- ENTREE de SECOURS -



mardi 25 novembre 2014

L'édito de Myret Zaki.

Video of Imaginons la Suisse du triple OUI ce 30 novembre
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Le portrait-robot de la Suisse qui voterait, ce 30 novembre, oui à l’abolition des forfaits fiscaux, oui à Ecopop et oui à Sauver l’or de la Suisse, défie la raison : un pays dont le tiers du PIB provient des exportations se verrait exclu de son principal marché (l’Europe) et perdrait le moyen de dévaluer sa monnaie, handicapant encore plus ses exportations. Sa population active s’effondrerait en proportion de celle retraitée, et les multinationales suisses ou étrangères le quitteraient, emportant les emplois avec elles. Scénario de la peur ? Non, scénario réaliste.
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14 commentaires:

  1. Imaginons la Suisse du triple OUI ce 30 novembre

    24 Novembre 2014
    Par Bilan.ch

    Le portrait-robot de la Suisse qui voterait, ce 30 novembre, oui à l’abolition des forfaits fiscaux, oui à Ecopop et oui à Sauver l’or de la Suisse, défie la raison.

    L'édito de Myret Zaki.
    Video of Imaginons la Suisse du triple OUI ce 30 novembre

    Le portrait-robot de la Suisse qui voterait, ce 30 novembre, oui à l’abolition des forfaits fiscaux, oui à Ecopop et oui à Sauver l’or de la Suisse, défie la raison : un pays dont le tiers du PIB provient des exportations se verrait exclu de son principal marché (l’Europe) et perdrait le moyen de dévaluer sa monnaie, handicapant encore plus ses exportations. Sa population active s’effondrerait en proportion de celle retraitée, et les multinationales suisses ou étrangères le quitteraient, emportant les emplois avec elles. Scénario de la peur ? Non, scénario réaliste.

    http://www.bilan.ch/tv-bilan-myret-zaki-plus-de-redaction/imaginons-suisse-triple-oui-30-novembre

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  2. Voilà France : Droite Leader Marine Le Pen demande à la Banque centrale de rapatrier l'or français


    Soumis par Tyler Durden le 25/11/2014 10:31-0500




    Premier Allemagne, puis aux Pays-Bas, peut-être la Suisse ce week-end et maintenant la Française droite Front National, qui scandaleusement est venu d'abord en mai d'européen élections au Parlement et dont leader Marine Le Pen est actuellement du scrutin au premier rang dans une hypothétique élection présidentielle (dans les deux une première et le ruissellement de ronde), devant le Président Hollande, a envoyé une lettre au gouverneur de la Banque centrale de Français, la Banque de France, exigeant que France rejoindre la liste des nations qui ont rapatrié, ou au moins essayé de, leur or.

    Dans sa lettre, voici la liste complète des exigences Français (google traduite) :

    • Rapatriement urgent sur le sol Français de toutes nos réserves d'or situés à l'étranger.
    • Un arrêt immédiat de tout programme de vente or.
    • À l'inverse, une réaffectation progressive d'une partie importante de devises étrangères se réserve, dans le bilan de la Banque de France, par acheter de l'or à chaque diminution significative du prix de l'once (recommandation 20 %).
    • Une suspension de tout contrat d'engagement ou d'un prêt financier parie que les réserves de notre or.
    • À l'équilibre patrimonial et financier des transactions de vente 2004 or commandé par N. Sarkozy.

    Sa lettre complète ci-dessous (lien)

    M. Christian Noyer

    Gouverneur de la Banque de France
    31 rue Croix des Petits-Champs
    75049 PARIS Cedex 01

    Nanterre, 24 novembre 2014

    Lettre ouverte à M. Christian Noyer sur la médaille d'or des réserves de la France

    Cher gouverneur

    Au nom des Français et en tant que le chef du principal parti d'opposition, je vous écris parce que c'est mon devoir de présenter une pétition sur les réserves d'or de la France, en vertu de l'intérêt supérieur de notre nation.

    Même avant le déclenchement de la crise de 2008, le Front National avait prévu et a informé les institutions politiques de l'aggravation future du contexte macro-économiques et géopolitique. Comme partie de l'entreprise modèle de plus en plus libertaire, adoptée par la France sous la pression de Bruxelles, aucun des fondamentaux économiques ne ne peuvent pas soutenue d'amélioration. Tous les Français peuvent voir que les politiques d'austérité exigé par l'Union européenne et la BCE et mis en œuvre par le gouvernement sont un échec éprouvé et graves pour notre pays.

    (suite en dessous:)

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  3. L'institution monétaire que vous dirigez une mission historique d'être le dépositaire de la Banque centrale nationale monétaire réserve notamment des réserves d'or. Selon notre vision stratégique et souveraine, ils sont ni l'État ni la Banque de France, mais le peuple Français et servent en outre de la garantie ultime de la dette publique et notre monnaie.

    Monétaire guerre froide joué entre les pays occidentaux et les pays du groupe BRICS, or prend peu à peu un rôle important. Selon le World Gold Council, officiels réserves d'or de la Chine, l'Inde et la Russie ont augmenté considérablement entre 2007 et 2013.
    Pour ces raisons et en raison de la croissance rapide du risque systémique global, il est primordial de la solvabilité future de notre nation d'engager, d'ici la mi-2015, une procédure de vérification détaillée, que les résultats feront l'objet d'un rapport. Ce rapport doit obtenir la validation des autorités macroprudentielles Français, CCRP et est rendu public dans l'année.

    Cette vérification complète doit contenir :

    • Un inventaire complet des montants d'or physiques à 2435 tonnes actuellement affichées et leur qualité (numéro de série, la pureté, barres « Bonne livraison »...), menée par un organisme Français indépendant (à définir). Cet inventaire, sous supervision d'un huissier de justice, doit indiquer le pays où les réserves d'or sont stockées en France ou à l'étranger.

    • Un recensement de tout accord financier structuré ou secrets vis-àvis des banques privées et sociétés ou prêt bilatéral entre la France et les institutions nationales et internationales, ayant mis en gage l'or de la France pour assurer le sauvetage de l'euro. Dans ce cas, la vérification intégrée doit contenir les conditions de l'accord ou de prêts.
    En outre :

    Considérant que, le 30 novembre, aura lieu en Suisse un vote sur une demande de référendum d'initiative populaire « Save or pour la Suisse » du parti de l'UDC (Union démocratique du Centre), qui prévoit le rapatriement de leurs réserves d'or sur leur sol.

    Considérant que, à la demande de certaines banques centrales nationales communiqué, ce phénomène de pays pour le « retour de l'or national se réserve » et le contrôle démocratique existe depuis 2013 en Allemagne (Bundesbank), Pologne etc..

    Considérant que la Banque centrale néerlandaise a dit récemment qu'il avait rapatrié 122,5 tonnes d'or.

    Considérant que, le 19 mai 2014, ainsi que d'autres banques de l'Eurosystème, la Banque de France a annoncé il a signé les ventes de l'accord de Washington or CBGA 4 (sale or en vertu de la Banque centrale or accords) qui ne fournit aucun transfert de quotas sur cette période de cinq ans (2014-2019), contrairement aux trois précédents accords.

    (suite en dessous:)

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  4. ATTENDU qu'en fait, la Banque de France déjà indépendante, menée dans le cadre de l'accord de CBGA 2 ventes d'or a décidé en 2004 par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Economie et des finances du gouvernement Raffarin.

    La cible officielle déclarée de plus gérer activement les réserves de change de l'État pour générer de € 100 millions en recettes fiscales supplémentaires en 2005. N. Sarkozy a également dit que ventes d'or seraient utilisés « pour financer des investissements qui préparent l'avenir, soit pour réduire la dette, mais en aucun cas pour financer des dépenses d'exploitation. »

    Sur la période 2004-2012, environ 614,6 tonnes d'or ont été vendues par la France, tandis que dans le même temps, les autres banques centrales de l'Eurosystème auprès de la BCE ont convenu de limiter leurs ventes d'or. Selon un rapport de la Cour des comptes en 2012, cette opération est très coûteuse pour les pouvoirs publics et constitue une violation grave du patrimoine national, effectuée sans aucune consultation démocratique.

    M. gouverneur, selon vos dires, "l'or reste un élément important des réserves monétaires mondiales". Pour le Français, vous êtes considéré comme l'ultime garant de la sécurité de cette réserve d'or et par conséquent la stabilité de notre monnaie et de la stabilité financière nationale. Par conséquent, votre responsabilité est énorme.

    En outre, selon la situation, que nous découvrons, je vous invite à le faire :

    • Rapatriement urgent sur le sol Français de toutes nos réserves d'or situés à l'étranger.
    • Dans l'arrêt immédiat de tout programme de vente or.
    • À l'inverse, une réaffectation progressive d'une partie importante de devises étrangères se réserve, dans le bilan de la Banque de France, par acheter de l'or à chaque diminution significative du prix de l'once (recommandation 20 %).
    • Une suspension de tout contrat d'engagement ou d'un prêt financier parie que les réserves de notre or.
    • À l'équilibre patrimonial et financier des transactions de vente 2004 or commandé par N. Sarkozy.
    La mise en œuvre de ces mesures est cruciale pour l'avenir de France visage socio-économique des problèmes qui peuvent survenir.

    Tout comme vos prédécesseurs héroïques de la Banque de France en 1939 et 1940 avaient organisé l'évacuation de l'or Français, vous devez entreprendre ce vaste Trésor national de l'opération de sécurité, un acte patriotique qui est reconnus en bonne et due temps par l'opinion publique.

    J'espère sincèrement que, respectueux de vos fonctions comme un haut fonctionnaire au service de l'État, vous montrer lucidité et le courage nécessaire pour la défense de l'intérêt général de notre pays. Les enjeux sont élevés, c'est l'avenir de la France en question !

    Veuillez agréer, Excellence la Gouverneure générale, les assurances de ma très haute considération.

    Marine Le Pen

    http://www.zerohedge.com/news/2014-11-25/here-comes-france-right-wing-leader-marine-le-pen-demands-central-bank-repatriate-fr

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  5. Le temps presse en Suisse

    Par Peter Schiff
    Euro Pacific Capital
    25 novembre 2014

    Pour la plupart de ma carrière dans l'investissement international, j'avais toujours mis beaucoup de foi dans les marchés financiers de la Suisse. Au cours des dernières années, toutefois, que le gouvernement suisse a cherché à accrocher son wagon à la monnaie euro et agitant des courbettes plus en plus aux exigences financières américaines, cette foi a été ébranlée. Mais cette semaine (du 30 Novembre) un référendum en Suisse si sa banque centrale devra détenir au moins 20% de ses réserves en or, offrira aux citoyens suisses ordinaires une occasion rare de récupérer fort héritage économique de leur pays. Ce est un vote que peu hors de Suisse suivent, mais le résultat pourrait avoir un énorme impact sur l'économie mondiale.

    Traditionnellement, le franc suisse a toujours attiré les investisseurs internationaux à la recherche d'un magasin à long terme de la valeur. C'est parce que le gouvernement suisse avait toujours gardé l'idée de sacré conservatrice banque centrale et l'équilibre budgétaire. Lorsque l'idée de la monnaie commune européenne a été proposée, les Suisses étaient sages de rester en dehors. Ils ne veulent pas échanger le franc pour un pan-nationale monnaie inconnue et prévenus. Les créateurs de l'euro avaient suggéré qu'il serait devenu l'héritier de la marque Deutsche forte. Au lieu de cela, il est devenu la belle-fille de la lire italienne en difficulté et la drachme grecque. Rétrospectivement, les Suisses étaient sages de ne pas prendre part à l'expérience.

    Mais la décision du gouvernement suisse en 2011 pour arrimer le franc à l'euro, afin d'empêcher le franc de la hausse, a signifié que la nation a adopté l'euro de facto. Pour effectuer cette cheville, le gouvernement suisse a dû intervenir massivement sur le marché de change pour acheter et stocker euros, affaiblissant ainsi le franc. Les chiffres bruts sont tellement colossaux que le rang et de déposer suisses ont pris connaissance. Au cours des dernières années, l'économie suisse a stagné avec le reste de l'Europe, et les citoyens suisses ont fini par comprendre que la politique actuelle, il faudra un engagement ouvert pour continuer à faire plus de la même. Cette frustration a donné naissance au mouvement de référendum.

    En 1999, la Suisse est devenue le dernier pays industrialisé à aller de l'étalon-or, un système qui avait bien servi le monde pendant des siècles. A cette époque, la Banque nationale suisse a tenu environ 2600 tonnes d'or, soit environ 41% du total de ses réserves en devises. À la fin de 2008 ses avoirs en or ont chuté à seulement 21% des réserves. Et comme d'Août de cette année, ils ne représentaient plus que 7,9%. Le tonnage brut a diminué au cours de ce temps à seulement 1040 tonnes, une baisse de 60% par rapport à 1999.

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  6. Mais la véritable action peut être vu dans la participation de la Banque nationale suisse de devises, principalement l'euro, qui se situe maintenant à un énorme 453 000 000 000 francs »(495 milliards de dollars). C'est environ 56 000 francs ($ 61 000) par homme, femme et enfant dans le pays, près de 90% qui ont été accumulées dans seulement les dernières six années. L'objectif déclaré de toutes ces achats est de faire baisser la valeur du franc face à l'euro. Réévaluation de la monnaie se traduit directement le pouvoir d'achat, ce qui signifie que les Suisses sont plus pauvres à ces efforts. Pour une famille de quatre qui signifie que le gouvernement suisse a détourné près de $ 33,000 du pouvoir d'achat chaque année pour les six dernières années de dollars aux citoyens des autres pays européens qui avaient tort adopté l'euro. Ce est beaucoup d'argent, même pour un pays riche.

    Les politiciens suisses ont dit que les achats ont été nécessaires pour protéger les citoyens de la baisse des prix et des exportations ont diminué qui résulteraient d'une hausse du dollar (Dans ma dernière lettre, lire comment cette banque préoccupation centrale de la déflation est strictement une paranoïa du 21e siècle). Mettant de côté les éléments de preuve pour suggérer que l'économie suisse a prospéré sous une hausse du dollar, cette idée suppose que les exportations sont un moyen, non une fin. Le but des exportations est de payer pour les choses que vous importez et de consommer. Il ya beaucoup de choses que les gens veulent que les suisses qu'ils ne font pas. Pour obtenir ces choses, ils exportent les choses qu'ils ne font (c.-montres, chocolat, fromage, etc.). La beauté d'une monnaie forte signifie que vous ne avez pas besoin d'exporter autant de choses que vous faites pour obtenir ce que vous désirez. En d'autres termes, vous ne avez pas à travailler aussi dur pour profiter de plus grande consommation. Niveau de vie suisses auraient pu être beaucoup plus élevé aujourd'hui si les banquiers et les politiciens suisses n'avaient pas attaché le franc suisse à l'euro.

    Une exigence de réserve d'or de 20% serait gravement limiter la capacité du gouvernement suisse à poursuivre sa politique de pigeage. Afin d'atteindre les nouveaux niveaux de réserve cible, la Banque devra soit vendre des centaines de milliards de réserves en devises ou acheter des milliers de tonnes d'or sur le marché libre. Les critiques soutiennent que ce serait un désastre pour la Suisse. Mais la grande quantité de réserves d'or avant 1999 n'a pas pesé sur l'économie suisse. En fait, avant ce moment, ce était l'envie du monde. Alors que d'autres pays ont été sapés par les promesses politiques faites avec une presse d'impression, l'économie suisse a prospéré grâce à la discipline prévue par l'or. Les économistes et les politiciens qui exhortent les Suisses de rejeter la proposition font l'affaire que l'inflation est une condition préalable pour la croissance, mais de nombreux Suisses savent que ce est un mensonge.

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  7. Alors que les experts voient peu de chances de succès pour le vote d'or, je suis encouragé par les résultats récents d'un autre récent référendum suisse qui a rejeté l'imposition de ce qui aurait été le salaire minimum le plus élevé dans le monde. Les électeurs suisses ont été assez intelligent pour comprendre que les coûts arbitrairement un salariaux élevés seraient tout simplement détruire les possibilités d'emploi sans offrir d'avantages tangibles en retour. Ils seront peut-être également sage de l'utilité de monnaie saine et stable.

    En tant qu'Américain, j'envie le choix que les Suisses eux-mêmes ont donné. En cas de succès, le vote pourrait être considéré comme la première contre-attaque majeure contre les forces de monnaies fiduciaires et QE mondiale illimitée. Le succès peut aussi signifier l'obligation pour le gouvernement suisse à acheter de l'or ajouterait une demande importante dans le marché de l'or, et devrait donc aider à mettre le métal sur les rails.

    Tous les yeux devraient maintenant se concentrer sur les électeurs suisses. Je leur souhaite du courage.

    http://www.lewrockwell.com/2014/11/peter-schiff/will-the-swiss-vote-for-gold/

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  8. Le référendum suisse sur l'or : Ce qui est absent du débat


    Soumis par Tyler Durden le 25/11/2014 19:14-0500

    Rédigé par Eric Schreiber, via le blog GoldSilverWorlds,


    La volonté Suisse vote un référendum le 30 novembre qui interdirait à la Banque nationale suisse (BNS) de ventes réserves d'or actuelles et futures, de rapatrier de l'étranger stocké des réserves d'or vers la Suisse et de sa mission que l'or doit comporter un minimum de 20 % des actifs de la Banque centrale. La BNS ne se prononce pas habituellement sur les référendums politiques. Toutefois, dans ce cas il l'a fait tout à fait vocalement.
    Pourquoi la Banque centrale a décidé à entrer dans l'arène politique et de s'opposer à cette initiative ? Quelles sont ses préoccupations ? Ils sont valides ou motivés par d'autres facteurs ?

    Objections primaires de la Banque nationale à l'initiative d'or sont de trois ordres.

    1) il affirme que l'or est "un investissements les plus volatiles et les plus risqués",

    2) qu'une exigence de 20 % or abaissera les « distributions à la Confédération et les cantons"puisque l'or ne paie pas d'intérêt comme les obligations et actions, dividendes et

    3) que l'or 20 % holding exigence n'interférera avec sa capacité de conduire la politique monétaire et compliquer les efforts pour maintenir "le taux de change minimum", la politique "temporaire" de rattachement du franc suisse (CHF) à l'Euro (EUR) il a lancé en 2011 et continue d'appliquer à ce jour.

    Les deux premières préoccupations peuvent rapidement être adressées et actualisées. L'or est en effet un actif volatil parfois mais aussi les actions et obligations. Ces dernières années, grec, espagnol, italien, irlandais et autres obligations européennes ont été beaucoup plus volatiles que l'or. Le SMI, l'indice boursier Suisse, perdu plus de 50 % de sa valeur à deux reprises entre 2000 et 2009 alors que l'or a régulièrement augmenté au rythme annuel de 8,50 % pendant la même période.

    Concernant le deuxième sujet de préoccupation, la distribution des produits dérivées de la spéculation financière et versé à la Confédération et les cantons, on peut se demande si oui ou non il est vraiment approprié pour la BNS à re-marque lui-même comme un fonds de couverture au lieu de rester concentré sur ses responsabilités fondamentales comme une banque centrale.

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  9. à répondre de manière appropriée la troisième préoccupation BNS nécessite un contexte historique et une analyse plus détaillée. Avant le changement de la constitution suisse, le CHF a été soutenu par un montant minimum de 40 % d'or. Malgré cette contrainte, la politique monétaire à la Banque nationale suisse a été sans être gênée et a fonctionné correctement pendant le post période de la seconde guerre mondiale. La BNS a raison ce qui implique qu'un support partiel en or, comme l'exige l'organisation d'un référendum, ferait aujourd'hui sa politique d'affaiblissement de la CHF contre l'euro plus difficile. Bien que la BNS a soulevé l'arrimage de la monnaie comme une raison pour voter contre le référendum, la question n'a pas été directement abordé par le camp « Oui ». La cheville est nécessaire ? La population suisse profite-t-il dans son ensemble d'un faible taux de change EURCHF ? Pourquoi la BNS se sent obligée de poursuivre une politique qu'elle caractérise plus de 3 ans comme « temporaire » ? Comment « le taux de change minimum » politique venu à être ? Pourquoi n'y a-t-il eu un débat public à ce sujet ?

    La réponse à ces questions commence par un coup d'oeil dans l'histoire régionale un peu plus de deux décennies il y a. La population suisse a rejeté deux initiatives distinctes, une en 1992 et l'autre en 2001, à rejoindre l'Union européenne (UE). Malgré les votations, Suisse a été intégrée dans l'Union européenne à toutes fins pratiques même si officiellement, il reste encore en dehors du groupe des pays membres. Entrée dans l'UE a été initialement réalisée par des moyens politiques, à travers une série de traités bilatéraux, 10 au total et puis plus tard en 2005 par référendum en faveur de l'accord de Schengen. Lois entre l'UE et la Suisse ont été harmonisées et les contrôles aux frontières suisses avec les pays membres de l'UE ont été supprimées afin de permettre la libre circulation des personnes, des marchandises et services. Malheureusement, ascension furtif de la Suisse à l'UE fait un vote public sur l'opportunité de remplacer la monnaie souveraine de la nation la CHF avec l'EUR politiquement impossible. Pour contourner le problème, la BNS a décrété le 6 septembre 2011 qu'il pourrait appliquer une cheville "temporaire" de 1,20 CHF à l'EUR, une politique il appelle « le taux de change minimum », pour parer les flux EUR entrant dans le pays en raison de la crise financière qui a été engloutissant Espagne et la Grèce à l'époque. Le CHF pourraient désormais lâche valeur contre l'euro mais jamais à renforcer au-delà de 1.20. De cette manière, la politique monétaire des affaires suisses a été discrètement remise à la Banque centrale européenne (BCE) tout en conservant le mirage d'une monnaie souveraine Suisse devant le public. Le CHF a été transformé du jour au lendemain, en un instrument dérivé des euros sans la ratification ou de la connaissance de la population. Le tableau ci-dessous montre le lien entre l'euro et l'instrument dérivé de CHF depuis la mesure "temporaire" "taux de change minimum" a été mises en place il y a plus de 3 ans. Notez comment la ligne rouge, le CHF, suit étroitement la ligne verte, les euros, mais il reste toujours un peu en dessous (plus faible), mais jamais au-dessus de lui (plus fort). Pourquoi est cette politique toujours en place, compte tenu du fait que la crise en Espagne et en Grèce est terminée selon le EU ?

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  10. - voir graphique sur site -

    La conversion de la monnaie suisse souveraine dans une unité de suivi dérivés EUR a été atteint par la BNS dans un processus en quatre étapes :

    1. la BNS a annoncé publiquement en 2011 qu'il se tenait prêt à imprimer « des quantités illimitées de CHF » et a procédé à imprimer CHF hors de l'air
    2. la BNS a vendu le CHF nouvellement frappée pour acheter des euros lorsque le taux de change EURCHF échangé sous 1,20
    3. la BNS utilisé elle a acquis à l'étape 2 pour acheter des euros en obligations libellées en euros
    4. la BNS a promis fédérale et cantonale de politiciens les intérêts futurs « recettes » de la réserve du grand bond.
    Preuve de ce processus peut être vu dans la figure ci-dessous demonstating l'expansion dramatique du bilan SNB depuis la « politique de change minimum » a été mises en vigueur. Plus de 83 % du PIB, obligataire EUR de la Banque nationale suisse achat programme est dans une ligue de ses propres par rapport aux autres banques centrales activistes du monde entier. BNS « actifs » ont dépassé 520B CHF et garder de plus en plus.

    - voir graphique sur site -

    Par lui-même se gaver sur EUR obligations libellées en et ballonnements son bilan la Banque nationale a créé une exposition de risque importante de devises pour elle-même. La BNS ne peut utilement réduire ses participations et s'extirper de la risque de change qu'il a créé sans encourir des pertes importantes, vendant ses stocks d'obligations euros à un taux inférieur au niveau de 1,20. La Chine, un pays qui a chevillé sa monnaie au USD pendant des décennies, se trouve dans une situation similaire. Il ne peut pas vendre son inventaire massive des exploitations USD sans exercer de pression sur ses propres peg ainsi. Cependant, les chinois et la situation en Suisse diffère d'une manière très importante. La Chine est un exportateur net de biens et services vers les États-Unis. Les pertes du côté de la balance commerciale chinoises sont plus que compensées par les gains pour le marché d'exportation de la balance commerciale. C'est l'un des éléments clés de la stratégie de croissance de la Chine depuis les années 1990. Décideurs chinois systématiquement sous-évaluent leur monnaie pour fournir une poussée artificielle pour leurs exportations. La Suisse est en revanche un chronique importateur net de produits et services de l'UE et n'a donc pas du système de compensation des exportations de l'UE en quantité suffisante pour compenser les dommages de la cheville inflige à son pouvoir d'achat intérieur.

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  11. - voir graphique sur site -

    Ainsi, la BNS « minimale » politique de change appauvrit la population suisse domestique en augmentant le prix de toutes les importations de l'UE, acheté en Suisse. C'est peut-être l'effet plus flagrant et certainement moins médiatisée de l'action de la BNS. Chaque fois un achats résident Suisse un bien ou service en Suisse dans l'UE, il ou elle est rendue plus pauvres par les actions de sa propre banque nationale.

    Le problème de la portée de la Banque centrale n'est certainement pas isolé à la Suisse. Depuis la crise financière il y a 6 ans, les banques centrales du monde entier ont interféré dans et manipulé de douane, devises et marchés des actions d'une ampleur sans précédent. Ces institutions non élues ont redistribué activement la richesse d'un groupe à l'autre et rivaliser avec eux pour régler la puissance d'achat de la monnaie nationale vers le bas par rapport à d'autres nations à l'insu de leur population. Depuis plus de 3 ans, la BNS a fonctionné de manière opaque dans les coulisses son remplacement par une autre monnaie pour ses propres, converti les économies de ses citoyens en EUR, et imposant une taxe furtif sur européenne importe sans consentement public.

    Un vote « Oui » au référendum or est une première étape en vue de redresser le déséquilibre qui existe entre la Banque nationale et le peuple suisse. « Oui » va se lancer un processus visant à rétablir la retenue, de responsabilité et de transparence sur une institution qui a profité du retrait de sa médaille d'or précédent tenant contrainte déjà une fois avant d'exploser son bilan, se réinventer comme un hedge fund et élargir considérablement dans les domaines de la politique bien au-delà de son mandat original. Banques centrales devraient être des prêteurs de dernier recours et régulateurs systémiques. Dans une démocratie directe, les décisions sur le plan fiscal, l'adhésion dans le commerce / unions politiques et l'autonomie de la monnaie nationale devraient être déterminé par le vote populaire pas décrété ou contourné par la Banque centrale édit.

    http://www.zerohedge.com/news/2014-11-25/swiss-referendum-gold-whats-missing-debate

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  12. Référendum or Suisse : Ce que cela signifie vraiment


    Paul Craig Roberts
    Institut d'économie politique
    25 novembre 2014


    Dans quelques jours, le peuple suisse ira aux urnes pour décider si la Banque nationale suisse est d'être obligée de détenir 20 % de ses réserves sous forme d'or. Les sondages montrent que l'exigence de l'or est favorisé par les moins bien lotis et opposé par riche Suisse investi dans les stocks. http://snbchf.com/Gold/Swiss-Gold-referendum-latest-news/ Ces résultats de sondage donnent un nouveau aperçu la véritable raison de l'assouplissement quantitatif de la réserve fédérale et de la Banque centrale européenne.

    Tout d'abord, nous allons examiner les raisons de ces résultats basés sur une classe. La vue en Suisse est un franc suisse soutenu or serait plus utile qu'un franc de plus grande valeur augmenterait le pouvoir d'achat des salariés, ce qui réduit leur coût de la vie. Pour les riches propriétaires de stock, un franc fort réduirait les exportations suisses et moins exportations réduirait le cours des actions et la richesse des riches.

    Le vote est clairement un vote sur les actions de revenu entre les riches et les pauvres. L'établissement Suisse s'oppose à la franc convertible à l'or, à l'instar du Washington.

    Il y a quelques années le gouvernement suisse, après avoir connu une forte hausse de la valeur de change du franc suisse en raison de l'afflux dollar et euro cherché refuge dans le franc suisse, a décidé d'élargir l'offre de monnaie suisse en ligne avec l'afflux de devises étrangères afin d'arrêter la montée du franc. La liquidité fournie par la Banque centrale, créant de nouveaux francs a stoppé la montée du franc et soutient les exportations et les prix des actions. Comme un vote en faveur d'un franc or soutenu n'est pas dans l'intérêt de l'élite, on comprend mal que le vote soit honnête.

    Que cela nous apprend sur la politique de la réserve fédérale d'assouplissement quantitatif, qui est un euphémisme pour l'impression d'une énorme quantité de nouveaux dollars ?

    La raison officielle de QE est la revendication de la courbe de Phillips keynésienne que croissance économique exige une inflation douce de 2 à 3 %. Cette fausse théorie fut mises à mort par la politique sur l'offre de l'administration Reagan, mais la déclaration inexacte de la politique de l'administration Reagan de l'établissement a gardé le faux Phillips théorie courbe vivant. http://www.PaulCraigRoberts.org/2014/11/14/Global-House-Cards-Paul-Craig-Roberts/

    La demande fondée en théorie de courbe de Phillips infirmée que la politique de la Fed vise à aider l'ensemble de l'économie est un autre exemple de la tromperie pratiquée par les autorités américaines. Le but réel de QE est de conduire vers le haut de la richesse et des revenus du 1 % en fournissant de la liquidité qui se jette dans le financier prix des actifs comme les actions et les obligations.

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  13. Depuis le 2008 récession aux États-Unis, les sceptiques de l'explication de la Fed de QE comme un soutien à l'économie américaine ont souligné au contraire que l'objectif de la politique économique des Etats-Unis a été de soutenir le déficit fédéral à faible taux d'intérêt des coûts et de soutenir les bilans des banques troublées par le prix des dérivés liés à la dette dans les bilans des banques.

    Il s'agissait d'objectifs importants, mais il semble maintenant que l'objectif principal a été de rendre les riches plus riches. C'est pourquoi nous avons un marché boursier dont les valeurs élevées ne reposent pas dans les principes fondamentaux mais, au contraire, sont basés sur l'effusion de liquidités par la réserve fédérale. Comme la politique économique des Etats-Unis est entièrement dans les mains des riches, il n'est pas surprenant que les riches il permet de s'enrichir aux dépens de tout le monde. La politique monétaire de la Fed qui enrichit les riches par entraîne une hausse du prix des actions et des obligations a également volé retraités des centaines de milliards de dollars, peut-être des milliards, dans le revenu d'intérêts perdus sur leur épargne. http://www.LewRockwell.com/2014/11/Bill-Sardi/How-10000-in-a-Bank-in-2008/

    Comme Nomi Prins et Pam Martens ont clairement, QE n'est pas terminée. La Fed est roulant sur ses intérêts et paiements de capital dans les nouveaux achats d'obligations et les banques maintenant imprégnés de $ 2,6 billions en liquidités de la Fed sur son inventaire de liaison $ 4,5 billions achetez les obligations en lieu et place des achats QE de la Fed.

    Selon les derniers rapports de la presse, Mario Draghi, le chef de la Banque centrale européenne s'impriment tout l'argent nécessaire pour soutenir les prix des actifs financiers. http://www.MarketWatch.com/Story/Draghi-Says-ECB-will-do-what-it-must-on-Asset-Buying-to-Lift-inflation-2014-11-21?Dist=beforebell Draghi, comme la réserve fédérale, les masques de sa politique d'enrichir les riches en termes de courbe de Phillips de conduite l'inflation afin de soutenir la croissance économique. Bien sûr, le but réel est de grimper le cours des actions.

    Comme la Fed, la BCE prétend que l'argent il imprime se jette dans l'économie. Mais compte tenu du mauvais état des banques et des emprunteurs potentiels, du volume des prêts est faible. Au contraire l'argent créé par les banques centrales coulées dans le prix des actifs financiers papier. Ainsi, la politique monétaire de l'Occident vise à soutenir la richesse des riches et une aggravation de l'inégalité dans la répartition des revenus et des richesses.

    (suite en dessous:)

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  14. Les riches sont loin d'être fini avec leur pillage. En échange de dons de campagne, gouverneurs d'État sont tournent sur les fonds de pension d'État à la gestion des gestionnaires de fonds de pension privé haute-fee, à haut risque qui font un meilleur travail de maximiser leur recettes provenant des taxes que de protéger les oeufs de nid de retraités. http://www.informationclearinghouse.info/article40287.htm

    Tout au long de l'occidental la politique économique mondiale est exécutée au seul bénéfice du 1 % et au détriment de tout le monde. La cupidité et la stupidité des riches créent des conditions idéales pour une révolution violente. Karl Marx aurait encore triompher.

    Ressources :

    Le manuel de survie moderne : Survivre à l'effondrement de l'économie

    Crash Proof 2.0 : Comment profiter de l'effondrement économique

    Contact ! Un manuel de tactique de survie effondrement Post

    http://www.paulcraigroberts.org/2014/11/24/swiss-gold-referendum-really-means-paul-craig-roberts/

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