- ENTREE de SECOURS -



lundi 22 novembre 2010

Soyez la 1ère personne à ne pas faire de commentaire.

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La 1ère langue parlée était le 'sabir'. C'était a une époque très très lointaine dans la presque 'nuit des temps'®. Le sabir n'était pas vraiment une langue véhiculaire et servait temporairement à exprimer/désigner quelque chose ou quelqu'un.
Par exemple: "Je veux manger çà", le 'çà' désigne ici ce que l'on veut manger et qui n'a pas encore de nom. "Je veux manger çà et puis çà". Là, il y a deux 'çà', le 'çà' qu'on veut manger et puis 'l'autre çà' qu'on y ajoute. Il y a aussi le "et avec çà, qu'est-ce que je vous sers ma bonn' dam' ?" encore présent aujourd'hui.
Puis après, est arrivé le 'koinè'. Ah LE 'koinè' ! le koinè était (et est toujours) un galimatias de 'çà' et de 'çà' ou de 'çà' venus de différentes régions du globe et qui tendait à donner un nom (un autre nom) aux 'çàs'; une sorte de franglais de l'époque ou un espéranto avant l'heure.
Et puis, il y a aussi - et là, j'ouvre une parenthèse -: des peuples complètement oubliés, des gens qui étaient atteint de "La Tremblote". La Tremblote peut venir de la peur ('les chocottes'), du froid ('la grelotte') ou, tout simplement que le type avait 'un petit coup dans le nez' (qu'on désigne aussi sous le nom de 'la Griotte' ou la 'Radote'). Donc, le type atteint de 'Tremblote' et qui plus est 'l'instit-du-village', crée très vite la 'Gribouillotte' au tableau devant ses élèves. (Rien a voir avec Conficius qui se pataugeait les neurones jusqu'à plus savoir qui il était. On eut pu dire qu'il était 'confus' voire 'confit'). De cette 'compote' (en un seul mot) issue de la Gribouillotte elle-même issue du koinè est né le texto encore utilisé aujourd'hui par les internautes qui n'est pas sans rappeler parfois le sabir.

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