- ENTREE de SECOURS -



samedi 11 juillet 2015

« Démocratie européenne » : le scandaleux forcing du président Schulz au Parlement européen à propos du TAFTA

24 commentaires:

  1. « Démocratie européenne » : le scandaleux forcing du président Schulz au Parlement européen à propos du TAFTA

    L'anti diplomatico
    dim., 12 juil. 2015 04:34 UTC

    Traduction : Christophe pour ilFattoQuotidiano.fr


    Cette fois, Martin Schulz n'y est pas allé par quatre chemins. Il ne lui a pas suffi de faire le forcing pour reporter le vote sur le TTIP (Grand Traité transatlantique, ou TAFTA) le mois dernier. Aujourd'hui, interprétant librement le règlement, le président du Parlement européen est allé jusqu'à interdire le vote d'un amendement contre la clause des tribunaux arbitraux privés proposée par le Mouvement 5 Étoiles. Le plan des grandes multinationales et des lobbies a donc réussi au sein du parlement de Bruxelles et de Strasbourg. En un mois, ils sont parvenus à convaincre la majorité des eurodéputés indécis, surtout italiens. Ceux qui, jusqu'au mois dernier, auraient voté contre la clause de la discorde. Dans cette vidéo, l'eurodéputée Tiziana Beghin, porte-parole du Mouvement 5 Étoiles, nous explique ce que signifie ce vote du 8 juillet 2015.

    Transcription de la vidéo :

    Tiziana Beghin - porte-parole du Mouvement 5 Étoiles
    Le vote de ce jour sur le TTIP a été très décevant, inutile de le cacher. Mais je veux tranquilliser les citoyens : il ne s'agissait pas de voter le TTIP, mais des recommandations du parlement européen à la Commission en vue des négociations. Le vote portait sur des lignes directrices qui ne protègent pas les citoyens, très génériques, très loin de ce que veulent les citoyens.

    Il y a un mois, si le président Schulz n'avait pas bloqué le vote, le verdict aurait été très différent, puisque tous les grands groupes étaient divisés sur ce sujet. Il a suffi d'un mois aux lobbyistes et aux groupes de pression pour transformer une recommandation beaucoup plus contraignante pour la commission, en une espèce de soupe générique qui permettra à la Commission de continuer à défendre les intérêts des multinationales plutôt que ceux des consommateurs et des citoyens. Les tribunaux arbitraux privés sont l'emblème de tout cela. Ils ont clairement été refusés lors d'une consultation sur Internet par 97% des votants, une participation record dans ce genre de consultation en ligne, et pourtant, encore une fois, l'"establishement" a décidé de ne pas en tenir compte.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  2. Le président Schulz, Lange, la commissaire Malmström, continuent imperturbablement contre la volonté des citoyens. Un bel exemple de la "démocratie" européenne. Mais la lutte n'est pas terminée, ils vont continuer, avec ces tribunaux privés réformés dont personne ne sait encore en quoi ils consisteront. Mais ce qui est sûr, c'est que nous avons donné aux multinationales la possibilité de décider, c'est ce qu'ils feront, les normes les plus avantageuses pour elles, et donc d'outrepasser l'autonomie des États et la volonté de leurs citoyens.

    Ils ont gagné une bataille, mais pas la guerre. Nous sommes toujours là, plus déterminés que jamais. Le président Schulz, que j'ai interpelé en séance plénière par "Sa Majesté", car il considère désormais le parlement comme son royaume, il y fait ce qu'il veut, pense peut-être avoir ouvert les portes aux multinationales, mais nous, du Mouvement 5 étoiles, sommes là, vigilants, et jusqu'au dernier jour, nous défendrons les intérêts de ceux qui nous ont élus, et qui paient nos salaires, les citoyens, et non les grandes compagnies.

    http://fr.sott.net/article/25982-Democratie-europeenne-le-scandaleux-forcing-du-president-Schulz-au-Parlement-europeen-a-propos-du-TAFTA

    RépondreSupprimer
  3. UE-Russie : communication en deçà du rideau de fer, propagande au-delà*


    * «Plaisante justice, qu'une rivière borne ! - Vérité au-deçà des Pyrénées, erreur au-delà.»
    Blaise Pascal, Pensées (1670)

    L’UE est bien préparée pour une campagne massive de communication/désinformation en direction de la propagande de la Russie et d’autres États.

    Incidemment quelques info croustillantes sur l’usage que fait la Secte des eurobureaucrates de l’argent des contribuables européens

    Par Dmitry BABICH – Le 5 juillet 2015 – Source strategic-culture


    Le plan stratégique de communication de l’UE pour contrer la propagande russe en Europe n’a pas encore été publié, mais le fait même de son existence attire l’attention. À l’origine, le plan de neuf pages (déjà vu par de nombreux journalistes) devait être rendu public lors de la session du Conseil européen les 25-26 juin.

    Les attentes ont été anéanties, faisant place aux controverses et aux commentaires ironiques en provenance de Russie. Le Président de la Douma Sergueï Narychkine a dit que les politiciens de Washington qui prétendent isoler la Russie sont des clowns pathétiques : «L’isolement de la Russie est tout simplement impossible et les politiciens de haut rang à Washington qui prétendent qu’ils ont isolé la Russie ressemble à des clowns pathétiques.»
    Narychkine a dit lors d’une session de la chambre basse le 3 juillet : «Cette initiative de l’UE contredit les valeurs européennes, y compris la liberté de parole. Elle limite également le droit des peuples à obtenir des informations provenant de différentes sources. En fait, cette initiative isole l’Europe», a ajouté le Président.

    À l’heure actuelle, cet avis ne pourrait être corroboré que par des extraits du texte du «plan stratégique de communication» diffusés par des publications acquises à l’UE – de nombreux médias dansent au son de la flûte des dirigeants européens qui ont commandité la préparation de ce plan. La publication du texte final est continuellement reportée reflétant les différences d’opinion à l’intérieur de l’Union européenne. Pas étonnant ! La contre-propagande de l’UE mène une campagne de dénigrement contre les médias russes internationaux (RT et Sputnik) en Europe, et contre les journalistes pro-Poutine européens. Ils considèrent comme pro-Poutine tout entretien de caractère modéré avec des responsables russes, ou la publication de documents ne contenant pas de remarques désobligeantes contre la Russie. Selon eux, ces publications contribuent aux efforts de propagande de la Russie à l’étranger.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  4. Corriere della Sera en Italie a récemment fait l’objet de sévères critiques pour avoir publié une interview avec le président russe Vladimir Poutine, sans l’attaquer. Il a été blâmé pour avoir fourni une tribune à la diffusion de la propagande russe. Le lendemain, il a réalisé une entrevue avec Paul Bremer, un diplomate américain, sur les commentaires de Poutine. Il a également publié une interview sur Poutine avec le ministre italien des Affaires étrangères pour rejeter l’argument selon lequel le journal a donné une plate-forme à la propagande russe. Peu importe, les accusations ont continué sans relâche.

    Il vaut la peine de jeter un coup d’œil sur la façon dont les événements se sont déroulés récemment. La nécessité d’un plan pour contrer la propagande russe est une question à l’ordre du jour depuis décembre dernier, lorsque le commissaire européen pour la politique européenne de voisinage (sic!), Johannes Hahn, a déclaré que l’UE avait quelques idées sur la façon de lutter contre l’augmentation supposée des efforts de communication de la Russie.

    Le premier projet de cette nouvelle stratégie de contre-propagande de l’UE a été présenté le 9 janvier 2015, par le Danemark, l’Estonie, la Lituanie et le Royaume-Uni. Le plan a évité de mentionner la censure directe ou les listes noires. Au contraire, il a souligné la nécessité d’avoir des instruments pour contrer les efforts de propagande de la Russie, c’est à dire des médias de diffusion complaisants offrant des vues alternatives à ce que les vedettes russes de l’actualité avaient à dire (y compris les informations en langue russe).

    Toutefois, le projet a également appelé les autorités de réglementation des médias de l’UE à tenir les diffuseurs russes pour responsables s’ils «manipulent, trompent, incitent à la haine, ou propagent la guerre». Alors qu’elle fustigeait la Russie, l’Union européenne n’a pas pensé à envoyer ce message d’avertissement au régime ukrainien et à ses diffuseurs.

    L’UE fait semblant d’ignorer le fait que des rapports de médias ukrainiens déclarant que des troupes russes envahissent l’Ukraine à partir de la Crimée – information offerte comme un scoop par les journaux occidentaux, comme le New York Times qui a relayé ces nouvelles l’été dernier – sont absolument faux. «De toute évidence, l’UE prétend que ces mensonges ne reflètent pas le désir de manipuler, tromper et inciter les Ukrainiens, ainsi que les Américains et les Européens», ironise Jon Hellevig, un expert dans les affaires d’éducation aux médias, basé à Moscou, et partenaire fondateur du Groupe Awara.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  5. Le 6 février 2015, la nouvelle présidence tournante de l’UE, la Lettonie, est venue avec un projet plus radical. Le Conseil européen, l’organe qui définit l’orientation politique globale de l’UE et l’établissement des priorités de l’agenda politique de cette dernière, a abordé la question lors du sommet de mars. Les dirigeants européens, réunis les 19 et 20 mars ont donné à la Haute représentante pour les affaires étrangères, Federica Mogherini trois mois – jusqu’à leur prochain sommet de juin – pour travailler sur la façon de soutenir la liberté des médias et les valeurs européennes en Russie. Il a salué la mise en place d’une équipe de communication comme une première étape à cet égard.

    Bientôt, East StratComTeam a été formé. Les fonctions de cette équipe n’ont pas été précisées exactement, mais elle a déjà dépensé de l’argent. Il était donc naturel d’attendre des abus financiers et de la corruption. La Fondation européenne pour la démocratie (EED) a reçu €500 000 pour une étude de faisabilité des opportunités pour le pluralisme dans les médias russes. Alastair Rabagliati, le directeur des opérations de l’EED , a déclaré à EUobserver : «Nous avons lancé une initiative, avec le soutien d’une subvention du gouvernement néerlandais, qui va développer une étude de faisabilité délivrant des recommandations claires sur la voie à suivre pour le développement d’initiatives concernant des médias indépendants en langue russe» [belle novlangue, non ?, NdT].

    Avant le sommet du Partenariat oriental de l’UE à Riga (Lettonie), l’étude de faisabilité sur les initiatives de médias en langue russe du Partenariat oriental et au-delà a été présentée le 19 mai à Riga, elle a utilisé des termes tels que nouvelle plateforme pan-régionale, manufacture de contenu et, bien sûr, mécanismes de coordination. L’UE a gaspillé un demi-million d’euros de l’argent des contribuables sur ce travail de recherche [merci aux contribuables européens qui ne veulent pas aider la Grèce, NdT].
    Tout en accusant les médias russes de mensonges, les fonctionnaires de l’UE et les médias aux ordres ont été régulièrement pris la main dans le sac à fournir des informations trompeuses au public depuis longtemps. Le précité EUobserver, par exemple, a récemment commenté que l’agence de nouvelles russe RIA Novosti avait «essayé d’embaucher une firme de relations publiques de Bruxelles pour améliorer l’image de Staline» en 2009.

    Ceci est un mensonge flagrant diffusé par Andrew Rettman de UEObserver en toute impunité. «Dire que nous glorifions Staline est certainement une calomnie», a déclaré en 2009, Svetlana Mironyuk, alors rédactrice en chef de RIA Novosti, ajoutant que ces rumeurs ont été répandues dans le but de discréditer l’agence. En de nombreuses occasions RIA a nié avoir tenté de blanchir Joseph Staline, pour ne pas parler de l’embauche d’entreprises étrangères à cette fin. En fait, Staline a été vu en Russie comme un personnage controversé et majoritairement négatif depuis 1956 (lorsque le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev, le successeur de Staline, a dénoncé ses activités au XXe Congrès du Parti communiste soviétique). Mais la presse de l’UE crée délibérément des mythes, évidemment par motivation politique, au sujet du «nationalisme russe sauvage sous Poutine» et «des trolls russes qui reçoivent des millions de dollars du budget de l’État».

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  6. Le dernier plan de contre-propagande de l’UE, consulté par des journalistes en juin, contient des accusations de mensonges et de discours de haine contre Russia Today et Sputnik. Si la propagande est une menace, l’UE est celle qui la profère quand elle attaque la Russie, la Hongrie et la Grèce. L’UE ne craint pas les faux (par exemple, les rapports sur Saddam Hussein possédant des armes de destruction massive – la plus grande, mais en aucun cas la seule saloperie offerte à la population par les médias européens). Les médias de l’UE n’ont pas de préjudice contre leurs propres discours de haine (par exemple, la diabolisation des russophones dans l’est de l’Ukraine les qualifiant d’alcooliques soviétisés dans les journaux polonais était l’un des facteurs qui ont provoqué la guerre civile en Ukraine).

    L’Histoire remettra son verdict sur les menteurs de l’UE. Mais les gens ne devraient rien attendre des explications offertes par les historiens. La vaste campagne de désinformation lancée par l’UE contre la Russie, ainsi que la Grèce, la Hongrie, et la Macédoine, affecte négativement l’ensemble de l’Europe. Elle doit être arrêtée avant qu’il ne soit trop tard.

    Dmitry Babich
    Traduit par jj, relu par Diane pour le Saker Francophone

    http://lesakerfrancophone.net/ue-russie-communication-en-deca-du-rideau-de-fer-propagande-au-dela/

    RépondreSupprimer
  7. Dernières pensées de Poutine sur la Grèce et d'une sortie grecque de l'Euro


    Soumis par Tyler Durden le 11/07/2015 19:49-0400


    Plus tôt aujourd'hui que nous avons montré un, moins officiel, interprétation de ce qui peut aller le Kremlin en ce moment. Et puisqu'une discute, en dépit de rallye de secours de vendredi, semble tout à coup trop réel (même si c'est un « temporaire », qui, soit dit en passant, était la première fois suggérée par Hans-Werner Sinn en 2012 ce qui signifie que l'argent"dur" est maintenant mène le bal en Europe) le sujet de tout ce que Poutine pense de Grèce dans les limbes européen (ou plutôt ses bases navales) redevienne pertinentes partout.

    Heureusement, nous savons précisément comment Poutine se sent sur la Grèce et un potentiel discute, parce que c'est plus tard qu'hier après les BRIC et sommets de l'Organisation de coopération de Shanghai à Oufa, la parmi beaucoup d'autres choses, Poutine a parlé précisément de cette question. Voici l'extrait de la transcription officielle.

    Question: Darya Stanislavets, RIA Novosti, amorcer. La Grèce traverse une grave crise. Il n'a pas encore atteint un accord avec ses créanciers. Vous avez rencontré avec M. Tsipras [premier ministre grec Alexis Tsipras] à Saint-Pétersbourg et lui a parlé au téléphone après le référendum. Athènes a fait demander à la Russie une aide financière? La Russie promit une telle assistance ? Est Russie capables et désireux de fournir une telle assistance compte tenue de ses propres difficultés économiques ? Pourrait cette assistance être fournie, par exemple, par la Banque de développement nouvelle?



    En outre, ce qui personnellement pensez-vous propositions créanciers grecs ? Si vous étiez dans les chaussures de Monsieur Tsipras, vous accepter ou les rejeter ?

    Vladimir Poutine: la Russie peut bien sûr fournir une assistance à ses partenaires n'importe quoi. Malgré les difficultés économiques de la Russie, les fondements de notre situation économique aujourd'hui sont tels que nous sommes en mesure de le faire. De plus, nous ne fournissons pas il à certains pays.

    Concernant la Grèce, nous avons une relation spéciale de parenté spirituelle et religieuse et historique affinité avec elle. Commentjamais, la Grèce est un pays de l'UE, et dans les limites de ses obligations, il mène des négociations assez compliquées avec ses partenaires dans l'Europe unie. M. Tsipras ne nous n'a pas demandé pour toute assistance. C'est normal, car les chiffres sont trop élevés.

    Nous savons ce qui est sur la table, et des décisions fondamentales doivent être prises. Ce n'est même pas une question d'argent. C'est une question de principes de développement économique et les principes de la résolution de ces problèmes avec leurs partenaires dans un avenir prévisible. Nous l'avons déjà dit, je l'ai dit en public – que bien sûr que les Grecs peuvent être blâmés pour tout mais si elles commettent des violations, où était la Commission européenne? Pourquoi n'ont il pas corrigé de l'activité des précédents gouvernements grecques ? Pourquoi elles accordent des bonus et des prêts ? Pourquoi ils ont permis à garder un tel profil bas sur la taxation dans certains secteurs de l'économie ? Pourquoi y a-t-il eu ces grosses subventions pour les îles ? Et ainsi de suite et ainsi de suite. Où ils étaientplus tôt ? Donc, il y a quelque chose à discuter, et le gouvernement grec a quelque chose à débattre.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  8. En outre, lorsqu'une puissante monnaie est utilisée dans un certain nombre de pays ayant différents niveaux de développement économique, le pays est incapable de réguler ses finances ou sa situation économique par l'intermédiaire de mécanismes de monnaie. La Grèce ne peut pas dévaluer l'euro, il peut ? Il est impossible.

    Il n'a pas cet outil ou la possibilité d'attirer plus de touristes, alors que le tourisme est une des industries principales de la Grèce – dans le cadre de ses obligations au sein de la zone Schengen. Il doit limiter sa production agricole parce qu'il a de respecter les quotas fixés par Bruxelles, et il doit limiter la pêche et bien d'autres choses. En d'autres termes, il ya des limites, mais il y aussi avantages dans l'adhésion à l'UE, des prêts liés à doux, bonus et ainsi de suite. Ceci, cependant, est le choix souverain des dirigeants grecs et le peuple grec. Cela n'affecte pas directement nous mais indirectement, bien sûr, elle affecte l'ensemble de l'Europe et la Russie, malgré le fait que nous ne sommes pas membre de l'UE, car nous avons des liens commerciaux et économiques avec l'Europe, tandis que l'Europe est notre numéro un commerce et un partenaire économique. Naturellement, nous surveillons cela de très près et avec un certain degré d'anxiété, mais nous continuons d'espérer que la crise sera résolue dans un avenir très proche.

    Est le plus sera certainement, et comme Poutine admettra, Grèce peut exporter beaucoup plus à la Russie si sa monnaie était beaucoup plus faible. Supposons, par exemple, celui-ci.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-07-11/putins-latest-thoughts-greece-and-greek-exit-euro

    RépondreSupprimer
  9. Soros Go Home. Poutine relève le pont-levis

    La Russie va enquêter sur les activités des ONG philanthropiques. Douze ONG seront examinées pour déterminer si elles devraient être incluses dans le registre des organisations indésirables en Russie


    Rappel du Saker Francophone

    «La loi a été assez violemment critiquée en dehors de la Russie, ce qui est assez étonnant : en réalité, les députés russes ont pris pour base une loi américaine analogue en vigueur depuis les années 1930.


    En effet, en 1938 les États-Unis ont adopté une loi sur l'enregistrement des agents étrangers (Foreign Agents Registration Act, FARA) pour faire face à la propagande nazie. D'après la Cour suprême des États-Unis c'était un type de législation nouveau adopté à l'époque critique d'avant-guerre. La loi visait à identifier les agents des demandeurs étrangers qui pourraient être impliqués dans des activités de sabotage ou dans la propagande étrangère. Elle obligeait en plus les agents à présenter des rapports publics sur le but de leur embauche. La présente loi est le premier acte spécial sur le lobbyisme, bien qu'elle soit consacrée à un seul de ses volets, à savoir au lobbyisme des non-résidents. Les articles de 611 à 621 du paragraphe 22 du Code des États-Unis sont réservés à cet acte...»

    Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/french.ruvr.ru/2012_08_30/Loi-FARA/

    Le 8 juillet 2015 – Source Russia Insider

    Dans les cercles libéraux respectables de l’Amérique Blue State [parti démocrate, NdT], George Soros est connu comme un vieil homme riche et bon, mécène important du Center for American Progress – la version démocrate de la faillite intellectuelle progressiste de la Fondation néo-conservatrice républicaine The Heritage Foundation. (En bref : ces deux think tanks odieux vendent la même soupe néo-con satanique sur la suprématie de l’homme blanc.)

    Tragiquement, certains pays mal intentionnés et complices de l’axe du Mal ne se rendent pas pleinement compte de toutes les belles choses que cette généreuse fondation, lourdement investie dans le discours Raytheon – entreprise multinationale de l’armement démocrate qui promeut chaque jour la liberté – qui habituellement ne peut être atteinte qu’en utilisant contre les civils les armes meurtrières fabriquées par qui ? Par Raytheon, bingo.

    Un de ces pays est particulièrement concerné, la Russie bien sûr.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  10. L’Open Society Fondation de Soros, avec 11 autres ONG, a été placée sur une stop liste par la chambre haute du parlement russe, le Conseil de la Fédération, et affrontera maintenant l’examen du Bureau du Procureur général, du ministère des Affaires étrangères, et du ministère de la Justice.

    Si l’enquête conclut que George Soros est un vil sous-marin des intérêts du Département d’État US et de la CIA – et c’est probable – la Fondation Open Society sera déclarée dans le registre des organisations indésirables en Russie.

    Cela signifie que la fondation de George Soros travaillant pour le changement de régime en Russie devra s’enregistrer comme un agent étranger et changer d’activité si elle veut rester là-bas.

    Le plus tôt sera le mieux.
    Traduit par jj, relu par Diane par le Saker Francophone

    http://lesakerfrancophone.net/soros-go-home-poutine-releve-le-pont-levis/

    RépondreSupprimer
  11. Guerre de Cause de Sanctions économiques, pas de paix :


    Some Lessons From FDR Embargo contre le Japon

    Soumis par Tyler Durden le 11/07/2015 19:10-0400
    Soumis par Higgs Roberts de l'Institut indépendant via Contra coin blog,


    Demander un américain typique comment aux Etats-Unis est arrivé dans la seconde guerre mondiale, et il vous dira certainement que le japonais attaque sur Pearl Harbor et les américains ont riposté. Lui demander pourquoi le japonais attaque sur Pearl Harbor, et il lui faudra probablement peu de temps pour rassembler ses pensées. Il pouvait dire que les Japonais étaient agressifs militaristes qui voulaient prendre dans le monde entier, ou au moins la partie de l'Asie-Pacifique de celui-ci. Lui demander ce que les États-Unis fait pour provoquer les japonais, et il vous dira probablement que les américains n'ont rien: nous étions juste garde notre propre entreprise quand les Japonais fous, complètement sans justification, monté une attaque furtive sur nous, nous attraper totalement par surprise à Hawaii le 7 décembre 1941.

    Vous ne pouvez pas lui en vouloir beaucoup. Pour plus de 60 ans, ces croyances ont constitué l'opinion généralement acceptée chez les américains, celle enseignée dans les écoles et représenté dans les films — ce que « chaque écolier sait. » Malheureusement, ce point de vue orthodoxe est un tissu d'idées fausses. Pas la peine de demander à l'américain typique quelle guerre économique américaine a eu à faire avec provoquant les Japonais leur attaque, parce qu'il ne sait pas. En effet, il n'aura aucune idée de quoi vous parlez.

    A la fin du XIXe siècle, l'économie du Japon a commencé à grandir et à s'industrialiser rapidement. Parce que le Japon a peu de ressources naturelles, bon nombre des industries en plein essor avaient dû compter sur des matières premières importées, telles que le charbon, le minerai de fer ou ferraille d'acier, étain, cuivre, bauxite, en caoutchouc et du pétrole. N'ayant pas accès à ces importations, dont beaucoup sont venus des Etats-Unis ou de colonies européennes en Asie du sud-est, l'économie industrielle du Japon serait ont moulu un coup d'arrêt. En s'engageant dans le commerce international, cependant, les Japonais n'avaient construit une économie industrielle modérément avancée 1941.

    Dans le même temps, ils ont également construit un complexe militaro-industriel pour soutenir une armée de plus en plus puissants et de la marine. Ces forces armées a permis au Japon projeter sa puissance en divers endroits dans le Pacifique et l'Asie du sud-est, y compris la Corée et nord de la Chine, autant que les États-Unis ont utilisé sa puissance industrielle croissante pour équiper les forces armées qui a projeté la puissance des Etats-Unis dans les Caraïbes et l'Amérique latine et même si loin que les îles Philippines.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  12. Lorsque Franklin D. Roosevelt devint Président en 1933, le gouvernement américain est tombé sous le contrôle d'un homme qui n'aimait pas les japonais et nourrissait une affection romantique pour les chinois car, certains auteurs ont émis l'hypothèse, ancêtres de Roosevelt avaient fait de l'argent dans le commerce de la Chine. Roosevelt n'aimait pas aussi les allemands (et bien sûr les Adolf Hitler), et il avait tendance à favoriser les britanniques dans ses relations personnelles et dans les affaires mondiales. Il n'a pas payé beaucoup d'attention à la politique étrangère, cependant, jusqu'à ce que son New Deal a commencé à peter en 1937. Par la suite, il s'est appuyé fortement sur la politique étrangère de réaliser ses ambitions politiques, y compris son désir pour la réélection à un troisième mandat.

    Lorsque l'Allemagne a commencé à se réarmer et de chercher Lebensraum agressivement dans les années 1930, l'administration Roosevelt a coopéré étroitement avec les britanniques et les Français des mesures pour s'opposer à une expansion allemande. Après la seconde guerre mondiale a commencé en 1939, cette aide américaine grandit toujours plus grande et comprenait des mesures telles que l'affaire dite de destroyer et le programme Lend-Lease faussement nommé. En prévision de l'entrée des Etats-Unis dans la guerre, les britanniques et l'armée américaine États-majors secrètement plans pour des opérations conjointes. Les forces américaines a voulu créer un incident qui justifient la guerre en coopérant avec la marine britannique dans les attaques contre les sous-marins allemands dans l'Atlantique Nord, mais Hitler refuse de mordre à l'hameçon, niant ainsi Roosevelt sous prétexte qu'il désirait pour faire aux Etats-Unis une part entière, a déclaré belliqueux – un terme qui s'oppose à la grande majorité des américains.

    En juin 1940, Henry L. Stimson, qui avait été Secrétaire à la guerre sous Taft et Secrétaire d'État au titre de Hoover, redevient Secrétaire à la guerre. Stimson était un lion de l'Anglophile, nord-est croûte supérieure et pas un ami des japonais. À l'appui de la politique dite de la porte ouverte pour la Chine, Stimson ont appuyé l'utilisation des sanctions économiques d'entraver l'avance du Japon en Asie. Le Secrétaire au Trésor Henry Morgenthau et Secrétaire à l'intérieur Harold Ickes vigoureusement approuvé ce principe. Roosevelt espérait que ces sanctions seraient aiguillonner les japonais en faisant une erreur éruption en lançant une guerre contre les États-Unis, qui porterait en Allemagne parce que le Japon et l'Allemagne sont allièrent.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  13. En conséquence, l'administration Roosevelt, tout en rejetant sèchement les ouvertures diplomatiques japonaises visant à harmoniser les relations, a imposé une série de plus en plus sévères sanctions économiques sur le Japon. En 1939, les États-Unis fin 1911 traité commercial avec le Japon. « Le 2 juillet 1940, Roosevelt a signé l'Export Control Act, autorisant le Président à autoriser ou interdire l'exportation de matériels de défense essentiel. » En vertu de cette disposition, « [o] n le 31 juillet, les exportations de carburants aviation, lubrifiants et N1 lourde fonte de fer et la ferraille d'acier étaient limitées. » Ensuite, dans un geste visant à Japon, Roosevelt giflé un embargo, en vigueur le 16 octobre, sur "toutes les exportations de ferraille et de l'acier vers des destinations autres que la Grande-Bretagne." et les nations de l'hémisphère occidental Enfin, le 26 juillet 1941, Roosevelt "gelait des actifs japonais aux États-Unis, mettant ainsi les relations commerciales entre les nations à un terme efficace. Une semaine plus tard Roosevelt sous embargo l'exportation de telles qualités de pétrole comme toujours ont été dans des flux commerciaux au Japon." Les britanniques et les Néerlandais emboîté le pas, dénonciation des exportations vers le Japon de leurs colonies en Asie du sud-est.

    Une situation intenable

    Roosevelt et ses subordonnés savaient qu'ils mettaient au Japon dans une position intenable et que le gouvernement japonais pourrait bien essaient d'échapper à l'étau en allant à la guerre Ayant rompu le code diplomatique japonais, les américains savaient, entre autres choses, ce que ministre des affaires étrangères Teijiro Toyoda avait communiqué à l'Ambassadeur Kichisaburo Nomura le 31 juillet: "les relations commerciales et économiques entre le Japon et les pays tiers, dirigées par l'Angleterre et les États-Unis, deviennent progressivement si horriblement tendues que nous ne pouvons pas supporter beaucoup plus de temps. Par conséquent, notre Empire, pour sauver sa vie, doit prendre des mesures pour sécuriser les matières premières des mers du Sud. »

    Parce que American cryptographes avaient également violé le code naval japonais, les dirigeants à Washington savaient aussi bien "mesures" de que le Japon comprendrait une attaque sur Pearl Harbor. Pourtant ils ont retenu cette information critique de commandants à Hawaï, qui ont dirigé l'attaque ou préparés pour se défendre contre elle. Que Roosevelt et ses chefs de clan n'a pas sonné le tocsin est parfaitement logique : après tout, l'attaque imminente constituait précisément ce qu'ils cherchait depuis longtemps. Comme Stimson confia à son journal après une réunion du cabinet de la guerre le 25 novembre, « la question est comment nous devons manoeuvrer eux [japonais] en tirant le premier coup sans créer un trop grand danger pour nous-mêmes. » Après l'attaque, Stimson a avoué que "mon premier sentiment a été de soulagement... qu'une crise était venu d'une manière qui unirait tout notre peuple".

    http://www.zerohedge.com/news/2015-07-11/economic-sanctions-cause-war-not-peace-some-lessons-fdrs-embargo-against-japan

    RépondreSupprimer
  14. Fait de la conspiration : Comment le gouvernement a mené ses 239 expériences de Secret Bioweapon sur le peuple américain


    Soumis par Tyler Durden le 11/07/2015 16:13-0400
    Soumis par Mike Krieger via blog Liberty Blitzkrieg,


    Tout a commencé en septembre fin de 1950, quand en quelques jours, un navire de la marine a utilisé des tuyaux géants pour pulvériser un brouillard de deux types de bactéries, Serratia marcescens et Bacillus globigii — tous deux croyaient à l'époque inoffensifs — out dans la brume, où ils ont disparu et répartis sur la ville.

    Les habitants innocents de San Francisco pourraient certainement pas consenti au test de guerre bactériologique de l'armée, et il y a des preuves suffisantes qu'il pourrait avoir causé la mort au moins un résident de la ville, Edward Nevin et 10 autres hospitalisés.

    Au cours des 20 prochaines années, l'armée procéderait à 239 « guerre bactériologique » essais sur des zones peuplées, selon des médias depuis les années 1970.

    Ces essais comprenaient les rejets à grande échelle des bactéries dans le métro de New York City, sur la Pennsylvania Turnpike et à l'aéroport National juste en dehors de Washington, D.C.

    – De l'article MSN: "Une des plus grandes expériences humaine dans l'histoire" a été menée sur les résidents sans méfiance de San Francisco

    Les lecteurs réguliers de ce site sera bien au courant de divers faits de conspiration concernant une multitude d'activités louches par le gouvernement américain, anciens et actuels. Mais saviez-vous que depuis 1950, le gouvernement américain a mené une série d'expériences secrètes bioweapon sur un public non averti américain ? Ne crois pas.

    Nous apprenons maintenant que:

    Un fait que beaucoup ne peuvent pas connaître de brouillard de San Francisco, c'est qu'en 1950, l'armée américaine a effectué un test pour voir si il pourrait être utilisé pour aider à répandre une arme biologique dans un « combat simulé germe attaquer. » C'est juste le début de beaucoup de ces tests dans tout le pays qui pourrait durer des années en secret.

    Le test a été un succès, comme Rebecca Kreston explique plus à découvrir Magazine et également "une des plus grandes expériences humaines dans l'histoire." Mais comme elle l'écrit, c'était aussi « une des plus grandes infractions du Code de Nuremberg depuis sa création. » Le code stipule qu'il faut « consentement volontaire et éclairé » pour les participants à la recherche, et que les expériences qui pourraient conduire à la mort ou des blessures invalidantes sont inacceptables.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  15. Donc il n'a fallu cinq ans après la fin de la seconde guerre mondiale pour les États-Unis à casser le code de Nuremberg. Vous pouvez même commencer à imaginer ce qu'il est disposé à faire en 2015 avec la culture actuelle des mindbogglingly contraires à l'éthique, la corruption des politiciens au pouvoir ?

    Les habitants innocents de San Francisco pourraient certainement pas consenti au test de guerre bactériologique de l'armée, et il y a des preuves suffisantes qu'il pourrait avoir causé la mort au moins un résident de la ville, Edward Nevin et 10 autres hospitalisés.

    Il s'agit d'une histoire folle, qui semble comme il faut une théorie du complot. Une recherche sur internet vous révélera beaucoup de désinformation et de conjecture incroyable sur ces expériences. Mais le noyau de cette incroyable histoire est documentée et vrai.

    Tout a commencé en septembre fin de 1950, quand en quelques jours, un navire de la marine a utilisé des tuyaux géants pour pulvériser un brouillard de deux types de bactéries, Serratia marcescens et Bacillus globigii — tous deux croyaient à l'époque inoffensifs — out dans la brume, où ils ont disparu et répartis sur la ville.

    « Il a été noté qu'une attaque réussie de BW [biologiques] sur cette zone peut être lancée depuis la mer, et que les doses efficaces peuvent être produites sur des surfaces relativement grandes, » a conclu un rapport militaire plus tard déclassifié, cité par le Wall Street Journal.

    Au cours des 20 prochaines années, l'armée procéderait à 239 "guerre bactériologique" essais sur des zones peuplées, selon des médias depuis les années 1970 (après les tests secrets ont été révélés) dans le New York Times, Washington Post, Associated Press et autres publications (par Lexis-Nexis) et aussi détaillée dans témoignage congressionnel datant des années 70.

    Ces essais comprenaient les rejets à grande échelle des bactéries dans le métro de New York City, sur la Pennsylvania Turnpike et à l'aéroport National juste en dehors de Washington, D.C.

    Dans un témoignage au Congrès de 1994, Cole a dit que rien de tout cela a été révélé au public jusqu'à ce qu'un article de journal de 1976 a révélé l'histoire de quelques-unes des premières expérimentations — si au moins un sous-comité sénatorial avait entendu témoignages expériences à New York en 1975, selon un rapport de Newsday de 1995.

    En 1950, le premier Edward Nevin avait connu une reprise d'une chirurgie de la prostate quand il tomba soudainement malade avec une infection urinaire sévère contenant Serratia marcescens, qui les bactéries théoriquement inoffensif qui est connu pour la couleur rouge tournant pain. La bactérie avait apparemment jamais été retrouvé à l'hôpital avant et était rare dans la région de la baie (et en Californie en général).

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  16. La bactérie se propager au cœur de Nevin, et il mourut quelques semaines plus tard.

    Voici maintenant là que ça devient carrément terrifiante. Le gouvernement prétend que c'est à l'abri de décès liés à des tests de secret du gouvernement sur le public. Liberté.

    Petit-fils a tenté de poursuivre en justice le gouvernement pour injustifiés de la mort, mais la Cour a tenu que le gouvernement était à l'abri d'une poursuite pour négligence et qu'elles étaient justifiées dans des essais à l'insu des sujets de Nevin. Selon le Wall Street Journal, l'armée a déclaré que les infections doivent avoir eu lieu à l'intérieur de l'hôpital et le procureur américain a fait valoir qu'ils devaient effectuer des essais dans une zone peuplée de voir comment un agent biologique toucherait cette zone.

    Prendre du recul et imaginez si vous étiez vivant en 1950. Cinq ans après que la victoire des alliés dans la seconde guerre mondiale et que quelqu'un vous a dit le gouvernement américain effectuait des expériences d'armes biologiques sur le public américain en secret. Non seulement ne vous croiriez pas elle, vous pense que cette personne était un complet et total dément. Maintenant, essayez d'imaginer ce qu'ils font sans aucun doute dès maintenant.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-07-11/conspiracy-fact-how-government-conducted-239-secret-bioweapon-experiments-american-p

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Aujourd'hui, on appelle çà des chemtrails.


      Des centaines de personnes ont organisé un "contre Jade Helm", une opération de surveillance à travers les états du sud-ouest pour garder un oeil sur les troupes fédérales (anglais)

      Isabelle dans Conscience du peuple

      http://www.chron.com/news/houston-texas/texas/article/Texans-organize-Operation-Counter-Jade-Helm-to-6378017.php#photo-5630914plus »

      Supprimer
  17. En grèce et ailleurs, les instituts de sondage ont bien sûr menti

    Resistance politique
    sam., 11 juil. 2015 04:03 UTC

    À la veille du scrutin, les instituts de sondage ont tenté en Grèce de manipuler la population. L'un, réalisé par la société Alco, donnait le oui gagnant « d'une courte tête », avec 44,8 % contre 43,4 % pour le non. Un autre, réalisé par l'Université de Macédoine, affirmait que le oui et le non étaient à peu près à égalité avec 42,5 % pour l'un et 43% pour l'autre. On appréciera le sérieux de ces « sondeurs », quand on voit que le non l'a emporté avec plus de 61 % !

    Un tel écart entre les prévisions et les résultats sur une question aussi simple - répondre oui ou non à une seule question - ne peut pas s'expliquer par les aléas des sondages. Il faut y voir certainement une volonté de duper la population en cherchant à lui enlever tout espoir dans l'issue du scrutin. Mais ces sondages ne sont qu'un aspect de cette tentative du capital pour décourager la population grecque. Comme ce qui s'est passé en France lors du référendum sur le TCE (traité de fonctionnement de l'Union européenne) en 2005, toute la presse a fait une intense campagne pour le oui dès qu'elle a compris que le référendum aurait bien lieu.

    Dans le cas de la Grèce, l'Union européenne a cherché à faire renoncer Tsipras dès l'annonce de la tenue du référendum par ce dernier. Il faut se souvenir qu'en 2011, le Premier ministre de l'époque, Giórgios Papandréou, avait eu lui aussi l'intention d'avoir recours à ce genre de consultation populaire mais, sous la pression des instances européennes, il y avait renoncé en à peu près 24 heures !

    Mais là, Tsipras a tenu bon et les médias comme les sondeurs se sont déchaînés. À la télévision (privée), non seulement les temps de paroles en faveur du non ont été ridicules par rapport à l'exposé des motifs du vote oui, mais les conditions d'expression n'avaient pour simple but que de ridiculiser les tenants du non. La cohorte des experts, les journalistes, le patronat, les « citoyens responsables »... Bref, tous ceux qui ont du bien ont expliqué que le peuple était face à une alternative : le oui ou le chaos ! C'est exactement ce que nous avons connu en 2005.

    Remarquons que le Parti communiste grec (KKE) a appelé sans grand succès au vote nul (en Grèce, le vote étant obligatoire, un appel à l'abstention est illégal). La participation n'a d'ailleurs pas été si mauvaise avec deux tiers de votants. C'est-à-dire que les Grecs (le peuple, et particulièrement les jeunes) se sont prononcés en faveur du non, et ce en dépit des pressions, des intimidations et des humiliations. Comme en France en 2005...

    Ce « comme en 2005 » signifie aussi que ce scrutin ne nous éclaire guère sur l'avenir. La résistance des Grecs va surement être mise à rude épreuve. Le capital bancaire ne renonce pas à mettre dans sa poche chaque euro retiré des salaires, des pensions de retraites, des hausses de fiscalité, et toutes ces douceurs qui font ses délices autant que le malheur des peuples.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  18. Ne faisons bien évidemment pas dire à ce scrutin ce qu'il ne veut pas dire. Les Grecs n'ont pas dit « non à l'euro », ni « non à l'Union européenne ». Ils ont simplement (mais fermement) dit « non aux conditions de remboursement d'une dette illégitime qui nous jette dans la misère ».

    Remarquons également que les Grecs n'ont exprimé aucune volonté d'abandonner l'euro pour la drachme. Actuellement, ce sont plutôt certains stratèges des banques européennes qui envisagent d'expulser la Grèce de la zone euro, dans le but de lui faire regretter son vote. Un peu comme un mafieux qui assassine tout en le faisant savoir son débiteur devenu insolvable du fait de prêts forcés, dans le seul but de terroriser ses autres débiteurs.

    Voyons néanmoins le côté positif des choses ! Imaginons que, de gré ou de force, la Grèce soit amenée à renouer avec une monnaie nationale déconnectée de l'euro. Ce serait un véritable pied-de-nez pour le capital grec (les banques, les armateurs et leurs amis). Parce qu'une monnaie déconnectée de l'euro rendrait ce même capital déconnecté du soutien européen, de la BCE, de la Commission européenne, du FMI grâce auxquels il pouvait jusque-là s'en mettre plein les poches. Exit donc le pillage des finances publiques ! Seul face au peuple grec, il lui faudrait de nouveau se lancer dans la production industrielle, mais en ayant affaire à une classe ouvrière expérimentée. Voilà la réalité de la souveraineté nationale retrouvée !

    Commentaire : En France également, un journal comme L'Express donnait aussi, la veille, une légère avance au « oui », en employant un conditionnel de bon aloi, bien sûr...

    Ah oui, et ceux-là également : le Figaro, Bfmtv, Yahoo, Francetv Info, Metronews, France Inter, etc.

    http://fr.sott.net/article/25981-En-grece-et-ailleurs-les-instituts-de-sondage-ont-bien-sur-menti

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Cette manipulation n'est pas nouvelle, par exemple un mauvais chanteur est passé cinquante fois par jour à la radio est affiché n°1 au hit-parade (!), de sorte que des gens achètent son disque et, se retrouve effectivement en tête des vente et n°1 au hit-parade ! Idem pour les films oui les élection de 'Miss France' ou 'Miss Monde' où l'on a déjà vu des porcheries se produirent !

      C'est ainsi qu'est manipulé l'opinion publique tous les jours dans les merdias que des demeurés regardent, écoutent, achètent !

      Supprimer
  19. Guest Post : Une ère venue de désobéissance civile ?


    Soumis par Tyler Durden le 11/07/2015 22:00-0400
    Soumis par Patrick Buchanan via Buchanan.org,


    La Cour suprême de l'Oklahoma, dans une décision de 7-2, a ordonné un monument des dix commandements du Capitole.

    Appeler les commandements "religieux en nature et fait partie intégrante des religions juives et chrétiennes", la Cour a déclaré que le monument doit aller.

    Gouverneur Mary Fallin a refusé. Et les législateurs de l'Oklahoma ont plutôt classé législation pour laisser les électeurs à découper de leur constitution l'article spécifique, les juges ont invoqué. Certains législateurs veulent les juges mis en accusation.

    Action de fanny semble un signe avant-coureur de ce qui est de venir en Amérique — l'ère de la désobéissance civile comme les années 1960, où sont défiés les ordonnances du Tribunal et lois ignorées au nom de la conscience et une loi supérieure.

    Seulement cette fois, la rébellion est susceptible de résulter de la droite.

    Certainement, américains ne sont pas étrangers au fautif. Quoi d'autre a été notre révolution mais une rébellion à renverser la règle vieille de plusieurs siècles et le droit du roi et du Parlement et d'établir notre propre ?

    Décisions de la Cour suprême des États-Unis ont été défiées, et ceux qui ont défié les adulé par la modernité. Thomas Jefferson libérés tous emprisonnés en vertu de la Loi sur la sédition, y compris ceux condamnés dans des procès présidée par la Cour suprême. Jefferson a ensuite déclaré la loi morts.

    Certains américains veulent remplacer le billet de 20 $ Andrew Jackson avec Harriet Tubman, qui, défiant les lois de l'esclave fugitif et de décision Dred Scott a conduit des esclaves pour la liberté sur le chemin de fer clandestin.

    New England abolitionnistes soutenu le fanatique anti-esclavagiste John Brown, qui a mené le raid sur Harpers Ferry qui lui pendu mais a contribué à précipiter une guerre civile. Cette guerre a été disputée que 11 États du Sud avaient le même droit de se libérer de l'Union de M. Lincoln comme les 13 colonies a fait pour se libérer de l'Angleterre de George III.

    Des millions d'américains, avec la conscience sereine, défient le Volstead Act, imbibés d'alcool et mirent fin à l'interdiction.

    À l'ère de droits civiques, défiant les lois imposant la ségrégation et d'ignorer les ordres de cour interdisant manifestations est devenu insignes d'honneur.

    Rosa Parks est une héroïne parce qu'elle a refusé d'abandonner son siège dans un autobus de Birmingham, malgré les lois de ségrégation des transport en commun qui a relégué les noirs à « l'arrière de l'autobus ».

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  20. Dans « Lettre de la prison de Birmingham, » Dr King, désobéissance civile, la défense a cité Augustine — « une loi injuste n'existe aucune loi à tous les » — et Thomas d'Aquin qui a défini une loi injuste comme « une loi humaine qui n'est pas ancrée dans la loi éternelle et de la loi naturelle ».

    King, a déclaré, « on a une responsabilité morale de désobéir à des lois injustes ».

    Mais qui décide ce qui est une « loi injuste » ?

    Si, par exemple, on croit que l'avortement est le meurtre d'un enfant à naître et mariages de même sexe sont une abomination qui enfreint « la loi éternelle et loi naturelle », ceux qui croient cela n'un droit moral, sinon une « responsabilité morale de désobéir à ces lois » ?

    Rosa Parks est célébrée.

    Mais la Dame de pizza qui a dit que ses convictions chrétiennes ne permettrait pas à accueillir un mariage de même-sexe a été déclarée un bigot. Et la foule LGBT, qui chante sur son triomphe de la Cour suprême, prépare la législation pour la rendre une violation de la loi fédérale de droits civiques pour cette dame de refuser de répondre à ce mariage.

    Mais y a des gens qui célèbrent les émeutes de Stonewall à Greenwich Village, comme le moment de Mount Sinai de leur mouvement vraiment debout sur la terre ferme à la demande que nous devons tous respecter la décision de Obergefell comme les Saintes Écritures ?

    Et si les villes, des Etats ou des Congrès promulguer des lois qui rendent un crime ne pas à louer aux homosexuels, ou de refuser les services lors des célébrations de leurs syndicats, pas dissidents chrétiens resterait sur le terrain moral même que Dr King si ils ont désobéi à ces lois ?

    Déjà, certaines entreprises ont refusé d'obtempérer à Obamacare mandat de fournir des contraceptifs et médicaments induisant l'avortement à leurs employés. Prêtres et pasteurs vont refuser d'exécuter les mariages du même sexe. Églises et chapelles refusera de les accueillir. Universités et collèges chrétiens refusera l'installations de couple marié aux homosexuels.

    Lois seront transmises pour interdire des pratiques telles que la discrimination, et que les lois, qui les chrétiens croient violent la loi éternelle et la loi naturelle, seront, selon les instructions de m. King, être désobéis.

    Et la suppression des exonérations fiscales sera alors sur la table.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer

  21. Si une famille a exprimé son désaccord aussi largement comme nous américains font sur des questions aussi fondamentales que droite et mauvais, bien et le mal, la famille s'effondrerait, le couple serait le divorce et les enfants iraient des chemins séparés.

    Quelque chose comme ça qui se passe dans le pays.

    Une sécession du cœur a déjà eu lieu en Amérique, et une sécession, pas des États, mais des gens entre eux, provoquée par des divisions sur des jugements sociaux, moraux, culturels et politiques et des valeurs, est en cours.

    L'Amérique est désunir, Arthur Schlesinger Jr. a écrit il y a 25 ans.

    Et pour ceux qui, quand il est jeune, a rejeté les vues, les valeurs et les lois de l'Amérique du Eisenhower, ce qui leur fait penser que les dissidents américains dans cette ère post-chrétienne et anti-chrétien acceptera leurs lois, les croyances, les valeurs ?

    Pourquoi devraient-ils ?

    http://www.zerohedge.com/news/2015-07-11/guest-post-coming-era-civil-disobedience

    RépondreSupprimer
  22. La punition du nouveau monde: regarder la télévision...

    par Mylène Vandecasteele
    10 juil. 2015

    C’est un nouveau monde… Pendant des années, on a puni les enfants en les privant de télévision. Mais depuis l’arrivée de la tablette, certaines familles punissent leurs enfants en les privant d’iPad… tout en les laissant regarder la télévision.

    Une étude, réalisée sur 800 familles américaines avec des enfants âgés de 2 à 12 ans par la firme d’études de marché américaine Miner & Co., a montré que pour 57% d’entre elles, la télévision n’est plus leur gadget favori pour leurs divertissements, et que souvent, elle n'arrive qu'en 3ème position, derrière la tablette et le smartphone. Les participants expliquent que les appareils mobiles leur permettent une utilisation plus versatile, et que râce à eux, ils accèdent à des contenus plus personnalisés.

    Le même nombre rapporte que leurs enfants regardent souvent deux écrans à la fois, un écran de smartphone ou de tablette, et la télévision « en bruit de fond » en même temps. Dans la moitié des foyers interrogés, confisquer la tablette et « condamner » son enfant à ne regarder « que » la télévision lorsqu’il a fait une bêtise est devenue la norme en matière de punition.

    http://www.express.be/joker/fr/platdujour/la-punition-du-nouveau-monde-regarder-la-television/214525.htm

    RépondreSupprimer