalement, une somme considérable d'argent a été gaspillée dans cette histoire, somme qui aurait été mieux employée dans des recherches sérieuses sur des sources d'énergies crédibles.

    Notez que ces déclarations, qui n'y vont tout de même pas avec le dos de la cuillère, n'ont pas été relayée par les médias habituels, et surtout pas en France. C'est aussi ça, l'impartialité des journalistes et leur professionnalisme chevillés au corps.

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  24. Et s'il en va ainsi de déclarations de scientifiques anciens employés de la NASA, on imagine sans mal le mutisme qui s'empare de la presse traditionnelle lorsqu'il s'agit de relayer la récente découverte concernant les glaces du Groenland, et qui déboulonne un mythe supplémentaire entretenu par le GIEC (ce groupe d'escrocs prétendument experts qui tentent d'affermir les politiques décroissantes et liberticides par une habile utilisation de l'écologie de combat). On apprend en effet, suite à une récente expédition scientifique et la publication de ses découvertes dans Nature (ici) que le Groenland a déjà subi un réchauffement climatique notoire (on parle de 8°C avec ±4°C d'incertitude) sans que ce réchauffement ne se traduise par une fonte massive (ou complète) de ses glaces. Le rapport scientifique parle même d'une réponse modeste à cette hausse de température :

    Here we present the new North Greenland Eemian Ice Drilling (‘NEEM’) ice core and show only a modest ice-sheet response to the strong warming in the early Eemian.

    Pour rappel, si l'on s'en tenait jusqu'à présent aux cris d'orfraie et autres couinements des clowns improvisés écologistes qui forment le GIEC, on en conclurait qu'une faible augmentation de la température (moins de 3°C) signifierait la fonte de toute la glace groenlandaise, et l'augmentation du niveau des mers de 7 mètres. En se basant sur le dernier rapport du GIEC, les agitateurs d'air chaud de Greenpeace expliquent doctement :

    Il y a un risque majeur que le réchauffement attendu dans les 50 prochaines années déclenche la fonte de la calotte glaciaire du Groenland... Les modèles de fonte de ces glaces montrent qu'un réchauffement local plus grand que 3°C amènerait à une fonte complète de la calotte glaciaire du Groenland.

    Sauf qu'il y a 120.000 ans, les températures ont gagné bien plus que 3°C, et... ça n'a qu'un peu fondu, provoquant une montée fort modeste du niveau de la mer (on parle d'un ou deux mètres, là). Bref : la catastrophe annoncée n'a pas eu lieu jadis ; selon toute vraisemblance, elle n'aura pas plus lieu dans un avenir proche, et les modèles numériques utilisés peuvent joyeusement retourner à la poubelle dont ils n'auraient probablement pas dû sortir. On comprend donc très bien pourquoi ni Foucart (du Monde), ni Huet (Libération), ni les autres apprentis réchauffistes ne feront aucun papier sur cette nouvelle pourtant déterminante pour tous les politiciens qui rêvent d'avoir des informations justes, pertinentes et bien relayés pour prendre leurs importantes décisions.

    Notez bien qu'à la mollesse naturelle des médias mainstream de toute la planète à s'adapter à la nouvelle donne scientifique en matière de climat s'ajoute l'inertie colossale de la presse française à faire son aggiornamento en termes de professionnalisme. Pas étonnant, dès lors, que la presse anglo-saxonne, heureusement un peu plus en prise directe avec son public, fasse plus facilement sortir les affaires glauques et carrément mafieuses qui entourent le greenwashing actuel. La presse francophone, et française en particulier, est bien trop occupée à téter nerveusement de la subvention publique pour comprendre son intérêt à faire un vrai travail d'investigation dans ce domaine.

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  25. On peut ainsi parier qu'il faudra beaucoup de temps pour qu'elle parle un peu de l'implication directe de la mafia dans les énergies renouvelables, information pourtant relayée par The Washington Post : eh oui, ces montagnes d'argent public déversé dans les entreprises d'énergies renouvelables ou prétendues telles ont fini par attirer la mafia sicilienne qui y a trouvé des débouchés intéressants, des moyens supplémentaires pour détourner des fonds et faire de l'éco-corruption en Chine, en Espagne, et en Sicile bien sûr. On découvre ainsi qu'un tiers des 30 champs d'éoliennes de l'île, ainsi que plusieurs centrales solaires, et plus d'un milliard et demi d'euros ont été saisis par les autorités...

    En revanche, si ces nouvelles prennent du temps pour parvenir aux lecteurs/contribuables français, les braillements plus ou moins hystériques de Greenpeace seront, eux, relayés sans attendre dans une presse avide de bien faire comprendre à son lectorat qu'il est urgent d'agir : Jean-François Julliard, le directeur général de l'association en France, a décidé de pondre une petite lettre pour Cécile Duflot, la ministre en charge du logement, des SDF et du logement des SDF chez les autres mais pas chez elle. En plus, ça tombe fichtrement bien puisque la Cécile fut écologiste, jadis, quand ça pouvait rapporter gros.

    Et que demande le brave Jean-François ? Comme à l'habitude des khmers verts où aucune démesure n'est outrancière, il ne demande rien d'autre que... l'interdiction du chauffage électrique, avec des remarques qui font plus que sourire le lecteur un tant soit peu avisé :

    La vérité est que le parc de production électrique français ne suffit pas à assurer notre approvisionnement en période de pointe et que l’an dernier ce sont les gestes d’économie des Français et les importations - notamment d’électricité allemande d’origine solaire - qui ont permis le franchissement de ce pic.

    Le solaire, en Allemagne en plein hiver, aurait permis de fournir de l'électricité en France ? Plaît-il ? Hein ? Pardon ? Que la France ait importé de l'électricité en hiver parce qu'ayant réduit sa production nucléaire (suite à une planification malheureuse d'arrêt de ses tranches), soit. Que la France ait importé cette électricité depuis l'Allemagne, soit aussi. Que cette électricité provienne du solaire, en plein hiver, dans un pays pas spécialement réputé pour son absence de neige, de pluie et de nébulosité en plein hiver, c'est parfaitement grotesque.

    C'est parfaitement grotesque, et la proposition attenante du leader écologiste frôle la limite du criminel quand on connaît le nombre de personnes dépendantes de l'électrique pour se chauffer, en plein hiver. Mais ça n'empêche pas les journaux français de faire écho à ces consternantes âneries.

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  26. Un réchauffement climatique, fort modeste, a semble-t-il eu lieu dans les années 1990 et 2000. Tout porte à croire que ce petit réchauffement est maintenant terminé, alors que l'activité humaine, de son côté, n'a jamais été aussi forte. En pratique, plus personne d'un peu sérieux ne peut prétendre prouver un lien entre les industries humaines et les températures observées, surtout à l'échelle planétaire. Les scientifiques, les industriels et la population se rangent à l'évidence : l'humanité ne joue qu'un rôle très mineur sur le climat de la Terre.

    Mais les médias, en mal de sensations fortes, et les politiciens, toujours à la recherche d'une bonne excuse pour intervenir et exercer leur pouvoir, n'entendront pas céder à ce désintérêt de fond. Vous pouvez être sûr que ce seront les derniers à évoluer. Et dans ces derniers, vous pouvez déjà parier que les ultimes retardataires seront les politiciens et les journalistes français.


    http://www.contrepoints.org/2013/01/27/112723-qui-croit-encore-au-rechauffement-climatique-anthropique#comments

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    1. (…) il n'y a pas de menace "imminente" sur l'humanité, le niveau des mers ne va pas monter subitement, (…)

      (…) la fonte de toute la glace groenlandaise, et l'augmentation du niveau des mers de 7 mètres. (…) « 70 m » d’après un Sénateur de Louisiane !! Hahaha !

      Mais dans quel monde vivons-nous ??! Chez moi, (je ne sais pas chez les autres mais chez moi c’est comme çà): lorsqu’un glaçon font: il perd du volume ! (exclusif ? Scoop ?); donc, si les glaces venaient à fondre… le niveau de la mer baisserait et non le contraire, because la plus grande partie de la glace est sous l’eau.
      Les arnaques du GIEC Algorisées traînent encore et encore !!

      Parfois, pour ‘démontrer’ leurs théories alarmistes, les verts montrent des îles ou îlots aux Maldives où il y a des zones (une vingtaine dans le monde) de upwellings. Des marées qui submergent les îles puis, se retirant, les îles réapparaissent ! Cà alors !

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  27. Ce temps est différent


    Posté par Tyler Durden le 27/01/2013 11:46-0500


    Rédigé par le Dr Tim Morgan, Tullet Prebon,

    Le krach de 2008 a entraîné depuis l'éclatement de la bulle plus grande dans l'histoire financière, un super-cycle de « crédit » qui a duré plus de trois décennies. Comment est-ce arrivé ?

    Comme Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff ont démontré dans leur ouvrage magistral, Ce temps est différent, bulles d'actifs sont presque aussi vieilles que l'argent lui-même. Le livre de Reinhart et Rogoff suit les excès financiers plus de huit siècles, mais il ne serait aucun surprenant du tout si les Hittites, les Mèdes, les Perses et les Romains, aussi, j'avais bulles qui leur sont propres. Tout ce dont vous avez besoin pour une bulle est prêt crédit et collective crédulité.

    Certains pourraient tirer confort de l'observation que les bulles sont une aberration établis de longue date, en faisant valoir que cycle d'expansion et de récession de ces dernières années n'est rien d'anormal. Tout ce confort serait égaré, pour deux raisons principales : Premièrement, les excès de ces dernières années ont atteint une ampleur qui dépasse tout ce qui a été connu ; et deuxièmement et plus inquiétant encore, l'évolution de la situation qui a conduit à la crise financière de 2008 s'est élevé à un processus de bulles séquentiels, un processus dans lequel l'éclatement de chaque bulle a été suivie par la création immédiate d'un autre.

    Bien que la nature séquentielle du processus pré-2008 marque cela comme quelque chose qui est vraiment différent, nous pouvons, néanmoins, tirer des leçons importantes de bulles du passé.

    •Tout d'abord, bulles suivent une piste approximativement symétrique, où la flambée des valeurs liquidatives est suivie d'un effondrement d'échelle et de durée à peu près similaires. Si c'est le cas maintenant, nous sommes pour une période très longue et méchante de retraite.

    •N'en second lieu, un accès facile à exploiter est critique, sous forme de bulles peut se produire si les investisseurs sont limitées aux capitaux propres.

    •Troisième, bulles plupart regarder idiots quand vu avec le recul.

    •Quatrième – et bien que les arrangements institutionnels sont essentiels – la véritable conduite dynamique de bulles est un processus psychologique qui combine la cupidité, la prête suspension d'incrédulité et le développement d'une mentalité de troupeau.

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  28. « tulipes d'Amsterdam »

    L'un des plus célèbres bulles historiques est la manie de tulipes qui saisit les Provinces-Unies (Pays-Bas) durant l'hiver de 1636-37. Bulbes de tulipes avaient été introduites en Europe depuis l'Empire Ottoman par Obier de Busbeq en 1554 et trouvés faveur particulière dans les Provinces-Unies après 1593, quelle Carolus ClosiusAufseherin s'est avéré que ces plantes exotiques pourraient prospérer dans le climat néerlandais plus sévère.

    La tulipe est une plante dont la beauté et nouveauté avait un attrait particulier, mais mania tulip ne serait pas survenu sans des conditions sociales et économiques favorables. Le néerlandais s'est engagé dans une longue guerre d'indépendance de l'Espagne depuis 1568, et, bien que la victoire finale était encore quelques années, la République originale des sept Provinces des pays-bas a déclaré l'indépendance de l'Espagne en 1581. Ce fut le début d'un siècle d'or néerlandais. Dans cette période remarquable, les Pays-Bas ont subi des changements fondamentaux et pionniers qui comprenaient la mise en place de dominance commerciale, des progrès de la science et invention et la création de corporate finance, ainsi que l'accumulation d'immenses richesses, l'adhésion des pays-bas au statut de puissance mondiale et la grande expansion de l'industrie.

    Il s'agissait d'une période en énorme plan économique, professionnel, scientifique, commercial et naval progrès était en partenariat avec de grandes réalisations en art (Rembrandt et Vermeer), architecture et littérature. La prospérité de cette période a créé une bourgeoisie aisée qui affiche son aisance dans les maisons grand jardins exquis. Entrez la tulipe.

    Pour la bourgeoisie hollandaise nouvellement émergentes, la tulipe était le symbole de consommateur « must have » des années 1630, particulièrement puisque la reproduction sélective avait produit quelques nouvelles plantes exotiques remarquablement. Tulipes ne peuvent pas être cultivés pendant la nuit, mais prennent entre sept et douze ans pour arriver à maturité. En outre, les tulipes fleurissent depuis à peine une semaine au printemps, ce qui signifie que les ampoules peuvent être déracinés et vendus pendant les mois d'automne et d'hivernales. Un marché florissant dans les ampoules développée aux pays-bas, même si la vente à découvert a été déclarée illégale en 1610. Spéculateurs semblent ont pénétré le marché de la tulipe en 1634, préparant le terrain pour la manie de la tulipe.

    La bulle tulipe ne pas tourner autour un commerce physique des bulbes, mais implique plutôt un marché de papier qui personnes pourraient participer à aucune marge à tous. En effet, la bulle tulipe a suivi immédiatement la foulée de la création par les néerlandais du premier marché à terme. Ampoules pouvaient changer de mains souvent dix fois par jour mais, en raison de la chute brutale du marché du papier, aucune livraison physique ont toujours fait.

    Escalade des prix tout à fait remarquable, avec des ampoules uniques atteignant des valeurs qui a dépassé le prix d'une grande maison. Une ampoule de Viceroy a été vendue pour 2 500 florins à la fois quand une personne peut gagner 150 florins par an. Mettre ces valeurs absurdes en termes modernes est presque impossible en raison de données incomplètes, mais la comparaison avec la rémunération qualifiées suggère des valeurs d'environ £500,0003, qui fait aussi un certain sens en ce qui concerne les prix de l'immobilier. En tout état de cause, une bulle qui a débuté à la mi-novembre 1636 a été par la fin de février 1637.

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  29. Bien que tulip mania a extrêmement brève, et les données disponibles sont très limitées, nous pouvons apprendre des leçons pertinentes de cet événement étrange.

    Pour commencer, cette bulle semble idiote de n'importe quel point de vue rationnel – comment diable une ampoule humble peut devenir aussi précieuse comme une maison, ou l'équivalent à 17 années de salaires qualifiés ? Deuxièmement, la cotation de ces articles ridiculement surévalués a eu lieu à ensuite de nouvelles formes (telles que les contrats à terme) et ont été réalisées sur les marchés non réglementés frange plutôt que dans les bourses reconnues.

    Troisièmement, les participants à la manie ont perdu l'usage de ses facultés critiques. Beaucoup de personnes – pas seulement les spéculateurs et les riches, mais de personnes aussi diverses que les agriculteurs, la mécanique, des commerçants, des servantes et des ramoneurs – ont vu l’investissement dans l’ampoule comme une rue à sens unique vers la prospérité au jour le jour. Fortunes énormes de papier ont été faites par des gens dont l'euphorie s'est tourné vers le désespoir qu'ils ont été décimés financièrement.

    L'histoire qu'un marin a mangé une ampoule extrêmement précieuse, dont il avait confondu pour un oignon, est probablement apocryphe (parce qu'il lui aurait empoisonné), mais il peut y avoir peu de doute qu'il s'agissait d'une période d'une psychologie de masse bizarre confinant à la folie collective.

    Tout à la mer

    Le South Sea Bubble de 1720 commandes une place particulière dans la litanie de folie c'est l'histoire de bulles.

    South Sea Company a été fondée en 1711 comme conjoint du gouvernement et une entité privée créée pour gérer la dette nationale. Participation de la Grande-Bretagne dans la guerre de Succession d'Espagne a été d'imposer des coûts élevés sur l'échiquier, et la tentative de la Banque d'Angleterre à financer cela au moyen de deux loteries successives n'avait pas été un succès. Le gouvernement a donc demandé une banque sans licence, l'entreprise de lame épée creux, d'organiser ce qui allait devenir la première loterie nationale réussie à être lancée en Grande-Bretagne. La torsion de cette loterie était que les prix ont été payés comme les rentes, ce qui laisse la plus grande partie du capital dans les mains du gouvernement.

    Après cela, le gouvernement a établi la South Sea Company, qui a pris de plus 9 millions de livres de dette nationale et émises au même montant, recevant un paiement annuel du gouvernement équivalant à 6 % de l'encours de la dette (540 000£) et les coûts d'exploitation de 28 000 £. Comme une incitation supplémentaire, le gouvernement accorda à la compagnie le monopole du commerce avec l'Amérique du Sud, un monopole qui serait sans valeur à moins que la Grande-Bretagne pourrait briser l'hégémonie espagnole dans les Amériques, un événement qui, à ce moment-là, a été sauvagement invraisemblable.

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  30. Potentiellement énormes profits de ce monopole a attrapé l'attention spéculateur même si la probabilité réelle de retour revenant jamais réellement était extrêmement faible. Malgré très sécurisé de concessions limitées en 1713 à la fin de la guerre, le monopole commercial est resté pratiquement sans valeur, et actions de la société est demeurée inférieure à leur prix d'émission, une situation pas aidé par la reprise de la guerre avec l'Espagne en 1718.

    Malgré tout, actions dans la société, efficacement soutenu par la dette nationale, ont commencé à augmenter dans le prix, un processus caractérisé par des initiés et stimulée par la diffusion de rumeurs.

    Entre janvier et mai 1720, le prix des actions est passé de 128 £ £ 550 comme rumeurs de revenus lucratifs du monopole se propageait parmi les spéculateurs. Ce qui, bien soutenu, mieux qu'une compagnie financée par le gouvernement avec effet de levier énorme aux profits monopolistiques dans les Amériques légendaires ? Législation, adoptée sous les auspices d'initiés de la société et interdisant la création d'entreprises sans licence anonyme, sous l'impulsion du prix de l'action pour atteindre un sommet de £890 au début de juin. Cela a été renforcée par les chefs d'entreprise, qui ont acheté le stock à des prix gonflés pour protéger la valeur des placements acquis à des niveaux beaucoup plus bas. Le prix des actions a atteint 1 000 £ en août 1720, mais les actions puis perdu 85 % de leur valeur de marché gonflé en quelques semaines.

    Comme la manie de tulipes hollandaises, la South Sea Bubble était un exemple quelles pratiques de marché de psychologie de la cupidité et la foule fondue avec roman, mais aggravée par la corruption rampante dans les endroits élevés. Même Sir Isaac Newton, sans doute un homme de bon sens, perdu 20 000 £ (équivalent à peut-être £2.5 m aujourd'hui) dans la poursuite de la chimère de vastes, mais richesses nébuleuses, non acquis.

    Tout observateur rationnel, même si c'est pas au courant de l'initié et autres formes de corruption dans laquelle les actions étaient embourbées, devrait certainement se rendre compte qu'une escalade huit fois dans le cours des actions entièrement basé sur la spéculation peu plausible est, littéralement, « trop beau pour être vrai ».

    Dans son délire populaire extraordinaire et la folie des foules, Charles Mackay a classé la South Sea Company et autres bulles avec l'alchimie, la chasse aux sorcières et diseur de bonne aventure comme instances de folie collective. Tandis que les autres ces faiblesses ont eu tendance à battre en retraite face à la science, crédulité financière reste bel et bien, qui veut dire que nous avons besoin de savoir comment et pourquoi ces instances de folie collective semblent être câblé sur le comportement financier humain.

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  31. Made in Japan

    à certains égards, la bulle des actifs japonais des années 1980 prévoyait un « dry run » les bulles composés de la super-cycle. Miracle économique après la guerre du Japon a été fondé sur les politiques relativement simples. A été encouragé et a été canalisé vers les marchés de capitaux intérieurs plutôt qu'étrangers, ce qui signifie que les capitaux d'investissement étaient disponible à un prix très avantageux en effet. Ils encourageaient les exportations et importations qui ont été dissuadées par les barrières tarifaires de consommation à la maison. La transformation économique du Japon dans les quatre décennies après 1945 est donc axée sur l'exportation et dirigée par les entreprises qui ont accès à des capitaux abondant et peu coûteux.


    Le début des années 1980, la réussite économique du Japon commença à entraîner des attentes irréalistes au sujet de la prospérité future. De nombreux commentateurs, à l'étranger ainsi qu'à la maison ont utilisé la « ligne directrice de l'imbécile » de l'extrapolation de prétendre que le Japon soit, dans un avenir prévisible, d'évincer l'Amérique comme la plus grande économie mondiale. L'expansion internationale des maisons japonaises de banques et se concrétise par la prolifération des bars à sushi à New York et à Londres. Boosté par le détournement du capital encore bon marché de l'industrie dans l'immobilier, des valeurs de propriété au Japon Bondi, pointe à 215 000 $ / m2 dans le quartier prisé de Ginza à Tokyo.

    Réconforté par les valeurs de propriété gonflées, des prêts de banques faits qui les emprunteurs n'étaient pas en mesure de rembourser. La valeur théorique, le jardin du Palais impérial est venu à dépasser toute la valeur de papier de la Californie. Dans le même temps, un flambée du yen a prix exportations japonaises sur les marchés mondiaux.

    Bien que relativement progressive – reflétant, en mode true bulle, l'accumulation relativement lente des valeurs des biens, l'éclatement de la bulle a été dévastateur. Les propriétés ont perdu plus de 90 % de leurs valeurs de crête et la politique du gouvernement de soutenir les banques insolvables et sociétés créées « zombie entreprises » du type qui existent aujourd'hui dans de nombreux pays. Après avoir culminé à près de 39 000 à la fin de 1989, l'indice Nikkei 225 des principaux stocks industriels détériorée sans relâche, creux à 7 055 en mars 2009.

    L'économie japonaise était plongé dans la « décennie perdue » qui, en réalité, pourrait désormais dénommés les "deux décennies perdues". En 2011, la dette publique japonaise était de 208 % du PIB, un nombre considéré comme durable uniquement en raison de taux d'épargne élevé historique du pays (bien que ce rapport est, en fait, sujet à une détérioration continue du vieillissement de la population).


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  32. 2008 – le plus grand buste

    Avec le recul, maintenant nous savons que le buste japonais actif une manifestation précoce de la « supercycle de crédit », qui peut être considéré comme "la plus grande bulle dans l'histoire". Les grandes lignes de la bulle super-cycle sont assez bien comprises, même si la dynamique sous-jacente n'est pas. Pour comprendre cet événement énorme d'expansion et de ralentissement, nous devons faire la distinction entre les éléments tangibles de la bulle et ses dimensions psychologiques et culturelles sous-jacentes.

    Analyse conventionnelle fait valoir que les problèmes concrets ont commencé avec la prolifération des prêts subprime aux Etats-Unis. Peut-être le plus grand facteur contributif pour le fiasco des subprimes a été la rupture du lien entre l'emprunteur et le prêteur. Alors que, traditionnellement, les banques ont évalué la viabilité de l'emprunteur sur le plan de remboursement à long terme, la création de ROM groupés (mortgage-backed securities) ont rompu ce lien.

    Opérateurs astucieux pourraient maintenant la bande risque de retour, des rendements élevés, alors que le déchargement du risque élevé associé à la tire. La titrisation de prêts hypothécaires était un défaut innovant majeur dans le système, tout comme la confiance placée par erreur sur les agences de notation qui, bien sûr, ont été versés par les émetteurs des titres regroupés. Une autre innovation contributive a été l'utilisation de produits (hypothèque à taux ajustable) de bras, conçu pour garder le solvant emprunteur juste assez longtemps pour que les auteurs des hypothèques de céder les prêts emballés.

    Les autorités (et, en particulier, la réserve fédérale) doivent porter une grande part de culpabilité pour n'avoir pas à repérer la mauvaise évaluation du risque qui résultent de la vente de la dette hypothécaire. La manière dans laquelle les banques gardaient l'ampleur véritable des responsabilités potentielles sur leurs bilans complètement échappé des régulateurs, et croyance de Alan Greenspan que les banques seraient toujours agir dans le meilleur intérêt des actionnaires était naïf à couper le souffle. En Amérique, en ce qui concerne cette question en Grande-Bretagne et ailleurs, les politiques monétaires des banques centrales ont été concentrées sur l'inflation au détail (qui a depuis quelques années été déprimée par les marchés des produits inoffensifs et par l'afflux de produits toujours meilleur marchés d'Asie) et ignoré l'escalade de prix des actifs.

    Pendant ce temps, les ratios de fonds propres des banques avaient élargi, en partie en raison des définitions jamais plus lâche des immobilisations et des actifs et en partie en raison de la négligence pure réglementation. Tout comme la Fed de Greenspan croyait que les banquiers ont été les meilleures personnes pour déterminer les intérêts de leurs actionnaires, le chancelier britannique Gordon Brown s'enorgueillissait dans un système de réglementation « light touch » qui a vu les risques totaux des actifs surge banques britanniques pour plus de £3, 900bn sur le dos juste £120bn de pure perte absorbant le capital ou TCE (capital-actions ordinaire tangibles).

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  33. Il ne semble pas avoir eu lieu à n'importe qui, surtout à l'américain, Britannique et autres organismes de réglementation – qu'une véritable réserve de moins de 2 % des actifs pourrait être submergée par même une correction modeste prix des actifs.

    Les deux côtés de l'équation de taux de réserves ont été déformées par négligence réglementaire. À l'actif, les banques étaient autorisées à pondération leurs actifs, qui s'est avéré être une erreur désastreuse. Triple-A classé des obligations d'État étaient pas anormalement considéré comme AFS (« disponibles à la vente ») et accordé une cote de risque zéro, mais, aussi, dans la pratique, étaient donc les portions AAA que banques, avec l'aide des agences de notation, a réussi à couper de MBS (mortgage-backed securities) et CDO (titres de créance adossés à des garanties).

    Les hypothèques de tous types ont été autorisés à être pondérés vers le bas à 50 % de leur valeur comptable qui, au mieux, traduisaient une nostalgique, pré-subprime compréhension des risques hypothécaires par les organismes de réglementation. Aux États-Unis, les banques pouvaient net hors leurs risques dérivés, tels que J.P. Morgan Chase, porté par exemple, dérivés de 80bn $ sur son bilan financier même si la valeur brute des valeurs mobilières et produits dérivés était proche de 1,5 billions $. L'hypothèse généralisée que les pertes potentielles sur les titres de créance ont été couverts par l'assurance négligé le fait que toutes ces assurances ont été placés avec un petit groupe d'assureurs (surtout AIG) qui n'étaient pas à distance capable de palier les risques systémiques.

    Pendant ce temps, définitions novateurs a permis à des banques capital pour développer de véritable TCE afin d'inclure les gains de livre sur les actions et provisions pour impôts différés et la déficience. Même certaines formes de capitaux d'emprunt étaient autorisés à figurer en equity signalés de banques.

    Ensemble, la pondération des risques de l'actif et l'utilisation de définitions plus lâche jamais du capital, combinées pour produire des ratios de réserves apparemment rassurant qui s'est avéré être très trompeuses. Lehman Brothers, par exemple, a rapporté un ratio de fonds propres de 16,1 % peu de temps avant il s'est effondré, tandis que les rapports de précollision signalés pour Northern Rock et Kaupthing étaient respectivement de 17,5 % et 11,2 %.

    Bien avant 2007, l'escalade de l'échelle de l'endettement avait rendu un accident inévitable. En outre, les deux déclencheurs qui apporteraient l'édifice écraser peine aurait pu être plus évidents. Tout d'abord, remise à zéro du taux d'intérêt de la société d'hypothèques de bras fait des pertes énormes par défaut des subprimes inévitables à moins que le prix de l'immobilier a augmenté indéfiniment, qui était une impossibilité logique. Valeurs par défaut des subprimes pourraient atteinte à leur tour les bases de l'actif des banques qui détiennent les actifs toxiques que les instruments axés sur le prêt hypothécaire en tranches et en dés étaient tenues pour devenir la propriété de prix escalade a cessé dès que.

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  34. Le deuxième déclencheur évident était une crise de liquidités. L'escalade dans l'échelle de la dette avait largement dépassé des fonds des déposants nationaux, pas moins parce que le taux d'épargne avait plongé comme d'emprunt et de consommation avait déplacé d'épargne et la prudence dans la psyché publique occidentale. Contrairement aux déposants une source stable de financement, en l'absence de panique bancaire – financement qui avaient fourni l'essentiel de la hausse des marchés en gros levier étaient parfaitement capables de saisir pratiquement toute la nuit. Pour cette raison, une crise de liquidité cristallisé ce qui était essentiellement un problème de levier.

    – voir graphiques sur site -

    À ce stade, trois problèmes compoundage coups de pied dans.

    •Le premier a été la fin d'un processus de longue « cliquet monétaire » – faibles taux créé des bulles et les autorités a répliqué à chaque récession qui a suivi de réduire encore davantage les taux, mais, cette fois-ci, des réductions tarifaires antérieures a laissé peu de place à la détente.

    •En second lieu, les économies étaient devenu dépendantes de la dette à la consommation et tout renversement dans la disponibilité de la dette a été lié pour se détendre "croissance" la plus tôt (et en grande partie illusoire), créée par les dépenses de consommation fonctionnant à la dette. Comme les figures 2.2 et 2.3 montrent, la relation entre l'emprunt et associée à la croissance avait été aggravation depuis quelques années, telles que l'expansion de 4,1 billions $ au PIB nominal aux États-Unis entre 2001 et 2007 avait été largement dépassée par une augmentation de 6,7 billions $ en dette de consommation, et l'équation de croissance/emprunts avait chuté.

    •En troisième lieu, certains pays – notamment le Royaume-Uni – ont aggravé la dépendance de la dette du consommateur en se méprenant sur illusoire (dette-à) l'expansion économique de croissance « réelle »et avaient accru les dépenses publiques en conséquence, un processus qui a créé les énormes déficits budgétaires dès l'expansion de l'effet de levier a cessé. En fin de compte, la pilotée par effet de levier grande bulle dans les valeurs de propriété de l'ensemble de l'Ouest a créé les conditions pour un ralentissement de désendettement, quelque chose pour l'expérience de déstockage de récessions que les gouvernements n'avait fourni aucune évaluation réaliste.


    fonctionnalités familières

    Cependant, comme nous le verrons, l'éclatement de la super-cycle en 2008 eu certains aspects nouveaux, la processus adopté néanmoins de nombreuses fonctionnalités des dernières bulles.

    Un certain nombre de points est commun à ces dernières bulles, facteurs qui incluent crédit facile, faible emprunt coûte, l'innovation financière (sous la forme d'activités qui se déroulent à l'extérieur des marchés établis, sont déréglementés ou sont carrément illégales), faiblesse des structures institutionnelles, l'opportunisme de certains acteurs du marché et l'émergence d'une certaine forme de psychologie de masse où la peur est totalement évincée par appât du gain.

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  35. Souvent, les objets de spéculation sont des éléments qui peuvent sembler tout à fait irrationnel avec le recul (Comment diable pourraient bulbes de tulipes, par exemple, sont devenus tellement absurdement surévaluées ?) Un autre point important à propos de bulles est que lorsqu'elles se gonflent la prospérité apparente, mais les effets post-burst incluent la destruction de valeur et de l'altération de la production économique pendant une période prolongée. En réalité, cependant, l'éclatement d'une bulle ne détruit pas la capitale, mais simplement expose l'étendue à laquelle valeur a déjà été détruite par investissement rash.

    Bien sûr, les caractéristiques des excès antérieurs n'ont pas été absents dans les événements contemporains. Comme avec les bulbes de tulipes, de stock de la mer du Sud et de Victorian railways, ces dernières années ont vu l'opération de psychologies massive dans laquelle jugement rationnel a été suspendue car la cupidité a triomphé de la peur. Des pratiques innovantes, souvent situées en dehors des marchés établis, ont abondé. Exemples de ces innovations ont inclus des prêts hypothécaires subprime et à taux variable et la prolifération d'un "alphabet soup' des dérivés que Warren Buffett décrit comme « armes financières de destruction massive ». Crédit est devenu disponible en quantité excessive et le prix du crédit était beaucoup trop faible (un facteur qui, croyons-nous, peuvent ont été aggravés par une sous-déclaration généralisée de l'inflation).

    Pourquoi ce temps est différent

    Alors qu'il partage plusieurs des caractéristiques du précédent ces événements, la bulle du crédit super-cycle quel éclat en 2008 dans au moins deux points de vue différente et sans doute diffèrent dans une troisième dimension aussi bien.

    La première grande différence est que le échelle et gamme de la 2008 crash dépassement tout ce qui l'avait précédé. Si elle commençait en Amérique (avec des manifestations parallèles qui ont lieu dans un certain nombre d'autres pays occidentaux), la mondialisation a assuré que l'accident a été transmis dans le monde entier. Les total des pertes résultant de l'accident sont presque impossibles à estimer, pas moins, en raison de pertes fictives créées par la chute des prix de biens, mais même une estimation minimale de 4 billions $ équivaut à environ 5,7 % du PIB mondial, avec toutes les possibilités que les pertes éventuelles seront révélées d’avoir été beaucoup plus grande que cela.

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  36. La deuxième grande différence entre les super-cycle et les bulles précédentes réside dans le calendrier. Un écart de plus de 80 ans s'est écoulé entre la manie de tulipe de 1636-37 et la bulle des mers du sud de 1720, bien que ce dernier avait un corollaire à l'étranger dans la bulle de Mississipi, de la même année. La prochaine bulle majeure, la manie des chemins de fer britanniques des années 1840, suivi d'un intervalle de temps plus longue, et un intervalle de plus de sept décennies environ séparés le détrôner de tortueux « roi des chemins de fer » (George Hudson) en 1846 dès le début de la bulle « années folles », qui a culminé avec le krach de Wall Street. Si des bulles plus petites (par exemple Poseidon) se sont produite dans l'intervalle, la prochaine bulle vraiment grosse ne bougera pas avant les années 1980, quelques valeurs liquidatives japonaises ont perdu le contact avec la réalité.

    Ces dernières années, toutefois, les intervalles entre les bulles ont pratiquement disparu, telle que la décennie avant le krach de 2008 a été marquée par une série d'événements qui se chevauchent dans le temps. Bulles de prix de propriété ont été l'une des principales causes de la crise financière, mais il y avait des bulles complémentaires dans une variété d'autres catégories d'actifs.

    La bulle Internet (1995-2000) reflète une suspension disposée des facultés critiques où la possibilité d'actions prétendument « high technologies » s'inquiétaient et historiens de l'avenir risquent de s'émerveiller de l'idiotie qui joint des valeurs énormes aux sociétés qui n'ont pas de revenus, les liquidités ou les preuves et ont été souvent mesurées par la valeur métrique bizarre de trésorerie « brûlure ». Autres bulles se sont produites dans les marchés de l'immobilier aux Etats-Unis, Grande-Bretagne, Irlande, Espagne, Chine, Roumanie et autres pays, ainsi que dans les produits de base tels que l'uranium et du rhodium. Bulles de l'ensemble de l'économie développées dans des pays comme l'Islande, l'Irlande et Dubaï. Peut-être le plus important bubble lot – pour des raisons qui deviendront évidentes plus tard – est que qui fait le prix du pétrole passant d'une moyenne de $ 25/b en 2002 pour atteindre un sommet de presque $ 150/b en 2008.

    Cela une éruption de bulles suggère que ces dernières années ont vu l'émergence d'une nouvelle tendance distinctive, qui est décrit ici comme un super-cycle de crédit, un mécanisme qui composés de bulles individuelles dans un modèle plus large.

    Ce rapport fait valoir qu'une troisième grande différence peut être que la bulle super-cycle a coïncidé avec un affaiblissement de la dynamique de croissance fondamentale. Ce que nous devons mettre en place est la « narration sous-jacente » qui a comprimé les processus de formation de bulles bien espacées du passé dans la dynamique unique et aggravé la bulle de le super-cycle de crédit.

    Il est suggéré ici que ce récit doit comporter :

    •Un changement de masse psychologique qui a élevé l'importance de la consommation immédiate, tout en affaiblissant les perceptions des risques et des conséquences à plus long terme.

    •Les faiblesses institutionnelles qui ont sapé la surveillance réglementaire tout en même temps faciliter l'offre de crédit excessif par le biais de la création d'instruments à haut risque.

    •Mispricing de risque, aggravé par la fausse appréciation des perspectives économiques et de l'altération de données essentielles.

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  37. •Une politique, conjoncture mentalité qui élève l'importance de l'immédiat, tout en sous-soulignant le long terme.

    •Une déformation du modèle capitaliste qui a créé un fossé se creuse entre "le capitalisme en principe" et "le capitalisme dans la pratique".
    Avant que nous pouvons mettre le super-cycle de crédit dans son contexte, cependant, nous devons comprendre les trois éléments essentiels, qui sont manifestement mal compris.

    Le premier d'entre eux est la grande folie de la mondialisation. Cela a appauvris et affaibli l'ouest tout en assurant que peu de pays est protégés contre les conséquences du déroulement d'une économie mondiale qui est devenu un otage des hypothèses de croissance future précisément du même coup que le champ d'application pour générer de la croissance réelle se détériore.

    Le deuxième enjeu est l'affaiblissement des données économiques et financières officielles, un processus qui a déguisé de nombreuses fonctionnalités plus alarmantes de la super-cycle.

    3. En troisième lieu, il y a une incompréhension fondamentale de la dynamique qui pousse vraiment l'économie. Souvent considéré comme une construction monétaire, l'économie est, en dernière analyse, un système d'énergie, et l'approvisionnement essentiel d'énergie excédentaire a été apparemment inexorable déclin pendant au moins trois décennies.


    http://www.zerohedge.com/news/2013-01-27/time-different

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  38. Calotte glaciaire Asset Management: « la Reine »


    Posté par Tyler Durden le 27/01/2013 10:29-0500

    De la calotte glaciaire Asset Management, janvier 2013


    La Reine

    Elle adore les chapeaux. Elle est toujours très poli et respectueuse d'autrui. Elle salue tout le monde et constamment évite les conflits. C'est une dame ; elle est la Reine.

    Sans aucun doute, la Reine Elizabeth mène une vie tout à fait contrairement à tout le monde dans le monde – après tout, les redevances a ses privilèges. Pourtant, quand il s'agit d'investir, la Reine nage dans le même bassin de requins marché boursier comme nous les gens du commun.

    Comme tout le monde, elle se déverse à travers ses déclarations trimestrielles pour voir comment elle s'est débrouillée. Et comme tout le monde, elle aime à faire de l'argent et déplore simplement des rendements négatifs.

    Il a été dit que la crise de 2008 a frappé plus durement – plus de 40 millions de USD en pertes de marché boursier. Cette expérience doit avoir abandonnée quelque chose, comme lorsque la Reine était en visite à la prestigieuse London School of Economics elle a demandé au professeur une plutôt « ONU-Reine » comme question – pourquoi les économistes n'ont manqué de prédire la plus grande récession mondiale depuis la grande dépression ?

    Parlant au nom des économistes, gestionnaires d'investissement et fonds communs de placement vendeurs partout, le professeur a répondu que "à chaque étape, quelqu'un se fondait sur quelqu'un d'autre et tout le monde pensait qu'ils faisaient ce qu'il faut. » Bref, personne n'aurait pu prédire le krach de 2008.

    Pendant ce temps, dans l'univers parallèle appelé l'Amérique, Ben Bernanke vendait tout le monde l'histoire exacte.

    15 Février 2006. "Notre attente est que la baisse de l'activité ou le ralentissement de l'activité sera modéré; que le prix de l'immobilier continueront probablement à la hausse, mais pas au même rythme qu'ils avaient progressé. »

    – L'Amérique prix de l'immobilier diminuerait éventuellement jusqu'à 50 %.

    28 Mars 2007. "En ce moment", a-t-il affirmé, "l'impact sur l'ensemble de l'économie et les marchés financiers, des problèmes sur le marché des subprimes semble pourtant susceptible d'être contenus."

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  39. -Le marché de l'immobilier subprime n'était pas contenu, en fait, il s'est effondré. 10 Janvier 2008. "La réserve fédérale américaine n'est pas actuellement prévision une récession", - la récession de 2008-2009 était si grave, qu'on l'appelait la grande récession.

    Si la célèbre London School of Economics et le président du Comité plénier de la réserve fédérale américaine ont été incapables de prédire la crise, ce que j'espère que le monde a-t-il avec prévision de crises futures ?

    En vérité réelle et en dépit des affirmations de la réserve fédérale américaine et la London School of Economics, beaucoup de gens prédit avec précision l'effondrement du marché immobilier américain et l'effondrement du marché boursier.

    En fait, en utilisant les mêmes points de données exactement comme la réserve fédérale américaine, ces braves gens conclut que rien de bon serait au moment de sortir les politiques malavisées et réellement mettre leur argent où était leur bouche.

    Un tel investisseur célèbre était Michael Burry de Scion Capital. Présenté par l'auteur Michael Lewis dans son livre « The Short Big, » M. Burry parle comment, en dépit d'être 100 % corriger sur l'effondrement du marché et faire des millions de dollars en profits pour ses clients – ils méprisés en fait lui.

    Maintenant, nous n'avons jamais rencontré M. Burry, mais il semble être une belle assez fella. Sa réussite scolaire est certes haut de gamme, et son penchant pour éliminer la subjectivité de son analyse devrait être l'objectif pour chaque gestionnaire de placements. Pourtant, tout comme Shakespeare accablés de ses protagonistes comme des héros tragiques, alors aussi avaient des clients de M. Burry.

    Son crime: il n'était pas optimiste. Ce manque de pensée optimiste a certainement pas sa place dans le monde d'investissement. Après tout, de 1982 à 1999 le marché boursier toujours augmenté par dizaines. Oui, les marchés boursiers rencontraient un cas bénin de maux d'estomac, de 2000 à 2002, mais il s'agissait simplement d'une exception.

    Optimiste de penser était si répandue pendant cette période que l'once-mighty Merrill Lynch éclaboussait les ondes avec leur mantra « être haussière » jamais un-prescient toutes les chances ils le pouvaient.

    Aujourd'hui bien sûr, le puissant Merrill Lynch n'est donc plus puissant – et pourtant la tendance haussière inhérente vit toujours dans le secteur des placements.

    Grandes banques sont une fois de plus hypnotiser leurs clients à acheter le creux, alors que les universités continuent à former des chefs de l'étudiant à bien ajuster les trous ronds offerts par l'industrie au moment de l'obtention du diplôme.

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  40. Heureusement, il n'a pas à être comme ça. Accepter, comprendre et embrassant le fait qu'aujourd'hui il y a beaucoup de professionnels de l'investissement qui sont prêts à regarder le monde objectivement devrait être réconfortant.

    Dans le même temps, ces jours sombres de 2008 semblent il y a toute sa vie. C'était peut-être un mauvais rêve. Peut-être il jamais arrivé. Et cette agitation au sujet de la dette de l'Europe, récession triple de Grande-Bretagne, plafond de la dette de l'Amérique et la récession de l'année 20 du Japon est peut-être juste que – un tapage.

    Aujourd'hui, la plupart des investisseurs ne réalisent pas que plusieurs entreprises d'investissement ne sont simplement pas structurés pour :

    a) anticiper une baisse significative sur le marché, et

    b) position des portefeuilles de clients en prévision d'une baisse significative des marchés boursiers.

    On pourrait penser que les deux options seraient une partie intégrante de tout processus de gestion d'investissement – mais ce n'est pas. Au lieu de cela, la plupart des entreprises sont construites pour faire deux choses totalement différentes :

    a) rassembler de nouveaux actifs c'est à dire nouveaux clients.

    b) restent investis en permanence, c'est à dire jamais anticiper quoi que ce soit.

    Il y a beaucoup de choses que vous n'êtes pas dit au sujet de l'entreprise de placement. Pour commencer, c'est une aubaine de frais de plusieurs milliards de dollars – c'est bien connu que les conseillers et courtiers en valeurs mobilières régulièrement prêtent davantage attention à leurs frais de grille et remorque de compensation que les performances du client.

    Ensuite, il y a beaucoup de contrevérités ballottées – tous dans le seul but de vous vendre plus de placements. Un tel mensonge, est que si vous manquez les 10 meilleurs jours de l'année, votre déclaration sera significativement plus faible – par conséquent, n'essayez pas de chronométrer le marché et rester investi en tout temps.

    Eh bien, le corollaire est également vrai – si vous manquez pas les pires 10 jours de l'année, vous serez beaucoup mieux ainsi. À quand remonte la dernière fois votre conseiller mentionné cela ?

    Notre favori axiome est que selon les gars de nice à la recherche de Ibbotson, depuis 1926, le rendement à long terme de la bourse est environ 10 %. C'est pourquoi séjour investi à long terme et les rebonds aplatiront – Profitez de la balade.

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  41. Ce qui n'a pas mentionné les gens Ibbotson, qui ont été si leur calcul peu a commencé quelques années plus tôt ou plus tard-le rendement moyen est réduit à environ 7 %.

    À première vue, la différence relative entre 7 % et 10 % ne semble pas significative. Cependant, à voir la vraie différence, il suffit de demander à votre planificateur financier pour vous montrer la croissance hypothétique de vos investissements avec ces deux autres retourne. La différence est significative.

    Comment une telle différence dans les attentes de rendement à long terme peut exister ? Nous sommes toujours à regarder un 80-100 ans des rendements boursiers qui est assez facilement longtemps pour répondre à tous les définition de longue durée. Pourtant, la différence est étonnante et la différence probable n'a pas été expliquée dans votre relevé trimestriel des fonds communs de placement.

    La réponse ? Il se trouve que le principal moteur des rendements boursiers est le ratio PE. Oui, la calotte glaciaire a bourdonné les rendements boursiers et ratios PE avant. La raison que nous mentionnons à nouveau est le message qui tombe sur l'oreille d'un sourd. Il s'agit de choses importantes ici. Professionnels de l'investissement, les médias et le public investisseur veulent désespérément de croire que tout ce dont vous avez besoin pour augmenter les stocks est la croissance des bénéfices. Nous vous disons qui n'est simplement pas vrai.

    Les dividendes, les taux d'intérêt et l'inflation combinée sont beaucoup plus importants que la croissance des revenus précieux. En général, une hausse de la bourse a baisse des rendements de dividendes, diminution des taux d'intérêt et une amélioration soutenue de l'inflation.

    Aujourd'hui, des rendements de dividendes ne peuvent pas aller beaucoup plus bas, les taux d'intérêt ne peut pas aller plus bas, et l'inflation est dans un état semblable au nirvana. Tous ces facteurs influencent directement le ratio PE souvent mal compris. En ignorant les calculs mathématiques, tous on a besoin de savoir est que lorsque le ratio PE est en augmentation – stocks ne manqueront pas de suivre. Et, comme on pourrait s'attendre, l'inverse est vrai aussi bien.

    http://www.zerohedge.com/news/2013-01-27/icecap-asset-management-queen

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  42. Shocking: signaler les abus de fermes industrielles à prendre en considération "acte de terrorisme" Si de nouvelles lois passent
    Trois états sont les derniers états d'introduire Ag-Gag lois et les législateurs dans 10 autres Etats introduites projets de loi similaires en 2011-2012.


    24 janvier 2013


    Comment gardez-vous les consommateurs dans l'ignorance des horreurs de fermes industrielles ? En faisant un «acte de terrorisme» pour quiconque d'enquêter sur la cruauté animale, la sécurité alimentaire ou atteintes à l'environnement dans les exploitations agricoles contrôlés par les entreprises qui produisent l'essentiel de notre viande, les œufs et les produits laitiers.

    Et qui de mieux pour écrire la Loi sur les animaux et le terrorisme écologique, conçu pour protéger les Big Ag et de l'énergie Big, que les avocats de l'énergie, l'environnement et le Groupe de travail sur l'agriculture de l'entreprise financée par l'infâme et American Legislative Exchange Council (ALEC).

    New Hampshire, le Wyoming et le Nebraska sont les derniers Etats à introduire Ag-Gag lois visant à prévenir les employés, journalistes ou militants de dénoncer les pratiques illégales ou contraires à l'éthique dans les fermes industrielles. Les législateurs dans 10 autres États déposé des projets similaires en 2011-2012. Les lois adoptées dans trois de ces états: Missouri, l'Iowa et de l'Utah. Mais les militants de consommation et de bien-être animal a empêché les lois de passage en Floride, l'Illinois, l'Indiana, le Minnesota, le Nebraska, New York et dans le Tennessee.

    En tout, six États ont maintenant Ag-Gag lois, y compris le Dakota du Nord, du Montana et du Kansas, qui a passé toutes les lois en 1990-1991, avant que le terme «Ag-Gag» a été inventé.

    Ag-Gag lois adoptées il y a 20 ans ont été davantage axée sur dissuader les gens de détruire des biens, ou qu'il s'agisse de voler à partir d'animaux ou de leur mise en liberté. ALEC d'inspiration aujourd'hui les factures visent directement à toute personne qui tente d'exposer des horribles actes de cruauté envers les animaux, dangereux animaux pratiques de manipulation qui pourrait conduire à des problèmes de sécurité alimentaire, ou un mépris flagrant pour les lois environnementales visant à protéger les cours d'eau de ruissellement des déchets animaux. Dans le passé, la plupart de ceux exposés résultaient d'enquêtes secrètes exactement le type de Big Ag veut rendre illégal.

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  43. Wyoming HB 0126 est le parfait exemple d'un lien direct entre une enquête secrète d'une ferme industrielle et l'introduction d'une loi Ag-Gag. Le projet de loi a été introduit quelques semaines à peine après neuf ouvriers de l'usine à Wheatland, WY basée Fermes prime Wyoming, un fournisseur de Tyson Foods, ont été accusés de cruauté envers les animaux suite à une opération d'infiltration par la Humane Society des États-Unis (HSUS). Militants HSUS ont filmé des travailleurs qui donnaient des coups de pied à des porcelets vivants, les balançant par leurs pattes de derrière et coups et coups de pied aux truies. Des accusations ont été déposées à la fin de Décembre. En Janvier, État Rep Sue Wallis et sénateur Ogden Driskill introduit Wyoming Ag-Gag projet de loi qui ferait un acte criminel pour mener des enquêtes telles que celle qui a exposé la cruauté à la ferme haut de gamme Wyoming.

    Wallis-et-Driskill les deux ont des liens avec Big Ag. Wallis a fait l'objet d'une plainte de conflit d'intérêt déposée en 2010 par des groupes de protection des animaux. Les groupes l'ont accusée d'abus et frauduleuse de sa position en tant que législateur après avoir présenté un projet de loi autorisant le conseil du bétail du Wyoming à envoyer des chevaux errants à l'abattoir. Au moment où elle a présenté le projet de loi, Wallis a également été l'intention de construire une usine familiale cheval abattage dans l'état. Wallis et Driskill sont membres de l'Association Stockgrowers Wyoming. Driskill a accepté des contributions politiques de l'industrie du bétail et Exxon Mobil, un membre de la SEAL.

    La plupart des lois Ag-Gag introduit depuis 2011 empruntent la prémisse, si ce n'est pas le libellé exact, de la législation modèle conçu par ALEC. ALEC seul but est de rédiger une loi modèle qui protège les profits des entreprises. Industrie pousse alors les législateurs des États d'adapter les projets pour leur pays et de les pousser à travers. L'idée derrière l'animal et la Loi sur le terrorisme écologique est de rendre illégal pour "entrer dans une un animalerie ou un centre de recherche pour prendre des photos à l'aide de photographies, caméra vidéo, ou d'autres avec l'intention de commettre des activités criminelles ou diffamer l'installation ou de son propriétaire.

    En d'autres termes, ces lois transforment les journalistes et les enquêteurs des crimes en criminels.

    La plupart des législateurs impliqués dans l'Etat adoptent à la hâte Ag-Gag factures ont des liens avec ALEC, y compris Guernesey Missouri Rep Casey. Le principal donateur de Guernesey en 2010 était de Smithfield Foods, lui-même une cible des enquêtes d'infiltration qui a exposé de nombreuses atteintes aux porcs. Des Iowa 60 députés qui ont voté pour l'Iowa Ag-Gag lois, au moins 14 d'entre eux, soit 23%, sont membres de l'ALEC

    ALEC intérêt à grande échelle des exploitations agricoles d'usine, ou dans l'industrie-dire, confinés opérations d'alimentation animale (CAFO), peuvent être attribués à l'un de ses plus fidèles membres, Koch Industries. Koch Industries appartenait autrefois la Société de boeuf Koch, l'un des mangeoires plus grandes bovins aux États-Unis Quand les voisins de l'un des grands de l'entreprise bétail opérations d'alimentation opposé à une expansion prévue, affirmant qu'il poserait des problèmes de santé, Koch convaincu les législateurs locaux de se prononcer sur son faveur. ALEC écrit par la suite le « Droit à la Loi agricole », un projet de loi pour interdire les poursuites par des citoyens qui affirment que les fermes voisines, notamment les fermes industrielles, sont encrassement de leur air et de l'eau.

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  44. Ag-Gag factures une menace pour les animaux, la santé publique et l'environnement

    En vertu des lois américaines, les animaux d'élevage n'ont pas la même protection que les autres animaux, comme les chiens et les chats. Anti-libres parole Ag-Gag factures ne servent qu'à laisser les animaux de ferme encore plus vulnérables à la douleur et à la souffrance de routine dans les élevages industriels. Les trois lois fédérales bien-être animal, y compris par l'US Animal Welfare Act, ne s'appliquent pas aux animaux élevés pour l'alimentation. Les méthodes d'abattage sans cruauté des animaux élevés loi réglemente pour la nourriture, mais s'applique exclusivement aux abattoirs, où les animaux peuvent passer que peu de temps avant qu'ils ne soient tués. Cela laisse les Etats à réglementer le traitement souvent barbare des animaux élevés pour l'alimentation.

    Mais comme nous l'avons vu avec les factures Ag-Gag, les lois étatiques sont souvent écrits par les grandes entreprises. Nulle part ailleurs que plus évidente que dans les Etats où les méthodes cruelles de traiter les animaux sont exemptés de lois des États sur la base de leur classification comme «coutumier." Qui décide si une certaine pratique est «coutumier», même si la plupart des gens pensent considérerait que la pratique cruel ? Les sociétés qui possèdent et exploitent CAFO dans cet état.

    Outre les préoccupations éthiques évidents, Ag-Gag lois menacent également la santé publique et l'environnement, et de saper les droits des travailleurs et des lois de liberté d'expression. Les opérations d'infiltration dans les fermes usines ont mis en évidence la mauvaise gestion de la viande, les œufs et le lait d'une manière qui pourrait potentiellement mener à des risques pour la santé, y compris la maladie de la vache folle, la salmonelle, e-coli et d'autres. Une enquête à Chino, en Californie, a révélé les mauvais traitements répandue de "abattus" vaches - vaches qui sont trop malades ou blessés à marcher. L'établissement est le deuxième plus gros fournisseur de viande de bœuf à la Direction générale de l'USDA Commodity marchés publics, qui distribue la viande de bœuf à la National School Lunch Program.

    Ag-Gag factures également les employés et d'autres personnes de faire sauter la sonnette d'alarme sur les violations de l'environnement. D'énormes quantités de déchets sont générés par les milliards de vaches, des cochons et des poulets dans les fermes industrielles. Une grande partie de ces déchets, plein d'antibiotiques, facteurs de croissance et des hormones synthétiques, trouve sa place dans nos cours d'eau et les réserves d'eau municipales. Lois étatiques et fédérales exigent CAFO à minimiser leur dégradation de l'environnement, mais les lois ne sont pas souvent appliquées. Une des façons d'exposer les violations à travers des enquêtes secrètes.

    Et puis il y a la question de la liberté d'expression. L'American Civil Liberties Union a été un adversaire déclaré de Ag-Gag factures. Dans une lettre s'opposant à la proposition de Ag-Gag droit dans le New Hampshire, le directeur exécutif du New Hampshire Civil Liberties Union a écrit que le projet de loi «a de graves conséquences pour les deux droits fondamentaux protégés par la Constitution américaine et de New Hampshire: le droit à la liberté d'expression et le droit de ne pas s'incriminer. «

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  45. Il est encore temps d'arrêter Ag-Gag lois dans le New Hampshire, le Wyoming et le Nebraska

    La majorité des Américains voient Ag-Gag lois pour ce qu'ils sont: juste une autre attaque contre le droit des consommateurs de savoir. Selon un sondage mené l'an dernier par la Société américaine pour la prévention de la cruauté envers les animaux (ASPCA), 71% des Américains sont opposés à la loi. Lorsque les consommateurs apprennent que 99% des animaux élevés pour l'alimentation sont élevés dans des fermes industrielles, ils s'entendent généralement pour dire que les législateurs devraient se concentrer sur le renforcement des lois cruauté envers les animaux, ne pas poursuivre les dénonciateurs.

    C'était l'indignation du public qui a tué projets de loi proposés dans sept Etats l'an dernier. Voici les trois dernières factures soient introduites, et des liens vers des pétitions disant législateurs du New Hampshire, du Wyoming et du Nebraska à rejeter les lois proposées:

    New Hampshire: HB110
    Commanditaire principal: Bob Haefner (R); Co-sponsors: leader de la majorité Steve Shurtleff (D), Rép Tara Sad (D), la sénatrice Sharon Carson (R), et Bob Odell (R)

    Il s'agit d'un projet de loi 7-ligne écrite à regarder comme si sa principale préoccupation est la protection des animaux. Toutefois, le projet de loi obligerait les dénonciateurs de signaler la maltraitance des animaux et de remettre des bandes vidéo, des photographies et des documents dans les 24 heures ou les poursuites en face - une tentative claire pour intimider et dissuader les gens de conduire des enquêtes secrètes. Les législateurs savent que pour quiconque de prouver un modèle d'abus dans les élevages industriels, ils doivent documenter les cas répétés de la cruauté. Une vidéo ou une photographie d'une seule instance sera rejeté comme une anomalie ponctuelle, qui va faire l'entreprise agro-industrielle hors du crochet.

    Signez la pétition pour arrêter le New Hampshire Ag-Gag facture.

    Wyoming: HB0126
    Co-sponsors: Rép Sue Wallis (R), le sénateur Ogden Driskill (R)

    Introduit dans les prochaines semaines, après neuf travailleurs d'une ferme industrielle du Wyoming ont été accusés d'abus. Le parrain du projet, Rép Sue Wallis, prévoit la construction d'abattoirs de chevaux dans le Wyoming et d'autres États. Si ce projet de loi avait été en vigueur en 2012, elle aurait empêché les militants d'exposer horribles actes de cruauté à Wheatland, WY Wyoming Fermes à base de primes, un fournisseur de Tyson Foods.

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  46. Signez la pétition pour arrêter Wyoming Ag-Gag facture.
    Nebraska: LB 204 http://openstates.org/ne/bills/103/LB204/

    Présenté par le sénateur Tyson Larson (R), le sénateur Scott Lautenbaugh (R), et le sénateur Ken Schilz (R)

    Le projet de loi ferait un crime de classe IV pour toute personne d'obtenir un emploi dans une animalerie avec le sens large du terme «intention de perturber les opérations normales," Il faudrait rapports cruauté envers les animaux doit être déposée dans les 12 heures. Co-sponsor sénateur Launtenbaugh a préconisé dans le passé pour le cheval d'abattage.

    Signez la pétition pour arrêter Nebraska Ag-Gag facture.

    http://www.alternet.org/environment/shocking-reporting-factory-farm-abuses-be-considered-act-terrorism-if-new-laws-pass?page=0%2C2

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  47. Sunday, Janvier 27, 2013

    Obama d'approuver Manuel Assassinat Drone


    Le président Obama est sur le point de signer un manuel qui permettra d'institutionnaliser le processus par lequel les ordres de la Maison Blanche et approuve les meurtres commis par des drones télécommandés, selon un dimanche rapport. La soi-disant lutte contre le terrorisme "playbook" va définir les circonstances dans lesquelles la CIA et spéciale de l'armée de commandement des Forces, les deux organismes qui gèrent des drones en Afghanistan, au Pakistan, au Yémen, en Somalie et d'autres parties du Moyen-Orient et en Afrique, peuvent utiliser la force meurtrière. L'article en première page dans les Washington Post équivaut à une semi-officielle annonce par la Maison-Blanche et est basé sur les déclarations des responsables gouvernementaux anonymes. Sa publication, le même jour que Barack Obama a officiellement pris le serment d'office pour son second mandat en tant que président, démontre le rôle de son administration en tant qu'instrument de l'appareil militaire et de renseignement. Le gouvernement américain est si profondément engagé dans les assassinats partout dans le monde que les hauts fonctionnaires croient qu'un manuelle est nécessaire pour régulariser le processus. Selon le message de compte, la rédaction du manuel guerre drone a été retardée par des luttes intestines entre la CIA et d'autres agences, avec la CIA recherchant une plus grande latitude pour mener des frappes de missiles. Il s'agit notamment de «signature» des grèves, dans lequel la cible n'est pas un membre identifié d'Al-Qaïda ou un autre groupe terroriste présumé, mais des individus qui semblent être engagés dans une activité qui porte le «signature» du terrorisme, comme rassembler des armes, ou le chargement des véhicules avec ce qui semble être des explosifs. Cela signifie, en pratique, de ciblage pour assassiner des gens qui semblent être engagé dans la résistance contre l'occupation américaine ou des actions militaires au Moyen-Orient, en Asie centrale et en Afrique. En outre, étant donné que la plupart des grèves drone cibler les zones rurales de l'Afghanistan, du Pakistan, du Yémen et d'autres pays où les rassemblements tribaux sont communs et les armes sont omniprésentes, à la demande de "signature" frappe équivaut à une licence pour la CIA pour assassiner quelqu'un dans la population de ces territoires. Le journal a rapporté que le différend a été réglé par la CIA obtenir une exemption pour les plus larges attaques au Pakistan pour une période d'au moins un an, plus probablement les deux ans, et avec une prolongation possible de la durée encore plus grande. Les zones montagneuses du nord-ouest du Pakistan, le long de la frontière avec l'Afghanistan, ont été la cible la plus fréquente des frappes de missiles de drones, tuant des milliers, y compris des centaines de femmes et d'enfants. La Poste indique que le missile drone "playbook" sera présenté à l'intérieur d'Obama semaines.

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  48. Le journal relève qu'il «marque le point culminant d'une année d'efforts de la Maison Blanche à codifier ses politiques antiterroristes et de créer un guide pour les opérations meurtrières à travers second mandat d'Obama." En d'autres termes, tout au long de la campagne de réélection d'Obama, de hauts responsables de la Maison Blanche ont négocié et concrétiser les détails d'un document secret qui prend comme point de départ le principe selon lequel le président est au-dessus de la loi et ne peut ordonner la mort d'un individu sur la planète, y compris les citoyens américains, sans aucun recours juridique ou de contrainte. Selon le rapport, «Parmi les sujets abordés dans le livre de jeu sont les processus permettant d'ajouter des noms à tuer les listes, les principes juridiques qui régissent lorsque les citoyens américains peuvent être ciblés à l'étranger et la séquence des approbations requises lors de la CIA ou de l'armée américaine mène des frappes de drones en dehors des zones de guerre. " L'administration Obama a refusé de révéler ce "soi-disant principes juridiques" donner au président le pouvoir de vie et de mort sur l'humanité tout entière. Mémorandums juridiques élaborés par le ministère de la Justice ont été gardés secrets par le peuple américain, avec l'administration qui prévaut dans une série de procès où les juges ont fléchi à son affirmation d'un droit absolu de maintenir «secrets d'État», quelles que soient les dispositions de le Bill of Rights. Même les exigences juridiques établis par l'administration Obama, cependant, ne sera pas réellement imposer des limites à la CIA et militaires. Un ancien fonctionnaire a déclaré au message que l'exemption de la CIA au Pakistan serait en vigueur pour les "moins de deux ans, mais plus d'un titre," mais il a ajouté que toute décision finale "sera sans aucun doute être fondée sur des faits sur le terrain." L'un des objectifs de la compte planté dans le message est de renforcer l'image de la Maison Blanche, John Brennan coordinateur du contre-terrorisme, nommé par Obama pour diriger la CIA. Brennan était le premier choix d'Obama comme directeur de la CIA en 2009, mais le président nouvellement élu n'osait pas le nommer en raison de son rôle en tant que défenseur de la restitution et de torture pendant un haut responsable de la CIA sous l'administration Bush. L'article publié dimanche est conforme aux efforts déployés récemment par la Maison Blanche pour présenter Brennan en tant que défenseur de la modération et de retenue dans la conduite de la guerre drone. Il est décrit comme la force motrice de la "playbook", son objectif étant «d'imposer des contrôles plus réguliers et rigoureux sur les programmes de lutte contre le terrorisme qui ont été largement ad-hoc dans la foulée des attentats du 11 septembre." Dans la mesure où ce n'est plus rien que poudre aux yeux avant la nomination de Brennan entendre le mois prochain, le compte indique que le rôle de Brennan est semblable à celle des bureaucrates nazis qui voulaient ordre et le système dans le fonctionnement de la Solution finale, plutôt que la violence incontrôlée, spasmodique et donc inefficace. Pendant ce temps, la mise à mort américain machine continue ses opérations macabres. Au cours du week-end, frappe de drone américain a tué au moins six ans, et peut-être jusqu'à seize ans, dans plusieurs attaques dans le sud du Yémen. Drone-missiles portables tué trois personnes samedi dans la province Maarab et trois autres dans une voiture dans le même dimanche province. Une dizaine ont été tuées dans une explosion dans une maison à al-Bayda province, dit-on, une détonation accidentelle lors de la fabrication de bombes, mais peut-être le résultat d'une autre grève États-Unis, puisque le gouvernement américain ne commente jamais publiquement sur les opérations de drones.

    http://www.wsws.org/en/articles/2013/01/21/dron-j21.html

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  49. Sunday, Janvier 27, 2013

    Le rapatriement des réserves de l'Allemagne d'après la Seconde Guerre mondiale d'or II


    La décision de la Bundesbank allemande de rapatrier une partie de ses réserves d'or détenues à la New York Federal Reserve Bank a déclenché une frénésie dans le marché de l'or.

    Des sources d'information allemands suggèrent qu'une grande partie de l'or allemand stockés dans les coffres de la Fed de New York et la Banque de France doit être déplacé vers l'Allemagne.

    Selon les analystes, cette décision pourrait «déclencher une réaction en chaîne, ce qui incite les autres pays à commencer à rapatrier l'or stocké à Londres, New York ou Paris .... "

    Si le rapatriement d'or devient une tendance dans le monde entier, il est évident que les États-Unis et au Royaume-Uni ont perdu leur crédibilité en tant que gardiens d'or. Pour les marchés de l'or dans le monde entier, cette initiative pourrait marquer un passage de «l'or financier» à «l'or physique", mais le processus est certainement qu'à ses débuts.

    La décision de rapatrier l'or allemand est une grande victoire pour une partie de la presse allemande que d'abord forcé la Bundesbank à admettre que 69% de son or est stocké hors de l'Allemagne. Presque certainement à la fois la presse allemande et au moins plusieurs députés allemands demanderont une procédure de vérification pour les lingots d'or retour de New York, juste pour s'assurer que l'Allemagne ne reçoit pas de tungstène plaqué or au lieu d'or. Il semble que les décideurs allemands ne font plus confiance à leurs partenaires américains. (Voix de la Russie , Janvier 15, 2013)
    Bien que la question est activement débattue en Allemagne, aux États-Unis des rapports financiers ont minimisé l'importance de cette décision historique, approuvé par le gouvernement allemand dernière Septembre.

    Pendant ce temps, un «rapatrier notre or" campagne a été lancée par plusieurs économistes allemands, hommes d'affaires et des avocats. L'initiative ne s'applique pas uniquement à l'Allemagne. Il appelle les pays à initier le rapatriement patrie de tous les avoirs en or détenus dans les banques centrales étrangères.

    Tandis que la souveraineté nationale et de la garde des actifs d'or de l'Allemagne fait partie du débat, les observateurs-dont plusieurs politiciens ont supplié la question: «peut-on faire confiance à la les banques centrales étrangères »(à savoir les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France) qui détiennent des lingots d'or de l'Allemagne" en lieu sûr ":

    Plusieurs hommes politiques allemands ... ont ... malaise voisées. Philipp Missfelder, un député leader de la chancelière Angela Merkel parti de centre droit, a demandé à la Bundesbank pour le droit d'afficher les barres d'or à Paris et à Londres, mais la banque centrale a rejeté la demande, invoquant le manque de salles de visiteurs dans ces installations, le quotidien allemand Bild a rapporté.

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  50. Compte tenu de l'inquiétude croissante à propos de la question politique et la pression des commissaires aux comptes, la banque centrale a décidé le mois dernier [septembre] pour rapatrier les quelque 50 tonnes d'or dans chacune des trois années à venir, de New York à son siège à Francfort pour des examens approfondis'' '' quant au poids et à la qualité, le rapport a révélé.

    ... Plusieurs passages des commissaires aux comptes du rapport ont été noircis dans la copie partagée avec les législateurs, invoquant des préoccupations de la Bundesbank qu'ils pourraient compromettre les secrets impliquant les banques centrales stockage de l'or.

    Le rapport indique que la pile de l'or à Londres est tombé en dessous de 500 tonnes'''' en raison de ventes récentes et les rapatriements, mais il n'a pas précisé combien d'or a eu lieu aux États-Unis et en France. Les médias allemands ont largement rapporté que quelque 1.500 tonnes - près de la moitié du total des réserves - sont stockés à New York.

    ( Associated Press, 22 octobre 2012)
    Un rapatriement pleine et entière des avoirs en or, cependant, n'est pas envisagée:

    "La Bundesbank prévoit de transférer 300 tonnes d'or de la Réserve fédérale de New York et de tous ses or stocké à la Banque de France à Paris, 374 tonnes, à Francfort. compter de cette année.

    En 2020, il veut garder la moitié des près de 3.400 tonnes d'or d'une valeur de près de € 138 milliards - seuls les États-Unis détiennent plus - à Francfort, où il stocke environ un tiers de ses réserves. Le reste est conservé à la Réserve fédérale, la Banque de France et la Banque d'Angleterre. (Reuters 16 Janvier 2012)

    La Cour fédérale allemande des comptes a appelé à une inspection officielle des réserves d'or allemandes entreposées à des banques centrales étrangères », parce qu'ils n'ont jamais été entièrement vérifié ". S'agit-il de réserves de lingots allemands détenus à la Réserve fédérale "séparé" ou font-ils partie des de la Réserve fédérale fongibles "gros pot" des avoirs en or. Est-ce que la New York Federal Reserve Bank ont « Actifs d'or fongibles au degré demandé » ? Serait-il raisonnable de répondre à un processus de patrie rapatriement des avoirs en or initiées par plusieurs pays en même temps ? Selon l'État de New York Federal Reserve, 98% de ses réserves en or est en garde à vue, c'est à dire qu'il appartient aux pays étrangers. Les 2% restants appartiennent au FMI et à l'État de New York Federal Reserve Bank. Par une ironie amère les réserves d'or réels de la Banque de la Réserve fédérale New York sont minimes. Pourquoi est-allemand qui s'est tenu Or dehors de l'Allemagne? "Pourquoi notre or à Paris, Londres et New York» et non à Francfort ?

    L'explication officielle, qui confine à l'absurde, c'est que l'Allemagne de l'Ouest au début de la guerre froide a décidé de conserver ses actifs d'or des banques centrales à Londres, Paris et New York pour «les mettre hors de portée de l'empire soviétique» qui aurait été attentif à trésors d'or pillages Ouest de l'Allemagne. Selon l'agence Reuters:

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  51. Alors que la guerre froide s'installe, l'Allemagne a maintenu ses réserves d'or mis, de les garder hors de la portée de l'empire soviétique. Mais les fonctionnaires du gouvernement ont augmenté mal à l'aise sur le stockage mis en place et ont appelé à la Bundesbank pour inspecter les bars.

    La Bundesbank maintenant veut changer l'arrangement aussi, même s'il a dit qu'il ne voit pas la nécessité de compter les bars ou vérifier leur teneur en or lui-même et considère assurances écrites des autres banques centrales comme suffisante.

    Avec la fin de la guerre froide, il n'était plus nécessaire de conserver les réserves d'or de l'Allemagne "dans la mesure à l'ouest et dans la mesure du rideau de fer que possible", Bundesbank, membre du conseil Carl-Ludwig Thiele a déclaré aux journalistes mercredi.

    La Bundesbank a gagné plus l'espace dans ses coffres après le passage à l'euro à partir du deutschemark. Reuters 16 Janvier 2013)
    Selon les médias occidentaux, en chœur, les menaces de l’«empire du mal» dans le cadre de la guerre froide a eu pour ainsi dire encouragé le «s'occuper» et «la garde» des milliards de dollars de lingots d'or allemand en les voûtes sécurisées des banques centrales de la France, l'Angleterre et l'Amérique. Il s'agissait d'un "responsable" initiative prise par ces trois pays - «amis de l'Ouest Allemagne" -. Avec une vue soi-disant pour aider la Bundesbank à Francfort Main contre une attaque imminente de l'Armée rouge am Mais maintenant plus de 21 ans après la fin officielle de la guerre froide (1991), la Bundesbank "prévoit de ramener une partie de ses réserves d'or stockées aux États-Unis et les banques centrales françaises, cédant aux pressions du gouvernement pour se détendre un pendant la guerre froide stratagème qui a obtenu le trésor national . » Quel était l'objectif des Etats-Unis, dans le sillage de la Seconde Guerre mondiale pour faire pression sur les pays à déposer leurs lingots d'or sous la garde de la Réserve fédérale américaine ? Historiquement, l'accumulation de lingots d'or dans les coffres de la Réserve fédérale américaine (au nom des pays étrangers) a permis de renforcer de façon indélébile le système du dollar mondiale, à la fois pendant la période de l'(Bretton Woods) l'après-guerre "étalon-or" (1946-1971) ainsi que dans ses conséquences (1971 -) . Histoire: Dans le sillage de la Seconde Guerre mondiale La disposition des lingots d'or de stockage n'a rien à voir avec la menace soviétique, telle qu'elle est véhiculée dans les déclarations officielles. Il a beaucoup à voir avec l'histoire de la Seconde Guerre mondiale et ses conséquences immédiates. L'début l'après-guerre entente avec la banque centrale a été dictée par les vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale, à savoir l'Amérique, la France et la Grande-Bretagne. Les gouvernements d'occupation militaires de ces trois pays directement contrôlé les réformes d'après-guerre monétaires mises en œuvre en Allemagne de l'Ouest à partir de 1945. Allemagne de l'Ouest ont été divisés en trois zones, respectivement sous la juridiction des États-Unis, la Grande-Bretagne et la France (voir la carte ci-dessous). De 1945 à 1947, le Reichsmark ont continué à circuler avec de l'argent nouveau papier imprimé dans le Frontières allemandes d'occupation et les territoires.

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  52. Les zones en beige indiquer territoires à l'est de la ligne Oder-Neisse qui étaient attachés à la Pologne et l'URSS. Le protectorat de la Sarre, sur le côté gauche de la carte, est également montré en beige. Berlin est la zone multinationale montré dans la zone rouge soviétique. (Source: 1947, les zones d'occupation américaine et britannique ont fusionné en un contrôle anglo-américain «bizone». En 1948, en vertu d'une soi-disant «Première loi sur la réforme monétaire», le gouvernement de l'occupation militaire mise en place de la Bank deutscher Länder ( Banque de l'allemand Etats ), en liaison avec la Réserve fédérale américaine et la Banque d'Angleterre. Les réformes monétaires ont été mis en œuvre en parallèle avec le plan Marshall, lancé en Juin 1947. La Bank deutscher Länder (BdL) était de gérer le système monétaire de la Länder (équivalent aux états dans une structure fédérale) dans la Bizone relevant de la compétence du gouvernement militaire américano-britannique, conduisant à la création du Deutsche Mark en Juin 1948, qui a remplacé le mark. Ludwig Erhard-qui est devenu ministre des Finances sous le gouvernement de RGF Conrad Adenauer et le chancelier allemand (1963-1966) - joué un rôle central dans le processus de la réforme monétaire, il a commencé sa carrière politique comme conseiller économique du gouvernement militaire américain (USMG). En 1947, il a été nommé président de la commission de réforme monétaire. De Janvier 1947 à mai 1949, le gouverneur militaire américain de la zone US (USMG) qui a supervisé la mise en place de la nouvelle monnaie arrangement était le général Lucius D. Clay, surnommé «Der Kaiser». La Deutsche Mark initiative a ensuite été étendu à la zone d'occupation contrôlée par la France en Novembre 1948 ("trizone" arrangement), avec l'inclusion et la participation de la Banque de France. Alors que la République fédérale d'Allemagne (RFA) (Bundesrepublik Deutschland) , a été créé en mai 1949, le Bundesbank n'a vu le jour 8 ans plus tard, en 1957. réserves d'or de l'Allemagne étaient sous la juridiction de la Bank deutscher Länder (et par la suite de la Bundesbank). Mais la BdL était une initiative des gouvernements américano-britannique-France occupation militaire. Des importance, sous l'étalon-or de Bretton Woods échange (1946-1971), les recettes d'exportation libellés en dollars découlant Allemagne de l'Ouest ont été convertis en or à 32 dollars l'once. En d'autres termes, les recettes d'exportation résultant de la vente de produits allemands dans le marché américain étaient, en un sens, «retournés» aux Etats-Unis sous la forme de lingots d'or qui a été déposée pour "garde" à la New York Federal Reserve Bank. La question importante est la suivante: Avez procédures et accords déterminés par les gouvernements militaires d'occupation en 1947-48 prévoient un cadre dans lequel une partie des lingots d'or Allemagne de l'Ouest devait se tenir dans les banques centrales des vainqueurs, à savoir la Banque d'Angleterre, la Réserve fédérale américaine et la Banque de France? réserves d'or de la Troisième Reich La question des réserves d'or du Troisième Reich est un sujet en soi, au-delà de la portée de cet article. Quelques observations: En 1945, de grandes quantités d'or du Troisième Reich ont été transférés dans la garde des gouvernements militaires. Une partie de cet or a été utilisé pour financer des réparations de guerre:

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  53. En Septembre 1946, les Etats-Unis, Grande-Bretagne, et la France a créé la Commission tripartite pour la restitution de l'or monétaire (TGC). La commission prend ses racines dans la Partie III de l'Accord de Paris sur les réparations, signé le 14 Janvier 1946, relative aux réparations de guerre allemandes. En vertu de l'Accord de 1946 à Paris, les trois alliés ont été accusés de récupération de l'or monétaire pillé par l'Allemagne nazie des banques en Europe occupée et en le plaçant dans un «pool de l'or. »

    Les réclamations contre le pool de l'or et de la redistribution ultérieure de l'or au pays demandeur devait être jugé et exécuté par les trois alliés. "(Pour plus de détails, voir Département d'Etat américain, Tripartie Or la Commission, Février 24, 1997).

    Un dépositaire de change (FED) a été créé à la Reichbank à Francfort. Dénommé «le Fort Knox de l'Allemagne", un processus de collecte ont été mis en place par la FED `au nom du Conseil Occupation Alliés. L'or a été recueilli par la FED, à la fois sous forme monétaire et non monétaire. En Octobre 1947, coïncidant avec la création de la Bank deutscher Länder- la FED, avait accumulé 260 millions de dollars d'or monétaire (au prix 1947 de l'or, ce qui représentait une somme colossale de lingots). Une grande partie de cet or a été restitué dans différents pays demandeur, des organisations et des individus. En 1950, les actifs restants de la FED, qui étaient minimes, selon le Département américain de l'État-ont été transférés à la Bank deutscher Länder. (William Z. Slany, les efforts américains pour restaurer les biens d'or et autres volées ou masqué par l'Allemagne Pendant mondiale la Deuxième Guerre, US State Department, Washington, 1997, p 150-59). Remarque: l'Allemagne 3400 tonnes de réserves d'or n'appartient pas à l'or de la pré-1945-ère. En outre, alors que les procédures de la réforme monétaire ouest de l'Allemagne sous occupation militaire alliée (1947-48) ont joué un rôle dans l'établissement des fondements de la banque centrale allemande dans l'ère post-guerre, les quantités initiales de lingots d'or déposés dans les premiers jours de la Banque Deutscher Länder étaient minimes et peu significatives. Il est entendu que, en dehors du domaine de la banque centrale et la réforme monétaire, les forces alliées de la Seconde Guerre mondiale, y compris les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France et l'URSS fait partie appropriée de la médaille d'or du Troisième Reich . Cela en soi est une question tout à fait distincte et complexe qui dépasse le cadre de cet article.

    http://www.globalresearch.ca/frenzy-in-the-gold-market-the-repatriation-of-germanys-post-world-war-ii-gold-reserves/5319287

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    1. (…) Si le rapatriement d'or devient une tendance dans le monde entier, il est évident que les États-Unis et au Royaume-Uni ont perdu leur crédibilité en tant que gardiens d'or. (…) ???!
      Le fait de reprendre son bien n’a rien à voir avec la crédibilité de la banque ou d’un pays pareillement que chaque citoyen a un compte en banque et ne remet pas en cause la ‘crédibilité’ de cette dernière en retirant son argent.
      Par contre, le fait qu’il n’y ait pas plus d’or à N-Y qu’au R-U, laisse bien à penser que certains pays confiant à placer de l’or à l’extérieur ont eu à faire à des escrocs.

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