- ENTREE de SECOURS -



dimanche 22 janvier 2017

BOULEVARD de la MORT - Kurt Russell, Zoë Bell

https://www.youtube.com/watch?v=I7BMBH37Qu8

7 commentaires:

  1. Nucléaire : La Biélorussie souhaite avoir son indépendance énergétique, tout en accordant une grande importance à la sécurité.


    le 22 janvier 2017
    Par Peter Lubomirov.


    Aujourd’hui la Biélorussie est préoccupée par le besoin de renforcer sa sécurité énergétique. Un document conceptuel spécial a été élaboré à cette fin, dont l’un des points principaux est le développement de l’énergie nucléaire.

    Le choix d’un site et d’un réacteur plus sûrs

    La construction de la première centrale nucléaire biélorusse – centrale d’Ostrovets – se poursuit depuis 2012. Le site d’Ostrovets a été choisi parmi 74 terrains potentiels après études des facteurs naturels et géographiques, sismiques, environnementaux, radiologiques entre autres. Les résultats des recherches ont été approuvés par les experts de l’AIEA.

    Selon le projet, la centrale biélorusse sera équipée du réacteur type VVER-1200 de la dernière génération 3+ qui correspond à toutes les exigences post-Fukushima. Le choix de cette technologie a été fait après un examen attentif de différentes propositions d’autres fabricants.

    La particularité du réacteur consiste en une unique combinaison des systèmes de sécurité active et passive, ce qui réduit considérablement l’influence du facteur humain. La protection passive assure le refroidissement du réacteur grâce à la circulation d’eau, ainsi que l’extraction de la chaleur du cœur de réacteur même en l’absence d’alimentation. En outre, la double enceinte de confinement et le piège de la masse fondue éliminent les possibilités de la fuite de matière radioactive dans l’environnement.

    Après avoir subi les conséquences de Tchernobyl, la Biélorussie a accordé un grand soin au choix du projet nucléaire vraiment sûr.

    Des experts internationaux

    Afin d’assurer la fiabilité maximale de sa première centrale nucléaire, Minsk engage régulièrement des experts internationaux pour évaluer le projet d’une manière impartiale. Depuis le début de la construction, il y avait déjà six missions de l’AIEA et, en janvier 2017, les experts de l’Agence effectueront la septième mission pour examiner le site et la conception, et déterminer les dangers internes et externes potentiels.

    Chaque fois que l’AIEA formule ses recommandations à l’issue de l’examen, les experts de l’Agence donnent généralement des conclusions positives sur le travail effectué. Ainsi, Petteri Tiippana, le chef de la dernière mission, lancée en octobre, a souligné l’adhésion de la Biélorussie à la stratégie de sécurité ; Yukiya Amano, le directeur général de l’AIEA, à la suite de la visite officielle sur la centrale d’Ostrovets en avril 2016, a noté que le pays prend la responsabilité d’assurer un haut niveau de sécurité et de transparence au cours de la réalisation du projet, ainsi que la participation active dans la coopération internationale sur cette question.

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  2. Entre-temps, des spécialistes de l’organisation internationale accueillent le choix biélorusse du réacteur qui est éprouvé par le temps : «Choisir des technologies innovantes et déjà éprouvées par le temps est une bonne approche. La référence du projet est sa qualité importante», est-il noté dans le cadre du séminaire de haut niveau de l’AIEA sur le développement de l’infrastructure de l’énergie nucléaire tenu en février 2016.

    Une centrale qui répond au besoin d’indépendance énergétique

    La centrale biélorusse est construite à plusieurs fins principales : la satisfaction des besoins domestiques en électricité, la réduction des prix d’énergie pour les consommateurs finaux, la diversification des combustibles et l’économie des hydrocarbures. Selon les estimations du département de l’efficacité énergétique du Comité d’État de normalisation, après que la centrale nucléaire sera mise en service en 2020, le pays pourra économiser jusqu’à 5 milliards de m3 de gaz naturel par an. Étant donné que le pays consomme annuellement environ 19,5 milliards de m3 de gaz, la centrale nucléaire sera capable de remplacer un quart du volume requis.

    En outre, la mise en exploitation de la centrale permettra de réduire le coût de l’électricité dans le pays, car l’électricité produite par la centrale nucléaire est beaucoup moins chère que celle générée par des centrales électriques à combustible fossile. Cela est aussi confirmé par la pratique mondiale. C’est pourquoi, l’électricité produite par la centrale nucléaire biélorusse sera entièrement consommée à l’intérieur du pays.

    La construction de la centrale nucléaire biélorusse vise également à atteindre une croissance sociale et économique. L’une des conditions essentielles de la réalisation du projet a été la participation maximale des sociétés biélorusses et l’utilisation de matériaux domestiques. Aujourd’hui de nombreuses industries et entreprises sont engagées dans la construction, et le secteur de nouvelles technologies obtient un coup de pouce supplémentaire.

    La sécurité avant tout

    Depuis 2008, la formation intensive du personnel pour l’industrie nucléaire biélorusse sur la base des programmes éducatifs de l’AIEA est conduite dans les universités nationales. Des spécialistes biélorusses sont régulièrement envoyés pour divers cours d’amélioration de la qualification et séminaires de l’Agence. Une attention considérable est accordée, non seulement à la formation professionnelle, mais aussi à la surveillance de construction sur le chantier.

    Un système clair du contrôle de qualité et de l’inspection des équipements existe sur le site. L’accomplissement des tâches est également contrôlée pendant la journée de travail. En outre, il existe un système de surveillance vidéo, un règlement de chantier qui définit des sanctions pour violation des règles, parmi lesquelles la mise à pied d’un travailleur.

    Il est à noter que la centrale ne produit pas d’émissions de gaz à effet de serre pendant le fonctionnement, ce qui participe aux mesures écologiques. L’état de l’environnement a été déjà examiné par une organisation publique «Oka». Les spécialistes ont mesuré la dose du rayonnement des matériaux utilisés pour la construction, du lamine et de l’équipement. Rassurés sur la conformité à la norme, ils sont satisfaits des résultats.

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  3. Une évaluation de l’impact transfrontalier sur l’environnement a été également faite par la Biélorussie dans un rapport spécial, conformément à la Convention d’Espoo. À la suite des consultations internationales tenues en Autriche, Ukraine, Lettonie, Pologne et Lituanie, le document a été actualisé et présenté aux parties concernées. De la même manière, le travail a été effectué au regard d’analyse post-projet. Ainsi, la Biélorussie remplit ses engagements de fournir aux pays intéressés, y compris la Lituanie, des informations nécessaires sur l’état environnemental et radiologique autour de la centrale. Comme le confirment ces pays, l’information qu’ils reçoivent est complète et compétente.

    Les réticences de la Lituanie

    Cependant, la Lituanie ne cesse pas de s’exprimer contre la construction de la station biélorusse et appelle à l’abandonner, citant comme argument principal sa proximité de la capitale lituanienne (le site est à 50 km de Vilnius). Mais la distance entre des stations nucléaires et des villes n’est pas réglementée dans les recommandations de l’AIEA ou la pratique mondiale. En Europe, de nombreuses centrales sont situées à moins de 50 km de grandes villes. La France, par exemple, ne fournit aucune garantie supplémentaire à l’Allemagne au regard de la centrale de Fessenheim qui est située à 28 km de la frontière allemande.

    À son tour, la Biélorussie qui respecte les intérêts de son voisin balte, a proposé à la Lituanie de tenir des consultations d’experts à plusieurs reprises au cours des années 2009 – 2016, et de répondre à toutes les questions posées. Bien que la convergence des positions ne soit pas observée, la partie biélorusse continue d’espérer un dialogue constructif et professionnel.

    En total, l’effet combiné de la construction de la première centrale nucléaire en Biélorussie consiste en un renforcement de la sécurité et de l’indépendance énergétique, ainsi qu’en une croissance de la compétitivité de l’économie nationale et l’amélioration de la situation écologique. Perspectives positives qui surpassent considérablement la tension dans les relations biélorusses-lituaniennes, de sorte que le projet ne sera évidemment pas gelé. Le seul scénario raisonnable et qui apportera un bénéfice mutuel, est d’aller l’un vers l’autre et de contribuer conjointement à la bonne réalisation du projet.

    https://www.contrepoints.org/2017/01/22/278492-nucleaire-bielorussie-aspire-a-lindependance-energetique

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    1. Pour être plus clair, disons qu'à Fukushima le SEUL problème était la rupture des tuyaux (PVC et fer) d'alimentation en eaux des réacteurs depuis le Pacifique jusqu'à la centrale électrique. D'où les frais plus que minimes pour normaliser cette protection indispensable en les montant sur vérin ou, et c'est là un nouveau concept: faire venir directement par gravité l'eau (du fleuve ou de l'océan) vers la centrale (donc: sans pompage nécessaire) qui serait immergée dans un bassin afin de limiter les fonctions de soutirage.

      (...) En outre, la double enceinte de confinement (...) ??!

      Que l'enceinte soit double, triple ou quadruple, s'il y a une explosion intérieure (à la 'cocotte-minute') d'hydrogène (comme à Fukushima), il y aura forcément un déchapeautage du ou des réacteurs !

      (...) Il est à noter que la centrale ne produit pas d’émissions de gaz à effet de serre pendant le fonctionnement (...)

      Hahahaha ! Depuis que la fonction de 'effet de serre' n'a pu être prouvée par la présence d'un quelconque gaz libéré dans l'atmosphère, cette remarque disparaît donc d'elle-même.

      (...) La France, par exemple, ne fournit aucune garantie supplémentaire à l’Allemagne au regard de la centrale de Fessenheim qui est située à 28 km de la frontière allemande. (...)

      Hahahaha ! '28 km' ou 1 million ne change pas grand chose !
      Voir: Tchernobyl où les particules radioactives se seraient arrêté aux frontières comme Fukushima aux poissons d'alentour ! Hahahaha !

      Notons que la Bielorussie (pays 'très fortement ensoleillé') Hahaha ! n'a pas retenu la proposition d'installer des panneaux solaires à la con ou des éoliennes de merde ! Hahaha !

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  4. Le gouvernement britannique a soufflé 168m £ sur les projets de capture de carbone annulés


    January 22nd, 2017


    Comment peut-on brûler presque des millions de dollars pour essayer de bourrer un très bon engrais vers le bas d'un gouffre ? Cette presque ...

    La capture du carbone doit être classé comme l'un des moyens les plus flagrante ridicule de dépenser de l'argent (encore plus inutile que DESAL). Pour capturer et enterrer le gaz carbonique d'une centrale au charbon, nous devons dépenser environ 60% de plus pour construire chaque nouvelle centrale électrique, puis jeter 40% de l'électricité qu'il fait. (Voir les calculs de TonyfromOz dans le lien ci-dessous).

    Sputnik Nouvelles rapports sur le deuxième effondrement du financement britannique pour la capture du carbone:

    Le gouvernement du Royaume-Uni États-Unis a perdu 123 millions $ sur une compétition pour développer la technologie des émissions de carbone thatwill de capture. Le projet a été annulé gemäß un rapport, après que le Département de l'énergie n'a pas d'accord sur les coûts à long terme de la compétition avec le Trésor.

    Les inquiétudes sur le prix aux consommateurs ont conduit à des compétitions de décès, gemäß au National Audit Office (NAO).

    Le rapport, où ce produit par le NAO, a averti qu'il a fait ce que "actuellement inconcevables" dass die projets de CSC seraient élaborés avec l'appui du gouvernement, et les coûts de la concurrence dass die n'a pas atteint la valeur pour l'argent.

    Ce n'est pas la première fois un concours organisé par le gouvernement pour relancer le CSC a été annulée. En 2011, le gouvernement ayant dépensé 70 millions de U $ a dû arrêter le projet.

    «Le ministère a essayé deux fois pour démarrer CCS au Royaume-Uni, mais il n'y a pas d'exemples silencieux du travail de la technologie», a déclaré Amyas Morse, chef du National Audit Office.

    D'autres défaillances de la capture du carbone ont aussi gaspillé quantités sauvages d'argent. Le concept est si intrinsèquement futile nous avons besoin une sorte de miracle techno avance, ou nous devons briser les lois de la chimie pour le faire fonctionner.

    TonyfromOz a traversé les détails exacts de la capture et du stockage Cabon fantaisie. Mon initiation:

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  5. Saviez-vous CCS (capture et stockage du carbone) nécessite au site industriel presque aussi grand que la centrale à charbon qu'il est censé nettoyer ? Ou fait il utilise pleinement 40% de l'énergie de la sortie entière de la même station ?

    Le problème est-central fait dans des conditions que nous les humains aiment être, de molécule de gaz carbonique veut catégoriquement être un énorme gaz volumineux. Pour le rendre plus compact et stockable de retour dans le petit trou il est venu, nous devons changer soit chimiquement, ou de force farcir en vertu d'une combinaison de pression extrême ou froid extrême. Et il n'y a pas beaucoup de froid scellé croûte voûtes de pierre dans la Terre mince, qui repose sur une boule 1000°C de magma. Toute forme de produit chimique, de la température ou de changement de pression utilise des quantités de monstre d'énergie, et il n'y a tout simplement pas se déplacer sans jouer avec les lois de la chimie. L'idée de la CSC est si incroyablement irréalisable fait pour farcir un engrais souterrain bénéfique il semble que nous devons dépenser 60% de plus pour construire chaque nouvelle centrale électrique, puis jeter 40% de sa production ainsi.

    Vous ne pouvez pas faire ce genre de choses. CCS est la menace a fait de nouvelles centrales au charbon inabordables dans l'Ouest, et la construction de ces coûts dans le plan rend les comparaisons de coûts avec les énergies renouvelables (et nucléaire) beaucoup plus «attractive». Anton passe par des numéros de provocation. - Jo

    D'autres messages sur la capture du carbone
    La capture du carbone, usine de charbon propre fait faillite, seulement 4.4b $ par rapport au budget
    $ 22000000000000 gaspillé sur la capture du carbone qui augmente le coût de l'électricité de 70%
    Vert liste de résultats: l'argent gaspillé et matière grise
    h / t Colin (Govt Annule Carbon Capture Après Blowing 168 millions £) et Pat (info Reuters)

    http://joannenova.com.au/2017/01/uk-government-blew-160m-on-cancelled-carbon-capture-projects/#more-52758

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    1. Remarquons au passage que la 'séquestration' du gaz carbonique (qui est parfaitement inutile car il n'est pas un poison) coûte une fortune aux contribuables alors que depuis des milliards d'années il se recycle tout seul et gratuitement en oxygène ! (qui se recycle en gaz carbonique, etc, etc) comme le fait l'eau des fleuves et rivières se jetant dans la mer où elle se recycle en s'infiltrant jusqu'au magma depuis des milliards d'années (sans frais de 'stations d'épuration' inventées par les escrocs).

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