- ENTREE de SECOURS -



mardi 31 janvier 2017

L'image du jour

La folie française - 39€ nets à dépenser pour le salarié nécessitent de payer 110€ d'impôts aux communistes parasites. La fuite s'impose... ou le renoncement à sa carrière pro !

samedi 28 janvier 2017

Bill Gates met en garde contre une nouvelle forme de terrorisme … et personne n’y est préparé

Sarah Liénart 
27 janvier 2017


Lors du Forum économique mondiale de Davos ce mois-ci, Bill Gates a prévenu qu’une nouvelle forme de terrorisme se profilait à l’horizon, menace face à laquelle nous sommes bien mal armés : le bioterrorisme.

La Fondation Bill et Melinda Gates a pris part à l’initiative internationale Coalition for Epidemic Preparedness Innovation dont la mission est de créer des vaccins pour stopper les épidémies futures.

Malgré un budget conséquent d’environ 700 millions de dollars, Bill Gates s’inquiète que ce ne sera pas assez ; et il considère que le bioterrorisme, qui est rappelons-le une forme de terrorisme ayant recours à une diffusion délibérée de germes déclenchant des maladies mortelles, pourrait devenir une menace sérieuse.

Les pays doivent travailler ensemble

Il est d’avis que nous devons commencer dès maintenant à nous préparer : « Il est très difficile d’évaluer la probabilité d’une attaque bioterroriste, mais les dommages potentiels sont énormes ». “

En mars, sur le réseau social Reddit, il avait déjà témoigné de cette crainte : “L’une des questions qui m’inquiète est celle de savoir comment nous évitons qu’un groupe de terroristes utilise des moyens nucléaires ou biologiques pour tuer des millions de gens”.

Bill Gates nous prévient que les gouvernements devront s’impliquer et travailler ensemble pour empêcher le bioterrorisme, parce que les épidémies « ne respectent pas les frontières ». Il a ajouté :

« C’est délicat, parce que c’est un problème mondial. Comment les pays peuvent-ils travailler ensemble, et quels pays doivent apporter quelles ressources ? Que l’on se penche dessus du point de vue humanitaire ou dans un sens purement domestique, [le combat contre les épidémies] est un investissement qui doit être fait ».

Gates n’est pas le seul à s’inquiéter

Gates n’est pas le seul à s’inquiéter. Sam Altman, qui préside Y Combinator, un programme de la Silicon Valley destiné à aider les startups, avait récemment expliqué au New Yorker que la fin du monde était un sujet de conversation récurrent parmi les dirigeants des jeunes firmes du secteur de la technologie. Il avait précisé que l’un des scénarios les plus débattus était celui du bioterrorisme. “Il y a  quelques années, lorsqu’un labo hollandais est parvenu à modifier le virus de la grippe aviaire H5N1 pour le rendre extrêmement contagieux, les chances de création d’un virus synthétique mortel dans les 20 années suivantes sont devenues supérieures à zéro”.

vendredi 27 janvier 2017

L'hydrogène métallique, une fois après que la théorie devient réalité

26 janvier 2017


Près d'un siècle après sa théorisation, les scientifiques de Harvard ont réussi à créer le matériau le plus rare - et potentiellement l'un des plus précieux - sur la planète.

Le matériau - l'hydrogène métallique atomique - a été créé par Thomas D. Cabot Professeur des Sciences Naturelles Isaac Silvera et Ranga Dias post-doctoral. En plus d'aider les scientifiques à répondre aux questions fondamentales sur la nature de la matière, le matériau est théorisé pour avoir une large gamme d'applications, y compris comme un supraconducteur à température ambiante. La création du matériel rare est décrite dans un article du 26 janvier publié dans Science.

"C'est le Saint-Graal de la physique à haute pression", a déclaré Silvera. «C'est le tout premier échantillon d'hydrogène métallique sur Terre, alors quand vous le regardez, vous regardez quelque chose qui n'a jamais existé auparavant.

Pour le créer, Silvera et Dias ont pressé un petit échantillon d'hydrogène à 495 gigapascal, soit plus de 71,7 millions de livres par pouce carré - plus grand que la pression au centre de la Terre. A ces pressions extrêmes, a expliqué Silvera, l'hydrogène moléculaire solide - qui se compose de molécules sur les sites du réseau du solide - se décompose, et les molécules étroitement liées se dissocient pour se transformer en hydrogène atomique, qui est un métal.

Bien que le travail offre une nouvelle fenêtre importante dans la compréhension des propriétés générales de l'hydrogène, il offre également des allusions alléchantes à potentiellement révolutionnaires de nouveaux matériaux.

"Une prédiction qui est très importante est l'hydrogène métallique est prédit être méta-stable", a déclaré Silvera. "Cela signifie que si vous retirez la pression, il restera métallique, similaire à la façon dont les diamants se forment à partir de graphite sous une chaleur et une pression intense, mais reste un diamant lorsque cette pression et la chaleur est éliminée.

Comprendre si le matériau est stable est important, a dit Silvera, parce que les prédictions suggèrent que l'hydrogène métallique pourrait agir comme un supraconducteur à température ambiante.

"Ce serait révolutionnaire", a t-il dit. "Jusqu'à 15 % de l'énergie est perdue à la dissipation pendant la transmission, donc si vous pouviez faire des fils à partir de ce matériel et les utiliser dans le réseau électrique, il pourrait changer cette histoire."

Parmi les sains grails de la physique, un supraconducteur à température ambiante pourrait, selon M. Dias, changer radicalement notre système de transport, rendre possible la lévitation magnétique de trains à grande vitesse et rendre les voitures électriques plus efficaces et améliorer les performances de nombreux appareils électroniques.

Le matériau pourrait également apporter des améliorations majeures dans la production d'énergie et de stockage - parce que les supraconducteurs ont une énergie de résistance nulle pourrait être stocké en maintenant les courants dans les bobines supraconductrices, puis être utilisé lorsque nécessaire.

L'hydrogène métallique, une fois la théorie, devient réalité

Bien qu'il ait le potentiel de transformer la vie sur Terre, l'hydrogène métallique pourrait également jouer un rôle clé en aidant les humains à explorer les lointains de l'espace, comme le propulseur de fusée le plus puissant encore découvert.

«Il faut énormément d'énergie pour fabriquer de l'hydrogène métallique», a expliqué Silvera. «Et si vous le convertissez en hydrogène moléculaire, toute cette énergie est libérée, ce qui en ferait le propulseur de fusée le plus puissant connu de l'homme, et pourrait révolutionner la fusée".
Les carburants les plus puissants utilisés aujourd'hui sont caractérisés par une «impulsion spécifique» - une mesure, en secondes, de la vitesse à laquelle un propulseur est tiré du dos d'une fusée - de 450 secondes. L'impulsion spécifique pour l'hydrogène métallique, par comparaison, est théorisée à 1700 secondes.

"Cela vous permettrait facilement d'explorer les planètes extérieures", a déclaré Silvera. "Nous serions en mesure de mettre des roquettes en orbite avec une seule étape, contre deux, et pourrait envoyer des charges plus importantes, ce qui pourrait être très important."

Pour créer le nouveau matériau, Silvera et Dias se sont tournés vers l'un des matériaux les plus durs sur la Terre - le diamant.

Mais plutôt que le diamant naturel, Silvera et Dias ont utilisé deux petits morceaux de diamant synthétique soigneusement polis qui ont ensuite été traités pour les rendre encore plus durs, puis montés l'un en face de l'autre dans un dispositif connu comme une cellule d'enclume de diamant.

"Les diamants sont polis avec de la poudre de diamant, et qui peuvent gouger / creuser le carbone de la surface," a déclaré Silvera. "Lorsque nous avons examiné le diamant à l'aide de la microscopie à force atomique, nous avons trouvé des défauts, ce qui pourrait causer son affaiblissement et de rupture."

La solution, a-t-il dit, était d'utiliser un procédé de gravure ionique réactive pour raser une couche minuscule - seulement cinq microns d'épaisseur, soit environ un dixième d'un cheveu humain - de la surface du diamant. Les diamants ont ensuite été revêtus d'une mince couche d'alumine pour empêcher l'hydrogène de se diffuser dans leur structure cristalline et de les fragiliser.

Après plus de quatre décennies de travail sur l'hydrogène métallique, et près d'un siècle après sa première théorie, voir le matériel pour la première fois, a dit Silvera, était passionnant.

"C'était vraiment excitant," dit-il. "Ranga était en train de faire l'expérience, et nous avons pensé que nous pourrions y arriver, mais quand il m'a appelé et dit:« L'échantillon est brillant », je suis allé courir là-bas, et il était de l'hydrogène métallique.

"J'ai immédiatement dit que nous devons faire les mesures pour le confirmer, alors nous avons réorganisé le laboratoire ... et c'est ce que nous avons fait", a t-il dit. «C'est un exploit formidable, et même s'il n'existe que dans cette cellule d'enclume à haute pression, c'est une découverte très fondamentale et transformatrice.

jeudi 26 janvier 2017

«Nous n'aurions pas dû aller en Irak» : les propos chocs de Donald Trump à la télévision américaine

26 janv. 2017, 15:10


Dans un long entretien accordé à la chaîne ABC, le président américain est revenu sur plusieurs mesures phares de son programme, comme la construction du mur à la frontière avec le Mexique, ou des sujets polémiques comme l'utilisation de la torture.

Lors de son entretien diffusé sur la chaîne de télévision américaine ABC, Donald Trump a défendu la mise en place du gel de l'entrée de ressortissants de certains pays musulmans sur le territoire américain, affirmant qu'il fallait agir dans un monde devenu «un foutoir complet».

«Ce n'est pas une interdiction contre les musulmans mais cela concerne des pays qui ont beaucoup de terrorisme», a ajouté le nouveau président des Etats-Unis.

«Je ne veux pas de terrorisme dans ce pays», a-t-il ajouté, refusant de donner la liste des pays qui seraient visés par ces mesures, mais réaffirmant sa conviction que l'Europe avait fait «une énorme erreur et autorisant des millions de personnes à se rendre en Allemagne et dans d'autres pays».

Selon un décret intitulé «Protéger la nation d'attaques terroristes par des étrangers», l'administration s'apprête à suspendre pour un mois l'arrivée sur le sol américain de ressortissants de sept pays musulmans (Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen).

Le nouveau président américain ne craint-il pas que ces décisions ne génèrent davantage de colère dans le monde musulman ? 

«Colère ? Il y a déjà plein de colère. Comment pourrait-il y en avoir plus ?», a-t-il répondu. 

«Le monde est un un foutoir [...] Le monde est en colère», a-t-il affirmé. «Nous n'aurions pas dû aller en Irak. Nous n'aurions pas dû nous en retirer de la façon dont nous l'avons fait. Le monde est un foutoir complet», a-t-il poursuivi.

«Le Mexique paiera pour le mur, même si le montage est compliqué»

Donald Trump a une nouvelle fois assuré que le financement du mur, qui doit être construit dans les mois qui viennent à la frontière avec le Mexique pour lutter contre l'immigration illégale, serait, in fine, assuré Mexico. 

Le président mexicain a garanti qu'il ne paierait pas ? «Il est obligé de dire cela», a-t-il répondu avant de poursuivre : «Mais moi je vous le dis : il y aura un paiement, même si le montage sera peut-être compliqué.»

Début janvier, le président du Mexique, Enrique Pena Nieto avait déclaré : «Il est évident que nous avons quelques divergences avec le prochain gouvernement des Etats-Unis, comme au sujet du mur que, bien entendu, le Mexique ne paiera pas.»

Simulations de noyade : «Il faut combattre le mal par le mal»
Le président américain Donald Trump est convaincu que la simulation de noyade est efficace pour interroger des prisonniers, mais s'en remet aux responsables du Pentagone et de la CIA sur l'opportunité de la rétablir dans leur techniques d'interrogatoire, a-t-il indiqué.

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«Je m'en remets [au chef de la CIA] Mike Pompeo et [au ministre de la Défense] James Mattis et à mon équipe», a expliqué le président américain. «S'ils n'en veulent pas, ça me va. S'ils la veulent, alors je travaillerai à cela. Je veux faire tout ce qui est possible, en restant dans les frontières de la légalité», a-t-il ajouté.

«Quand l'Etat islamique fait des choses que personne n'a faites depuis le moyen-âge, est-ce que je peux m'opposer à la simulation de noyade ? Il faut combattre le mal par le mal», a estimé le 45e président américain.

Le secrétaire américain à la Défense, le général James Mattis, n'est pas favorable aux pratiques d'«interrogatoires renforcés» comme la simulation de noyade, croyant davantage en la mise en confiance des prisonniers pour obtenir des informations.

Mike Pompeo, le directeur de la CIA, s'est jusqu'à maintenant gardé de prendre position sur la question du rétablissement de la simulation de noyade, même s'il a défendu bec et ongles la CIA sur ces pratiques lorsqu'il était sénateur et membre de la commission du renseignement. 

La simulation de noyade, méthode assimilée à un acte de torture, a été pratiquée par la CIA dans ses prisons secrètes contre les suspects de terrorisme sous la présidence de George W. Bush (2001-2009). 

Elle a été interdite par le président Barack Obama, mais Donald Trump s'est déclaré favorable à son rétablissement lors de la campagne électorale.

Lire aussi : Donald Trump voudrait réduire la contribution des Etats-Unis à l'ONU

mercredi 25 janvier 2017

Crise climatique : la fin ?

le 26 janvier 2017


Si ma mémoire est encore bonne, le nobélisé de la paix Al Gore était bien vice-président de Bill Clinton. J’ai appris le samedi 21 janvier de l’an nouveau 2017 que la fondation « caritative » Clinton venait de mettre la clé sous le paillasson. Bill Clinton a licencié sans préavis 22 personnes et tout simplement fermé la porte à double tour car la fondation n’a plus un cent (de dollar) sur son compte. Alimentée par un scandaleux trafic d’influence lorsque l’épouse de Bill était à la tête de la diplomatie américaine sous la législature d’Obama (qui a fermé les yeux sur les turpitudes d’Hillary) cette fondation dont a largement profité Al Gore pour promouvoir la véracité mensongère du réchauffement climatique d’origine humaine est devenue une coquille vide. Il est tout à fait vraisemblable que le sinistre Al Gore soit poursuivi par le FBI dans les prochaines semaines, sinon les prochains jours. 

L’arrivée de Donald Trump dans le bureau ovale de la Maison-Blanche promet un développement très intéressant. Le nouveau président américain a bien précisé qu’il ne croyait pas un mot de la théorie du réchauffement climatique d’origine humaine et il va certainement faire le ménage en profondeur.

Ce sera une occasion inespérée de dévoiler l’imposture mondiale de ce supposé réchauffement que tous les Européens sont en train à l’évidence de constater …

Source partielle : investors.com

mardi 24 janvier 2017

Crise climatique : L’incohérence des partis écolos allemands

le 23 janvier 2017


À la suite du grand tsunami qui dévasta le 11 mars 2011 un grande partie des zones côtières de l’île de Honshu au Japon faisant plus de 20000 morts et disparus et provoquant l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi, l’Allemagne décida sous l’impulsion des partis écologistes de fermer dans un délai de dix ans toutes ses installations électronucléaires qui fournissaient le cinquième de l’électricité du pays fin 2010. En 2022 et selon les décisions du gouvernement de Madame Merkel prises en 2011 toutes les centrales nucléaires du pays seront définitivement à l’arrêt. Or l’Allemagne a aussi ratifié le protocole de Paris issu de la COP21 de 2015. Il est donc devenu urgent pour le pays de développer de manière aussi rapide et massive que possible des installations de production électrique dites propres. Parmi ces énergies « vertes » ou propres (comme vous l’entendez) renouvelables de surcroît et sans danger pour l’atmosphère et le climat, selon les directives de l’IPCC, il y a les moulins à vent. Or l’Allemagne se trouve face à un problème toujours pas résolu et qui ne le sera jamais : il y a du vent « exploitable » dans les länders proches de la Mer du Nord alors que l’industrie est essentiellement concentrée au sud du pays, là où le vent est beaucoup plus capricieux.

De plus, en 5 ans le prix du kWh pour les particuliers a doublé en raison du coût exorbitant des sources d’énergie verte, particuliers qui se trouvent donc de facto pénalisés pour maintenir une industrie, nerf de l’économie allemande, à qui les compagnies d’électricité octroient des tarifs préférentiels sur ordre du gouvernement de Berlin. L’ensemble des consommateurs allemands financent donc l’industrie indirectement. Mais ce n’est pas tout ! Les grandes firmes industrielles impliquées dans les énergies vertes comme par exemple Siemens (qui a totalement abandonné ses activités nucléaires) maintiennent une pression constante pour installer le plus possible de moulins à vent, épaulés en ce sens par les partis verts ultra-puissants en Allemagne.

De plus, en prenant en compte le fait qu’un moulin à vent off-shore coûte 5 fois plus cher que son équivalent terrestre et que les espaces disponibles pour installer de nouveaux moulins sur la terre ferme s’est considérablement réduit il va falloir trouver une solution rapidement et ce d’ici la fin de l’année 2022. Il reste en effet aujourd’hui 8 réacteurs de 1300 MW électriques en fonctionnement ayant tous été construits entre 1984 et 1988, deux BWR et 6 PWR. Selon les critères de sécurité américains ces installations pourraient sans danger fonctionner encore 40 ans. Il faut donc remplacer 10900 MW électriques par des sources d’énergie propre et fiable avant 2022.

La loi allemande de protection de la faune interdit l’utilisation des moulins à vent entre le 1er mars et le 30 août afin de préserver la vie des oiseaux migrateurs dans les zones, plutôt mal définies, de passage de ces oiseaux, mouvements migratoires vers la Scandinavie justement très intenses dans les régions septentrionales de l’Allemagne. En dépit du fait que les observateurs de la Deutsche Wildtier Stiftung, La Fondation Allemande pour la Nature, a répertorié la mort de 250000 chauve-souris et 12000 rapaces chaque année y compris dans les zones où les moulins à vent sont interdits de fonctionnement entre les dates précisées ci-dessus, qu’à cela ne tienne, les Verts font paradoxalement pression pour que cette interdiction de fonctionnement (loi fédérale de protection de la nature § 44, section 1 No.1) soit aménagée pour assurer une plus importante production d’électricité éolienne ! De plus, et en Allemagne on n’est plus à un paradoxe près, la destruction de forêts entières a été autorisée, comme par exemple dans le Schleswig-Holstein et le Mecklenburg, deux länders du nord du pays particulièrement boisés, pour y installer des moulins à vent.

Plus paradoxal encore, les partis verts s’opposent à la construction de lignes électriques à très haute tension pour acheminer l’énergie « verte » depuis les länders du nord vers ceux, industriels, du sud, Rhénanie, Bade-Würtenberg et Bavière. Tous ces exemples illustrent donc l’incohérence totale de la politique énergétique allemande et les dégâts irréversibles sur l’environnement qui en résultent.

Les générations futures apprécieront d’autant plus que l’énergie nucléaire est considérée à juste titre comme la seule alternative à la consommation de combustibles fossiles et malgré le fait que de plus en plus de scientifiques de valeur incontestable s’accordent pour affirmer que le gaz carbonique n’a aucun effet notoire sur le climat et que l’optimum climatique moderne est maintenant terminé …

Source partielle: blog de Pierre Gosselin (notrickszone.com) avec sa permission.

lundi 23 janvier 2017

Surprise de l'élection de Donald Trump ?

Voilà quelqu'un 'inconnu au bataillon' politique et qui (comme vous et moi) a osé exprimer ses propres idées personnelles en public !! Çà alors !!  Juste que 'le petit plus' est que lui [Donald Trump] il a des milliards. Des milliards qui n'ont pas servi à construire/aménager des îles artificielles en paradis flottant mais à mener campagne contre le nano-groupuscule de dictateurs (non élus, je vous rassure) que représentent les merdias. Oligarchie qui, sous la fausse excuse d'informer le monde le désinforme en ne rapportant ni les idées du peuple ni, bien sûr, les opinions des 'élus' !! C'est-à-dire qu'il s'agit là d'un pouvoir suprême qui s'est adjugé la fonction de gouverner les habitants de la Terre en s'appropriant le droit unique de transmettre des messages en toute liberté!! *

*+ de 97 % des communications se font par la fibre optique filtrée par la NSA et, seulement moins de 3% par satellites (réservées aux militaires, cartographie et messageries maritimes). Seuls, s'échappent les 'talkie-walkies'.

Et voila que, pataugeant dans sa merde à 'Qui-chie-le-plus-haut', ces organes répugnants ont englouti des milliards pour accuser de tricherie sans preuve le vainqueur des élections comme depuis son dépôt de candidature et - on le constate aussi - depuis son poste mirador du début de son mandat.

Hahahahaha !

Le 'plus marrant" est que la presse à organisé/payé des faux-manifestants (à 50$/h !) pour défiler et scander des slogans hostiles au chef de l'Etat alors que ces mêmes 'contestataires' ont CERTAINEMENT voté pour Donald Trump compte tenu de leur situation misérable dans laquelle ils sont depuis plus de 8 années aux USA !

Exemple (à se plier en 4 ! Hahahaha !):


ou


où des photos de manifestantes (prostituées ?) sont montrées. Or, si la particularités est qu'il n'y a aucun panneau ou banderole fabriqués à partir d'adhésifs (sérigraphie) pour faire 'plus people'... tous ont utilisé les mêmes crayons feutres sur les pancartes ! HAHAHAHA !

Réjouissance mondiale qui a fait dire par les commentateurs jusqu'à 1000 % le nombre d'habitants qui ont suivi sur notre planète les présidentielles aux États-Unis !

Ainsi - lu dans 'La presse' - après le boucliers humains constitué de millions d'enfants, de femmes et d'hommes d'Europe derrière qui s'abritaient les 'forces americaines' pour lancer une guerre mondiale vers la Russie pacifiste, voilà 'plus de 23 000 enfants' dits 'réfugiés en Europe' !!! (qui seraient donc venus à pieds (nus ?) ou a 4 pattes ? sur des milliers de kilomètres, en voiture ou en avions), et qui... n'auraient pas de billets de retour vers leur pays chaud qu'ils auraient volontairement quittés pour les pays froids !!  Çà alors !! Pourquoi ne sont-ils pas allés au pôle Nord et demandé à y être chauffés ?

samedi 21 janvier 2017

"Nous transférons le pouvoir aux gens"

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"Nous transférons le pouvoir aux gens" - Discours inaugural complet de Trump


Par Tyler Durden
Jan 20, 2017 1:12 PM


Dans un discours inaugural qui a fait appel aux principes fondamentaux prêchés lors de sa campagne présidentielle, teinté d'une nuance de colère palpable et d'une suggestion de protectionnisme, Trump a revu les thèmes qui l'ont amené à la Maison Blanche et a promis de ramener des emplois, Les frontières et de restaurer la richesse de l'Amérique, tout en transférant le pouvoir de Washington et de le rendre à «vous, le peuple."

"Aujourd'hui, nous ne sommes pas simplement de transférer le pouvoir d'une administration à une autre ou d'une partie à l'autre", a déclaré Trump dans son discours d'inauguration. "Nous transférons le pouvoir de Washington, D.C. et nous le rendons au peuple."

Dans son discours, Trump a décrit une Amérique déchirée par le crime et le tumulte social, comme Obama assis à proximité.

"Ce carnage américain s'arrête ici et s'arrête maintenant", a déclaré Trump.

«Les hommes et les femmes oubliés de notre pays ne seront plus oubliés», dit Trump alors que la pluie tombait. "Tout le monde vous écoute maintenant."

Les marchés peuvent avoir été effrayés par le soupçon de protectionnisme de Trump comme suit: «Nous devons protéger nos frontières contre les ravages d'autres pays fabriquant nos produits, volant nos entreprises et détruisant nos emplois.

Trump a décrit les usines fermées comme des «pierres tombales» qui parsèment le comté et dit que le gouvernement fédéral a dépensé des milliards de défendre «les frontières d'autres nations tout en refusant de défendre les nôtres.

Le président républicain a déclaré que les États-Unis "affronteront les difficultés, mais nous allons faire le travail."

En rompant avec la tradition établie par son prédécesseur, qui avait l'habitude de se mentionner souvent dans ses discours, Trump ne se mentionnait que trois fois en deux phrases, tout en se référant au "nous" le peuple américain 45 fois selon DC. La première fois que Trump s'est référé à lui-même a eu lieu à mi-parcours du discours, quand il a dit: «Le serment d'office que je prends aujourd'hui est un serment d'allégeance à tous les Américains.

Les autres deux références de Trump à lui-même sont venues peu après. "Je vais me battre pour vous avec chaque souffle dans mon corps - et je ne vous décevrai jamais," dit Trump. Telle était la mesure dans laquelle Trump s'est donné n'importe quelle mention dans son discours inaugural.

Alternativement, il a parlé de «nous» le peuple américain 45 fois au cours de l'adresse, y compris une chaîne de mentions à la fin de son discours, jouant de son "Make America Great Again" slogan: «Ensemble, nous ferons l'Amérique Fort encore. Nous ferons l'Amérique riche encore. Nous ferons l'Amérique fier encore. Nous allons rendre l'Amérique sûre à nouveau. Et, oui, ensemble, nous ferons l'Amérique grand encore.

Trump a conclu en promettant que le serment d'office qu'il vient de prendre «est un serment d'allégeance à tous les Américains» et a dit que le pays va partager «un destin glorieux».

«Ensemble, nous ferons de nouveau l'Amérique forte. Nous allons rendre l'Amérique riche à nouveau. Nous ferons l'Amérique fier encore. Nous allons rendre l'Amérique sûre de nouveau », a déclaré Trump dans son discours. "Et, oui, ensemble nous ferons l'Amérique grand encore."

Transcription complète ci-dessous:

Le juge en chef Roberts, le président Carter, le président Clinton, le président Bush, le président Obama, les autres Américains et les gens du monde, je vous remercie. Nous, les citoyens d'Amérique, nous sommes maintenant engagés dans un grand effort national pour reconstruire notre pays et rétablir sa promesse pour tous nos peuples. Ensemble, nous déterminerons le cours de l'Amérique et du monde pendant de nombreuses et nombreuses années à venir. Nous serons confrontés à des défis. Nous allons affronter les difficultés, mais nous allons faire le travail. Tous les quatre ans, nous nous réunissons sur ces étapes pour effectuer un transfert de pouvoir ordonné et pacifique, et nous sommes reconnaissants au président Obama et à la première dame Michelle Obama pour leur gracieuse aide tout au long de cette transition. Ils ont été magnifiques. Je vous remercie.

La cérémonie d'aujourd'hui a cependant une signification toute particulière, car aujourd'hui, nous ne transférons pas seulement le pouvoir d'une administration à une autre ou d'une partie à une autre, mais nous transférons le pouvoir à Washington et nous le rendons. Pendant trop longtemps, un petit groupe dans la capitale de notre pays a récolté les fruits du gouvernement alors que les gens en ont supporté le coût. Washington a prospéré, mais le peuple n'a pas partagé sa richesse. Les politiciens ont prospéré, mais les emplois sont partis et les usines ont fermé leurs portes. L'établissement s'est protégé, mais pas les citoyens de notre pays. Leurs victoires n'ont pas été vos victoires. Leurs triomphes n'ont pas été vos triomphes, et pendant qu'ils célébraient dans la capitale de notre nation, il y avait peu à célébrer pour les familles qui luttent partout dans notre terre.

Tout a changé en commençant ici et maintenant, parce que ce moment est votre moment. Il vous appartient. Il appartient à tout le monde réuni ici aujourd'hui, et tout le monde à regarder, à travers l'Amérique. C'est votre journée. C'est votre célébration, et ceci, les États-Unis d'Amérique, est votre pays.

Ce qui importe vraiment, ce n'est pas quel parti contrôle notre gouvernement, mais si notre gouvernement est contrôlé par le peuple. Le 20 janvier 2017 sera rappelé comme le jour où les gens sont devenus les dirigeants de cette nation à nouveau. Les hommes et les femmes oubliés de notre pays ne seront plus oubliés. Tout le monde vous écoute maintenant. Vous êtes venus par les dizaines de millions pour faire partie d'un mouvement historique, comme le monde n'a jamais vu auparavant.

Au centre de ce mouvement est une conviction cruciale, qu'une nation existe pour servir ses citoyens. Les Américains veulent de grandes écoles pour leurs enfants, des quartiers sûrs pour leur famille et de bons emplois pour eux-mêmes. Ce sont des exigences justes et raisonnables des justes et d'un public juste, mais pour un trop grand nombre de nos citoyens une réalité différente existe. Des mères et des enfants emprisonnés dans la pauvreté dans nos villes, des usines rouillées comme des pierres tombales à travers le paysage de notre nation, un système d'éducation plein de liquidités, mais qui laisse nos jeunes et beaux étudiants privés de toute connaissance et du crime Les gangs et les drogues qui ont volé trop de vies et ont volé notre pays de tant de potentiel non réalisé. Ce carnage américain s'arrête ici et s'arrête maintenant.

Nous sommes une nation, et leur douleur est notre douleur. Leurs rêves sont nos rêves, et leur succès sera notre succès. Nous partageons un cœur, une maison et un destin glorieux. Le serment d'office que je prends aujourd'hui est un serment d'allégeance à tous les Américains. Pendant de nombreuses décennies, nous avons enrichi l'industrie étrangère aux dépens de l'industrie américaine, subventionné les armées d'autres pays, tout en permettant la très triste épuisement de nos militaires. Nous avons défendu les frontières des autres nations tout en refusant de défendre les nôtres. Et a dépensé des trillions et des milliards de dollars à l'étranger tandis que l'infrastructure de l'Amérique est tombée dans le délabrement et la désintégration. Nous avons enrichi d'autres pays alors que la richesse, la force et la confiance de notre pays se sont dissipées à l'horizon. L'une après l'autre, les usines ont frissonné et ont quitté nos côtes, sans même penser aux millions et aux millions d'ouvriers américains qui ont été laissés derrière. La richesse de notre classe moyenne a été arrachée de leurs foyers puis redistribuée à travers le monde, mais c'est le passé, et maintenant nous ne regardons que vers l'avenir.

Nous sommes rassemblés ici aujourd'hui, émettant un nouveau décret pour être entendu dans chaque ville, dans chaque capitale étrangère et dans chaque salle du pouvoir, à partir de ce jour, une nouvelle vision régira notre terre, à partir de ce jour, il va être Seulement l'Amérique d'abord. L'Amérique d'abord. Chaque décision sur le commerce, sur les impôts, sur l'immigration, sur les affaires étrangères sera faite pour bénéficier aux ouvriers américains et aux familles américaines. Nous devons protéger nos frontières contre les ravages d'autres pays qui fabriquent nos produits, volent nos entreprises et détruisent nos emplois. La protection mènera à une grande prospérité et à la force. Je combattrai pour vous avec chaque souffle dans mon corps, et je ne vous laisserai jamais tomber. L'Amérique va recommencer à gagner, gagnant comme jamais auparavant. Nous rapporterons nos emplois. Nous ramènerons nos frontières.

Nous ramènerons nos richesses, et nous ramènerons nos rêves. Nous allons construire de nouvelles routes, routes et ponts, ainsi que des aéroports, des tunnels et des chemins de fer, partout dans notre merveilleuse nation. Nous allons libérer notre peuple de l'aide sociale et du travail, reconstruire notre pays avec les mains américaines et le travail américain. Nous suivrons deux règles simples - acheter américain, et embaucher américain.

Nous chercherons l'amitié et la bonne volonté avec les nations du monde, mais nous le faisons en sachant que c'est le droit de toutes les nations de mettre

Leurs propres intérêts en premier. Nous ne cherchons pas à imposer notre mode de vie à quiconque, mais plutôt à le laisser briller comme un exemple, nous allons briller pour tout le monde à suivre. Nous allons renforcer les anciennes alliances et en former de nouvelles, et vous nuit le monde civilisé contre le terrorisme islamique radical, que nous éradiquerons complètement de la face de la Terre. Au fond de notre politique sera une allégeance totale aux États-Unis d'Amérique, et par notre loyauté envers notre pays, nous redécouvrirons notre loyauté les uns aux autres. Quand vous ouvrez votre cœur au patriotisme, il n'y a pas de place pour les préjugés. La bible nous dit combien il est bon et agréable que les gens de Dieu vivent ensemble dans l'unité. Nous devons parler ouvertement de nos esprits, débattre honnêtement de nos désaccords, mais toujours chercher la solidarité. 

Quand l'Amérique est unie, l'Amérique est totalement imparable. Il ne devrait pas y avoir de peur. Nous sommes protégés et nous serons toujours protégés. Nous serons protégés par les grands hommes et femmes de nos forces armées et de l'application de la loi. Et le plus important, nous serons protégés par Dieu. Enfin, nous devons penser grand et rêver encore plus grand. En Amérique, nous comprenons qu'une nation ne vit que tant qu'elle s'efforce. Nous n'accepterons plus les politiciens qui sont tous des discours et aucune action, se plaignant constamment mais ne faisant jamais n'importe quoi. Le temps pour la causerie vide est fini. Maintenant arrive l'heure de l'action. Ne laissez personne vous dire qu'il ne peut pas être fait. Aucun défi ne peut égaler le cœur et la lutte et l'esprit de l'Amérique.

Nous ne manquerons pas. Notre pays prospérera et prospérera de nouveau. Nous sommes à la naissance d'un nouveau millénaire, prêt à débloquer les mystères de l'espace, à libérer la Terre des misères de la maladie et à exploiter les industries et les technologies de demain. Une nouvelle fierté nationale fera vibrer nos âmes, soulevera nos visions et guérira nos divisions. Il est temps de se souvenir de la vieille sagesse que nos soldats n'oublieront jamais, que nous soyons noirs, bruns ou blancs, nous saignons tous le même sang rouge des patriotes. Nous jouissons tous des mêmes libertés glorieuses, et nous saluons tous le même grand drapeau américain.

Et si un enfant est né dans l'étalement urbain de Detroit ou dans les plaines balayées par le vent du Nebraska, ils regardent vers le même ciel nocturne, ils remplissent leur cœur avec les mêmes rêves, et ils sont imprégnés avec le souffle de vie par le même tout-puissant créateur. Donc, à tous les Américains, dans chaque ville proche et lointain, petits et grands, de la montagne à la montagne, de l'océan à l'océan, entendre ces mots. Vous ne serez jamais ignoré à nouveau. Votre voix, vos espoirs et vos rêves définiront notre destinée américaine, et votre courage, votre bonté et votre amour nous guideront à jamais sur le chemin.

Ensemble, nous ferons de nouveau l'Amérique forte. Nous allons rendre l'Amérique riche à nouveau. Nous ferons l'Amérique fier quand elle. Nous ferons l'Amérique en sécurité à nouveau, et oui, ensemble nous ferons l'Amérique grand encore. Je vous remercie. Dieu te bénisse. Et Dieu bénisse l'Amérique. Je vous remercie.

http://www.zerohedge.com/news/2017-01-20/trumps-inugural-address-full-transcript

Apocalypse à la Maison Blanche ? Quand la presse mainstream panique face à l'investiture de Trump

21 janv. 2017, 13:08


Alors que Donald Trump devenait officiellement le 45e président des Etats, les titres et articles dépeignant l'ouverture de son mandat sous un jour terrifiant ou désolant se sont multipliés dans la presse française et anglophone.

Au jour de l'entrée en fonction officielle du nouveau président des Etats-Unis, les médias français semblaient loin d'avoir renoncé à leur peur et à leur mépris pour l'ex-candidat républicain : vendredi 20 janvier, alors que Donald Trump prêtait serment devant le Capitole, L'Obs publiait un article intitulé, avec mesure : «60 bonnes raisons de détester Donald Trump» (dont : «Il a des goûts de chiottes question déco»...).

Dans la même veine, slate.fr (se basant sur la version américaine du site) a choisi de lister, le même jour, les «choses terrifiantes que Donald Trump pourrait faire». Parmi elles, le lecteur pouvait découvrir des mesures (hypothétiques) véritablement effrayantes telles que l'expulsion d'immigrés clandestins, l'abaissement du taux maximal d'imposition ... ou la signature d'un pacte de non-agression avec la Russie !

Quelques heures avant, le site cofondé par Jacques Attali et Jean-Marie Colombani avait déjà publié un article au titre inquiétant : «Voici comment Trump peut maintenant déclencher l'arme nucléaire».

Mediapart non plus n'a pas caché ses craintes face à l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, barrant sa page d'accueil, samedi 21 janvier, des mots : « Le "Trump Power", un danger américain».

Moins sombre, Libération a préféré opter pour la moquerie, en ouvrant ses colonnes, à la veille de la passation de pouvoir, à un universitaire qualifiant le nouveau chef d'Etat d'«Ubu président» (en référence au personnage littéraire de roi grotesque inventé par Alfred Jarry).

Le discours de prestation de serment lui-même n'a semble-t-il pas permis de dissiper les craintes d'une partie de la presse française, le journal 20 Minutes évoquant à l'issu de celui-ci une allocution «sombre [qui] divise l'Amérique», et L'Obs un «discours anxiogène».

La site de la chaîne de télévision publique française FranceInfo, enfin, a ni plus ni moins titré un article : «Etats-Unis : quatre façons d'entrer en résistance contre Donald Trump », alors que le président-élu entrait en fonction...

De nombreux médias anglo-saxons toujours hostiles à Trump
Sans surprise, les médias anglo-saxons, qui avaient massivement pris parti contre le candidat républicain durant la campagne présidentielle américaine, ont pour bon nombre d'entre eux accueilli de manière dramatique l'investiture de Donald Trump.

Attisant l'épouvante liée au nouveau président, le quotidien britannique de centre-gauche The Guardian a par exemple qualifié dans un éditorial la cérémonie du 20 janvier de «déclaration de guerre politique».

Enfonçant le clou, un contributeur invité par le journal a fait savoir que «sous le président Trump, nous [allions] entrer dans un âge de confrontation mondiale»...

Au Royaume-Uni, toujours, The Independent a laissé deviner sa panique face à l'avènement de Donald Trump, indiquant en une : «Sauve-nous, Dieu» (une référence aux mots devant être prononcés par le président lors de la prestation de serment).

Une du journal britannique The Independent du 21 janvier

De l'autre côté de l'Atlantique, le prestigieux New York Timesa moqué «Monsieur téléréalité [arrivant] à Washington» (Donald Trump ayant animé l'émission de téléréalité «The Apprentice»), tandis que CNN, sans grande surprise, a dénoncé un discours d'investiture «purement populiste».

Lire aussi : En diffusant un sujet sur le meurtre de Donald Trump, «CNN s'est portée un coup fatal»

https://francais.rt.com/france/32742-apocalypse-maison-blanche-quand-presse-panique-investiture-donald-trump

jeudi 19 janvier 2017

Gagnez 15% par an en profitant des malheurs de la distribution (auchan, carrefour, sears...)


Si l'argent ne va pas d'un côté il va de l'autre, ainsi faudrait-il voir que le malheur des uns fait le bonheur des autres. Or, les monopoles de distribution (entr'autres) commencent à s'apercevoir que l'argent n'y est plus/ne circule plus !

D'où, la nécessité pour ces 'Dirigeants' de ressortir de leurs coffres tout l'argent bloqué qui ne profite à personne.

Ce malheur (pour certains) est attribué en premier à l'avancée technologique de la robotique dans presque tous les secteurs. Le robot n'est bien-sûr pas condamnable (Qui voudrait se passer de sa voiture-robot et revenir à la bicyclette ou à pieds ? Qui se passerait de sa machine-à-laver-robot ou de sa machine-à-café-robot ?).

Rappel que de TOUS TEMPS l'homme a fait subir ou a subi l'esclavage. S'est servi des femmes ('sexe faible') et de ses enfants, puis vint le dressage des animaux. Domestication qui demeurera jusqu'à l'arrivée de voitures et tracteurs.

Or, il faut voir que ce progrès n'a que peu profité à ses utilisateurs ! à cause des taxes & impôts divers rendant très cher les achats et l'usage des machines. Qui s'est enrichi ?
Comment se fait-il qu'aujourd'hui (comme hier) il y ait des gens qui ne travaillent pas et demeurent riches ??

Non, il ne faut pas ruiner les riches en empêchant donc toutes les personnes de l'être un jour, mais seulement demander que l'argent tourne !
L'humain (ou plutôt 'l'industrie des machines') produit suffisamment et même trop



  • PS: Invention nouvelle à traiter: Puis-je fabriquer de l'électricité en cliquant x fois sur une 'pince à linge' ? 'Épingles à linge' qui seraient susceptibles d'être montée sous les talons afin qu'en marchant ce dispositif produise de l'électricité réchauffant les pieds et le corps ?

Puis, serait d'arriver... 'la taxe sur les robots' !!! C'est-à-dire qu'en plus de devoir payer pour avoir du travail (frais d'essence quotidien, etc), tous les objets passant 'entre les mains' d'une machine seront désormais plus chers !!!
Idem donc pour le pétrole qui sort tout seul et va se décanter tout seul gratos, après quoi, bêh, il faut le pomper pour le mettre dans les navires pétroliers qui utiliseront en plus des machines (moteurs et non la voile ou la rame) pour vous apporter cet or noir précieux !
C'est-à-dire que l'humain du 21è siècle se voit dirigé vers la seule option possible: devoir crever sur place faute d'argent pour aller ailleurs !

mercredi 18 janvier 2017

Grand froid : où est l’énergie renouvelable ?

le 17 janvier 2017


Grand froid: l’approvisionnement électrique de la France assuré mercredi

Paris – La France sera suffisamment approvisionnée en électricité mercredi pour affronter la vague de froid, mais la situation reste « sous forte vigilance » pour les jours suivants, même si aucune coupure de courant n’est prévue à ce stade, a indiqué RTE mardi.

« Pour la journée de demain, RTE aura les capacités de production disponibles en France et à l’étranger suffisantes pour couvrir les besoins électriques de la France », a déclaré un porte-parole du gestionnaire du réseau de transport d’électricité, lors d’une conférence téléphonique.

Au niveau national, la température moyenne sera de 6°C sous les normales de saison, un peu moins froide que le niveau de -6,4°C prévu initialement par Météo France, ce qui réduit légèrement la consommation électrique anticipée, a-t-il détaillé.

L’Hexagone est en effet hautement « thermosensible »: la popularité des radiateurs électriques, qui chauffent un tiers des logements, fait qu’une baisse d’un degré de la température hivernale représente une consommation additionnelle de courant de l’ordre de 2.400 mégawatts (MW), l’équivalent de deux gros réacteurs nucléaires.

Le gestionnaire du réseau à haute tension prévoit une consommation de 93.000 mégawatts à la pointe de 19H00 mercredi, quand les Français regagnent leur domicile et poussent le chauffage, face à une production totale disponible en France de 91.250 MW, à laquelle s’ajoutent de 2.000 MW à 4.000 MW de capacités d’importation. « En conséquence, les solutions exceptionnelles graduelles prévues en cas de vague de froid importante et durable ne seront pas activées pour la journée de demain », a indiqué le porte-parole de la filiale d’EDF. « Il n’y a évidemment par de coupure programmée non plus pour la journée de demain et pour le reste de la semaine à ce stade », a-t-il ajouté. Les capacités d’importation de la France sont réduites par la vague de froid qui touche également les pays voisins, tandis que ses moyens de production étaient amputés de six réacteurs nucléaires à l’arrêt mardi, sur les 58 que compte le parc français d’EDF.

Parmi les mesures susceptibles d’être activées figurent entre autres le lancement d’alertes incitant les consommateurs à réduire leur consommation en heures de pointe, l’interruption de l’alimentation de 21 sites industriels ou la réduction de la tension de 5% sur le réseau.

Pour jeudi, avec une température qui devrait se situer 5,7° sous les normales saisonnières, RTE prévoit une consommation de 94.700 MW. Les prévisions seront réactualisées mercredi en fin d’après-midi, le déclenchement de mesures exceptionnelles demeurant une option possible. « La situation reste sous forte vigilance » jeudi et vendredi, a indiqué le porte-parole, « puisque la vague de froid va se poursuivre jusqu’à la fin de la semaine ». Durant le week-end, la consommation d’électricité se réduit, l’industrie tournant alors au ralenti.

(©AFP / 17 janvier 2017 19h46)

Quand j’ai lu cette dépêche de l’Agence France Propagande je me suis posé une seule question : les énergies renouvelables, les moulins à vent, les panneaux solaires et les fermenteurs de biomasse ne peuvent-ils pas pallier à la demande supplémentaire en énergie ? C’est à grands frais (pour les contribuables) que ces énergies alternatives ont été installées par le gouvernement afin de réduire de 50 % l’apport du nucléaire dans le paysage énergétique de la France comme l’a rappelé avec un peu trop de désinvolture Manu Valls à l’horizon 2025 ! C’est tout simplement grotesque qu’un candidat à la magistrature suprême tienne de tels propos. La France est donc condamnée à importer des kWh à grands frais auprès des pays voisins puisque les températures sont « anormalement » basses alors que six réacteurs nucléaires sont toujours à l’arrêt pour inspection de sécurité. Ces arrêts ont été effectués à la demande des écologistes qui ont considéré, sans aucune preuve tangible à l’appui, que l’acier des boites à eau des générateurs de vapeur pouvait être « anormalement » trop riche en carbone. Dans l’anormal on ne fait pas mieux comme démagogie …

Tous les Français risquent un black-out qui se répercuterait alors sur l’ensemble de l’Europe car la production électrique de la France est un élément stabilisateur indispensable pour l’ensemble du réseau électrique de la zone européenne continentale.

Alors il va falloir brûler du gaz et du charbon, merci pour le climat. Par un concours de malchance incroyable les réserves de gaz naturel sont quasiment épuisées et aucun méthanier n’est en vue depuis l’Algérie : un véritable coup monté ! J’ai aperçu ce matin ancré au large de Santa Cruz de Tenerife un méthanier avec ses 4 sphères caractéristiques visiblement à vide et attendant un ordre d’affrêtement de l’Algérie. Les installations algériennes de liquéfaction du méthane ont de gros problêmes récurrents de maintenance et il se trouve que le pays est incapable d’honorer les contrats de livraison de gaz. Alors, faudra-t-il demander aux Français de tous souffler en coeur pour faire tourner les moulins à vent et plaire ainsi à Mademoiselle Ségolène ? Voilà où en est réduite la France, le pays le moins pollueur du monde en terme de kWh produits, pour plaire aux écologistes qui détestent autant l’uranium que le gaz carbonique … Du grand n’importe quoi !

Pire encore quand j’ai découvert cette autre dépêche de l’Agence France Propagande quelques heures plus tard :

Grand froid: la France connaît une « trop forte dépendance » au nucléaire (Royal)

Paris – La ministre de l’Environnement, Ségolène Royal, a reconnu mardi qu’il existait en France « une trop forte dépendance » au nucléaire, alors que les pouvoirs publics appellent à limiter la consommation électrique en raison de la vague de froid.

« On le voit actuellement qu’il y a une trop forte dépendance puisque, dès qu’il y a plusieurs réacteurs à l’arrêt pour des raisons de contrôles de la sûreté nucléaire par l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire, ndlr), on se rend compte qu’il y a une tension sur l’énergie », a déclaré Mme Royal lors de la cérémonie de voeux de son ministère.

La ministre a insisté sur le besoin de rééquilibrer le mix énergétique en France, en prenant appui sur la loi de transition énergétique, qui prévoit de ramener de 75% à 50% la part du nucléaire dans la production d’électricité à l’horizon 2025.

« En changeant ses comportements, on peut économiser la production de quatre réacteurs nucléaires », a insisté Mme Royal, ajoutant que cela permettait aussi de faire baisser le prix de l’électricité car « plus il y a de demande, plus il y a de tension sur les prix ».

La ministre a estimé que « d’un côté, on a beaucoup de gaspillage et de l’autre côté une précarité énergetique avec des gens qui n’ont pas les moyens de se chauffer ».

Mme Royal a assuré avoir « demandé l’extinction de tous les bureaux la nuit », jugeant qu’il y avait « une marge d’action pour faire en sorte de diminuer la tension sur le courant et la précarité énergétique ».

De son côté, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité RTE a assuré mardi que la France serait suffisamment approvisionnée en électricité mercredi, pour affronter la vague de froid.

« La situation reste sous forte vigilance » jeudi et vendredi, a également indiqué un porte-parole du groupe lors d’une conférence téléphonique, « puisque la vague de froid va se poursuivre jusqu’à la fin de la semaine ».

(©AFP / 17 janvier 2017 21h48)

Je me suis permis de mettre en caractères gras quelques propos de Mademoiselle Royal pour bien montrer que le gouvernement nage dans une totale imprécision. Quatre réacteurs de moins « en changeant de comportement », cela ne fait pas le compte, un élève de CM1 le comprendrait. D’autre part Mademoiselle Royal ignore une directive émise par l’EDF conseillant aux entreprises de ne pas éteindre les bureaux la nuit pour préserver la stabilité du réseau de distribution. Il s’agit pour la plupart de ces éclairages de systèmes économiques qui induisent une forte perturbation du « cosinus phi » lorsqu’ils sont remis sous tension. Mademoiselle Royal est d’une ignorance crasse, elle parle de ce qu’elle ne connait pas et ferait mieux et le plus rapidement possible de disparaître du paysage énergétique et médiatique français …

lundi 16 janvier 2017

Silence médias - L'armée US débarque massivement en Europe janvier 2017

https://www.youtube.com/watch?v=-fQ5VpOmfDs

Énergies renouvelables : plus chères et inadaptées

le 16 janvier 2017 

Le problème des énergies renouvelables intermittentes est qu’elles ne sont pas pilotables, elles sont donc inadaptées à la demande.

Par Jean-Pierre Bardinet
Ingénieur ENSEM Nancy (École Nationale Supérieure d’Électricité et de Mécanique).


La France, premier exportateur européen d’énergie électrique, dispose d’un mix électrique traditionnel (thermique, hydraulique, nucléaire) capable de bien gérer les heures de pointes et, le plus souvent, les périodes difficiles de grand froid.

Mais, pour des raisons dogmatiques, et pour « sauver la planète », nos dirigeants ont décidé, à la suite du Grenelle de l’Environnement, de nous inonder d’éoliennes et de panneaux solaires, sans se poser la moindre question sur les performances de ces technologies, de leur adaptation aux fluctuations de la demande. Et surtout, sans se soucier des conséquences pour les entreprises et les citoyens, tant au niveau du prix du kWh que de la qualité de la fourniture.

Énergies renouvelables : quelques chiffres

Pour fixer les idées, voici les chiffres de l’éolien et du solaire, tirés du rapport RTE 2015.

Puissance installée totale : 129 310 MW   Production nette : 546 TWh

Éolien : Puissance installée : 10,3 GW  Production : 21,1 TWh
Facteur de charge : 23%.   Part de production dans le mix énergétique français : 3,9%
Solaire : Puissance installée PV : 6 191 MW  Production : 7,4 TWh
Facteur de charge :14%   Part de production dans le mix énergétique français : 1,4%

Voici les chiffres des prix du kWh EnR :

- Eolien : 8,2 c€/kWh pour le terrestre et 20 c€/kWh pour le marin, soit 2 fois et 5 fois plus que le nucléaire.
- Solaire : 20 c€/kWh pour les grandes installations et 31 c€/kWh pour les petites installations, soit 5 fois et près de 8 fois plus que le nucléaire.
- Hydroliennes : 40c€/kWh

Énergies renouvelables : une intermittence problématique

On nous a affirmé que les EnR intermittentes (EnRi) allaient faire baisser le bilan carbone. Or, c’est faux, car il faut gérer l’intermittence (aléatoire pour l’éolien, fonction des heures de la journée et du cycle des saisons pour le solaire). Pour cela, il faut en soutien permanent des centrales thermiques.

Le problème, c’est que ces centrales thermiques sont inutiles quand la production des EnRi est forte, mais elles sont indispensables quand la production des EnRi est faible.

Les expériences de nos voisins espagnols, danois et allemands, qui ont le plus développé les EnRi, montrent que les EnRi font monter le prix du kWh (30 c€/kWh pour le Danemark et l’Allemagne, 24 c€/kWh pour l’Espagne), et qu’il y a une équation insoluble : pour pallier une production faible d’EnRi, il faut des centrales thermiques, mais quand la production des EnRi est forte, il faut arrêter ces centrales thermiques, ce qui fait qu’elles sont à la fois nécessaires et non rentables…

Le prix des énergies renouvelables n’est pas comparable au prix du mégawattheure traditionnel

1MWh éolien ne vaut pas 1 MWh thermique, nucléaire ou hydraulique. En effet, ce dernier MWh est pilotable, donc toujours utile, fonction de la demande. Alors que le MWh intermittent est inutile quand la demande est faible (et il est alors revendu à perte) et il pose problème quand la demande est forte et que la production des EnR est marginale (en hiver, par temps froid, avec un anticyclone sur le pays).

Par ailleurs, les EnR disséminées sur les territoires nécessitent des infrastructures lourdes et onéreuses (lignes HT, transformateurs, smart grids, …) et des centrales thermiques en appoint permanent. C’est particulièrement vrai en Allemagne, où la production de l’éolien se fait dans le Nord du pays, alors que la plus forte demande se situe dans le Sud. Donc comparer le prix du kWh intermittent avec celui du kWh pilotable revient à comparer des grandeurs non comparables.

Conclusion

Les énergies renouvelables intermittentes ne sont pas pilotables, sont inadaptées aux fluctuations de la demande, trop chères, génératrices de problèmes d’externalité, de problèmes de santé publique et de massacres de la gent ailée pour l’éolien. Leur bilan carbone, censé être quasiment nul et « sauver la planète », est catastrophique. Bref, le développement inconsidéré de cette filière, qui repose sur une idéologie radicale et irrationnelle, et non sur la raison, n’aurait jamais dû être engagé.

Nous avons perdu plus de 20 ans à cause de cette idéologie verte. En effet, nous aurions pu, dès les années 1990, développer la filière du réacteur à sels fondus de thorium (testée avec succès en 1970 à Oak Ridge) et la surgénération 238U (testée avec succès par Phénix et Superphénix – un nouveau projet de pilote, Astrid, est en cours) et 232Th. Nous disposerions sans doute des premières centrales avec ces technologies innovantes et nous n’aurions plus aucun souci à nous faire pour la  production d’énergie électrique compétitive et pilotable, et ce, pour plusieurs millénaires.

https://www.contrepoints.org/2017/01/16/277913-energies-renouvelables-plus-cheres-inadaptees

dimanche 15 janvier 2017

LES NOUVEAUX LOUPS de WALL STREET - Ali Baddou


https://www.youtube.com/watch?v=0KNwcJgKMbo

11 septembre 2001 - Ce n'était pas des avions mais des hologrammes



11 septembre 2001 - Révélations CHOC de Susan Lindauer ex agent de la CIA

Crise climatique : ça se réchauffe

le 15 janvier 2017


Le réchauffement climatique dont les grands de ce monde (être au moins milliardaire et arriver en jet privé) vont abondamment discuter ce week-end à Davos puisqu’il s’agit de l’une de leurs préoccupations majeures, ce réchauffement climatique, donc, est à l’origine de la vague de froid exceptionnelle (?) qui, selon la propagande qu’ils ont organisé, s’abat sur l’Europe depuis quelques jours.

Puisque le climat se réchauffe en raison de l’activité humaine les hivers deviennent plus froids et deviendront encore plus froids à l’avenir : c’est à n’y rien comprendre, un enfant de 7 ans se poserait la question.

Pourquoi les grands argentiers, les politiciens et les CEOs des grandes multinationales vont entrer dans le vif (comme le froid) du sujet du réchauffement climatique dans cette station de montagne huppée, tout simplement parce qu’il y a très gros à gagner sur le dos de tous les contribuables du monde entier qui sont par ailleurs friands d’une énergie dont le prix ne pourra qu’augmenter inexorablement pour financer des projets renouvelables débiles. Ils vont tous s’en mettre plein les poches avec l’aval des Nations-Unies et des écologistes qui n’ont eu de cesse depuis maintenant plus de 20 ans d’organiser minutieusement ce racket à l’échelle mondiale pour enrichir les plus riches et appauvrir le reste de l’humanité.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/01/15/crise-climatique-ca-se-rechauffe/

samedi 14 janvier 2017

Photos exclusives !


(Désormais, vous ne regarderez plus votre mobile de la même façon)

Rendez-vous compte qu'aujourd'hui, pratiquement tous les téléphones portables sont munis de caméra ! Donc: si la NSA capte le son... elle peut aussi conserver (en se marrant) des 'photos exclusives' de "Angèla téléphone du chiotte" (comme de "Caroline à la plage ou s'achète un sextoy" !) ou des 'rencontres inattendues de chef d'État favorable à la pédérastie et qui se (...) derrière le rideau' !

Ainsi, le choc des photos dépasse t-il la force des mots !
(A quand la version en braille pour les aveugles ?).

Imaginez que deux personnes au gouvernement se parlent au téléphone du qu'est-ce qu'ils vont manger ce midi à la cantine et, qu'en même temps, ils filment involontairement des 'papiers posés sur la table' révélant des plans secrets d'une prochaine attaque dans un aéroport de la côte ouest des Etats-Unis, ou des post-it collés sur l'ordi, ou tel ou telle qui un peu plus loin se gratte le cul et fait signe de raccrocher et qu'elle en a rien à branler de ce que l'autre raconte !

Ainsi, la petite souris de l'Utah (modèle déposée entre deux tapettes) saurait tout des bergers allemands, des poulets de Bresse, des poupées russes, des chocolats suisses ou belges livrés au vatican ou des oiseaux qui s'envolent dans les chambres d'hôtel !

Le pire étant qu'il n'y a pas qu'une caméra de posée ! (Hahaha !) et, qu'au travers de la vitre du mobile ou de votre ordi écran plat existe bel et bien de quoi vous surprendre tout autant que les 'décodeurs' TNT, boxes pour Internet, etc ! Et ceci bien-sûr 24/7 même en lui ôtant la batterie ! (puisque si vous le faites, vous vous apercevrez que toutes les fonctions sont gardées et qu'il existe bien une batterie supplémentaire à l'intérieur !).

De quoi faire un press-book de type encyclopédique ou déraste (le son & l'image !) dont la valeur comme le vin augmenterait au fil des ans ! Sans parler des 'confidences sur l'oreiller' où des cons sont jusqu'à dormir avec leur téléphone à côté d'eux !!

D'où aussi le monde qui se presse à travailler à Salt Lake City et qui doivent bien se plier en deux à voir sur grands écrans les images en direct du patinage en eurovision ! D'où la présence aussi fortuite des agences de notation sur place déclassant tel ou tel qui n'a pas tenu un quart d'heure sur la femme de l'autre ou du con qui s'adressant au standard lui demande de lui passer sa femme ! Hahaha !

Rassurez-vous si vous perdez votre téléphone... il savent très bien qui l'a pris et où il est puisqu'ils ont sa photo jusqu'à l'iris de ses yeux et ses empreintes digitales quand il forme un numéro ! D'ou (puisqu'il y a du rable) le terme évocateur de complice de vols et de meurtres à ajouter à celui d'espion qui 'écoute aux portes' dévoilé par Snowden.

http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-photos-exclusives-120909606.html

Si demain le pétrole abiotique devenait abondant...

Par Le Matin DZ
 13/08/2012

Il est évident que les compagnies pétrolières savent parfaitement que la théorie du pétrole abiotique est vraie, qu’il y a des quantités fantastiques de pétrole sous nos pieds, et qu’il n’y aura pas de crise d’approvisionnement avant des milliers d’années ou plus. Un certain nombre de responsables politiques des pays riches le savent aussi.

Tous les pays survalorisent leurs réserves pétrolières.

Ils mentent donc sciemment depuis plus de 100 ans quand ils disent que le pétrole vient de la décomposition des plantes et dinosaures, qu’il n’y en a qu’une quantité très limitée pour l’humanité. Pourquoi ? Eh bien, tout simplement parce que le pétrole permet d’avoir l’argent et le pouvoir. La richesse des compagnies pétrolières est basée sur une relative rareté du produit et une très grosse partie de leur profit et basée sur le commerce international de celui-ci.

Sur la relative rareté du produit, il est évident que si demain, tous les pays du monde étaient capables de produire du pétrole, celui-ci ne vaudrait plus rien. Son prix de vente baisserait quasiment au niveau de son coût d’extraction. Les marges, qui sont actuellement énormes, ne dépasseraient plus les 20 ou 30 %, voire moins, si les États se mêlaient de contrôler les prix. Les profits deviendraient donc dérisoires. Il y aurait une telle concurrence qu’il serait impossible d’avoir des prix élevés. Et ceci serait vrai au bas mot pour des milliers d’années. Donc, aucun espoir de voir une remontée des prix.

Les compagnies pétrolière vivent aussi du commerce international, donc du fait qu’il y a des pays producteurs/exportateurs d’un côté et des pays acheteurs de l’autre. Il faut, pour elles, qu’il y ait un nombre limité de pays exportateurs pour pouvoir faire des profits à la vente plus facilement. Parce que, sur un marché national autosuffisant, le gouvernement peut décider de limiter les prix du baril. Tandis qu’avec le marché international, ce sont les compagnies qui peuvent magouiller pour faire optimiser leur profit et faire varier les prix selon leur convenance.

On pourrait même préciser : il faut pour elles, de préférence, qu’il n’y ait que quelques pays producteurs faibles militairement et ayant des compétences techniques limitées. Ainsi, les grandes compagnies peuvent obliger les pays producteurs à passer par elles : d’une part à cause de leurs compétences techniques, et d’autre part parce qu’un pays puissant militairement peut leur forcer la main pour choisir ses compagnies pétrolières, sous peine d’avoir des problèmes. Et du coup, les pays consommateurs, eux aussi, sont obligés d’en passer par ces quelques compagnies, qui font dés lors un chiffre d’affaires gigantesque. Étant hors d’atteinte des Etats acheteurs, elles peuvent s’entendre pour manipuler les prix de façon à faire des profits gigantesques. Et les Etats consommateurs peuvent aussi être menacés d’embargo par les pays qui contrôlent ces compagnies, ou en tout cas, ils peuvent être menacés d’avoir des problèmes d’approvisionnement. Du coup, ils sont obligés de filer doux.

Mais, si, d’un seul coup, tous les pays du monde ou presque produisent leur propre pétrole, c’est la fin de ce commerce international. Fini les manipulations du marché et les profits gigantesque, fini le contrôle des prix par les compagnies multinationales. Ce seront désormais les Etats qui pourront contrôler les prix. Et fini également les menaces d’embargo ou de problème d’approvisionnement. C’est la fin des pays qui vivent au dépend du pétrole et n’ont pas su convertir le cumul de leur rente pétrolière en richesse nationale (industrie, agriculture etc..).

Par ailleurs, si demain, les principaux pays consommateurs devenaient aussi des pays producteurs, dans la mesure où ce sont en général des pays de haut niveau technique, ils posséderaient la technicité pour exploiter eux-mêmes leur pétrole. Ils pourraient alors très bien décider de se passer des grandes compagnies pétrolières, et monter une compagnie nationale. Ce qui conduirait, en plus d’une diminution très importante des parts de marché des grandes compagnies pétrolière, à l’émergence de concurrents nouveaux. Et, les nouveaux pays producteurs qui n’auraient pas un niveau technique aussi bon auraient les coudées beaucoup plus franches pour mettre en concurrence les compagnies pétrolières. Un pays comme l’Ethiopie pourrait mettre en concurrence un éventuel Deutsch pétroleum, ou un China Petroleum, ou encore un Italian petroleum en fonction de leur transparence, de leur prix, etc. Enfin bon, de toute manière, ces marchés (dans les pays pauvres) sont et resteraient des marchés de niche, vu qu’étant pauvres, ils consomment, et donc, produisent peu.

Oui, si demain, les gens venaient à apprendre que le pétrole se trouve en quantités gigantesques un partout sur terre, et que les conséquences économiques en étaient tirées, ce serait là mort du commerce, du pouvoir des compagnies pétrolière et des Etats de la providence.

Compte tenu de l’importance du pétrole dans le fonctionnement de nos sociétés industrialisées aussi bien pour les transports, le fioul de chauffage, la pétrochimie ou l’agriculture, la diminution des quantités de pétrole disponible va entraîner des bouleversements importants qu’il est nécessaire d’anticiper. Or ce n’est pas réellement le cas actuellement. Nous pensons que la diffusion d’une information la plus réaliste et plus transparente possible à un large public est de nature à enclencher une prise de conscience et une réflexion sur nos modes de vie actuels, en vue notamment d’imaginer d’autres sources alternatives. Tous les experts et les scientifiques du monde tirent les mêmes conclusions. On estime que la demande mondiale en pétrole va croître de 50% d’ici à 2025. Pour satisfaire cette demande, des volumes de pétrole plus larges que jamais vont devoir être produits. Par logique, et étant donné que la production de pétrole provenant de chaque champ pétrolifère est croissante jusqu’à un "pic pétrolier" pour ensuite décliner, de nouveaux champs doivent continuellement être découverts et le pétrole produit pour compenser l’épuisement des anciens champs et pour satisfaire la demande mondiale sans cesse elle aussi croissante.

Si de grandes quantités de nouveau pétrole ne sont pas découvertes et produites quelque part dans le monde, alors la production mondiale de pétrole ne satisfera plus la demande. Les compagnies pétrolières et les gouvernements ont conduit des recherches étendues à travers le monde, mais les résultats ont été décevants durant des décennies. Sur cette base, il y a très peu de raison de s’attendre à ce que les découvertes futures de pétrole augmentent de façon importante. Durant le siècle dernier, le développement économique mondial a fondamentalement été façonné par la disponibilité et l’abondance du pétrole bon marché. Les transitions énergétiques précédentes (du bois au charbon, du charbon au pétrole, du pétrole au nucléaire, du gaz naturel aux schistes et quoi encore..!) furent progressives et évolutives ; le pic pétrolier sera abrupte et surprenant. Le monde n’a jamais fait face à un problème comme celui-ci, le pic pétrolier prendra de vitesse la transition du fossile au renouvelable. Sans une préparation massive au moins de 20 ans avant les faits, le monde vivra dans toutes les prochaines années au ralenti et dans l’obscurité.

Face à ces annonces apocalyptiques, le mouvement des survivalistes se popularise d’ailleurs de plus en plus. Le raisonnement est simple, logique et sans équivoque : la société telle que nous la connaissons ne peut subsister sans pétrole. L’or noir est le pilier de l’économie du monde industrialisé et l’économie des économies du monde, car notre système fonctionne grâce aux hydrocarbures : nos modes de transports, le chauffage de nos maisons, l’eau chaude, l’électricité, les matières plastiques, les produits de beauté, les vêtements, mais aussi et surtout l’agriculture devenue intensive et qui grâce ou à cause, selon le point de vue aux engrais chimiques, aux traitements herbicides, fongicides et insecticides à permis durant le XXe siècle de multiplier la population mondiale par trois. Notre confort, nos loisirs, notre sécurité alimentaire et sanitaire, les moindres de nos habitudes sont conditionnées et intégralement alimentées par le pétrole. Sa disparition équivaudrait par conséquent à une décroissance économique dramatique, à l’explosion du chômage massif (des Etats entiers vivent du pétrole) et à la réduction sensible du niveau de vie dans les pays industrialisés. Une vision qui laisse en somme très peu d’espoir à notre civilisation puisque que ce sont la famine, la désolation urbaine, l’exode voire la mort qui nous attendent. De plus en plus d’individus, essentiellement aux Etats-Unis et Japon, se préparent à une rupture économique et sociale d’envergure : des chefs d’entreprise, des commerciaux, des employés, des journalistes, professeurs et écrivains. Au programme, kits de survie, stocks de nourriture, installations autosuffisantes voire même pour certains un entraînement physique adapté et la sécurisation du domicile par tous les moyens, y compris les armes.

Dénoncer la falsification des chiffres

Les inexactitudes et les calculs sur l’avenir du pétrole sont l’objet d’une vraie gruge. En 1985, les pays producteurs réunis au sein de l’OPEP ont pris la décision, jugée fort saine à l’époque, d’indexer leurs quotas de production de pétrole sur le montant des réserves déclarées par chaque pays membre. Mais des faits étonnent : d’après les données de référence reprises par le groupe anglais BP dans son rapport 2003 sur l’énergie mondiale, l’Arabie Saoudite est passée, entre 1985 et 1990, de 169 milliards de barils de réserves « prouvées » de pétrole conventionnel à… 258 milliards, soit 50% de plus ! Tous les principaux pays producteurs de l’OPEP sont dans la même situation : Abu Dhabi (30 milliards de barils déclarés en 1985 contre 92 milliards en 1988), Iran (48 milliards en 1985, 92 milliards en 1988), Irak (44 milliards en 1985, 100 milliards en 1988), etc. Le tout sans qu’aucune découverte significative de nouveaux champ pétrolifère n’ait eu lieu dans ces pays au cours de la période…

D’autres supercheries apparaissent chez pays non-OPEP, Triton, la compagnie américaine qui s’est chargée de l’évaluation des ressources du champ pétrolier ‘Cusiana’ a commencé par parler de 3 milliards de barils, une valeur remarquable, qui n’a pas laissé Wall Street indifférente. Triton devait vraiment avoir besoin de l’argent de ses actionnaires, parce que lorsque BP a démarré l’exploitation de Cusiana, ils sont prudemment redescendus à 1,5 milliards de barils. Et finalement, il y a à peine 800 millions de barils à exploiter.

Si les pays producteurs exagèrent leurs ressources, c’est aussi parce qu’elles permettent d’obtenir plus facilement des prêts bancaires. Les chiffres officiels des réserves pétrolières, sont loin d’être des données purement scientifiques. C’est le reflet d’un patrimoine financier que les Etats valorisent ou déprécient selon leur intérêt du moment. L’ensemble de ces sources d’exagérations contribuent à faire croire que le "pic pétrolier", et la flambée qu’il entraînera sur les prix, n’arrivera pas avant après-demain. La réalité pourrait être tout autre ; le "pic pétrolier" est bien derrière nous. Alors que nous, experts indépendants, prévoyons une chute de la production pétrolière à partir de 2015, les études officielles, présentées par les Etats et les compagnies pétrolières internationales, la situent entre 2030 et 2060 selon les organismes. Une polémique qui occulte le vrai débat, celui de l’épuisement certain des réserves et de l’impasse énergétique.

Les hommes politiques ne veulent pas parler de catastrophe, car cela supposerait qu’ils apportent des remèdes, ce qu’ils savent impossible. Les pays producteurs exagèrent leurs ressources car elles reflètent le patrimoine financier que les Etats valorisent ou déprécient selon leur intérêt du moment. Selon Colin Campbell, membre de l’Aspo, 46% des ressources actuelles déclarées par les principaux pays de l’OPEP seraient douteuses, sinon fausses. Pour les compagnies pétrolières, l’enjeu est évident. Leur valorisation boursière dépend en effet des réserves dont elles peuvent se prévaloir. Évoquant le risque d’image pour les entreprises comme pour les pays producteurs et consommateurs de pétrole.

Avec 86,6 millions de barils consommés par jour dans le monde, la théorie de la substitution, à terme, du pétrole, laisse perplexe les experts indépendants. En effet, ils prédisent également une déplétion pour le gaz naturel (2030) et le charbon (2050), ressources tout aussi épuisables que le pétrole. Le pétrole et le gaz représentent aujourd’hui 60% de la consommation énergétique. Leur déplétion va nécessiter soit de réduire la consommation, soit de se tourner vers d’autres sources d’énergie, il n’existe pas de remplaçant unique au pétrole qui attendrait son tour en coulisse, mais plusieurs énergies de substitution en retard de maturation. Le futur énergétique sera pluriel.

Conclusion

Enfin, le manque de transparence du milieu est un réel handicap. L’information est détenue par les Etats et les compagnies pétrolières, et le secret est de règle. Le scandale des réserves de Shell, qui se sont avérées notoirement surestimées en 2004, et les doutes sur les réserves réelles de l’Arabie Saoudite, de l’Iran, de l’Irak ou de la Russie ont ébranlé la confiance dans l’avenir radieux du pétrole, désormais ces pays qui affirmaient détenir les 40% des réserves mondiales ne détiennent réellement que 24%.

Y. Mérabet, expert en énergie
Source "La fin de l’âge d’or" de Y.Mérabet
Algerian Society For International Relations

http://www.lematindz.net/news/9015-si-demain-le-petrole-abiotique-devenait-abondant.html